Des commentaires sur mon message de la semaine dernière m’amènent à préciser que mon coup de gueule devait être pris au figuré et ne constituait pas un appel à la violence. Mais il n’en demeure pas moins que la pratique de plus en plus récurrente au cours des dernières années de la direction de l’Université de s’insurger dans les affaires syndicales et étudiantes est inacceptable et indigne d’une institution telle que l’UQAM. Et pour ajouter l’insulte à l’injure, la direction nous a répondu que l’agente de sécurité devait vérifier notre permis d’alcool pour le 5 à 7 syndical après l’assemblée générale, question qu’elle n’a jamais posée lorsqu’elle s’est présentée dans les locaux du Syndicat.
On se revoit le 15 février à l’agora du pavillon Judith-Jasmin de midi à 14h pour un autre message à envoyer, celui-là au ministre de l’Éducation. Les compressions, c’est assez!
Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ