Le mendiant jacasseur s’éteint en douceur


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Quand Claude Bolduc a su qu’il allait mourir, il a donné une lettre à tous ceux qu’il considérait comme ses amis ou, comme il l’a écrit, ceux qui donnaient «un certain sens» à sa vie. «Je tenais absolument à vous dire, avant mon départ définitif, toute ma gratitude et mon profond respect! Je pleure, vous vous en doutez bien, du profond regret de partir. J’aime la vie!» a écrit l’homme de 71 ans. M. Bolduc, surnommé Papi, était depuis 10 ans un visage familier au coin de la rue Amherst et de l’avenue Viger. De 6h à 10h, l’homme originaire de Beauce était là pour mendier, mais surtout pour parler aux gens.

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