Dans les transports en commun, les regards inquisiteurs, remarques sexistes et autres mains baladeuses sont le pain quotidien de centaines de milliers de femmes d’un bout à l’autre de la planète. Mais Montréal fait-elle figure d’exception? Personne à Montréal, pas même le Service de police de la Ville de Montréal ou la Société de transport de Montréal, ne dispose de données chiffrées concernant spécifiquement les cas de harcèlement ou d’agression dans les transports en commun. Sur la plateforme Web de l’organisation Hollaback Montréal – branche locale du groupe international qui lutte contre le harcèlement de rue et la violence faite aux femmes dans les espaces publics -, les témoignages sont pourtant nombreux.
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