L’Université de Montréal s’est inscrite dans une démarche de développement durable. Les bouteilles d’eau ont été éliminées du campus, mais, ce faisant, elle a découvert que cela englobe bien davantage que des préoccupations écoénergétiques ou de recyclage des matières résiduelles. Le développement durable ne comporte pas seulement un volet environnemental, précise Stéphane Béranger, coordonnateur en développement durable à l’Université de Montréal, il amène aussi à réfléchir à plusieurs façons de faire. «Surtout, ça nous amène à aller beaucoup plus loin, comme parler de diversités — dont la diversité sexuelle —, de perfectionnement des employés et d’équité, des autochtones, etc., ajoute-t-il. Ce sont en effet des questions dont on traite lorsqu’on parle de développement durable.» Au terme du processus d’évaluation de l’Association for the Advancement of Sustainability in Higher Education (AASHE), réservée aux établissements d’enseignement supérieur et qui comporte quelque 70 critères de développement durable, l’Université de Montréal s’est vu attribuer une étoile d’argent.
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