Austérité oblige, le couperet tombe de nouveau sur le ministère de la Faune. Le Devoir a appris que le gouvernement Couillard éliminera des postes de scientifiques qui travaillaient sur des projets liés à des espèces en péril, au contrôle de la rage et à la faune aquatique. Des compressions qui risquent d’avoir des impacts majeurs dans plusieurs régions du Québec. Les informations obtenues auprès de différentes sources révèlent que 11 des 22 professionnels contractuels travaillant pour la Direction générale de l’expertise sur la faune et ses habitats perdront leur poste.