L’annonce de la construction de logements abordables sur le site de l’ancien motel Royal-Labarre à Longueuil a fait fortement réagir nos lecteurs, dont plusieurs ont critiqué l’utilisation du terme «logement abordable» pour des logements locatifs entre 1300$ et 2000$ par mois. Le Courrier du Sud a donc sondé deux intervenants pour approfondir la question. Le chargé de cours Yvon Rudolphe croit que le terme «logement abordable» relève de la sémantique marketing et politique.