Il y a maintenant un an, en octobre 2017, l’actrice américain Alyssa Milano conviait les femmes de toute la planète à faire part de leurs expériences d’agression et de harcèlement sexuel à l’aide du mot-clic #MeToo sur la twittosphère.
Ainsi, un mouvement puissant était lancé et de nombreuses dénonciations en matière d’inconduites sexuelles ont depuis émergé.
Au niveau universitaire, dans la foulée du projet de loi du ministère l’Enseignement supérieur venant imposer des obligations fermes aux universités, dont celle d’adopter un code de conduite pour prévenir les inconduites sexuelles, les établissements ont donc dû s’adopter.
Où en sommes-nous aujourd’hui dans ce dossier? Les campus universitaires sont-ils plus sécuritaires? Quel chemin reste-t-il à faire?
Le Journal métro s’est intéressé à la question et en dresse le portrait ici.