Après les hôpitaux et les écoles, Québec constate que la vétusté est aussi un problème criant dans le parc immobilier des universités. C’est ce qui ressort de la première analyse panquébécoise menée par le gouvernement et les universités. Plus de 40% des bâtiments du réseau obtiennent la note «D» ou «E». Ce qui, selon le gouvernement, signifie un niveau «élevé» ou «très élevé» de dégradation. La note globale du réseau immobilier universitaire est moins bonne que dans le réseau hospitalier, selon ce qu’a rapporté Radio-Canada au printemps dernier.