Le 2 avril dernier, La Presse publiait un article de Louise Leduc où on pouvait lire que « près de 2 000 individus, quelque 150 organismes et les trois partis de l’opposition à Québec appuient, en ce 2 avril, l’idée d’une Journée internationale du travail invisible qui est majoritairement porté par les femmes ».
Un autre article, cette fois dans Le Devoir, publié le 28 mars, sous la plume de Zacharie Goudreault, portant le titre « Québec dit non à la rémunération des stages, malgré un vent de face » relevait le fait maintes fois dénoncé que les stages dans les services publics, souvent effectués par des femmes, ne sont pas rémunérés alors que dans le secteur privé, où les femmes sont en minorité, les stages sont presque toujours rémunérés.