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Nos collègues du Syndicat des chargés de cours de l’Université du Québec à Trois-Rivières viennent de renouveler leur convention collective. Ils ont fait des gains normatifs importants par rapport aux exigences de qualification ainsi qu’une bonification du programme de perfectionnement. De plus l’employeur a manifesté un souci d’équité avec les autres groupes d’employés. Ça ressemble drôlement à nos demandes, mais dans notre cas nous devrons être nombreux sur les piquets de grève mardi pour faire de tels gains.
Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ
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On vous attend en grand nombre le 7 février à la porte du pavillon SB ou devant les locaux du Syndicat sur la rue Saint-Denis
Les chargées et chargés de cours de l’UQAM seront en grève le mardi 7 février. Pour toucher la prestation de grève à laquelle elles ou ils ont droit, les membres du Syndicat doivent participer à un des trois blocs de piquetage soit de 8h30 à 12h30, de 12h30 à 16h30 ou de 14h30 à 18h30. Nous demandons aux personnes chargées de cours de se présenter au moins 15 minutes à l’avance à la porte du pavillon SB (pour le secteur des sciences) ou devant les locaux du Syndicat sur la rue Saint-Denis, entre la rue Sainte-Catherine et le boulevard René-Lévesque (pour le secteur centre-ville) pour récupérer du matériel de visibilité et déterminer la porte devant laquelle elles feront du piquetage. Des membres de l’équipe syndicale vous y attendront à compter de 8h.
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Consignes pour la grève du 7 février
Chères membres, chers membres,
Vous avez appris, dans la dernière édition de l’infolettre (26 janvier), que le Syndicat tiendra une journée de grève le 7 février, découlant du mandat de grève obtenu lors de l’assemblée générale spéciale du 25 novembre 2016.
En conséquence, les cours donnés par les chargées, chargés de cours qui enseignent le mardi 7 février prochain (matinée, après-midi ou soirée) n’auront pas lieu et donc la paie sera ajustée en conséquence.
Toutefois, toutes les personnes chargées de cours (celles qui enseignent ce jour-là, celles qui enseignent à d’autres moments durant la semaine et aussi celles qui n’enseignent pas au trimestre d’hiver 2017) recevront une prestation de grève si elles se conforment aux conditions suivantes :
- participer aux actions qui se dérouleront lors de cette journée de grève (présences aux piquets de grève, marches déambulatoires, rassemblements, etc.).
- s’enregistrer sur une fiche attestant de leur présence durant cette journée du 7 février (cette signature est requise pour se voir attribuer le montant prévu en vertu des règles de notre Fonds de défense professionnelle adoptées en assemblée générale le 25 novembre 2016, soit une prestation de 200$ par jour de grève pour les personnes qui auraient enseigné ce jour-là et une prestation de 100$ pour toutes les autres personnes chargées de cours inscrites sur les listes de pointage).
Le Syndicat a signalé à la partie patronale au cours des dernières semaines, et ce à plusieurs reprises, sa volonté de poursuivre rapidement les négociations. Le Syndicat n’a pas obtenu de réponse favorable. Dans ces circonstances, le recours à la grève nous apparaît incontournable (état des négociations et aperçu de nos demandes).
L’équipe syndicale invite fortement les membres, d’ici le 7 février prochain, à prendre connaissance des informations en provenance du Syndicat (site Internet, infolettre, affiches, etc.), car advenant qu’il y ait des développements en conciliation, la journée de grève pourrait être suspendue. De plus, l’information plus détaillée concernant l’organisation des piquets de grève vous sera communiquée sous peu.
La participation de toutes et de tous est essentielle si nous voulons obtenir une entente.
Manifestons en grand nombre notre exaspération!
L’équipe syndicale du SCCUQ
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Les chargées et chargés de cours n’ont d’autres choix que d’appliquer leur mandat de grève, car rien ne bouge depuis trop longtemps!
• 17 juin 2015 : début de la négociation.
• 26 septembre 2016 : après 25 séances de négociation, la partie patronale dépose une offre globale qui sera rejetée à l’unanimité par les membres lors de l’assemblée générale du
28 septembre.
• 15 novembre 2016 : après 30 séances de négociation, la partie patronale dépose une offre finale.
• 25 novembre : les chargées et chargés de cours de l’UQAM refusent à 96,5 % l’offre finale de l’employeur et 86 % des membres présents à l’assemblée générale votent en faveur d’une banque de cinq jours de grève à utiliser au moment jugé opportun.
• 28 novembre : nouvelle séance de négociation et l’UQAM refuse de négocier. Afin de dénouer la situation,
le Syndicat demande la conciliation.
• 19 décembre : une conciliatrice est nommée par le ministère du Travail, Emploi et Solidarité sociale. Une première rencontre a lieu le 9 janvier 2017. Il ne s’est rien passé.
L’heure est à la solidarité
Les chargées et chargés de cours veulent un traitement plus équitable
• L’employeur refuse nos demandes sur les exigences de qualification (EQE). Les professeurs pourront toujours enseigner sans répondre aux mêmes exigences que les personnes chargées de cours.
• Même si les personnes chargées de cours de l’UQAM sont parmi les moins bien payées des universités francophones au Québec, l’offre finale se limite aux paramètres salariaux gouvernementaux, soit 6,75 % sur cinq ans.
• Les professeurs et les employés de soutien ont obtenu 2 % de plus que les paramètres gouvernementaux. Il n’y a pas d’équité intergroupe pour les personnes chargées de cours, ni de rattrapage par rapport aux collègues des autres universités.
Les chargées et chargés de cours veulent se sortir de la précarité
• La négociation n’a pas permis de faire des avancées notables sur la stabilisation de l’emploi des chargées et chargés de cours ni sur la clause réserve permettant aux étudiants à la maîtrise ou au doctorat d’enseigner. L’UQAM préfère nous maintenir sur des sièges éjectables.
• Le budget permettant aux chargés de cours de s’intégrer aux missions de l’UQAM est gelé depuis presque 10 ans. L’UQAM offre de faire passer le budget d’intégration de 500 000 $ à 600 000 $ sur 3 années alors que les demandes de projets servant au développement académique sont de
1,5 million de dollars par année.
• Tout en offrant peu, l’employeur veut faire passer la durée de la convention collective de 3 à 5 ans.
Les chargées et chargés de cours veulent être respectés
Vous avez des questions, n’hésitez pas à contacter un membre de l’équipe syndicale par téléphone au 514 987-3495 ou par courriel à sccuq@uqam.ca
Vous pouvez aussi consulter le site web du syndicat et cliquer sur le bandeau Nouvelles des négociations.
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Plusieurs projets d’intégration refusés en raison d’un manque de fonds
Le Comité de liaison institutionnel a reçu des projets d’intégration totalisant 160 000$ dans le cadre du dépôt ponctuel de janvier. Comme il ne restait que 95 000$ dans le budget, plusieurs projets ont dû être amputés ou refusés par manque de fonds. La liste des projets acceptés ou refusés suivra.
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André Lamoureux commente la course à la chefferie du Parti conservateur
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Yann Breault confirme que l'Église orthodoxe russe a été un acteur important dans la dépénalisation de la violence domestique en Russie
Au lendemain d'un vote massif en faveur de la dépénalisation de la violence domestique à la Douma, le spécialiste de la Russie Yann Breault confirme que l'Église orthodoxe russe a été un acteur important dans la promotion de ce projet de loi controversé. Les liens entre la Russie et l'Église orthodoxe sont si étroits qu'on peut parler de symbiose, affirme-t-il au micro de Michel C. Auger. Et cette relation est un élément-clé dans la construction identitaire d'une Russie patriotique et conservatrice que le président Vladimir Poutine met de l'avant.
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Il est difficile de préserver les langues autochtones au Canada, selon Philippe Charland
Le cri, l'anichinabé, l'ojibwé, le mohawk, l'innu, l'abénaquis : il s'agit d'autant de langues en voie de disparition, au grand dam de leurs locuteurs, les Premières Nations du Canada. Au pays, 60 langues autochtones sont recensées, et elles sont toutes menacées, sauf l'inuktitut, selon Patrimoine canadien et l'UNESCO. Philippe Charland, chargé de cours en Histoire et enseignant de la langue abénaquise à l'organisme Montréal autochtone, souligne à quel point il peut être difficile d’enseigner une langue pour laquelle il existe très peu de traces écrites. «Ce n’est pas facile de se renseigner. Il faut puiser dans des ouvrages anciens. […] Les Jésuites ont fait différents dictionnaires en abénaquis, mais la langue a évoluée depuis», explique M. Charland à Catherine Logan de Radio-Canada.
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«Il faut respecter le rapport du BAPE», indique Jean-François Lefebvre
Les autorités gouvernementales ont rejeté cette semaine du revers de la main les conclusions du rapport du Bureau des audiences publiques sur l’environnement (BAPE) sur le projet de Réseau électrique métropolitain (REM). Celles-ci s’avèrent très pertinentes, croit le chargé de cours en urbanisme Jean-François Lefebvre. «Il faut respecter le rapport du BAPE, indique celui qui a analysé de près les détails du projet de REM, lors d’une entrevue à Métro. Si ça dit que le projet ne peut pas être accepté dans l’état qu’il est, c’est que la Caisse [de dépôt et placement du Québec] a fait un travail bâclé basé sur des mauvais préceptes d’urbanisme.»
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Élisabeth Vallet répertorie de plus en plus de murs dans le monde et recommande la trilogie March pour comprendre ce qui se passe aux États-Unis
La volonté de stopper l'immigration illégale conduit à l'édification de murs de plus en plus nombreux à travers le monde, à l'instar de celui que veut construire le président américain Donald Trump entre les États-Unis et le Mexique. Au moment de la chute du mur de Berlin, il y a un quart de siècle,on comptait 16 murs défendant des frontières. En 2016, la chargée de cours Élisabeth Vallet, de l'Université du Québec à Montréal, en répertoriait 66, construits pour dissuader les migrants, mais aussi pour des raisons sécuritaires, a-t-elle expliqué à TVANouvelles.
«C'est vraiment une trilogie à lire pour comprendre ce qui se passe aux États-Unis.» Élisabeth Vallet, directrice scientifique à l'Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand, a dévoré pour l’émission radiophonique Plus on est de fous, plus on lit! les trois tomes de la bande dessinée March, écrite par John Lewis, personnage phare, avec Martin Luther King, du mouvement des droits civiques aux États-Unis. Les trois BD retracent son parcours, de sa jeunesse en Alabama jusqu'à la première élection de Barack Obama, à laquelle il a assisté.
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Décret contre l’immigration musulmane : une pente glissante et dangereuse selon Donald Cuccioletta
Dans sa chronique politique américaine, à l’antenne de Radio-Canada Bas Saint-Laurent, le chargé de cours Donald Cuccioletta commente le décret contre l’immigration musulmane du président Trump et fait le rapprochement avec l’attentat contre la mosquée musulmane à Québec.
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Neuf chargées et chargés de cours parrainent neuf artistes émergents à l’Écomusée du fier monde
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Neuf artistes, chargées et chargés de cours de l’École des arts visuels et médiatiques, parrainent neuf artistes émergents, étudiants de l’UQAM. Par leurs créations pluridisciplinaires, ils vous proposent une vision artistique du mandat de l’Écomusée du fier monde, musée d’histoire et musée citoyen. L’exposition Prendre lieux est à l’affiche du 16 au 26 février 2017, à l’Écomusée du fier monde, 2050, rue Amherst. Chacune des neuf dyades d’artistes, composée d’un chargé de cours et d’un étudiant, s’est vue confier un espace leur permettant de Prendre lieux, comme nous dirions prendre place ou embrasser l’espace de l’Écomusée. Les neuf chargées et chargés de cours sont Dominique Sarrazin, Josée Pellerin, Jean Marois, Suzan Vachon, Patricia Gauvin, Marie-France Giraudon, Katherine Rochon, Anne C. Thibault et Denis Farley. Les heures d’ouverture sont le mercredi de 11h à 20h, les jeudi et vendredi de 9h30 à 16h et les samedi et dimanche de 10h30 à 17h.
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Attentat terroriste à Québec : la CSN invite ses membres et la population à se serrer les coudes
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Réforme de la gouvernance : les syndicats de l’Université de Montréal dénoncent le coup d’état de l’administration
L’administration de l’Université de Montréal (UdeM) a soumis à l’Assemblée universitaire un projet de refonte de la Charte de l’UdeM. Syndicats et associations étudiantes dénoncent unanimement cette initiative unilatérale de refonte qui vise à centraliser les pouvoirs aux mains de l’administration au détriment de la communauté universitaire et qui contribue à la privatisation massive de l’UdeM. Le processus de réforme mené par l’administration se déroule en faisant fi de la Charte actuellement en vigueur et des institutions démocratiques de l’UdeM. En outre, dans les deux dernières semaines, la direction a mené des consultations en catimini. L’administration a sciemment contourné les règles de collégialité, plaçant l’Assemblée universitaire et la communauté de l’Université de Montréal devant le fait accompli. La communauté est estomaquée et indignée devant ce coup de force sans précédent.
Lire la suite.
Lire la lettre d’opinion de pierre Trudel, professeur à la Faculté de droit.
Billet de l’IRIS : Main basse sur l’Université de Montréal.
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Les personnes chargées de cours de l’UQTR signent pour cinq ans
Les représentants du Syndicat des chargés de cours et de l’Université du Québec à Trois-Rivières ont signé une nouvelle convention collective le 18 janvier. Les quelque 900 chargés de cours étaient sans contrat de travail depuis mai 2015. En assemblée générale, le 10 septembre 2016, 83% des membres avaient voté en faveur de l’entente. Cette convention collective, valide pour cinq ans, comprend des gains normatifs importants pour les syndiqués. Des modifications ont été apportées à la répartition des cours, aux exigences de qualification ainsi qu’une bonification du programme de perfectionnement avec l’ajout, entre autres, d’un volet ressourcement qui met en valeur la participation des membres au rayonnement de l’université. «Le résultat obtenu dans cette négociation est très satisfaisant. Dans un contexte financier difficile, nous avons pu améliorer la situation de nos chargés de cours. Nous apprécions également le souci d’équité avec les autres groupes d’employés manifesté par l’université», de déclarer Carole Neill, présidente du Syndicat des chargés de cours de l’UQTR (SCFP 2661).
Plus de détails.
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Grève imminente des employés de soutien à l'Université Laval
Le syndicat des employés de soutien de l'Université Laval demande à ses 1900 membres de se préparer à déclencher une grève générale illimitée. Elle pourrait débuter dans les prochains jours, dès que la période de deuil à la suite de l'attentat au Centre culturel islamique de Québec sera terminée. Le syndicat a fait parvenir mercredi matin une note à tous ses membres pour les aviser que la haute direction de l'Université Laval refusait de discuter et que devant l'impasse, la grève devra être déclenchée.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Les professeurs de l'Université de Sherbrooke adoptent un mandat de grève
Les professeurs de l'Université de Sherbrooke (UdeS) ont accordé un mandat de grève à leur syndicat, le 26 janvier. Sur 206 personnes réunies en assemblée générale, 163 ont voté pour la grève en appui à leur comité de négociations. La décision devra toutefois être ratifiée par référendum en début de semaine prochaine. Des années de compressions sont venues à bout de la patience des professeurs de l'Université de Sherbrooke qui dénoncent une «une tâche de plus en plus imposante et des salaires qui stagnent», explique la présidente du Syndicat des professeurs et des professeures de l'Université de Sherbrooke (SPPUS), Dominique Lorrain.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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L'Université Laval s'entend jusqu'en 2020 avec ses professeurs
L'Université Laval s'est entendue avec ses professeurs jusqu'en 2020. Le Syndicat des professeurs et professeures de l'Université Laval (SPUL), qui était sans contrat de travail depuis mai 2016, s'est dit satisfait de l'entente. «Dans le contexte actuel, on a réussi à maintenir un plancher d'emploi», souligne John G. Kingma, vice-président du SPUL. M. Kingma explique également que les professeurs ont fait des gains en matière de conciliation travail-famille.
Lire la suite du texte du Soleil.
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Le personnel de soutien à l’éducation, vital pour la réussite des étudiantes et des étudiants
Avec Claude Carroué de l’Internationale de l’éducation, Daniel Lafrenière de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) se penche sur la condition du personnel de soutien à l’éducation et son importance dans le parcours éducatif des étudiants. Dans la dernière émission diffusée par EdVoices, la série de podcasts réalisés par l’Internationale de l’éducation (IE), le secrétaire-trésorier de la CSQ insiste sur le fait que le personnel de soutien à l’éducation doit être reconnu «comme des acteurs de choix dans la réussite éducation au sein d’une éducation de qualité», car «ces personnes viennent directement en appui au personnel enseignant dans les écoles et dans les établissements d’enseignement supérieur.»
Lire la suite.
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100 organisations signent une déclaration commune : toutes et tous unis pour mettre fin aux paradis fiscaux
Les milieux de la santé, de l’éducation, de l’environnement, de la recherche, des affaires, de la coopération internationale, des arts et de la culture, de la lutte à la pauvreté, de la jeunesse, de la défense des droits de la personne et des organisations syndicales, dont la CSN, s’unissent pour demander à nos gouvernements de mettre fin à l’ère des paradis fiscaux. L’impôt est un pilier essentiel de notre société démocratique, mais nous devons changer les règles de ce système fiscal afin de nous assurer que tous paient leur juste part. Pour y arriver, une forte mobilisation de la société civile est nécessaire. Il y a quelques jours, Oxfam annonçait que 8 hommes possèdent autant que la moitié de la population mondiale. Alors que les inégalités économiques n’ont jamais été aussi grandes, un réseau international de paradis fiscaux permet aux multinationales et aux détenteurs de grandes fortunes de contourner l’impôt et prive ainsi les Trésors publics du financement qui leur est dû.
Lire la suite.
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Santé et services sociaux : un réseau sous pression
Victime d’un sous-financement récurrent, le réseau de la santé et des services sociaux peine à se sortir du bourbier dans lequel l’a davantage plongé le gouvernement Couillard avec ses mesures d’austérité, depuis son élection en 2014. Portrait d’un réseau en quête d’oxygène.
Lire le dossier de Perspectives CSN.
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Centralisation des laboratoires médicaux vers Laval : Optilab, une perte nette pour la population de Lanaudière
En plus des nombreuses inquiétudes qu’il soulève quant à sa fiabilité et à la sécurité dans son implantation, le projet Optilab visant à centraliser plusieurs activités des laboratoires médicaux de Lanaudière et des Laurentides vers Laval entraînera la perte d’au moins 73 emplois qualifiés dans Lanaudière, soit 39 emplois directs à l’Hôpital Pierre-Le-Gardeur et 34 au Centre hospitalier régional de Lanaudière. Pour la Confédération des syndicats nationaux (CSN), les trop nombreuses zones d’ombre de ce projet ainsi que ses effets néfastes sur la région devraient inciter les décideurs à plus de prudence.
Lire la suite.
Un projet indécent qui menace l’économie régionale selon la CSQ.
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Négociation de la fonction publique : le SPGQ relance ses moyens de pression
Le Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) relance ses moyens de pression. Sans convention collective depuis 667 jours, l’unité fonction publique du SPGQ tiendra une grève de soir et de fin de semaine au cours des prochaines semaines. Devant le blocage à la table de négociation, le plus grand syndicat de personnel professionnel du Québec annonce que ses membres seront en grève de 17h à 8h ainsi que les fins de semaine. Les représentants du SPGQ ont décidé d’accentuer leur moyen de pression lors d’un conseil syndical tenu à Québec les 26 et 27 janvier dernier. Le SPGQ espère ainsi faire avancer la négociation et parvenir à un règlement avec le gouvernement.
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Semaine nationale de prévention du suicide : une invitation à sensibiliser nos proches
Ayant pour thème «Le suicide n’est pas une option», la 27e semaine nationale de prévention du suicide a lieu jusqu’au 4 février. La CSN vous invite à vous engager activement dans votre milieu en sensibilisant vos proches et vos collègues. Chaque jour, trois personnes s’enlèvent la vie au Québec. Ce ne sont pas seulement des familles, des amis ou des collègues de travail qui en souffrent, c’est toute une communauté qui est affectée par ces décès. Malheureusement, nous vivons encore trop souvent ce drame dans la solitude et le silence. La Semaine nationale de prévention du suicide est l’occasion d’en parler en diffusant les ressources d’aide et en travaillant ensemble pour faire en sorte que le suicide ne soit plus une solution pour mettre fin à ses souffrances.
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La FNC salue la publication d’une étude visant à soutenir les médias
La Fédération nationale des communications–CSN salue la publication d’une étude du Forum des politiques publiques (FPP) portant sur les médias. Intitulé Le miroir éclaté : Nouvelles, démocratie et confiance dans l’ère numérique, le document diffusé hier pose un regard lucide sur la crise qui traverse actuellement l’univers des médias. Il contient une douzaine de recommandations pour soutenir les entreprises médiatiques et le journalisme.
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La FTQ et la CSQ déplore l’abandon par Trudeau de la réforme du mode de scrutin
La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) est profondément déçue de la décision du premier ministre Justin Trudeau de renoncer à réformer le mode de scrutin fédéral. «La réforme du mode de scrutin était pourtant l’une des promesses les plus importantes lors du dernier scrutin fédéral. Le bris de cet engagement ne fera qu’attiser davantage le cynisme de la population à l’endroit de la classe politique et du premier ministre tout particulièrement», déclare le président de la FTQ, Daniel Boyer. La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) dénonce également la décision du premier ministre de mettre de côté son engagement de réformer le mode de scrutin. «Nous sommes extrêmement déçus de voir Justin Trudeau renier sa propre parole et renoncer à l'engagement qu'il avait pris en toute bonne foi envers la population canadienne», explique Mario Beauchemin, vice-président de la CSQ.
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De nouvelles ententes dans deux hôtels, une ville et à la Ronde, mais retour des pratiques douteuses à Mascouche
Le Syndicat des travailleuses et des travailleurs du Comfort Inn Pointe-Claire–CSN (STTCIPC) et le Syndicat des travailleuses et des travailleurs du Comfort Inn Dorval–CSN (STTCID) ont tous deux entériné le 25 janvier l’entente de principe conclue le 16 janvier dernier avec leur employeur. Celles-ci ont été adoptées à 100% par les deux syndicats, par voie de deux scrutins secrets distincts. «Les travailleuses et les travailleurs de ces deux établissements ont atteint la plateforme de notre négociation coordonnée. Ils ont obtenu des clauses d’abolition de postes et d’indemnités de départ, tout en bonifiant leurs indemnités de vacances. Leurs augmentations salariales seront de 3 % pour les trois premières années et de 4 % pour la dernière année de leurs nouveaux contrats de travail», de souligner Michel Valiquette, trésorier de la Fédération du commerce–CSN et responsable politique de la négociation coordonnée de l’hôtellerie.
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Entente sur le régime de retraite des cols blancs de Côte-Saint-Luc.
Nouvelle convention collective à La Ronde.
Entente chez Charl-Pol à La Baie.
Le SCFP dénonce le retour aux pratiques douteuses à la Ville de Mascouche.
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Des ententes pour les travailleuses et travailleurs de Tembec et de WestCan
Réunis en assemblée générale, les travailleuses et les travailleurs, de la compagnie Tembec industries inc., usine de Béarn, se sont prononcés à soixante-treize pour cent (73%) en faveur des termes de leur nouvelle convention collective. D’une durée de quatre ans, le contrat de travail de ces 125 syndiqué-es, membres d’un syndicat affilié à la Fédération de l’industrie manufacturière de la CSN, prévoit des augmentations de salaire de 2% par année qui totalisent 8%. De plus, la contribution de l’employeur au régime d’épargne retraite est majorée, passant de 3,5% à 5%.
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Les Machinistes concluent une nouvelle entente avec WestCan Industries.
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Mouvement mondial pour l'éradication de la violence et du harcèlement à l’école
À l’occasion du Colloque international sur les violences et le harcèlement à l’école, les syndicats de l’éducation ont grandement contribué aux discussions sur le rôle et les capacités des enseignantes et enseignants pour endiguer ce fléau. Le harcèlement, le cyber-harcèlement et la violence à l’école ont résidé au cœur des débats du Colloque international sur les violences et le harcèlement à l’école: des données à l’action, organisé par l’UNESCO du 17 au 19 janvier à Séoul, en Corée du Sud.
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Une vaste coalition réclame une commission parlementaire sur le REM
La Coalition climat Montréal et Trainsparence, qui regroupe des organismes environnementaux et syndicaux (dont le SCFP), ont uni leurs voix afin de réclamer la tenue d’une commission parlementaire portant sur le projet de Réseau électrique métropolitain (REM) proposé par la Caisse de dépôt et placement du Québec (CQDP-Infra). L’opposition au projet ne cesse de prendre de l’ampleur, questionnant tant la gouvernance, la viabilité financière du projet que le choix de la Caisse de tout miser sur le skytrain, une technologie très polluante et extrêmement coûteuse.
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Burkina Faso : un an après les attentats, les mouvements sociaux sont toujours mobilisés
Loin de s’être affaiblis à la suite du coup d’État de 2015 ou à l’attentat du 12 janvier 2016, les groupes de la société civile au Burkina Faso demeurent organisés, forts et mobilisés pour favoriser une amélioration des conditions de vie de la population et faire face à la «vie chère» ensemble. Nous les avons rencontrés en décembre 2016 pour faire le point sur l’action du CISO, dont est membre la CSN.
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L’Internationale de l’éducation condamne le décret anti-immigration américain
Les politiques de la nouvelle administration américaine ont rapidement suscité une virulente opposition, tant aux États-Unis que partout ailleurs dans le monde. L’Internationale de l’éducation et ses affiliés soutiennent leurs collègues américaines luttant contre toute une série de mesures prises par la droite conservatrice.
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Grèves étudiantes : un rempart aux poursuites
Un professeur de droit de l'Université de Sherbrooke croit avoir trouvé le moyen de mettre fin à l'intervention des tribunaux lors des grèves étudiantes, comme ce fut le cas lors du printemps érable de 2012. Il suffirait, selon Guillaume Rousseau, de modifier le «contrat» qui existe entre un établissement d'enseignement et ses étudiants et qui permet à un étudiant d'obtenir une injonction d'un tribunal obligeant l'établissement à lui fournir ses cours, malgré une suspension décrétée dans le cadre d'une grève étudiante.
Lire la suite du texte de La Tribune.
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Nouvel institut féministe à l'Université Laval
Après 27 ans d'efforts et de demandes, un institut de recherche féministe a vu le jour mardi à l'Université Laval. «Enfin!» s'est exclamée Hélène Lee-Gosselin, directrice de l'Institut Femmes, Sociétés, Égalité et Équité (IFSEE). Pour cette professeure au Département de management, les études féministes viennent d'obtenir une reconnaissance de la haute direction avec la création de ce nouveau pôle d'expertise.
Lire la suite du texte du Soleil.
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Agressions à l'Université Laval : une présumée victime raconte avoir abandonné ses études
Un peu plus de trois mois après les cas d'agressions à l'Université Laval, une des quatre présumées victimes de Thierno-Oury Barry témoigne de son parcours difficile. Avec du recul et de l'aide psychologique, la jeune femme raconte avoir dû changer complètement de trajectoire en abandonnant ses études, notamment. «Je crois que le problème était de me retrouver sur le campus 24 heures sur 24 et de toujours baigner dans la situation. [...] Je ne voulais pas en entendre parler. Je ne voulais pas réaliser ce qui se passait», raconte la jeune femme qui ne veut pas être identifiée.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Le nombre d’étudiants français en chute à l’UQAR
Le nombre d'étudiants français qui s'inscrivent à un programme de premier cycle à l'Université du Québec à Rimouski (UQAR) a chuté de moitié depuis que Québec a augmenté leurs droits de scolarité. Selon des données de l'université, à l'automne 2014, 37 nouveaux étudiants français s'étaient inscrits à un programme de premier cycle. En 2015, année où les nouvelles règles sont entrées en vigueur, ce nombre a chuté à 21. En 2016, ils n'étaient plus que 17. Une diminution qui affecte les revenus de l’université et qui pourrait mener à une diminution des étudiants du deuxième et troisième cycle.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Les universitaires à la rescousse de l’industrie du bois d’œuvre
L'industrie forestière craint un nouveau conflit du bois d'œuvre et l'arrivée de Donald Trump au pouvoir pourrait réserver bien des surprises aux producteurs québécois. Réunis à l'Université Laval à l'occasion de la 38e Semaine des sciences forestières, les universitaires en foresterie et en architecture tentent de trouver des solutions afin de prévenir une potentielle crise dans leur domaine.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Des indicateurs révélateurs de l’offre d’éducation et de formation au Québec
L'ICÉA propose cinq indicateurs permettant de réaliser une évaluation de l’offre d’éducation et de formation offerte aux adultes du Québec. Ces indicateurs mettent en valeur différentes données provenant du gouvernement du Québec et de la récente enquête sur les compétences en littératie des adultes (PEICA, 2012) et soulignent le caractère stratégique de questions se rapportant à la participation, aux obstacles, aux demandes de formation insatisfaites ou à la persévérance. À ce titre, l'ICÉA note que: • le temps disponible demeure le principal obstacle à la participation à l’éducation et à la formation des adultes, alors que le désir d'améliorer ses perspectives d'emploi est le principal incitatif mentionné par les adultes; • la moitié des adultes dont la participation a été freinée ou entravée voulait participer davantage; • la demande pour la formation de nombreux adultes québécois demeure insatisfaite: celle-ci croît en fonction du plus haut niveau de scolarité atteint et varie selon l'âge; • en 2012, le quart des personnes répondantes à l’enquête du PEICA qui étaient en emploi déclaraient avoir besoin d’une formation supplémentaire en lien avec leurs fonctions de travail; • la formation générale des adultes qualifie plus de jeunes adultes de moins de 20 ans, alors que la formation professionnelle qualifie majoritairement des adultes de 25 ans et plus.
Lire la suite.
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Des publicités des universités UBC, McGill et UdeM retirées d'un site web d’extrême droite
Les universités de la Colombie-Britannique, à Vancouver, et McGill, à Montréal, ont retiré leurs publicités du site américain de nouvelles ultraconservateur Breitbart. Celui-ci a été la cible de nombreuses critiques durant les dernières élections présidentielles américaines. L’Université de Montréal (UdM) a pour sa part retiré ses publicités il y a deux semaines, à la suite d'un appel de La Presse canadienne.
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L’enseignement public est crucial pour aider les enfants migrants et réfugiés à s’intégrer
Comme c’est le cas pour de nombreuses crises humanitaires et catastrophes naturelles, le secteur privé est prompt à tirer profit de tout, ce qui explique pourquoi des efforts considérables sont toujours déployés pour faire en sorte que les enfants réfugiés et migrants bénéficient d’un enseignement public de qualité. Pour les entreprises d’éducation du monde entier, les réfugié(e)s et les migrant(e)s représentent une manne financière plutôt qu’une urgence humanitaire. Dans les camps de réfugiés tout autant que dans les pays d’accueil, les entreprises privées d’éducation cherchent à tirer profit d’une génération d’enfants déplacés.
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S'inspirer des universités scandinaves
Olivier Bégin-Caouette, candidat au doctorat en enseignement supérieur à l'Université de Toronto, cherche à comprendre comment les universités de pays comme la Suède et le Danemark peuvent maintenir un très haut niveau de production scientifique tout en préservant l'accessibilité à l'enseignement supérieur. À l'heure actuelle, ce sont surtout les pays anglo-saxons qui servent de référence en matière de production scientifique. Mais, selon Olivier Bégin-Caouette, les pays scandinaves ont beaucoup à nous apprendre.
Visionner la vidéo de Radio-Canada.
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L’exode accidentel des cerveaux
Un Canadien expatrié explique comment un déménagement temporaire au Royaume-Uni pour ses études s’est finalement prolongé et ce que le gouvernement pourrait faire pour le ramener au pays. Comme lui, chaque année, des centaines de Canadiens quittent le pays pour effectuer des études doctorales ou postdoctorales avec la ferme intention d’acquérir une expérience internationale, et chaque année, quelques-uns ne reviennent pas.
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Conférence-midi de l’IREF : Ni popote ni bonne femme
L'Institut de recherches et d’études féministes (IREF) organise une conférence-midi, avec Laurie Laplanche, stagiaire postdoctorale au Département d’histoire et à l'IREF, au sujet de la représentation des femmes à la télévision de Radio-Canada au XXe siècle, le 8 février, de 12 h 30 à 13 h 45 au DS-8310 (pavillon J.-A. DeSève).
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Grand festival d'ouverture de L'Euguélionne
Voilà déjà plus d'un mois que L'Euguélionne, librairie féministe a ouvert ses portes. Pour célébrer en grand les débuts de cette fabuleuse aventure, la librairie accueillera du vendredi 3 février au jeudi 9 février une panoplie d'événements féministes et littéraires. Des contes pour enfants aux tables-rondes, des soirées de lecture aux ateliers de fabrication de zines, tout le monde est invité à prendre part à cette semaine qui s'annonce riche en rencontres et en réflexions.
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L'amour et l'argent : lancement de livre et projection de film, le 11 février
Le couple et à la manière dont les partenaires… gèrent leur argent, sujet polémique s’il en est, surtout lorsqu’il rime avec déséquilibres et tensions. En collaboration avec Relais-femmes et le Centre Urbanisation Culture Société de l'INRS, nous vous convions à un après-midi de réjouissances — et de réflexions — le samedi 11 février, de 13h15 à 16h à la Cinémathèque québécoise. Nous lancerons à cette occasion le très attendu livre L'amour et l'argent: Guide de survie en 60 questions, de Hélène Belleau et Delphine Lobet (en librairie le 14 février), tandis que sera projeté en grande première le documentaire Amour et argent peuvent faire bon ménage, de la réalisatrice Sophie Bissonnette, le tout en présence des auteures et des artisanes! La projection aura lieu à 13h30, suivie du lancement vers 14h30 et d’un cocktail à partir de 15h. L'entrée est gratuite, mais il est conseillé de réserver.
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Révolution sociosanitaire : tout le pouvoir aux CLSC
L’IRIS publiait le 18 janvier une étude proposant une révolution complète du le système de santé et de services sociaux du Québec. Les médias ont surtout retenu la proposition visant à faire des médecins des salarié·e·s, mais il ne s’agit que d’une des idées dans l’ensemble de celles que nous avons formulées pour transformer radicalement un système qui déçoit beaucoup trop de Québécois·e·s. Faut-il se lancer dans une nouvelle réforme du système de santé et de services sociaux après celles de Philippe Couillard dans les années 2000 et de Gaétan Barrette dans les dernières années? Nous croyons que nous n’avons pas le choix. Les sept propositions que nous avons soumises au débat servent à renverser les politiques centralisatrices du gouvernement libéral qui éloignent la prise de décision des patient·e·s, abolissent les voix discordantes et asservissent les cadres au profit d’une centralisation bureaucratique malsaine. Nous suggérons plutôt de renouer, plus sérieusement que jamais, avec l’idéal d’une véritable première ligne qui deviendrait elle-même le point névralgique de l’amélioration de la santé de la population.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Luc Godbout et son portrait incomplet de la fiscalité québécoise
La Chaire de recherche en fiscalité et finances publiques (CFFP) dirigée par le fiscaliste Luc Godbout offre, dans son bilan édition 2017, un portrait bien pessimiste de la situation fiscale du Québec. Dans l’espace public, on y aura retenu que nous nous classerions au deuxième rang des peuples les plus imposés au sein de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et où la proportion d’impôts payée par les 20% et 1% les plus riches semble démesurée. Questionnons-nous sur la situation fiscale des plus riches et mettons en perspective l’utilisation des impôts et taxes.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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La soupe au caillou : augmentation du salaire minimum, encore des pinottes!
L’annonce de la hausse du salaire minimum de 50 cents a amèrement déçu les partenaires de la campagne 5-10-15. Malgré les pressions populaires, le gouvernement a pris une fois de plus le parti des associations patronales et a clairement tourné le dos à la proposition d’augmenter le salaire minimum à 15$ l’heure. Aussi dans cette édition de La soupe au caillou du Collectif pour un Québec sans pauvreté: mise à jour sur la tournée du Collectif «S'organiser contre la pauvreté: un bon plan!»
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Ils «vivent» avec moins de 15$ l’heure
En plein débat au Québec pour augmenter le salaire minimum à 15$/h, Le Journal de Montréal a rencontré des travailleurs à faible revenu pour voir comment ils réussissent à joindre les deux bouts chaque mois. Dettes, paniers d'épicerie vides et choix difficiles font partie de leur quotidien.
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Un manifeste contre le harcèlement de rue
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Un modèle d'intervention unique pour aider de jeunes itinérants avec des problèmes de santé mentale et de toxicomanie
Par quoi commencer pour se remettre sur pied lorsqu'on est jeune et qu'on vit en situation d'itinérance, avec des problèmes de santé mentale et de toxicomanie? L'Équipe d'intervention intensive de proximité (ÉQIIP SOL), à l'Hôpital Notre-Dame de Montréal, a créé avec un certain succès un modèle d'intervention unique pour avancer sur tous les fronts avec ces jeunes adultes à qui la vie n'a rien donné. Akli Aït Abdallah de Radio-Canada est allé mesurer l'ampleur du défi et du chemin parcouru depuis la création de la clinique, il y a exactement cinq ans.
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De la lutte à la gestion de la pauvreté : quand la philanthropie s’en mêle !
Dans le cadre des Grands débats de l’Institut santé société de l’Université du Québec à Montréal, la Coalition Non aux PPP sociaux et le professeur de l’École de travail social Michel Parazelli ont convié leurs collègues à une journée de réflexion intitulée De la lutte à la gestion de la pauvreté. Quand la philanthropie s’en mêle! Plus d’une cinquantaine de personnes, principalement des représentantes d’organismes nationaux et locaux, ont répondu à l’invitation en avril dernier, et ont participé aux échanges sur le thème de la philanthropie et l’action communautaire. Ce document est composé de deux parties. La première représente une mise en contexte des enjeux théoriques et politiques suscités par ce qui est appelé la «nouvelle philanthropie», ou le «philanthrocapitalisme», face aux réalités des organismes communautaires. La deuxième partie se veut une synthèse des présentations d’abord faites par les quatre panélistes et, ensuite des échanges qui ont eu lieu entre les participants-tes dans les ateliers et la plénière de l’après-midi. Le tout est clôturé par un rappel des idées émises pendant le débat autour des pistes d’orientation de l’action et de la recherche.
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Abandon des indices d’augmentation de loyer : le FRAPRU appuie les actions du RCLALQ et demande au ministre Coiteux d’intervenir
Le FRAPRU appuie les actions qui se sont tenues le 2 février dans différentes régions du Québec, à l’appel du Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ), pour réclamer du gouvernement québécois que la Régie du logement publie sans tarder les indices d’estimation d’augmentation des hausses de loyer et qu’il instaure un contrôle des loyers obligatoire et universel. L’organisme ne décolère pas de la décision injustifiée de la Régie de mettre fin à la publication de ses indices d’augmentation de loyer. Il rappelle que ceux-ci constituent pour une majorité de locataires un outil indispensable pour évaluer la hausse de loyer demandée par leur propriétaire.
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Le FRAPRU dénonce le changement de méthode de la Régie du logement et appelle à la vigilance des locataires.
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Le naufrage du libre-échange : bonne ou mauvaise nouvelle ?
La gauche s’est toujours opposée avec force aux accords de libre-échange. Autant le mouvement altermondialiste que des politiciens comme Bernie Sanders, Paul Magnette et Benoît Hamon ont dénoncé les méfaits de ces ententes conçues en secret dans l’intérêt des entreprises transnationales. Pourtant, la charge la plus puissante contre le libre-échange est venue de là où on ne l’attendait pas. Donald Trump, président républicain des États-Unis, voudrait aujourd’hui tout remettre en cause. Faut-il s’en réjouir ou s’en désoler ? (...) en opposant un protectionnisme étroit à un libre-échange qui refuse de se réformer, on semble actuellement faire l’économie d’un véritable débat sur ce que doit être le commerce international, sur ses limites et sur la façon dont l’économie pourrait profiter à l’ensemble des populations.
Lire la suite de cette lettre ouverte de Claude Vaillancourt, président d’ATTAC-Québec.
Des outils en français pour comprendre l’AÉCG/CETA.
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Remplacer l’ALÉNA par un processus de renégociation transparent et ouvert à la participation de la société
Washington DC, Montréal, Ottawa, Mexico, 18 janvier – En réponse à l’annonce du président élu des États-Unis, Donald Trump, de renégocier ou de se retirer de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA), ainsi qu’aux réactions du premier ministre canadien Justin Trudeau et du président mexicain Enrique Peña Nieto, de larges réseaux de la société civile du Mexique, des États-Unis, du Canada et du Québec lancent aujourd’hui un message clair à leurs gouvernements: tout processus de renégociation doit être transparent et ouvert à la participation de la société, et le remplacement de l’ALÉNA qui en découlera doit inconditionnellement protéger l’environnement et améliorer le bien-être et la qualité de vie des peuples dans l’ensemble des pays de la région.
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Ministre Goodale : rejetez l’information obtenue sous la torture
Nous croyons, membres de la Coalition pour la surveillance internationale des libertés civiles qu’il est urgent de revoir les Directives ministérielles émises par le gouvernement précédent concernant la torture, et ceci afin de les rendre conformes au droit international qui interdit la torture de manière absolue. Ce faisant, le gouvernement du Canada enverrait dès maintenant un message clair à la communauté internationale, à savoir qu’en aucune circonstance, le Canada n’utilisera des renseignements provenant de pays étrangers qui auraient pu être obtenus sous la torture ou ne partagera des renseignements susceptibles de mener à la torture.
Lire la suite de la lettre envoyée au ministre de la Sécurité publique, Ralph Goodale.
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La Caisse de dépôt et placement du Québec et la gestion des risques depuis la crise de 2008
Au lendemain de la crise de 1929, les États occidentaux ont déterminé que la meilleure stratégie de gestion des risques associés à la finance était la réglementation des marchés et l' «euthanasie du rentier». On s'assurait, de cette manière, que la puissance de la finance soit maîtrisée en la confinant à des fonctions de soutien au développement économique. De l'après-guerre aux années 1970, ce compromis social a, globalement, tenu le coup. Or, à partir des années 1980, les vagues de déréglementation des marchés financiers ont libéré le génie de la lampe et remis la spéculation au goût du jour. La crise de 2008 a été le plus récent chapitre des effets de cet appétit incontrôlé pour les rendements, un chapitre qui s'est écrit au Québec à l'encre rouge des résultats financiers de la Caisse de dépôt et placement. Si cette crise n'a pas convaincu les États à revenir à une réglementation sévère des marchés financiers, les institutions d'intérêt général comme la Caisse semblent, de leur côté, avoir tiré des leçons et développé de nouvelles stratégies de gestion des risques.
Lire le Bulletin de la retraite de l’Institut de recherche en économie contemporaine.
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