Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) règle systématiquement hors des tribunaux les plaintes de profilage racial portées contre ses agents à la Commission des droits de la personne. Le SPVM remporte, de loin, le triste record de ce type de pratique à l’endroit des citoyens. C’est ce qui ressort d’une série de documents obtenus de la Commission des droits de la personne en vertu de la Loi sur l’accès à l’information gouvernementale. Pour les cinq dernières années où des données sont disponibles, on constate que des 89 plaintes visant les opérations policières depuis 2012, 84 concernaient le SPVM.
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