Plusieurs centaines de jeunes adultes, coincés dans des camps de réfugiés en Afrique depuis des années, tentent de trouver une façon de se construire une nouvelle vie. Les études supérieures font partie des portes de sortie pour obtenir l’asile à l’étranger, mais seulement une minorité parvient à faire le saut. Grâce au Programme d’étudiants réfugiés (PER), l’Entraide universitaire mondiale du Canada (EUMC) parraine environ 80 réfugiés répartis dans des universités canadiennes. Cet hiver, 25 d’entre eux étudient à l’UQAM.
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