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Bien des choses dans le développement des enfants se jouent avant six ans et le Québec s’est justement doté d’un réseau public de centres de la petite enfance et de services de garde en milieux familial et de travail – un réseau qui fait l’envie de bien des provinces et pays – pour s’assurer que tous nos enfants partent dans la vie avec les mêmes chances. Le gouvernement Couillard est en train de scrapper ce réseau public au profit du privé offrant des services de moins bonne qualité et par le fait même de nuire à l’égalité des chances pour tous les enfants. Je vous invite dimanche à vous joindre au rassemblement, à 10 h, au parc Émilie-Gamelin. Plusieurs jeunes adultes un jour vous en seront reconnaissants.
Il y a quelqu’un atteint de surdité à l’UQAM. Une agente de sécurité s’est présentée dans les locaux du Syndicat mercredi parce que nous y tenions un 5 à 7 syndical après l’assemblée générale, la même tactique dénoncée lors de deux instances l’automne dernier. Je le répète : l’ingérence patronale dans les activités syndicales n’est pas tolérable. Le mépris, ça suffit! Il y a des coups de pied au cul qui se perdent et qui vont finir par se donner.
Richard Bousquet Vice-président à l’information du SCCUQ
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Le point sur les démarches juridiques et la réponse patronale aux demandes du SCCUQ
Lors de l’assemblée générale du SCCUQ du 3 février, Sylvain Couture, du Service juridique de la CSN, est venu expliquer les démarches juridiques du SCCUQ et du SPUQ devant le Tribunal administratif du travail (TAT, anciennement la CRT) concernant la grève du SÉtuE. Il s’agit d’une première fois dans les annales du droit du travail qu’une tierce partie demande à être entendue par le TAT pour qu’il détermine si nous agissons en briseur de grève et si l’UQAM contrevient à nos propres conventions en nous demandant d’effectuer des tâches qui n’y sont pas prévues. Nous serons entendu les 2 et 11 mars. Nous avons, de plus, déposé des griefs pour les tâches non rémunérées effectuées à l’automne et à l’hiver.
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À propos des directives de l’Université concernant les étudiants en situation de handicap
Plusieurs personnes chargées de cours ont reçu de la part du Service de soutien aux étudiants en situation de handicap une demande d’accommodement dans le cadre des évaluations à venir pour le trimestre d’hiver 2016. La Directrice du Centre des services d’accueil et de soutien socio-économique «fait appel à la responsabilisation personnelle et collective de tous les membres de la communauté universitaire». Toutefois, il apparaît au Syndicat que certaines de ces demandes, telles que la demande d’accorder des heures supplémentaires ou la demande d’accès à un local isolé, pourraient avoir pour conséquence d’effectuer des tâches qui incombent aux étudiants employés de l’UQAM (SÉtuE) et d’exiger de la part des personnes chargées de cours des heures supplémentaires effectuées en dehors des heures normales de travail.
Pour toutes les demandes d’accommodement qui impliquent de la part des personnes chargées de cours des heures supplémentaires de surveillance, nous vous encourageons à contacter votre département pour leur signifier que vous ne pourrez pas procéder aux accommodements.
Dans le même temps, certaines demandes d’accommodement peuvent être accordées dans le cadre normal de la prestation d’enseignement et nous vous encourageons à exercer votre bon jugement.
De plus, veuillez contacter le Syndicat pour lui faire part des diverses situations qui changent vos conditions de travail.
breton-le_goff.gaelle@uqam.ca myler.kerwin@uqam.ca drouin.robert@uqam.ca lacombe.marielle@uqam.ca
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Panel : les coopératives de santé, fournir des services autrement au profit des patients
Jean-Pierre Girard, chargé de cours à l’ESG et expert-conseil international en entreprises collectives, participe à un panel sur Les coopératives de santé, fournir des services autrement au profit des patients le 18 février de 12h30 à 13h45 au D-R200 du pavillon Athanase-David de l’UQAM. L’entrée est gratuite, mais les personnes intéressées d’avoir s’inscrire auprès de fmorin@cdr.coop, les places étant limitées. Les autres panellistes sont J.-Benoît Caron de la Fédération des coopératives de services à domicile et de santé du Québec, Damien Contandriopoulos de l’Institut de recherche en santé publique de l’UdeM et le Dr Yves-Laurent Godbout de la Coopérative de solidarité santé de Pointe-du-Lac.
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Recherche sur les situations de harcèlement et de violence à caractère sexuel en milieu universitaire
Une équipe indépendante mène une recherche sur les situations de harcèlement et de violence à caractère sexuel en milieu universitaire. Il n’est pas nécessaire d’avoir vécu personnellement ces situations ou d’en avoir été témoin pour répondre. L’enjeu est la participation d’un grand nombre de personnes dans les six universités québécoises impliquées. Pour participer, il suffit de répondre à un questionnaire en ligne, portant sur votre perception ou vos expériences de harcèlement et des violences sexuelles en contexte universitaire (durée moyenne variant de 15 à 20 minutes). À l’Université du Québec à Montréal, la recherche est pilotée par Sandrine Ricci, chargée de cours et doctorante en sociologie, et Martine Hébert, professeure au Département de sexologie.
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Nicole Milette coordonne l’expo 50 artistes/50 estampes et plus… dans les traces de Dumouchel
L’exposition 50 artistes/50 estampes et plus… dans les traces de Dumouchel occupera les murs de la Maison de la culture Eulalie-Durocher, 1028, chemin du Rivage, Saint-Antoine-sur-Richelieu, les samedis et dimanches, de 13h à 17h, du 31 janvier (vernissage à 14h) au 6 mars. C’est une initiative de quatre artistes membres de l'Atelier Circulaire, soit la chargée de cours Nicole Milette, assistée d’Alejandra Bertorini, Carlos Calado et Michel Lancelot. Un catalogue en couleur contenant les 67 œuvres en pleine page sera disponible. À la veille du 100e anniversaire de naissance d'Albert Dumouchel, cette exposition à laquelle participent 67 artistes démontre combien l’estampe est un art polyvalent, dynamique et actuel.
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À la défense des services de garde : la CSN et la FTQ appellent à la mobilisation ce dimanche
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L’Université demande l’arbitrage : le SÉtuE veut rectifier les faits
Le SÉtuE a répondu à la direction de l’Université qui a demandé jeudi au ministre du Travail de soumettre le différend à un arbitre. D’emblée, nous aimerions rappeler que, contrairement à ce qu’avance la partie patronale, cette dernière n’a daigné nous rencontrer qu’à deux reprises après les fêtes afin de négocier, ne démontrant ainsi aucun empressement à régler le conflit de travail. À l’occasion de ces rencontres, les négociateurs mandatés par la partie patronale arrivent généralement sans mandat, rendant ainsi toute réelle négociation impossible. Seule constante: les négociateurs de l’UQAM s’entêtent à offrir des reculs de plus en plus grands et à montrer un mépris grandissant pour les étudiantes et les étudiants employés.
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Les profs de la FAE rejettent la proposition salariale du gouvernement et restent mobilisés
À la suite des résultats obtenus lors d’assemblées générales, les représentantes et représentants des syndicats affiliés à la FAE ont confirmé vendredi le rejet de la proposition intersectorielle présentée par le Secrétariat du Conseil du trésor, le 21 décembre 2015. Les enseignantes et enseignants ont rejeté massivement la proposition salariale, qui s’appuie sur l’entente de principe conclue entre le Front commun et le gouvernement. Cette proposition a été jugée insuffisante et inéquitable par les enseignantes et enseignants.
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Troisième volet de la réforme du système de santé : la CSN craint une accentuation de la privatisation
Le ministre Barrette a annoncé le troisième volet de sa réforme du système de santé et de services sociaux. L'intention du ministre, cette fois-ci, consiste à revoir de fond en comble le mode de financement actuel du réseau hospitalier, pour un financement par activité (FPA). La CSN redoute que cette nouvelle réforme soit une pièce de plus dans la volonté libérale de privatiser notre système public de santé et de services sociaux. Certes, une révision du mode de financement des hôpitaux actuel s'impose, toutefois le ministre ne peut décider unilatéralement d'un nouveau fonctionnement, il doit accepter d'en débattre. D'autant plus que la CSN craint que le FPA cause plus de dommages qu'il n'en règle.
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Québec lance une réforme du financement du réseau de la santé.
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Panier de services assurés en santé et services sociaux : la CSQ craint une manœuvre pour justifier une plus grande privatisation
La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) questionne sérieusement le bien-fondé de revoir le panier de services assurés en santé et services sociaux, et craint qu'il s'agisse, en période d'austérité, d'une manœuvre pour justifier la réduction du rôle et des responsabilités de l'État qui risquerait de mettre en péril le modèle de santé québécois. La CSQ a fait connaître sa profonde inquiétude sur la démarche dans son mémoire qu'elle vient de déposer dans le cadre des consultations publiques menées par le Commissaire à la santé et au bien-être sur le panier de services assurés en santé et services sociaux au Québec.
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Réplique à Mélanie Joly : où est le réinvestissement promis dans Radio-Canada?
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Entente de principe pour le Regroupement de l'aide juridique CSN
Après dix rencontres de négociation, une entente de principe est survenue mercredi, en fin de journée, entre le comité patronal de négociation de la Commission des services juridiques et le Regroupement de l'aide juridique CSN, qui représente le personnel de soutien de sept syndicats de l'aide juridique dans diverses régions du Québec.
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Achat de RONA par Lowe's : l'inquiétude de voir un fleuron québécois avalé par un géant américain
La Fédération du commerce (FC-CSN) s'inquiète de voir le fleuron québécois RONA passer aux mains de l'entreprise Lowe's. Bien que le géant américain promette de maintenir ouvertes les bannières opérées par Rona, de même que le siège social de Boucherville, lorsqu'il est question d'une transaction d'une telle ampleur, il faut nous assurer que l'acquéreur respecte sa parole.
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Déclaration de la Confédération syndicale internationale sur l'Accord de partenariat transpacifique
Le Partenariat transpacifique (PTP), signé le 4 février, encourage un développement non durable, porte atteinte à la justice sociale, diminue le pouvoir du mouvement syndical et des communautés, et renforce le pouvoir des entreprises. Le PTP est promu par de grandes entreprises et vise à institutionnaliser le pouvoir économique d'un pour cent de la population en le renforçant au moyen d'instruments juridiques. Cet accord a peu à voir avec le réel commerce et la croissance économique et a pour but de réduire l'espace politique, de réduire la réglementation et la législation et de réformer la gouvernance.
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Les syndicats enseignants à travers le monde disent « non » au Partenariat transpacifique
Sous la direction de l’Internationale de l’éducation (IE), les syndicats d’enseignantes et d’enseignants appellent leur gouvernement respectif à exclure l’éducation de l’accord commercial de partenariat transpacifique, couvrant 40 pour cent de l’économie mondiale, à la veille de sa signature officielle. Les organisations membres de l’IE des 12 pays concernés – Australie, Brunei, Canada (dont la FNEEQ au Québec), Chili, États-Unis, Japon, Malaisie, Mexique, Nouvelle-Zélande, Pérou, Singapour, et Vietnam – ont écrit à leur gouvernement pour réclamer le retrait de l’éducation de l’accord.
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Nouvelles coupes aux frais des étudiants étrangers : taxer le savoir, c'est financer l'ignorance!
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L'illégalité du droit de grève étudiant n’est pas établie, juge la Cour d'appel
La légalité ou non du droit de grève étudiant n'a toujours pas été établie, souligne la Cour d'appel du Québec dans un jugement porteur d'espoir pour les carrés rouges. Rendue la semaine dernière, la décision vient casser un jugement de la Cour supérieure qui avait accordé une injonction interlocutoire à quatre étudiants de l'Université de Sherbrooke qui exigeaient un accès à leurs cours, l'hiver dernier. Un passage du jugement souligne que la légalité du droit de grève étudiant «est une question sérieuse, qui mérite d'être débattue sur le fond et qui, pourtant, ne l'a jamais été et n'a jamais donné lieu à un jugement final». Cette reconnaissance d'un flou juridique n'avait jamais été écrite noire sur blanc dans un jugement de la cour.
Lire la suite du texte du Soleil.
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6 à 8 : la conjoncture 2016-2020, l'éducation des adultes dans un contexte de société du savoir
Plus que jamais, la société de la connaissance doit se prolonger dans une société de l’apprentissage qui soit juste, équitable et inclusive et qui renouvelle son engagement en faveur du droit à l’éducation, pour toutes et tous, jeunes et adultes. Sans quoi, le savoir deviendra une condition d’inclusion ou un facteur d’exclusion, selon que l’on y ait accès ou pas. L’ICÉA invite toutes les personnes intéressées par l’éducation des adultes à un 6 à 8 pour échanger sur la conjoncture externe et ses implications sur l’éducation des adultes ainsi que sur le respect du droit à l’éducation pour tous les adultes, le jeudi 25 février, à partir de 18h, au 4321, avenue Papineau, salle Arabesque, à Montréal. Confirmez votre présence auprès de madame Emmanuelle Béguineau – ebeguineau@icea.qc.ca – Tél.: 514 948-2044, poste 231.
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Le droit à l’éducation des adultes, une condition essentielle de la lutte à l’exclusion et à la pauvreté
Pour l'ICÉA, l’éducation des adultes est en mesure de jouer un rôle unique en matière de lutte à la pauvreté et à l’exclusion sociale; rôle qui est d'autant plus important lorsqu’il s’avère nécessaire de doter les individus des connaissances et des compétences leur permettant de répondre aux exigences d’une société du savoir comme la nôtre. L'ICÉA propose dans ce mémoire que la stratégie de lutte à la pauvreté et l’exclusion sociale soit appuyée par des actions en éducation des adultes qui favorisent l’alphabétisation, la formation de base et la qualification. Il est impératif de reconnaître que le droit à l’éducation est une condition essentielle de la lutte à la pauvreté et à l’exclusion sociale.
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Le projet de loi 86 sur la démocratie scolaire : une occasion de renforcer la place de l’éducation des adultes
Le projet de loi 86 modifiant la gouvernance des commissions scolaires est actuellement débattu en commission parlementaire sur invitation. Comme il arrive trop souvent dans les débats en éducation, l’éducation des adultes ne reçoit pas l’attention qu’elle mérite. Représentation incertaine du milieu de l’éducation des adultes au futur «conseil scolaire» et réduction des enjeux à l’adéquation entre la formation et l’emploi illustrent une tendance à ne pas tenir compte de l’éducation des adultes et des enjeux d’apprentissage des adultes dans les décisions en éducation.
Lire la suite.
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Baisse de diplômation universitaire : orientation déficiente
Nous avons le don de nous exciter avec les effets d’une problématique, plutôt que sur les causes qui l’ont fait naître. C’est exactement la pensée que m’a inspirée la nouvelle dramatisée à l’excès sur l’augmentation du décrochage à l’université et la baisse du taux de diplômation. Certains y ont vu une catastrophe nationale alors que nous y découvrons le laxisme dans l’accompagnement des élèves lors de leur parcours d’étude. Depuis le début du millénaire, le Québec a sérieusement restreint les services d’orientation dans ses écoles secondaires et nous en ressentons aujourd’hui les effets à l’université.
Lire la suite du billet de Réjean Parent dans Le Journal de Montréal.
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À qui profite une formation universitaire?
Si vous pensez que, pour trouver une formule équitable de financement du système d'enseignement supérieur, il faut avoir les idées claires sur les bénéfices respectifs d'une formation universitaire pour la société ET pour l'individu, je vous invite à vous rendre au bout de ce billet. C'est un débat larvé, qui ressurgit périodiquement dès qu'il est question d'évaluer les parts du financement public et privé des universités: à qui profite le plus une formation universitaire?
Lire la suite du billet du recteur de l’Université de Montréal, Guy Breton.
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Résidences de McGill : les responsables d'étages en croisade pour obtenir un salaire
Une enquête des autorités québécoises en matière de normes du travail a déterminé que l'Université McGill enfreint la loi en faisant travailler environ 75 employées et employés étudiants à qui elle offre le gite et le couvert, mais aucun salaire, en vertu d'une vieille politique interne de l'établissement. La nouvelle Commission des normes, de l'équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST, autrefois la CSST) a déposé cette semaine à la Cour supérieure une réclamation de 305 000 $ pour salaires impayés.
Lire la suite du texte de La Presse.
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De l'aide pour les mères étudiantes de l'Université d'Ottawa
L'Université d'Ottawa bonifie ses services aux parents-étudiants avec l'aménagement d'une salle d'allaitement. La nouvelle salle accessible par un code à clavier comporte deux chaises, une table à langer, un micro-ondes, un réfrigérateur, un téléphone de sécurité, des couches, des jouets et une poubelle à couches. Plusieurs jeunes mères ont déjà commencé à utiliser la salle ouverte depuis le début janvier.
Lire la suite du texte du Droit.
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Cahier éducation du Devoir : pour que l’éducation devienne une «priorité nationale»
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Les grands projets du CRSNG pour les cinq prochaines années
À l’automne 2014, lors de la nomination de Mario Pinto à la présidence du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG), l’organisme comptait déjà se doter d’un nouveau plan stratégique. M. Pinto s’est tout de suite attaqué au dossier. Il a parcouru le pays et rencontré des universitaires, des étudiants et des administrateurs en vue d’élaborer une nouvelle stratégie pour l’organisme subventionnaire disposant d’un budget de 1,1 milliard de dollars. Le résultat de ce travail a été rendu public en décembre sous la forme d’un rapport, intitulé Plan stratégique 2020 du CRSNG.
Entretien avec le président du CRSNG.
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Rassemblement pour s’opposer au projet de loi 70 le 10 février
Répondant à l’appel d’action régionale de la Coalition objectif dignité, des organismes montréalais, dont la TROVEP de Montréal, vous invitent à un court rassemblement pour s’opposer au projet de loi 70, le 10 février, de 12h15 à 13h15, au métro Beaudry, devant le Centre local d’emploi de Sainte-Marie. Parce que le changement de ministre au ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale ne change pas l’odieux projet de loi 70!
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Aide sociale : un projet de loi discriminatoire fondé sur des préjugés
Dans son mémoire qu’elle a rendu public mardi, la Ligue des droits et libertés (LDL) exige le retrait du projet de loi 70 «visant à permettre une meilleure adéquation entre la formation et l’emploi et à favoriser l’intégration en emploi». La pénalité prévue par la réforme de l’aide sociale pour forcer les premiers demandeurs à chercher ou à demeurer «dans un travail convenable» créera une inégalité de traitement entre prestataires. Cette inégalité est contraire aux droits protégés par les chartes et est contestable devant les tribunaux.
Lire la suite et le texte du Devoir.
Le Collectif pour un Québec sans pauvreté vous invite à agir contre le projet de loi 70 en participant à son action qui consiste à envoyer une carte électronique au ministre ainsi qu’aux membres de la Commission de l’économie et du travail, laquelle est chargée d’étudier le projet de loi 70.
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Le transport en commun comme solution à la relance économique et à la crise environnementale au Québec
Entre 2014 et 2024, le gouvernement québécois prévoit investir 90,3 G$ en infrastructures au Québec, une part importante de ce plan allant au développement du réseau routier du Québec. Parallèlement, le gouvernement tente de mettre en place une nouvelle politique visant une diminution de gaz à effet de serre (GES) de 37,5% d’ici 2030. Considérant que le Québec ne fabrique pas d’automobiles alors qu’il possède une industrie florissante du transport en commun, un soutien au transport en commun plutôt qu’à la voiture semble une option plus porteuse. La présente note socio-économique de l’IRIS détaille les avantages d’une telle stratégie en comparant l’effet sur l’économie et sur l’environnement d’un investissement de 9 G$ sur 10 ans (soit 10% de son plan actuel d’infrastructures) dans le secteur de la construction routière et dans celui du transport en commun.
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Le Québec doit se donner les moyens de créer, renforcer et développer la santé globale des personnes et la santé de la société
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Assujettissement des OSBL à la loi sur le lobbyisme : le Commissaire doit entendre plus d’OSBL et le faire dans un cadre public
Le Commissaire au lobbyisme du Québec (CLQ) a annoncé vendredi qu’il procéderait à 22 auditions pour entendre les préoccupations des organismes sans but lucratif (OSBL) relativement à leur assujettissement à la Loi sur la transparence et l’éthique en matière de lobbyisme. Le caractère privé de la consultation et le petit nombre d’organisations qui y seront entendues inquiètent le milieu des OSBL qui compte 61000 organismes au Québec. Ils sont nombreux à vouloir expliquer pourquoi ils ne sont pas des lobbyistes au sens de la Loi. Le ministre Jean-Marc Fournier a mandaté le CLQ afin de procéder à «une analyse de l’utilité et de la pertinence» d’assimiler les OSBL à des lobbyistes, tel que proposé par le projet de loi 56.
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L’habit neuf du Docteur austérité
Le premier ministre vient tout juste d’opérer un important remaniement de son cabinet. On le sent, Philippe Couillard veut faire peau neuve. Son but: mettre deux ans d’austérité derrière lui et se concentrer sur la prospérité. Nous serions donc à la fin d’une période de turbulences. L’avenir serait rempli de promesses qui n’attendaient que l’équilibre budgétaire pour se réaliser. Cette vision pour le moins idyllique, toute charmante qu’elle soit, n’arrivera malheureusement pas à masquer la froide réalité. Le Québec n’est pas économiquement plus fort aujourd’hui qu’il y a deux ans.
Lire la suite du billet de blogue de l’IRIS.
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Le Sommet des femmes causera pouvoir, politique, économie et société en laissant s’exprimer les voix féministes plurielles
À un mois à peine du Sommet des femmes — qui se tiendra les 3 et 4 mars prochain au Palais des congrès de Montréal —, les organisatrices du collectif apolitique pour l’égalité plaident pour un droit à la diversité des discours féministes et espèrent que l’événement auquel elles travaillent depuis plusieurs mois sera l’occasion pour ces différentes voix de se faire entendre.
Lire la suite du texte du Devoir.
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Confondre innovation et éducation
Robert Gagné et son équipe du Centre sur la productivité et la prospérité y sont allés le 26 janvier de leur 7e bilan sur la productivité au Québec. Comme chaque année, le même verdict fatal tombe: le Québec n’est pas assez productif. M. Gagné propose des solutions pour rattraper ce «retard» de productivité. Il faudrait donc, à la base, le croire sur parole quand il affirme que nous trainons de la patte. Or, voici le portrait: notre productivité économique a bel et bien progressé. Depuis 30 ans, on parle d’une augmentation de plus de 30%. Le problème, que ne soulève pas M. Gagné, c’est que ces gains ne se sont pas traduits en augmentation salariale pour le commun des mortels. Le mythe qu’il faille travailler plus pour gagner plus ne fonctionne tout simplement pas.
Lire la suite du billet de blogue de l’IRIS.
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Demandez à Campbell's d’étiqueter les OGM au Canada aussi
Le 7 janvier dernier la multinationale de l’alimentation Campbell’s, aussi propriétaire des marques Chunky, Gastronomie du jour, PepperidgeFarm, Goldfish, V8, Prego et Habitant, a annoncé son intention d’afficher volontairement la présence d’organismes génétiquement modifiés (OGM) sur tous ses produits vendus aux États-Unis, mais… pas au Canada! La compagnie a aussi annoncé son support à la promulgation d’une législation fédérale établissant les normes d’étiquetage obligatoire pour les produits alimentaires dérivés des OGM et ne fera désormais plus partie des opposants à l’étiquetage obligatoire. Vous êtes invité à communiquer avec Campbell’s Canada pour qu’il n’y ait pas deux étiquettes différentes.
Lire la suite.
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Sans-abri autochtones : la pointe d’un iceberg de mal-être
À Montréal, 10% des sans-abri sont autochtones (Inuits ou Premières Nations), mais les autochtones représentent 0,5% de la population. Pourquoi sont-ils surreprésentés ? C’est la pointe d’un iceberg, en fait. Et l’iceberg a plusieurs pointes: l’itinérance, le décrochage scolaire, le taux de suicide, les femmes disparues, les morts suspectes d’enfants… On essaie de traiter chaque pointe de façon différente, mais elles sont toutes reliées ensemble sous l’eau et c’est le même criss d’iceberg en dessous.
Lire la suite de l’entrevue avec le D Stanley Vollant dans La Presse+.
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S’attaquer au programme AccèsLogis est indigne d’un gouvernement élu pour gouverner de façon responsable
Tel qu’on le stipule dans le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (PIDESC) de l’ONU, auquel le Québec a adhéré en 1976, le logement est un droit fondamental qui doit être reconnu à tous, quel que soit le revenu, le statut social, l’origine ethnique, le sexe ou la santé physique et mentale. Pourtant, aujourd’hui encore au Québec, un grand nombre de personnes voient leur droit au logement menacé. Selon l’enquête nationale sur les ménages de 2011, près de 108 000 ménages québécois consacraient plus de 80% de leur revenu au paiement de leur loyer.
Lire la suite du texte de François Roy, coordonnateur de Logemen’occupe.
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France : l'inégalité devant le logement
La Fondation Abbé Pierre vient de publier son 21e rapport sur l’état du mal-logement en France. Elle dresse un état des lieux sur la situation du logement en France. Malgré la reconnaissance du «droit au logement», le mal-logement et l’inégalité d’accès perdurent. Aujourd’hui, 141 000 personnes sans domicile, 3,8 millions de personnes souffrent de mal-logement et 12 millions de personnes sont touchées à divers degrés par la crise du logement.
Lire la suite du texte de Libération.
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