Un propriétaire de restaurant a été condamné par le Tribunal des droits de la personne à verser 26 000 $ en dommages moraux et punitifs à une employée pour des gestes et des propos à caractère sexuel, une cause portée par la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse.
« Cette victoire extrêmement importante pour la Commission et plus généralement, pour la société, n’aurait pas été possible sans le courage de la plaignante, courage que nous tenons à saluer. Le jugement souligne clairement à quel point le harcèlement sexuel en milieu de travail est inacceptable en 2019. Le montant accordé à la plaignante, qui a été profondément marquée par les gestes de son patron, en témoigne », a déclaré aujourd’hui Philippe-André Tessier, président de la Commission.
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