Le conseil d’administration de l’Université Laval a entamé des travaux visant à réviser la rémunération de ses hauts dirigeants, un processus qui survient plus de deux ans après la controverse suscitée par la bonification de leurs conditions salariales d’après-mandat, une décision sanctionnée par Québec. Cette révision survient alors que la nouvelle rectrice, Sophie D’Amours, qui entrera en fonction le 1er juin, s’est prononcée contre la bonification des conditions de rémunération d’après-mandat pendant sa campagne électorale. À l’Université Laval, on précise toutefois que cette révision a été amorcée «il y a quelques mois», donc avant l’élection de Mme D’Amours, le 26 avril.
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