Bien que plus pertinente que jamais, la discipline semble devoir toujours justifier son existence. Certains des défis auxquels les programmes d’études féministes sont confrontés découlent d’idées préconçues dommageables et sexistes à propos du féminisme, qui serait le fait de femmes sans soutiens-gorge et aux jambes poilues, qui détestent les hommes… Pour contrer ces idées fausses, hélas remarquablement persistantes, de nombreux programmes d’études des femmes ont depuis quelques années changé de nom – devenant, par exemple, des programmes d’études de genre. Certains ont même opté pour des noms complexes évoquant les revendications féministes en matière de diversité.
Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.