Injection supervisée : le milieu veut encore y croire


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Dans les organismes communautaires, on reste fébrile. Les services d’injection supervisée (SIS) verront-ils enfin le jour ? «On veut y croire, mais on est inquiets», confie Sylvie Boivin, directrice de L’Anonyme, qui gérera le premier SIS mobile en Amérique du Nord. «Il reste encore bien des étapes hors de notre contrôle, ajoute le directeur adjoint Julien Montreuil. Après tant d’années, il y a un certain lâcher-prise, ça arrivera quand ça arrivera.» Depuis 2011, la Direction régionale de la santé publique (DRSP) se prépare à déposer une demande d’exemption le plus incontestable possible. Acheminée à Santé Canada au printemps 2015, celle-ci exige de répondre à 26 critères.

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