Au cours des dernières décennies, les divers gouvernements ont choisi d’accorder moins d’importance à l’éducation qu’à des secteurs dits « plus rentables ». Ces choix des gouvernements, au nom de la société, ont des effets majeurs sur la gestion (gouvernance) de l’université québécoise, son rôle et ses missions ainsi que l’enseignement que l’on y dispense. Il est clair que l’université québécoise adhère à ces orientations. Pensons aux universités montréalaises qui choisissent d’investir dans l’immobilier et gardons l’œil ouvert sur les projets de l’Université de Montréal pour son futur site d’Outremont.
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