Samedi dernier, dans les rues de Québec, des milliers de manifestants ont affirmé à quel point ils tiennent à vivre dans un environnement sain. Plusieurs menaces ont été dénoncées : de la pollution qu’entraîne le pétrole des sables bitumineux à la construction d’un pipeline qui traversera pas moins de 961 cours d’eau, aux accords de libre-échange qui permettent aux entreprises de contester auprès de tribunaux privés des mesures environnementales adoptées par les gouvernements. La belle unité des manifestants ne doit cependant pas faire oublier les choix difficiles auxquels toutes et tous sont confrontés.
Lire la suite du texte d’opinion de Claude Vaillancourt, président d’ATTAC-Québec.