Chaque ville possède des zones dépourvues de circulation humaine, qui les rendent vulnérables quiconque s’y aventure, particulièrement les femmes. Devant ce fait, Conscience Urbaine fait le pari que l’animation artistique augmente le sentiment de sécurité à travers une hausse de la fréquentation des friches urbaines. L’action concertée requise lie tous les acteurs concernés. Dans Réappropriation d’une friche urbaine par l’art : analyse d’une démarche créative citoyenne dans l’espace public, la chargée de cours au Département de communication sociale et publique Annie Baillargeon-Fortin examine dans la revue internationale Animation, territoires et pratiques socioculturelles les projets de l’organisme montréalais (Québec) en 2015 afin de comprendre ce qui freine ou alimente l’innovation et la créativité.
