Les employées et employés étudiants seront en grève à compter du 7 décembre. Le contrat de travail de nombreux chargées et chargés de cours est lié à un autre contrat entre l’université et une ou un membre du SÉTUE. Faire le travail prévu (correction de travaux, supervision d’examens) à leur place revient à faire le travail d’un briseur de grève. Je ne peux pas croire que l’UQAM va oser demander aux enseignantes et enseignants d’agir en voleurs de jobs. Le mépris, ça suffit. Dans une autre vie (lock-out au Journal de Montréal) nous pourchassions les scabs. Et la suite n’est pas publiable.
Le futur comité de négociation sur l’accès aux locaux de l’UQAM en dehors des heures d’ouverture sera composé, entre autres, d’un «conseiller en sécurité». L’UQAM envoie encore le message que les agents de sécurité ont leur mot à dire sur la vocation académique de l’institution. Quand ça va tout croche…
Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ
Entre vous et moi - SCCUQ
[…] selon le Montréal Campus, des coûts qui montent en flèche depuis 2014. J’ai déjà soutenu dans un précédent Entre vous et moi qu’à l’UQAM les agents de sécurité ont leur mot à dire sur la vocation académique de […]