La conclusion d’une entente entre les pêcheurs de crevettes et les usines est une bonne nouvelle, car elle permet de mettre fin à la crise. Mais le mal est fait pour les travailleuses et les travailleurs des usines de Matane et de Gaspé, car avec ce retard de sept semaines, ils pourraient se retrouver encore une fois sans aucun revenu, au printemps prochain, voire être incapables d’accumuler suffisamment d’heures de travail pour avoir droit à des prestations après la saison, à cause des règles actuelles de l’assurance-emploi.
Une convention collective favorisant la conciliation travail/famille chez Novali Gourmet.