Les policiers doivent faire face à des situations à haut risque lorsqu’ils se trouvent devant un individu aux prises avec des problèmes de santé mentale ou encore de drogue ou d’alcool. En effet, près de 80% des personnes visées par une intervention policière durant laquelle une personne meurt ou subit des blessures graves étaient dans un «état de conscience altéré», révèle une étude de l’École nationale de police du Québec (ENPQ) dévoilée mercredi.