Dans un récent billet, l’IRIS a fait une très courte recension des coûts associés aux catastrophes naturelles liées à la pollution en incitant les politiciennes et politiciens, et les économistes traditionnels, à se sortir la tête des sables bitumineux et à regarder en face les dangers liés à la croissance de l’empreinte écologique au pays et dans le monde. Bien que les coûts liés à la crise climatique soient majeurs, on n’a pas l’impression d’être réellement touché. Bien sûr, des fonds spéciaux financés à même les impôts pourraient servir à payer le prix d’éventuelles reconstructions, mais les effets sur notre avoir personnel semblent somme toute peu importants. Pourtant, l’éclatement de la bulle financière risque de nous mener vers une des crises financières mondiales les plus importantes des dernières décennies.
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