Les aînés gais et lesbiennes sont souvent associés à un segment invisible ou caché de la population vieillissante. Sont-ils plus susceptibles de vieillir seuls et de souffrir d’insécurité? C’est la question à laquelle Julie Beauchamp, chargée de cours au Département de sexologie, tente de répondre dans sa thèse.
Elle est la première candidate du programme de doctorat en sexologie (créé en 2010) à avoir soutenu sa thèse. Intitulée «La participation sociale des aînés gais et lesbiennes: analyse des dimensions identitaire, relationnelle et sociale, et développement d’un outil d’intervention», celle-ci a été réalisée sous la direction de Line Chamberland, professeure au Département de sexologie et titulaire de la Chaire de recherche sur l’homophobie, et d’Hélène Carbonneau, professeure au Département d’études en loisir, culture et tourisme de l’Université du Québec à Trois-Rivières.
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