Dans le cadre de la Journée internationale des travailleuses et des travailleurs, la Confédération syndicale internationale (CSI), dont est membre la CSN, a lancé cette déclaration. Parce que des sociétés multinationales puissantes et une poignée de personnes immensément riches dictent les règles de l’économie mondiale, les progrès que des générations de travailleuses et de travailleurs ont obtenus, célébrés le 1er mai de chaque année, subissent continuellement et systématiquement des attaques. Les gouvernements battent en retraite, se pliant aux volontés des grandes richesses et ne remplissant pas leur devoir de garantir un travail décent pour tous et d’en finir avec la pauvreté. Le nationalisme et la xénophobie érodent la solidarité à une époque où le monde est confronté à la plus grande crise de réfugiés depuis 70 ans et que les travailleurs migrants sont privés de la dignité de l’égalité de traitement.
Vidéo de la manif du 1e mai: le travail pas à n’importe quel prix!
Coalition montréalaise du 1er mai : le travail, mais pas à n’importe quel prix!
1er mai : appauvrissement pour les travailleuses et travailleurs québécois de la construction.
La FTQ, la CSN, la CSQ et la CSD rencontrent le premier ministre Couillard.
Campagne 5-10-15 : une hausse nettement insuffisante.
Augmentation du salaire minimum du 1er mai : gouverner par la peur.
Le secteur municipal du SCFP solidaire des employés de Saint-Esprit.