Réunis au sein de l’Unité d’action syndicale avec des centrales syndicales du Burkina Faso et d’autres syndicats autonomes, des syndicats membres de l’Internationale de l’éducation ont fermement agi pour mettre fin au récent coup d’État dans le pays. Dès le début, les enseignantes et enseignants se sont mis en grève, condamnant la prise en otage des gouvernants arrêtés et exigé leur libération immédiate et sans condition.