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À l'agenda
21 mars : Assemblée d’unité – Organisation et ressources humaines 24 mars : Assemblée d’unité – Éducation et pédagogie 25 mars : Assemblée d’unité – Didactique des langues 26 mars : Assemblée d’unité – École des médias 27 mars : Assemblée d’unité – Danse 31 mars : Assemblée d’unité – Didactique 1er avril : Assemblée d’unité – Éducation et formation spécialisées 3 avril : Assemblée d’unité – Communication sociale et publique 3 avril : Assemblée d'unité - Sciences comptables 7 avril : Assemblée d'unité - Théâtre 9 avril : Assemblée d’unité – Sociologie 10 avril : Assemblée d’unité – Science politique 14 avril : Assemblée d’unité – Sciences économiques 14 avril : Assemblée d’unité – Finance 14 avril : Assemblée d'unité - Sciences juridiques 15 avril : Assemblée d’unité – Sciences biologiques 16 avril : Assemblée d'unité - Mathématiques 22 avril : Assemblée générale statutaire du SPPEUQAM, à 13h 7 mai : Atelier d'information sur la retraite à 12h30 en ligne 1er juin : Délégation SPPEUQAM au Tour de l’île de Montréal Agenda uqamien et militant avec la collaboration du CCMM-CSN : 22 mars : Manifestation contre la privatisation d’Hydro-Québec, 13 h, Assemblée nationale et à Montréal au 75 René Lévesque Ouest; marche jusqu’au bureau de la CAQ au 770 Sherbrooke Ouest 22 mars : Conférence Renouveau syndical et mobilisation, 13 h, Cégep du Vieux-Montréal 25 mars : Un budget pour renforcer le filet social, rassemblement au 770 Sherbrooke Ouest à midi 26 mars : Forum Intégration de l'IA en milieu de travail : enjeux et leviers d'action. 28 mars : Manifestation pour le transport en commun, 13 h, parc Raymond-Préfontaine 30 mars : Action contre la haine à Ottawa à midi, transport organisé de Montréal Jusqu'au 30 mars : Exposition Fragments d’un regard de Linda Brunelle 31 mars : Lancement des États généraux du syndicalisme, 14 h à 19 h, Coeur des sciences 1er avril : Les promesses de la réforme Dubé: poisson d'avril! Rassemblement à Montréal 4 avril : Classe de maître en chant classique de Marie-Annick Béliveau 9 avril : Panel en ligne : La démocratie dans le système de santé et de services sociaux Jusqu'au 24 avril : Exposition Les règles complices à Jonquière 23 avril : Soirée Décroissance ou lutte de classe ?, détails à venir 26 avril : Manifestation du Jour de la Terre, Finançons nos transports collectifs publics
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Des nouvelles de la négo : textes finaux et plaintes
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Depuis l’entente de principe suspendant le déclenchement de la grève le 3 février, les deux parties travaillent à finaliser les textes de l’entente. Votre comité de négociation est d’ailleurs en réunion aujourd’hui et demain pour analyser les derniers commentaires et contrepropositions de l’employeur. L’objectif syndical est d’obtenir des textes conformes à ce qui a été négocié avant la fin avril. Les négociations ayant été ardues, deux plaintes ont été déposées vers la fin du processus. Le SPPEUQAM en a déposé une le 30 janvier pour ingérence et entrave contre l’employeur qui a riposté avec une plainte pour négociation de mauvaise foi à l’encontre du Syndicat après la conclusion de l’entente de principe. Nous considérons cette plainte non fondée en fait et en droit, mais étant en attente d’un avis juridique de la CSN, nous ne pouvons pas commenter publiquement le contenu des deux plaintes à ce moment-ci. Elles seront entendues simultanément le 27 mai par le Tribunal administratif du travail.
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Assemblée générale statutaire : Le 22 avril à 13h au A-M050 (la date a été modifiée)
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Les membres du SPPEUQAM sont convoqués à leur Assemblée générale statutaire le mardi 22 avril à 13h au A-M050. La date a été devancée d'une semaine pour ne pas entrer en conflit avec les Journées de la pédagogie universitaire de l'UQAM. Les postes de sept des treize officiers syndicaux, excluant le comité de négociation, seront alors en élection, soit • la vice-présidence à la convention collective, • la vice-présidence aux relations intersyndicales, • le secrétariat général, • la trésorerie, • une agente ou un agent du comité de relations de travail et • deux conseillères ou conseillers du comité mobilisation-intégration. Il y aura également des élections pour une ou un membre du comité de surveillance des finances, une officière ou officier d'élections ainsi qu'à neuf comités paritaires ou institutionnels, soit • perfectionnement et stabilisation, • vérification du double emploi, • développement international, • révision du Règlement no 5 des études de premier cycle, • Politique no 2 sur la liberté académique universitaire, • infractions de nature académiques, • respect des personnes, prévention et intervention en matière de harcèlement, • contre le sexisme et les violences à caractère sexuel et • programmes de formation à l'enseignement. Le budget du Syndicat pour 2025 sera également présenté. Un lunch sera servi dès 12h30 et un cocktail suivra la tenue de l'assemblée.
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Atelier d’information sur la retraite le 7 mai
Un atelier d’information sur la retraite sera présenté le mercredi 7 mai, dès 12 h 30. La séance se tiendra en ligne via ce lien zoom. Cet atelier s’adresse particulièrement aux membres du Syndicat en fin de carrière à l’UQAM afin, entre autres, de choisir le bon moment et de prendre les bons moyens pour en bénéficier le plus possible. Toutes et tous les membres du Syndicat peuvent y participer. L’atelier sera animé par Marie Bouvier, membre du Comité de retraite du Régime de retraite des chargés de cours du réseau de l’Université du Québec (RRCCUQ), ex-trésorière du SPPEUQAM, maintenant chargée de cours retraitée. Une période d’échanges et de questions est prévue à la fin de la présentation. Pour informations supplémentaires sur cette activité du comité mobilisation-intégration, on communique avec Laurence Castonguay Emery par courriel.
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Délégation SPPEUQAM au Tour de l’île de Montréal 2025
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À la suite de l’atelier-vélo ayant été offert aux membres du SPPEUQAM lors des trois dernières années, le SPPEUQAM vous invite plutôt cette année à participer au 40e Tour de l’île de Montréal. Le dimanche 1er juin, nous aurons donc une belle délégation SPPEUQAM qui participera au Tour de l’île classique. « Le parcours régulier, idéal pour les familles avec des enfants ou les amateurs de vélo de ville, ce parcours offre un choix d’itinéraires allant de 28 à 50 km, dans des rues sans autos, à travers les plus beaux endroits de Montréal. » Pour infos supplémentaires et vous inscrire. Gardez votre preuve d’inscription, car le syndicat vous remboursera 20$, après l’activité. Lorsque vous aurez procédé à votre inscription, écrivez un courriel à Simon Leclerc afin qu’il vous ajoute sur la liste officielle de la délégation SPPEUQAM du Tour de l’île 2025. Il vous réécrira quelques jours avant l’activité pour vous donner les détails (heure et point de rencontre, etc.). Au plaisir de pédaler avec vous le 1er juin prochain!
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La ronde des assemblées d'unité : L'occasion de vous voir et de discuter entre collègues
La ronde des assemblées d'unité se poursuit. Une vingtaine sont encore à l'horaire (voir l'Agenda ci-dessus). C'est l'occasion de discuter entre collègues d'un même département ou école autour d'une bonne bouffe de sujets concernant votre travail dans votre département et de partager plusieurs informations sur notre vie syndicale et les dossiers en cours. Vous recevrez un bref rapport de vos représentant.e.s siégeant aux diverses instances ou comités de votre département et procéderez à l'élection de vos représentant.e.s locaux pour la prochaine année. C'est un excellent moment pour vous initier à la vie départementale, s'il s'agit de votre première fois. Vous devez vous inscrire parce qu'un dîner vous est offert.
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Chronique des relations de travail : Pour notre travail et notre santé, participez!
Vous avez reçu le 11 mars dernier un courriel de Guylaine Landry, vice-rectrice du Service au développement humain et organisationnel de l'UQAM. Ce courriel vous invite à remplir un questionnaire d'identification des risques à l'intégrité physique. Avec les autres syndicats de l’UQAM, le SPPEUQAM siège au Comité santé et sécurité (CSS) qui a la responsabilité de conformer l'UQAM à la loi sur la santé et sécurité en milieu de travail. L’UQAM a jusqu'au mois d'octobre 2025 pour ce faire et ce, en établissant un programme de prévention des risques et en nominant des personnes représentantes en santé et sécurité. En raison de l’importance de ce questionnaire, votre syndicat vous invite fortement à participer à l'exercice en y répondant. Il prend entre 15 et 20 minutes à compléter, selon la nature de notre ou de nos tâches de travail au sein de l’UQAM. Le questionnaire sur les risques à l’intégrité physique sur le milieu de travail est disponible du 10 mars au 28 mars 2025.
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Un début de négociations productif entre les étudiant(e)s employé(e)s et l’UQAM
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Le Syndicat des étudiant(e)s employé(e)s de l’UQAM (SETUE) et l’UQAM ont amorcé les négociations afin de renouveler la convention collective échue depuis le 31 décembre dernier. Depuis près d’un mois, les discussions avancent rondement, selon le syndicat. Depuis bientôt un mois, le SETUE travaille à la signature d’une nouvelle convention collective pour ses membres. Au cœur des revendications du groupe syndiqué se trouvent des augmentations salariales, une meilleure considération de la part de l’UQAM et des révisions légales aux politiques sur le harcèlement sexuel et le harcèlement au travail, rapporte le Montréal Campus. « On ne cédera sur aucun des droits déjà établis dans la convention collective », soutient le responsable aux communications du SETUE, Léo Y. Henni. Le syndicat, qui représente près de 5 000 personnes étudiantes employées par l’UQAM, affirme que les négociations se déroulent « de bonne foi » et que les deux parties sont « respectueuses l’une de l’autre ». Le SETUE soutient que ses membres subissent les conséquences du contexte économique actuel avec l’inflation et les menaces tarifaires au sud de la frontière. « On espère avoir une augmentation [de salaire] respectueuse par rapport au coût de la vie à Montréal », fait valoir M. Henni. Le salaire d’un(e) étudiant(e) employé(e) de l’UQAM s’établit aujourd’hui entre 20,59 $ et 27,73 $, selon le poste et le cycle d’études de la personne employée.
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Les stagiaires en éducation s’organisent
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Une première au Québec : les stagiaires en éducation s’engagent dans un processus de syndicalisation sous l’égide de la CSQ. Avec la création du Syndicat national des stagiaires en éducation (SNSE-CSQ), le mouvement entend faire pression pour améliorer les conditions des milliers d’étudiantes et d’étudiants qui effectuent des stages non rémunérés chaque année. Depuis plusieurs années, les stagiaires en enseignement dénoncent leur précarité financière. À l’heure où les stages rémunérés se multiplient dans d’autres secteurs, notamment en génie ou en santé, les futures enseignantes et futurs enseignants doivent encore jongler entre leurs études, un emploi et un stage à temps plein, souvent sans compensation. La rémunération des stages est aussi une question de justice sociale, selon la CSQ. La majorité des stagiaires en éducation sont des femmes, et l’absence de rémunération perpétue des inégalités économiques. Si le gouvernement reconnaît la nécessité de rémunérer les stagiaires dans certains domaines masculins, pourquoi les futures enseignantes et futurs enseignants en seraient-ils exclus?
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Vote de grève à 100 % à l’Institut de technologie agroalimentaire du Québec
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Les profs de l’ITAQ ont voté cinq jours de grève dans une proportion de 100 % en assemblée générale mercredi soir. Des écarts salariaux importants avec les cégeps nuisent grandement à l’attraction et à la rétention des professeur-es. Les prochaines dates de négociation sont prévues les 26 et 27 mars. Si à ces dates l’employeur n’a pas assez avancé pour nous assurer un règlement avant la fin de la session, le syndicat sera obligé de prévoir la grève pour le pousser à enfin accélérer. La convention collective est échue depuis le 31 mars 2022 ! Une simple lettre d’entente avait permis d’étirer cette convention de 2020 à 2022 en augmentant seulement les salaires. Cela fait donc cinq ans que l’ensemble des conditions de travail n’ont pas fait l’objet d’une véritable négociation. Rappelons que l’ITAQ dispose de deux campus, un à Saint-Hyacinthe et un à La Pocatière. « L’ITAQ n’est pas un collège de deuxième classe. Pourtant, la direction s’obstine à maintenir un écart important des conditions de travail avec les profs des autres cégeps qui enseignent dans certains cas les mêmes cours. Il est par ailleurs inadmissible que l’employeur ne soit toujours pas prêt à la table de négociation après tout ce temps », lance Patrick Fafard, président du syndicat. L’écart salarial entre la convention en vigueur à l’ITAQ et celle qui a cours dans les cégeps est de 15 %. Au dernier échelon, cela représente une différence de 13 076 $ par année. L’écart est encore plus grand en début de carrière, ce qui nuit au recrutement.
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Violence et intimidation : « Il faut faire plus que de la sensibilisation »
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Les promesses de la réforme Dubé : Poisson d'avril! Rassemblement le 1er avril
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Le 31 mars marquera le deuxième anniversaire du dépôt du controversé projet de loi n° 15. Ce projet de loi devait enfin régler les problèmes du réseau de la santé et des services sociaux (RSSS), notamment en le décentralisant et en améliorant l’accès. Deux ans plus tard, force est de constater que les belles promesses faites par le ministre Dubé n’étaient malheureusement qu’un leurre. Il est toujours aussi difficile d’avoir rapidement accès à des soins de santé et à des services sociaux. Et la centralisation du RSSS a atteint son maximum : une agence pour tout. Plus grave encore, le mensonge de l’ouverture au privé qu’on nous dit être complémentaire aux services publics alors que dans les faits le privé vient plutôt s’accaparer les ressources du secteur public et aggraver le problème de l’accessibilité aux soins et services au lieu de le résoudre. Joignez-vous à la Coalition solidarité santé et au CCMM-CSN le 1er avril à partir de 8h au Parc des Faubourgs, près du pont Jacques-Cartier pour faire entendre notre message.
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Action contre la haine à Ottawa le 30 mars
En réaction à la recrudescence des discours haineux, il est plus que temps de réagir et de s'unir. La reprise des éléments insidieux dans la sphère publique et la montée des attaques envers divers pans de la population n'ont pas lieu qu'aux États-Unis. Ici aussi ces tendances existent et elles doivent se buter à nos démonstrations de solidarité. C'est pourquoi le Conseil central du Montréal métropolitain (CCMM-CSN), en collaboration avec le Conseil central des syndicats nationaux de l’Outaouais, vous invite à une manifestation le 30 mars à midi. Direction Ottawa pour interpeller la classe politique devant la colline parlementaire et montrer que la haine nous trouvera sur son chemin! Transport organisé de Montréal à 8h30 le matin-même de la CSN avec un retour prévu vers 17h. Pour en profiter, veuillez réserver votre place.
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Projet de loi 89 : Une manœuvre explosive
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Avec le projet de loi 89, le ministre Boulet s’arroge le droit de mettre fin aux conflits de travail au détriment des droits des travailleurs, estiment les quatre centrales et les cinq organisations syndicales cosignataires de cette lettre. Si le projet de loi 89 du ministre du Travail, Jean Boulet, a été reçu comme une bombe dans le milieu syndical, c’est que son contenu et les motifs qui le sous-tendent sont explosifs. Non seulement son projet de loi vient brimer les travailleuses et les travailleurs dans leur droit de négocier et d’améliorer leurs conditions de travail, mais il vient en prime déstabiliser le fragile, mais important équilibre qui existait depuis l’adoption, en 1977, des dispositions anti-briseurs de grève prévues au Code du travail. Un héritage important de René Lévesque et du Parti québécois de l’époque. Évoquant l’importance « d’éviter que ne soit affectée de manière disproportionnée la sécurité sociale, économique ou environnementale de la population, notamment celle des personnes en situation de vulnérabilité », le ministre impose maintenant des services essentiels dans pratiquement tous les secteurs. De plus, il s’arroge le pouvoir de mettre fin aux conflits de travail. Rien de moins qu’une loi spéciale tous azimuts. Il sait aussi que les patrons n’auront pour ainsi dire plus d’intérêt à négocier de bonne foi avec les syndicats, s’ils savent qu’en bout de piste, un arbitrage sera imposé. Autres textes liés au projet de loi 89 : • En commission parlementaire : La CSN demande le retrait du projet de loi 89. • Les organisations syndicales demandent au ministre Boulet de retirer le projet de loi 89. • PL 89 : La FTQ va sortir « les gros bras ». • Boulet se dit ébranlé, la FTQ nie tout appel à l’intimidation. • Projet de loi no 89 : une discussion pour mieux comprendre les enjeux. • Encadrer le droit de grève va nuire aux travailleurs, selon des experts. • Des organisations patronales veulent que le PL 89 sur les grèves aille plus loin. • Les écoles spécialisées pour enfants handicapés devraient-elles être à l’abri des grèves?
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PL84 : un modèle d'intégration inquiétant
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Pas moins de 95 organisations (dont la FNEEQ, le CCMM-CSN et le SPPEUQAM) ont joint leurs voix le 25 février pour s'alarmer du projet de loi no 84, Loi sur l'intégration nationale (PL84) : un modèle d'intégration inquiétant, envisagé dans un projet de loi qui laisse indéterminés plusieurs éléments importants. En vertu de ce modèle d'intégration nationale, le fardeau de l'intégration à la société québécoise semble reposer surtout sur les personnes immigrantes, alors que les véritables obstacles à l'intégration et les responsabilités du gouvernement ne sont pas effleurés. Le PL84 confond valeurs et droits humains, et propose plusieurs modifications alarmantes à la Charte des droits et libertés de la personne du Québec, tendant à inféoder la Charte au modèle d'intégration nationale, plutôt que l'inverse. Dans son mémoire sur le PL84, la LDL souligne que ce projet de loi s'écarte des principes fondamentaux du modèle d'interculturalisme, et glisse dangereusement vers un assimilationnisme loin de respecter les droits humains de la population québécoise. L'assimilationnisme, qui a longtemps dominé tant au Québec qu'au Canada, repose entre autres sur une rhétorique hostile à l'immigration et aux minorités, de même que sur une volonté d'imposer les valeurs et la culture de la soi-disant majorité. • La CSN en commission parlementaire | PL 84 : Un projet de loi à réécrire.
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Élargissement de la laïcité de l’État en éducation : Un projet de loi qui va trop loin
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Plutôt que de cibler le véritable fléau du prosélytisme et des débordements, le gouvernement de la CAQ et son ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, s’en prennent directement aux droits fondamentaux des travailleuses et travailleurs. La Fédération des employées et employés de services publics (FEESP-CSN), représentant la majorité du personnel de soutien scolaire au Québec, condamne avec force le projet de loi présenté ce matin qui, sous le couvert de la laïcité, attaque frontalement la dignité du personnel des écoles primaires et secondaires en élargissant notamment les restrictions vestimentaires qui s’appliquaient déjà au personnel enseignant. Si le projet de loi est placé comme réponse à un réel problème répertorié dans 17 écoles au Québec, son application trop large passe à côté de la cible et aura des répercussions dramatiques pour des milliers de parents dès la rentrée de septembre 2025. « À la CSN, nous défendons sans réserve la laïcité de l’État et une vision sociale de l’éducation, insiste Caroline Senneville, présidente de la CSN. Pour nous, l’école doit transmettre des connaissances et préparer les enfants à vivre ensemble. Nous aspirons à une école inclusive favorisant intégration, francisation et solidarité dans une société diversifiée. Mais une vie collective ne peut se bâtir sur la fermeture, des restrictions abusives et la négation des droits fondamentaux. » • Laïcité dans les écoles : Interdiction des signes religieux élargie et visage découvert pour tous.
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Le gel du recrutement dans le secteur public est-il une entrave aux activités syndicales?
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La FSSS-CSN dénonce à nouveau les coupes en santé
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À quelques jours du dépôt du budget, la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN) veut être certaine de se faire entendre par les élus pour que les coupes dans le réseau de la santé cessent. Le ministre des Finances du Québec, Eric Girard, déposera le budget pour l’année financière 2025-2026 mardi prochain. Lors d’un rassemblement des travailleurs de la FSSS-CSN, mercredi, devant le CHUM, à Montréal, la présidente de la centrale syndicale, Caroline Senneville, a fait une nouvelle sortie pour exiger que le gouvernement mette fin aux coupes de 1,5 milliard exigées par Santé Québec, rapporte La Presse canadienne. « C’est le budget dans une semaine et je pense que ç’a le mérite d’être répété parce que ces coupures ont un effet qui s’additionne, un effet cumulatif », a-t-elle déclaré. La présidente de la CSN a reconnu que la situation économique était difficile en ce moment, mais elle s’attend à ce que le gouvernement fasse « des choix budgétaires pour les services publics ». Mme Senneville a aussi pointé du doigt « tout le discours autour du privé qui semble être la solution pour certaines personnes ». • Rassemblement le 25 mars devant les bureaux de Legault, 770 Sherbrooke Ouest, à midi.
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Les travailleuses en CPE de la CSN votent pour la grève à 91%
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La CAQ nous handicape : lettre à signer
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En novembre dernier, le gouvernement du Québec annonçait la suspension temporaire du Programme d’adaptation de domicile (PAD), invoquant un manque de financement. Cette mesure, qui passe inaperçue pour une grande partie de la population, a pourtant des répercussions majeures sur la vie quotidienne de milliers de personnes en situation de handicap et de personnes âgées. En leur permettant d’adapter leur logement à leurs besoins spécifiques, le PAD garantit leur autonomie et leur sécurité, tout en contribuant à leur maintien à domicile. Dans cette lettre adressée aux décideurs politiques, nous soulignons les dangers de cette décision et l’urgence d’un réinvestissement immédiat. Non seulement la suspension du PAD compromet la qualité de vie et la dignité des personnes concernées, mais elle entraîne aussi des coûts sociaux et économiques bien plus élevés à long terme. Il est impératif que les responsables politiques prennent position pour assurer le rétablissement et le financement adéquat de ce programme essentiel. Le CCMM-CSN et Ex aequo vous invitent à signer cette lettre. Vous pouvez aussi la transmettre à vos membres, partenaires et aux personnes de votre entourage afin de les encourager à la signer et à la diffuser.
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Monde social et de l'Éducation
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Le Québec doit être un rempart contre les dérives autoritaires à l’endroit des universités américaines
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Depuis l’intronisation du président Donald Trump aux États-Unis, les attaques contre les universités ont pris une ampleur inédite. En quelques semaines à peine, nous avons assisté à la criminalisation du droit de manifester allant jusqu’à l’arrestation ou à la menace d’expulsion du pays d’étudiants et de professeurs, à l’instauration d’une liste de mots prohibés dans les projets de recherche, aux tentatives de licenciement de milliers de personnes dans les organismes de financement de recherche et à plusieurs autres attaques troublantes sur la science et l’enseignement supérieur. Ces décisions compromettent l’existence même des universités, soutiennent le président de l'Université du Québec et les recteurs de ses composantes dans Le Devoir. Dans ce contexte, le Québec a l’occasion de réaffirmer qu’il est un lieu unique où la libre pensée est soutenue par la loi sur la liberté et l’autonomie universitaire et de miser sur ce trait distinctif. Il nous appartient de rappeler que cet engagement est un rempart contre l’atrophie de la pensée critique. Depuis des siècles, les universités jouent un rôle central dans l’éclairage des grands enjeux de société. Elles ont constamment remis en question les dogmes. Car au-delà de la recherche et de l’enseignement, l’université exerce une fonction fondamentale dans la construction d’une société informée. Toute dérive autoritaire qui met en péril cette mission représente une menace non seulement pour l’enseignement supérieur, mais aussi pour l’ensemble des institutions démocratiques.
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Conflit avec les soeurs de Notre-Dame : L’avenir du collège Villa Maria en péril
L’avenir du collège Villa Maria – 1800 élèves, l’une des cinq écoles secondaires privées les plus importantes à Montréal, une institution dans Notre-Dame-de-Grâce – est en péril, rapporte La Presse. Pourtant, l’école privée installée depuis 1854 sur un grand terrain sur le flanc du mont Royal ne manque pas d’élèves. Le problème ? Le collège, géré par un organisme sans but lucratif depuis 2008, est en conflit avec les sœurs de la Congrégation de Notre-Dame, qui a fondé l’école et qui possède toujours le terrain et le bâtiment (le domaine Villa-Maria), que les sœurs louent à l’établissement. Le bail du collège sur ce magnifique campus arrivera à échéance en 2030, sans clause de renouvellement. Pour une école secondaire privée qui doit assurer cinq années d’études à ses élèves, 2030, c’est demain matin. Ce bail ne sera pas renouvelé. Les sœurs veulent vendre le domaine Villa-Maria sans permettre au collège, en pratique, de faire une offre.
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Étudiants étrangers : Leur avenir au Québec incertain
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Ils sont venus au Québec avec l’espoir d’un avenir meilleur pour leurs enfants. Mais aujourd’hui, avec des règles plus strictes sur les permis d’études, leur avenir est plus incertain que jamais, rapporte La Presse. En 2024, le gouvernement fédéral a imposé un plafond sur les permis d’études, réduisant d’environ 40 % le nombre d’étudiants étrangers admis au pays. L’objectif : limiter la pression sur le marché locatif et les services publics. En 2025, Ottawa prévoit délivrer 437 000 permis d’études, une baisse de 10 % par rapport à 2024. De son côté, Québec a gelé le Programme de l’expérience québécoise (PEQ) pour les diplômés, une voie rapide autrefois privilégiée pour obtenir la résidence permanente. Des quotas ont aussi été instaurés pour chaque établissement d’enseignement à propos des certificats d’acceptation du Québec (CAQ), réduisant encore les possibilités pour les étudiants étrangers. « Il y a des règles qui existaient, mais qui étaient interprétées de façon plus humaine. Aujourd’hui, tout est appliqué de manière stricte. Un étudiant qui a manqué un cours pendant une session ou qui a dû prendre une pause, pour maladie ou manque d’argent, va se voir refuser la prolongation de son permis », explique Me Nadia Barrou, avocate spécialisée en immigration. • Pour la première fois en trois ans, le nombre de travailleurs temporaires diminue au Québec.
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Trump va ordonner le démantèlement du département de l’Éducation
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Des millions destinés à rénover les écoles dorment dans les coffres des CSS
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Malgré l’ampleur des travaux de rénovation à réaliser dans leurs écoles, une vingtaine de centres de services scolaires (CSS) ont accumulé près de 750 millions de dollars non dépensés à ce jour pour le maintien de leurs actifs immobiliers, notamment en raison d’un manque de soumissionnaires à leurs appels d’offres et de main-d’œuvre dans leurs équipes de ressources matérielles, a appris Le Devoir. Selon les informations incluses dans le budget 2024-2025 du gouvernement du Québec, qui seront mises à jour le 25 mars, ce sont 56 % des immeubles du réseau scolaire qui sont considérés comme étant en mauvais état. Qu’il s’agisse de problèmes de ventilation, de chauffage, de plafonds qui coulent ou de planchers à refaire, les rénovations à effectuer dans les écoles du Québec sont multiples. Le montant associé au déficit de maintien des actifs immobiliers dans ce réseau a d’ailleurs augmenté de 10,4 % de 2023 à 2024 pour atteindre 8,47 milliards de dollars au dernier exercice budgétaire. Autres textes liés aux écoles : • Des coupes dans la rénovation d’écoles malgré des surplus accumulés. • Le «cercle vicieux» du gel d’embauches aux ressources matérielles en milieu scolaire. • Les enfants au milieu des délinquants du volant.
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Bonne ou pas, l’école québécoise ?
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Sur la qualité de l’école au Québec, on entend une chose et son contraire. Résultats formidables aux tests internationaux ! Performances désastreuses aux examens du Ministère et taux de diplomation anémiques au cégep ! Qu’en est-il donc ?, s'est questionné La Presse. En mathématiques, en lecture et en sciences, les Québécois, tout comme l’ensemble des Canadiens, font bonne figure dans les grands examens internationaux administrés par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Pourtant, au Québec comme au Canada dans son ensemble, on ne se pète pas les bretelles avec ces résultats, d’autant que d’autres indicateurs font figure de voyants rouges. Au Québec, notamment, les résultats aux examens du Ministère en juin ont été décevants, voire très préoccupants en français. À cela s’ajoute le fait que trois jeunes sur dix ne passeront pas directement du secondaire au cégep et que parmi ceux qui entreprendront des études collégiales, moins de 65 % en sortent avec un diplôme, souvent à grand renfort de cours d’appoint en français. Le gouvernement du Québec, qui en est très conscient, planche sur une réforme des programmes de français, aussi bien au primaire qu’au secondaire.
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Comment vivre à l’abri des GAFAM
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Chrome, Office et WhatsApp ? Google, Microsoft et Meta. Ils sont partout, les géants américains du numérique. Et s’il semble difficile, voire impossible de s’en débarrasser, c’est qu’ils n’aiment pas vous voir partir trop facilement… Pourtant, c’est faisable, peut-on lire dans La Presse. Bien des gens veulent se distancier des GAFAM, dégoûtés par l’attitude des géants américains du numérique depuis le retour au pouvoir de Donald Trump. Par exemple, Alphabet, la maison mère de Google, a changé son fusil d’épaule et s’autorise désormais à explorer la manière dont son intelligence artificielle pourrait être militarisée. C’est tout un revirement pour une entreprise dont le mantra a déjà été de « ne pas faire de mal » ! Évidemment, l’important pour ceux qui tentent l’expérience est d’assurer la propriété de leurs données. Quand on abandonne un service web pour un autre, il y a un risque que les données soient endommagées, détruites ou égarées. On ne saurait rappeler l’importance de faire des copies de sûreté sur disque USB ou amovible de votre carnet d’adresses, votre boîte de courriel, vos albums photos, votre médiathèque, vos fichiers essentiels, etc. Autres textes liés à l'intelligence artificielle et au Web : • IA : Les tests antirobots sont menacés. • Table ronde sur l'utilisation de l’intelligence artificielle en recherche.
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Plus d’un Québécois sur deux s’est privé de consulter et un sur quatre est allé au privé
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Le Collège des médecins du Québec sonne l’alarme : les problèmes d’accès aux soins sont « de plus en plus grands » dans la province. Au cours des 12 derniers mois, plus de la moitié des Québécois ont affirmé avoir vécu une situation où ils se sont privés de consulter un médecin, alors qu’ils ressentaient pourtant le besoin de le faire, selon un sondage obtenu par Le Devoir. Du lot, près de trois personnes sur dix soutiennent avoir essayé de consulter, mais ne pas avoir réussi à obtenir de rendez-vous médical. Ces résultats sont « préoccupants », estime le président du Collège, le Dr Mauril Gaudreault, en entrevue. « On avait posé les mêmes questions en 2022. C’était alors 40 % des Québécois qui disaient avoir eu besoin de consulter un médecin au cours des 12 derniers mois et souhaitaient le faire, mais qui finalement ne l’avaient pas fait. Maintenant, c’est plus de 50 %. Le problème d’accessibilité est donc encore plus important qu’il y a trois ans », constate-t-il. Au cours des 12 derniers mois, plus du quart des Québécois ont dit avoir consulté un médecin au privé pour eux ou pour un membre de leur famille, selon le sondage. « En 2022, c’était plutôt 14 %. Ça a presque doublé en trois ans », relève le président du Collège. Autres textes liés à la santé : • Mobilisation contre l’octroi de permis de cliniques médicales à but lucratif. • La congestion hospitalière expliquée (et chiffrée). • Cri du cœur des milieux de vie pour aînés. • Saint-Eustache : Des urgences submergées à l’année. • Hauts dirigeants : Le mammouth de la santé pèse encore plus lourd. • Santé Québec doit couper des hauts dirigeants, demande Dubé. • Opinion | Défendons le système de santé public à tout prix. • Deux agences d'infirmières sur la liste noire. • Ententes avec les médecins : Les négociations seront « très difficiles », dit Dubé. • L’INRS inaugure un nouveau réseau de recherche consacré aux besoins des régions. • Cancer du cerveau : Québec refuse de couvrir un casque qui peut prolonger la vie. • 102 postes abolis en Outaouais. • Limogeage de Frédéric Abergel : Le courriel qui a mis le feu aux poudres.
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Du plastique dans les champs
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Pour enrichir leurs terres, des agriculteurs ont accepté des feuilles mortes issues de collectes municipales qui se sont révélées contaminées par des sacs de plastique. Ces fermiers se retrouvent maintenant avec des champs à nettoyer, et – comble de malheur – des menaces d’amendes du ministère de l’Environnement. Un dossier d’Ariane Krol et d’Edouard Plante-Fréchette. Si des agriculteurs sont actuellement tenus responsables des résidus de plastique livrés dans leurs champs, c’est à cause de la réglementation. Il faut que ça change, estime le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP). Autres textes liés à l'environnement : • Le scénario catastrophe d’un monde inassurable. • Catastrophes climatiques : Jamais depuis 2008 autant de populations n’ont dû fuir. • Au Québec : Les plus riches polluent 3,4 fois plus que les plus pauvres. • Enfouissement de déchets dangereux : Blainville et la CMM menacent de poursuivre Québec. • Des citoyens manifestent devant Stablex. • Deux fois plus de milieux humides sur le terrain de Stablex que sur celui de Northvolt. • Dans la tourmente, Stablex défend son procédé. • Le Québec premier de classe pour la conservation du territoire. • Protéger 30 % du territoire d’ici 2030 : Le Québec en tête, mais des provinces à la traine. • Les polluants éternels menacent la santé des Inuits. • Une évaluation environnementale est nécessaire pour le projet de Ray-Mont Logistiques. • Comment accélérer le déploiement de l’énergie solaire au Québec? • Les licenciements aux États-Unis auront des effets « catastrophiques » sur les Grands Lacs. • Greenpeace doit verser plus de 930 millions après des manifestations contre un oléoduc. • Abandon de l'action climatique : De la parole aux actes. • La canneberge, une culture en eaux troubles. • Le Vectis Progress, un « cargo à voile » porté par le vent. • Réunion en virtuel ou en présentiel ? • L’actualité verte de la semaine.
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L’itinérance sous toutes les coutures
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Défis de collaboration entre villes et organismes communautaires
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Pratiques policières, contrôle de l’espace public, personnes en situation d’itinérance, îlots de chaleur qui compromettent le droit à la santé et à un environnement sain, transport en commun, construction de logements sociaux, les villes et les municipalités jouent un rôle majeur en matière de droits humains. Dans un contexte politique prétendant à une décentralisation des interventions étatiques en matière de services de santé, sociaux et communautaires, ce rôle est appelé à augmenter. C’est le cas pour les villes et les municipalités, mais également pour les organismes communautaires. L'action communautaire autonome (ACA) est amenée malgré elle à combler les lacunes des services publics. Positionné aux premières lignes du rapport entre l’appareil étatique et la population, le rôle joué par les gouvernements de proximité et les organismes communautaires dans la gestion des crises (sociale, sanitaire, climatique) sera tout autant décuplé. Pour y faire face, la collaboration entre le milieu municipal et communautaire s’impose comme une nécessité dans les années à venir, pour garantir le respect des droits de tou-te-s. Cette relation, bien que prometteuse, présente des défis que nous devons surmonter. Nous nous trouvons à l’intersection de deux milieux aux nombreux points communs, mais où des préjugés tenaces subsistent de part et d’autre.
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Plaidoyer pour une «souveraineté» musicale québécoise
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La crise financière qui secoue le secteur culturel québécois et l’hostilité affichée du président états-unien à l’endroit du Canada ont incité des acteurs de notre industrie musicale à prendre la plume pour revendiquer une « souveraineté culturelle ». Dans deux lettres ouvertes publiées par Le Devoir sont remises en question les subventions accordées aux festivals organisés par Evenko, entreprise québécoise détenue à 49 % par le géant américain Live Nation. Les signataires soulignent également l’influence de Live Nation sur la diffusion de spectacles, par l’entremise des salles qu’elle contrôle et de sa billetterie, Ticketmaster, mise en cause par la justice américaine pour pratiques anticoncurrentielles. Dans une première lettre intitulée « Pour la souveraineté de notre culture » le Regroupement des festivals régionaux artistiques indépendants (REFRAIN), l’Union des artistes (UDA) et le professeur François Colbert, titulaire de la Chaire de gestion des arts Carmelle et Rémi-Marcoux à HEC Montréal, se préoccupent du « contrôle » exercé par Live Nation sur les festivals québécois par l’entremise d’Evenko, propriétaire de Spectra qui produit les Francos de Montréal, le Festival international de jazz de Montréal et Montréal en lumière, et producteur d’Osheaga, Fuego, ÎleSoniq et Lasso. La seconde lettre intitulée « Quelle nation protégera Live Nation ? » est signée par Jon Weisz, directeur général de l’association Les Salles de musique alternatives du Québec (SMAQ) et Vincent Séguin, président de la Guilde des musiciens et musiciennes du Québec (GMMQ). Autres textes liés à la culture : • Evenko et l’Équipe Spectra, des entreprises fièrement québécoises. • De bonnes ventes pour les livres québécois et les romans d’amour en 2024.
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Nicholas St-Jacques : Un nouveau super plaideur
Le 8 mars, Me Nicholas St-Jacques, chargé de cours en Sciences juridiques, a rejoint officiellement les rangs des meilleurs avocats plaidants du Canada et des États-Unis, rapporte Droit-inc, le journal des avocats et juristes du Québec. Lors de la cérémonie officielle qui s’est déroulée à Maui, Hawaï, il a accepté sa nomination en tant que Fellow de l’American College of Trial Lawyers (ACTL). Fondé en 1950, l'ACTL est composé des meilleurs avocats plaidants des États-Unis, du Canada et de Porto Rico. Le titre de fellow du Collège est décerné, sur invitation et après une enquête approfondie, à des avocats expérimentés, experts en plaidoirie et ayant une carrière exemplaire en déontologie, professionnalisme, civilité et collégialité. Membre du Barreau du Québec depuis 2008, Me St-Jacques pratique en droit criminel, pénal et disciplinaire. Il est avocat chez Le Groupe St-Jacques depuis 17 ans.
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Midimus : concert de piano classique avec la classe de Sonia Wheaton-Dudley
Prenez une pause musicale durant votre heure de lunch et laissez-vous transporter lors de ce concert intime des étudiant.es de la classe de piano de la chargée de cours Sonia Wheaton-Dudley et des étudiant.es en percussions qui interpréteront des oeuvres de Beethoven, Green, Liszt et Scriabin le 24 mars à la salle F-3130. Entrée libre avec réservation.
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Utilisation de l’intelligence artificielle en recherche : table ronde avec Nadia Seraiocco
L’utilisation de l’intelligence artificielle s’introduit progressivement dans les diverses étapes de la recherche, que ce soit pour la collecte de données, son analyse, la rédaction de rapports ou la diffusion des résultats. Des exemples concrets permettront d’entrevoir quelques possibilités offertes par ces outils. De plus, une table ronde, réunissant plusieurs experts dont la chargée de cours à l'École des médias Nadia Seraiocco, ouvrira une discussion sur les enjeux éthiques et épistémologiques ainsi qu’une réflexion sur les balises institutionnelles qui pourront éventuellement être mises en place concernant l’utilisation de l’intelligence artificielle. Nadia Seraiocco est également coordonnatrice d’Hexagram. L'événement se déroulera le 26 mars de 12h30 à 14h à la salle Pierre Bourgault (J-1450) Pavillon Judith-Jasmin .
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Catherine Tardif contribue à soutenir le bien-être des personnes étudiantes à l’université
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Le bien-être et la santé mentale des personnes étudiantes sont au cœur des préoccupations de l’enseignement supérieur. Entre la pression des résultats académiques, l’anxiété de performance et les exigences de l’apprentissage autonome, nombreuses sont celles qui voient leur santé mentale mise à rude épreuve. Une récente étude de portée, qui n’est pas encore publiée, menée par notre équipe de l’axe T5 sur les pratiques pédagogiques de l’OSMÉES met en lumière des pratiques d’enseignement, d’évaluation et d’encadrement pouvant soutenir le bienêtre étudiant dans les universités canadiennes. La chargée de cours en pédagogie musicale Catherine Tardif y a contribué et en explique les grandes lignes dans un texte publié sur Affaires universitaires. Les universités d’aujourd’hui accueillent une population étudiante de plus en plus diversifiée. Si cette ouverture permet un accès élargi aux études, elle s’accompagne aussi de nouveaux défis. Pression pour performer, charge de travail élevée et incertitude quant à l’avenir sont autant de facteurs de stress.
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Marianne Di Croce contribue aux Journée d'études allemandes
Marianne Di Croce, chargée de cours au Département de philosophie participe à un panel sur les traces de la Seconde Guerre mondiale dans l’œuvre et la vie de Herta Müller – lauréate du prix Nobel de littérature. Hannah Arendt : quel héritage pour penser la liberté politique aujourd'hui ? dans le cadre des Journée d'études allemandes le 20 mars. Il y a 80 ans, le 8 mai 1945, la Seconde Guerre mondiale prenait fin. Pourtant, son héritage continue de façonner notre monde à bien des égards : mémoire collective, relations internationales, frontières redéfinies… Comment ces événements influencent-ils encore notre présent ?
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Marie-Dina Salvione : Préservons nos clochers
Marie-Dina Salvione, chargée de cours à l'École de design fait partie des signataires d'une lettre publiée par Le Devoir pour préciser qu'à l’occasion du prochain dépôt du budget du Québec, il est souhaitable rappeler les succès des programmes gérés par le CPRQ et souligner qu’un accroissement de l’investissement public sera déterminant pour assurer la préservation de notre précieux patrimoine qui mobilise les communautés. Nos églises façonnent nos villes et nos villages, et structurent notre imaginaire collectif national. Qu’on y pratique encore un culte ou non, ces églises, ces temples et ces synagogues témoignent de notre histoire et de notre identité. Nos églises sont nos châteaux au cœur de nos communautés. Partout au Québec, la mobilisation exemplaire des citoyens, des bénévoles, des experts et des municipalités a permis de revitaliser des églises qui, autrement, auraient été démolies ou laissées à l’abandon.
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Rafael Jacob : L’économie a fait gagner Trump… et pourrait aussi le mener à sa perte
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Christophe Cloutier-Roy : D’un Trudeau à l’autre, les hauts et les bas d’une relation historique
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Quelle ironie ! Ayant décrit au début de son mandat le Canada comme étant le « premier État postnational », Justin Trudeau quitte la scène au moment où on assiste à une poussée viscérale du nationalisme canadien, à laquelle lui-même participe (« Elbows up ! »), explique Christophe Cloutier-Roy, chargé de cours et directeur adjoint de l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand, dans un texte publié par La Presse. D’un océan à l’autre, et même au Québec, les Canadiens se serrent les coudes pour résister aux pressions économiques venues du sud et clamer leur refus de l’annexion. Cela n’est guère surprenant : historiquement, le nationalisme canadien s’appuie sur une volonté de se distinguer des États-Unis et son essor périodique est généralement une réponse aux politiques promues à Washington. D’ailleurs, la dernière fois que le nationalisme canadien a eu autant le vent dans les voiles, c’est un autre Trudeau qui était aux commandes à Ottawa. En effet, l’arrivée au pouvoir de Pierre Trudeau en 1968 correspond à un moment fort du sentiment d’affirmation nationale canadien.
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André Lamoureux commente l'élection de Mark Carney à France 24
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Sport et politique : un lien tissé serré, selon Michel Vigneault
De nombreux événements sportifs ont été ponctués de politique dans les dernières années. On peut penser à la Coupe du monde de football au Qatar, aux Jeux olympiques de Pékin et plus récemment à la Confrontation des 4 nations. Sortir la politique du sport, mission impossible selon l’historien du sport et chargé de cours Michel Vigneault, en entrevue au Quotidien. « Dès qu’on parle de compétitions entre pays, d’un athlète qui représente un pays, il y a de la politique qui rentre en arrière », explique Michel Vigneault. Selon lui, les Jeux olympiques (JO) sont le meilleur exemple d’événements sportifs à saveur politique. « Avant c’étaient les villes qui faisaient les demandes au Comité international olympique (CIO) pour recevoir les Jeux olympiques, aujourd’hui, ce sont les pays. Ça vient ajouter une touche de politique de plus dans le sport. »
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