La fermeture de classes en francisation cause des dommages collatéraux dans de nombreuses entreprises qui comptaient sur cette offre de cours pour bien communiquer avec leur personnel et garder leurs employés à long terme, rapporte Le Devoir. Les gestionnaires de l’usine d’Olymel à l’Ange-Gardien, en Montérégie, disent ainsi avoir « plusieurs » employés touchés par l’arrêt des cours de francisation à Granby. « Certains d’entre eux étaient rendus à des niveaux entre 3 et 5 et faisaient 12 heures de francisation par semaine. Nos employés sont inquiets quant aux ressources disponibles pour la francisation et, par le fait même, pour le renouvellement de leur permis de travail », indique la porte-parole de l’entreprise, Stéphanie Quintin.
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