Le Canada se lance tête baissée dans les accords de libre-échange. Il vient de signer deux méga-traités, l’un avec l’Union européenne et l’autre avec onze pays de la zone du Pacifique – le Partenariat transpacifique. Il négocie aussi en secret avec cinquante pays un nouvel accord qui porte uniquement sur le commerce des services, et qui touche donc, sans détour, l’éducation. Il faut souhaiter qu’au Québec, on abandonne notre fatalisme et notre indifférence devant les accords de libre-échange. Les enjeux qu’ils soulèvent, non seulement en éducation mais également sur le plan de la démocratie et des conditions de vie de l’ensemble de la population, sont trop importants pour qu’on les laisse aux grandes entreprises et à leurs lobbyistes.
Lire la suite du texte du Comité école et société dans le numéro 33 des Carnets de la FNEEQ.
Autre texte : Pour la réduction des GES et Pour le Projet d’oléoduc Énergie Est ?