L’action bénévole, à mon avis, demeure démesurément précieuse et nécessaire. La grandeur d’âme, le dévouement, l’empathie et l’amour l’inconditionnel sont des qualités d’une richesse innommable et immensément appréciées, mais surutilisées dans une société comme la nôtre. En fait, le bénévolat, aussi noble soit-il, ne devrait plus être la principale ressource humaine pour répondre aux besoins sans cesse grandissants en santé mentale. La disponibilité des personnes qui souhaitent s’impliquer dans un organisme comme le nôtre a bien changé.
Lire la suite du texte de Jacques Charland, travailleur communautaire, publié dans La Presse+.