Le rapport remis le 15 août par l’inspecteur du ministère du Travail qui a été mandaté pour faire enquête a conclu à la présence de pas moins de huit briseurs de grève. Le syndicat a l’intention de poursuivre les procédures afin que le Tribunal administratif du travail (TAT) se prononce officiellement dans un jugement. «Mais au-delà de ces procédures, ce que nous questionnons, c’est la chaîne Comfort Inn qui laisse faire ce conflit alors qu’un des hôtels qui porte sa bannière a recours à des briseurs de grève contrairement à la loi», a demandé Sylvain Martin, directeur adjoint du syndicat Unifor.
Négociation coordonnée dans l’hôtellerie : les syndicats CSN adoptent leurs moyens de pression.