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Une dernière Assemblée générale pour clore l’année 2020
Notre syndicat demande beaucoup à ses membres militantes et militants depuis plusieurs mois, pour ne pas dire plus d’un an. Dans la dynamique du renouvellement de notre convention collective, qui suit un grand remue-ménage au sein du SPPEUQAM, le Comité exécutif sollicite à nouveau ses membres pour continuer à contribuer à la mise en place d’un projet collectif qui améliorera les conditions de travail des chargées et chargés de cours de l’UQAM. L’exécutif remercie sincèrement les militantes et militants qui contribuent ainsi à notre démocratie syndicale et les espère nombreuses et nombreux à participer à la prochaine assemblée générale du 16 décembre, dès 10 h. Ce remerciement s’adresse particulièrement aux mères, qui supportent une charge très lourde en temps de pandémie, à titre de travailleuses précaires bien sûr, mais aussi, pour ne pas dire encore davantage, à titre de grande responsable des soins aux enfants et de coordonnatrice en cheffe des travaux domestiques. Voir à ce sujet, cette page du Conseil du statut de la femme : femme-famille-pandémie. Mesdames, le Comité exécutif vous salue et vous remercie chaleureusement! Notre Comité de négociation, qui a vraiment travaillé très fort depuis son élection il y a un peu plus de deux mois, invite donc toutes et tous les chargées et chargés de cours à participer au processus de réflexion collective entourant la conception de notre cahier de revendications. Le 16 décembre, nous aborderons alors ensemble ces thèmes de notre future convention : les cours-stages, la représentation des membres aux comités et instances de l’UQAM, les programmes de perfectionnement et l’intégration. L’ordre du jour proposé stipule que l’assemblée se déroulera en deux parties, la seconde étant le dépôt des États financiers par notre trésorier, Claude Roy. Ce dépôt sera, comme toujours, complété par le rapport du Comité de surveillance des finances. C’est un rendez-vous, en visioconférence, le 16 décembre, dès 10 h et c’est surtout un senti MERCI aux militantes et militants du SPPEUQAM qui contribuent à la vigueur de notre organisation. Cette infolettre a été réalisée en collaboration avec Amel Aloui, Olivier Aubry, Cathy Beausoleil, Laurence Castonguay Emery, Violaine Gasse, Ricardo Peñafiel, Jean-Baptiste Plouhinec, Marie-Claude Reney, Claude Roy et Nancy Turgeon. Bonne lecture!
Jean Régnier Vice-président à l’information
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Prendre soin de soi dans le clair-obscur du blues hivernal
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Plusieurs se sentent moches à partir d’octobre, terribles en novembre pour ensuite remonter un peu la côte en décembre avec les préparatifs du temps des fêtes et quelques partys de bureau. Dès que les jours raccourcissent et deviennent principalement gris, on rêve d’aller dans le sud, pour retrouver chaleur et lumière. Contre mauvaise fortune, bon cœur, en attendant de pouvoir aller me réchauffer au soleil, je me suis procuré une lumière de 10 000 lumens pour quelques périodes de luminothérapie chaque jour gris et c’est la recharge assurée! Le manque de lumière à l’automne nous affecte différemment : certains ressentent très peu de changement alors que d’autres sont un peu plus affectés. Dans ces cas, la lampe dédiée quelques minutes le matin et en début d’après-midi suffit, alors que pour d’autres le manque de lumière est beaucoup plus dérangeant. Ces symptômes, qui se manifestent tant durant la saison automnale qu’hivernale, sont mieux connus sous le nom de dépression saisonnière (en anglais seasonal affective disorder ou l’acronyme SAD qui veut dire « triste »). Ce type de dépression peut bénéficier d’un traitement par la lumière, l’exercice et une bonne nutrition… tout ce qu’on a mis de côté depuis la pandémie! Si vous ne vous sentez pas bien, il est préférable de consulter une professionnelle, un professionnel de la santé si les symptômes persistent malgré un mode de vie sain. Et quand la lumière ne suffit plus… Il y a de l’aide. Cette aide peut être dans votre entourage ou dans votre quartier, mais si ce n’est pas à portée de main, sachez que l’UQAM offre de l’aide par l’entremise du Programme d’aide aux employés (PAE).
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Chronique du Comité de négo
Un beau moment de démocratie syndicale Chères et chers membres du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’UQAM, Nous étions réunies et réunis en assemblée générale ce lundi 30 novembre et nous avons eu le plaisir de vous présenter les conclusions de nos travaux. Les échanges ont été particulièrement fructueux et nous vous remercions d’y avoir assisté en grand nombre. Quatre des six propositions initialement prévues vous ont été exposées et ont été adoptées. Nous sommes ravis de disposer de ce premier volet de notre mandat. Ce projet de négociation est d’ores et déjà extrêmement enthousiasmant. Au cours de cette assemblée, nous nous sommes dotés d’une proposition centrale concernant un mécanisme de stabilisation de nos emplois. Cette proposition fait suite à de très nombreux échanges échelonnés sur près de quatre années au cours desquelles un consensus s’est édifié autour d’un mécanisme nous stabilisant toutes et tous. Quelle que soit notre situation d’emploi, quel que soit notre domaine de compétence ou notre ancienneté, ce mécanisme englobe la diversité de nos profils et de nos intérêts.
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Conservez tous vos reçus!
L’année 2020 qui s’achève a bouleversé nos vies d’enseignants de plusieurs manières, dont l’enseignement à distance à partir de notre domicile. Outre les conséquences sur nos étudiants et notre équilibre mental, cet épisode pourrait également avoir pour chacun d’entre nous une incidence fiscale. En effet, l’interdiction d’accès à nos locaux usuels d’enseignement, l’obligation d’enseigner en distanciel ainsi que le travail à partir de nos domiciles respectifs que nous a imposés l’employeur peuvent entraîner la possibilité d’une déduction fiscale relative à l’exercice d’un emploi à domicile. Déjà plusieurs articles ont paru à ce sujet; pour n’en citer qu’un seul, celui de la respectable revue ProtégezVous : https://www.protegez-vous.ca/nouvelles/affaires-et-societe/teletravail-impots-deductible.
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Rappel : Formation virtuelle sur le régime de retraite
Le 10 décembre, les membres du Syndicat qui désirent connaître les modalités du Régime de retraite des chargés de cours de l’Université du Québec (RRCCUQ), sont conviés à une session d’information virtuelle offerte par Marie Bouvier, actuelle présidente du RRCCUQ et ancienne trésorière du SPEUQAM. La présentation d’une heure se fera sur la plateforme ZOOM, de 12 h 45 à 13 h 45. On s’inscrit à cette formation en écrivant à la conseillère mobilisation-intégration, Cathy Beausoleil à beausoleil.cathy@uqam.ca avant midi, le 4 décembre. Un lien Zoom vous sera alors transmis.
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Rappel : réservation pour le Party des fêtes « virtuel »
Votre Comité mobilisation-intégration vous invite à réserver votre place pour le Party des fêtes « virtuel » des chargées et chargés de cours du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’UQAM qui aura lieu le 21 décembre, à 18 h. Joignez-vous à vos consœurs et confrères afin de profiter de ce joyeux moment de divertissement! Plusieurs cadeaux provenant d’entreprises locales vous attendent! On doit confirmer sa présence au plus tard ce vendredi 4 décembre, à midi, à beausoleil.cathy@uqam.ca.
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Le Comité mobilisation-intégration est à la recherche de talents pour former une chorale de Noël pour notre célébration du 21 décembre. Une cheffe ou un chef de chœur est également sous avis de recherche pour diriger l’ensemble! Manifestez-vous auprès de Nathalie Blanchet à blanchet.nathalie@uqam.ca
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Conformément à l’article 16 de la convention collective UQAM-SPPEUQAM, il existe un programme de perfectionnement des personnes chargées de cours en trois chapitres : La Mise à jour des connaissances Il s’agit de l’acquisition de nouvelles connaissances, créditées ou non, dans une perspective d’améliorer la qualité de la formation sous forme de participation à des réunions scientifiques, à des colloques, à des séminaires, à des sessions de formation, à des ateliers. Dépôt à tous les premiers vendredis du mois (à l’exception de juillet et août). Le prochain dépôt est donc le vendredi 4 décembre 2020.
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Chronique des relations de travail
Période de probation Cette chronique s’adresse à vous, chargée ou chargé de cours, si vous avez remarqué, qu’il y a la mention « probation » dans votre dossier Accent (ACCès à l’enseignemENT) Que veut dire « être en probation »? Suite à votre première embauche à l’UQAM, à titre de chargée ou chargé de cours, vous passez par une période de probation, ou d’essai, au terme de laquelle il sera question d’évaluer l’ensemble de votre prestation d’enseignement. Vous intégrez alors le bassin de votre département, ou de votre faculté, et vous cumulez du pointage avec les charges de cours octroyées. Durant cette période, vous ne pouvez obtenir qu’une seule charge de cours par étape d’attribution, pour un maximum de deux charges de cours par trimestre. Combien de temps dure cette période? Au cours du trimestre durant lequel vous dispensez votre 6e charge de cours de 45 h, vous recevrez un courriel du Service du personnel enseignant (SPE) vous informant que c’est la fin de cette période. Le SPE vous invite à présenter votre dossier, qui sera étudié par le département. Compte tenu des limitations lors de l’attribution de cours, les personnes en probation sont souvent à l’emploi de l’UQAM depuis quelques années, car elles peinent à avoir des charges complètes (45 heures pour un cours régulier).
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Une vidéo pour la 20e Journée nationale des chargées et des chargés de cours
Pour souligner la Journée nationale des chargées et des chargés de cours, le 22 novembre dernier, la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) a produit et diffusé une vidéo pour souligner la contribution fondamentale de ce corps enseignant à l’université. Plusieurs collègues du SPPEUQAM et d’autres syndicats de chargées et chargés de cours sont en vedette dans ce document. À voir ici : https://www.facebook.com/FneeqCSN/videos/817909342376590
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Victoire du Syndicat des employé-es de la Librairie Raffin Plaza St-Hubert–CSN
Le jeudi 19 novembre, les membres du Syndicat des employé-es de la Librairie Raffin Plaza St-Hubert–CSN ont accepté, dans une proportion de 100 %, la recommandation faite par le conciliateur, après une grève d’un mois et demi, débutée le 5 octobre. L’Assemblée générale du SPPEUQAM du 10 novembre avait d’ailleurs voté à l’unanimité un don solidaire de 1 000 $ pour soutenir cette grève, comme l’ont fait plusieurs autres syndicats du Conseil central du Montréal métropolitain (CCMM-CSN).
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Ratification d’une entente de principe à McGill
L’Assemblée générale du Syndicat des chargé(e)s de cours et instructeurs(trices) de McGill (MCLIU) a ratifié, le 20 novembre dernier, l’entente de principe signée précédemment par le syndicat avec l’employeur pour leur deuxième convention collective depuis leur syndicalisation, avec la FNEEQ-CSN. Le texte de l’entente n’étant pas encore officialisé, nous ne pouvons en commenter le détail, mais nous pouvons nous réjouir solidairement de cette nouvelle convention qui, après 3 ans de négociations, obtiennent des augmentations salariales (rétroactives), la résolution des griefs en litige, l’amélioration de la liste de pointage et du maintien du lien d’emploi.
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Sous le thème « De la violence, et du harcèlement au travail, en vois-tu? En vis-tu? En fais-tu? Agis pour que ça cesse », la CSN s’implique pour mettre fin à certains comportements malsains en milieu de travail. On peut consulter le site csn.qc.ca/agir pour le constater.
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Monde social et de l'éducation
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La FNEEQ et la lutte pour la reconnaissance des personnes chargées de cours
Au cours du mois de novembre, la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) a dû défendre sur plusieurs tribunes l’importance (sinon l’existence) des personnes chargées de cours. D’abord dans le cadre des Consultations sur l’université québécoise du futur, dont nous parlions dans notre infolettre du 22 octobre. La FNEEQ-CSN, en alliance avec la Table des partenaires universitaires (TPU), ont réussi à dénoncer l’absence des chargées et chargés de cours ainsi que d’autres employé-e-s universitaires de la réflexion sur l’avenir de l’université québécoise, et à y faire reconnaître notre apport fondamental, non seulement en enseignement, mais aussi en recherche et création.
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Catastrophe annoncée en éducation
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Pour un Fonds québécois de revitalisation urbaine
Dieudonné Ella Oyono, économiste et qui est, à ses heures, président du Parti québécois, met en lumière, dans son texte que Le Devoir a récement publié, le danger de la démolition de maisons unifamiliales au profit de nouvelles constructions multilogements, un phénomène qui semble de plus en plus répandu. M. Ella Oyono est chargé de cours au Département de sciences économiques de l’UQAM.
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L'amour, la haine et le cerveau
Le journaliste scientifique et chargé de cours à l’École des médias Michel Rochon propose, dans son deuxième ouvrage, L’amour, la haine et le cerveau, paru aux éditions MultiMondes, une analyse de l’amour et de la haine, émotions au cœur des prises de décisions et du comportement des êtres humains. Pour plus d’infos.
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Alhassane Balde, possède un doctorat en démographie. Ses recherches actuelles portent sur la relation entre immigration, équité et scolarisation. Chargé de cours au Département d’éducation et formation spécialisée de l’UQAM, M. Balde fait partie du Groupe de recherche sur les jumelages interculturels qui s’est mérité une bourse du Fonds de développement académique du réseau.
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