Depuis juin 2013, aucun des jeunes ayant terminé leur 5e secondaire dans une école de la Commission scolaire de Kativik, dans le nord du Québec, n’a pu obtenir de diplôme d’études secondaires. La commission scolaire confirme que des centaines d’élèves ont dû se rabattre sur une attestation d’équivalence en raison d’un manquement envers les exigences ministérielles. «C’est sûr que le diplôme d’études secondaires, c’est la vraie affaire: c’est un papier qui est reconnu à travers la province, c’est plus avantageux et c’est ce qu’on souhaiterait avoir pour nos finissants», soutient Jade Bernier, responsable des communications pour la Commission scolaire Kativik, en entrevue au Devoir vendredi.