Dans la course aux sujets les plus populaires en campagne électorale, l’économie gagne haut la main, reflet des priorités des électeurs, qui la mettent toujours, et de loin, en tête de liste quand on leur demande de classer les enjeux en ordre d’importance. Le reste passe au second plan, ou est carrément oublié. Ainsi de la science qui, traditionnellement, tombe dans le grand trou noir électoral. Mais pas cette fois-ci. L’heure est au sursaut, maintenant que les conservateurs nous ont fait toucher le fond.
Lire la suite de l’éditorial de Josée Boileau dans Le Devoir.
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