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J’ai été chercher ma petite horloge mercredi. C’est ce que l’UQAM m’a offert en guise de reconnaissance pour mes 25 ans d’ancienneté. J’aurais préféré que cette reconnaissance passe par une convention collective qui met fin à la discrimination et à la précarité que vivent les chargées et chargés de cours, un règlement négocié qui reconnaisse notre valeur par des augmentations de salaire nous permettant de rattraper les collègues des autres universités québécoises francophones. Mais bon, le recteur et les vice-recteurs se sont contentés de discourir sur l’importance que nous avons eu dans le développement de l’UQAM au cours des 25 dernières années. Ça valait une petite horloge, mais pas de meilleures conditions de travail.
Vous lisez la dernière infolettre du SCCUQ de l’année 2016. Sa publication régulière reprendra le 12 janvier 2017. Je vous souhaite de joyeuses Fêtes et une bonne année 2017… en classe ou sur les lignes de piquetage.
Richard Bousquet Vice-président à l’information du SCCUQ
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De Joyeuses Fêtes et du repos pour être prêts pour l’action en 2017
Chargées et chargés de cours, comme vous le savez, l’année 2016 se termine sur une note décevante. Devant l’impasse qui persiste dans nos négociations avec l’UQAM, nous avons finalement demandé la conciliation. Malheureusement, la première rencontre avec la conciliatrice n’aura lieu qu’en janvier 2017. Il faut donc garder le cap, continuer de faire pression sur l’UQAM afin d’obtenir un règlement satisfaisant. Nous avons toujours une banque de cinq jours de grève à être utilisée en temps opportun. Un grand merci pour votre indéfectible implication tout au long de cette année 2016.
Au nom de toute l’équipe syndicale, le Comité exécutif du SCCUQ vous souhaite à toutes et à tous de très Joyeuses Fêtes, beaucoup de repos… et soyons prêts pour l’action en 2017!
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Fermeture des bureaux du SCCUQ du 23 décembre au 8 janvier
Les bureaux du Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM seront fermés du 23 décembre 2016 au 8 janvier 2017 inclusivement. Les membres du Comité exécutif, du Comité mobilisation-intégration, du Comité des agentes et agents de relations de travail, du Comité de négociation et la secrétaire du Syndicat souhaitent de Joyeuses Fêtes à toutes et tous les membres du SCCUQ.
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De bonnes nouvelles concernant la performance de notre Régime de retraite
Sur les onze premiers mois (30 novembre) de 2016, le portefeuille régulier de notre Régime a enregistré un rendement brut de 7,5%, alors que le marché (portefeuille cible) affichait un rendement de 5,2%. Il s’agit donc d’une plus-value de 2,3%, souligne Marie Bouvier, représentante des chargées et chargés de cours de l’UQAM au RRCCUQ et trésorière du SCCUQ.
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Pourquoi participer au Régime de retraite des chargés de cours de l'Université du Québec (RRCCUQ)
Si vous ne cotisez pas encore au régime de retraite des chargés de cours et si vous êtes admissible, vous recevrez, ou avez déjà reçu, une lettre de l’employeur vous invitant à adhérer au RRCCUQ. La valeur de la contribution employeur acquise au participant est, à elle seule, une raison suffisante pour d’adhérer au RRCCUQ dès que vous devenez admissible. L'idéal est d’investir le plus tôt possible, le temps étant votre meilleur allié.
Notre régime de retraite est un régime à cotisations déterminées (CD). Les revenus retirés du régime CD dépendront des sommes accumulées dans votre fonds. Plus tôt vous adhérez, plus importantes seront les sommes accumulées. Vous avez le choix de contribuer à 2,75%, 5,5% ou 9% de votre rémunération et l’employeur en met autant. Votre mise de fonds est donc doublée. Qui refuserait une augmentation salariale? C’est ce qui se produit lorsque vous devenez admissible et que vous ne complétez pas votre adhésion au RRCCUQ. Vous devez répondre le plus tôt possible. Ce processus n’est enclenché qu’une fois par année.
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Formation initiale des chargées et chargés de cours le 9 janvier
Cette formation du Centre de formation en soutien à l’académique s'adresse plus particulièrement aux nouveaux chargées et chargés de cours. Elle sera donnée par Hélène Meunier le 9 janvier 2017 de 9h30 à 16h30 au local N-3050. La formation comprend des ateliers thématiques diversifiés visant à répondre aux besoins des nouveaux chargés de cours. Ainsi, plusieurs thèmes seront abordés : • L’élaboration d’un plan de cours • La planification de l’enseignement et de l’évaluation • La gestion de classe • L’alignement pédagogique. Diverses formules pédagogiques seront utilisées au cours de la formation, favorisant les échanges et la discussion sur les pratiques pédagogiques en contexte universitaire. Pour s’inscrire.
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Un party des chargées et chargés de cours réussi
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Le party des chargées et chargés de cours de l’UQAM a eu lieu le 8 décembre dernier au Lion d’Or. Il a été joyeusement animé par Nathalie Blanchet, Jean Régnier et Mariève Ross du Comité mobilisation-intégration du SCCUQ. Plus de 110 personnes étaient alors présentes dans une atmosphère de fête, de partage et de solidarité conviviale. Plusieurs prix ont été remis lors de tirages dont six prix aux supers-militantes et supers-militants Mélissa Blais, Julie Bramond, Serge Groulx, Lotfi Khribi, Louise Lavoie et France Simard. Les commanditaires qui ont facilité la réussite de cette soirée, et que nous remercions pour leur généreuse contribution, sont, à titre de : • Grands partenaires, le Centre sportif de l’UQAM, la Coop UQAM, la Librairie Paulines • Partenaires intermédiaires, les Cinémas Beaubien et du Parc, Espace Libre, le Musée des beaux-arts de Montréal et la Fondation Arte-Musica, le Théâtre du Nouveau Monde • Partenaires de soutien de l’UQAM, le Département de danse, l’École supérieure de théâtre, les Entreprises auxiliaires. De l’avis de toutes les personnes présentes, cette soirée fut une grande réussite.
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Les syndicats de l’UQAM s’opposent à la construction d’un nouvel édifice de HEC au centre-ville de Montréal
Les syndicats de l’UQAM s’étonnent de la promesse du gouvernement provincial d’investir 94 millions de dollars dans la construction d’un nouvel édifice de HEC au centre-ville de Montréal et dénoncent toute forme de compétition engendrant un gaspillage des fonds publics, que ce soit entre les universités ou entre les facultés. Il est en effet très questionnable d’allouer des fonds publics pour construire un nouvel édifice universitaire, alors que les fonds sont insuffisants en enseignement supérieur. La ministre de l’Enseignement supérieur, Hélène David, prétend que cet investissement va accroître l’accessibilité à l’enseignement. Cet investissement risque plutôt d’accroître inutilement la compétition entre les universités. HEC prétend subir un déficit d’espace, mais pourquoi venir s’installer au centre-ville, loin de leur campus principal? Cette décentralisation au centre-ville ne comblerait aucun besoin en formation ou en recherche que les autres universités déjà présentes ne peuvent offrir.
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Rapport de la négo : l’employeur se braque, le SCCUQ demande la nomination d’un médiateur-conciliateur
À la suite du vote de refus de l’offre finale de la direction par 96,5% des chargées et chargés de cours présents à l’Assemblée générale spéciale et l’acceptation par 86% des membres d’une banque de cinq jours de grève à être exercés au moment jugé opportun, les comités de négo se sont revus le 28 novembre. Le comité de négo patronal a dit qu’il ne retournerait pas voir ses mandants tant que le Syndicat ne revoyait pas ses demandes, qu’il refusait de reprendre la négociation et que l’offre finale était toujours sa réponse aux dernières contre-propositions syndicales. À la demande du comité de négo syndical, ils se sont tout de même entendus pour se revoir le 15 décembre. Devant cette situation, notre comité de négo, par l’entremise de la FNEEQ-CSN, a procédé mercredi à une demande de nomination d’un médiateur-conciliateur auprès du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale.
Rapports précédents : • Offre finale de l’employeur • En attente de réponses à nos contre-propositions • Nouveau déblocage de la partie patronale, quelques petits gains et plusieurs avancées • Un accord et encore des attentes • Des reculs confirmés, mais la discussion n’est pas rompue • Dépôt des offres patronales globales à venir
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Les chargées et chargés de cours de l'UQAM rejettent l'offre finale : une banque de cinq jours de grève!
Les chargées et chargés de cours de l’UQAM ont rejeté à 96,5% l’offre finale de l’employeur, vendredi en assemblée générale, et 86% des membres présents ont voté en faveur d’une banque de cinq jours de grève à utiliser au moment jugé opportun par le Comité exécutif et le Comité de négociation. Cette offre finale contenait des augmentations salariales en-deçà de celles offertes aux professeurs et aux employés de soutien – se limitant aux paramètres salariaux gouvernementaux, soit 6,75% sur cinq ans – alors que nous sommes les personnes chargées de cours à peu près les moins bien payées de l’ensemble des universités francophones québécoises. Et des offres normatives qui répondent par la négative à nos principales revendications sur les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE), la clause réserve permettant aux étudiants à la maîtrise ou au doctorat d’enseigner sans répondre aux mêmes exigences, la stabilisation de l’emploi et les environnements numériques d’apprentissage.
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La couverture médiatique : Le journal Métro, Radio-Canada, Le Journal de Montréal
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Thomas Ouellet Fredericks a participé à la réalisation de Loop, une installation lumineuse, sonore et participative conçue pour la place des Festivals
La 7e édition de Luminothérapie, qui propose chaque hiver des expériences interactives mêlant design, musique et arts numériques dans le Quartier des spectacles, présente Loop, une installation lumineuse, sonore et participative conçue pour la place des Festivals. L'œuvre a été conçue et réalisée par l’artiste numérique Jonathan Villeneuve et Olivier Girouard, de la boîte de production montréalaise en arts sonores et médiatiques Ekumen. Le chargé de cours à l'École des médias et artiste en arts numériques Thomas Ouellet Fredericks (volet électronique), l'entreprise Ottoblix (conception de l'animation et des vidéoprojections), le studio Générique Design (design industriel) et Jérôme Roy (consultant mécanique) ont également participé à la réalisation de Loop. Leur projet a été choisi parmi 28 propositions.
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[VertigO], codirigée par Éric Duchemin, publie un numéro sur la trajectoire socio-politique des indicateurs écologiques
La revue électronique en sciences de l'environnement [VertigO] vient de faire paraître un nouveau numéro sur La trajectoire socio-politique des indicateurs écologiques. Dirigé par Gabrielle Bouleau, chercheuse à l’Irstea (France), ce dossier éclaire les différents enjeux de la construction socio-politique des indicateurs écologiques. À la lumière des cas présentés, le pouvoir d'un indicateur semble dépendre de l’instrument d’action publique dans lequel il s’insère et du régime politique plus large dans lequel il est mis en œuvre. Revue institutionnelle de l'UQAM, [VertigO] est codirigée par Éric Duchemin, chargé de cours et professeur associé à l'Institut des sciences de l'environnement, et Louise Vandelac, professeure au Département de sociologie.
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Julien Tourreille commente l’enquête sur le piratage de la présidentielle américaine
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Nicole Milette organise l’exposition Dans les traces d’Albert Dumouchel Maître graveur
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L’exposition Dans les traces d’Albert Dumouchel Maître graveur organisée par Nicole Milette, artiste et chargée de cours en design de l’environnement, ainsi que Alejandra Bertorini, Carlos Calado et Michel Lancelot, quatre artistes graveurs de l’Atelier Circulaire, sera présentée à Montréal jusqu’au 15 janvier pour la première fois à la Maison de la Culture Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension, 421 rue Saint-Roch (métro Parc). Une visite commentée par Jacques Dumouchel, historien de l’art et fils d’Albert Dumouchel, ainsi que par Nicole Milette et Carlos Calado aura lieu le samedi 14 janvier 2017 de 13:30 à 15:00 heures, aucune réservation requise. Elle est magnifiée grandement par l’apport de 15 estampes d’Albert Dumouchel et par les 5 estampes hommage des artistes invité.e.s Boisvert, Derouin, Lacroix, Tousignant et Simonin qui l’ont connu de son vivant. Vous pouvez aussi visionner le petit film 50 artistes/50 estampes et plus Dans les traces d’Albert Dumouchel Maître graveur, réalisé en janvier 2016.
Le Devoir : L’empreinte du père de la gravure.
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La privatisation silencieuse de l’éducation
Le phénomène de la privatisation en éducation est de mieux en mieux documenté. On constate qu’il s’agit d’une situation mondiale, qui affecte grandement les missions de l’éducation, de la maternelle à l’université, et qui prend, bien entendu, diverses facettes. Il existe un vaste éventail de pressions sur l’éducation, qu’elles viennent d’entreprises privées, notamment dans le secteur de la recherche universitaire, des fondations, qui ne subventionnent que ce qui leur rapporte ou répond à leurs critères et attentes, ou des grands philanthropes et autres philanthrocrates de ce monde. Au Québec comme dans le reste de l’Amérique du Nord, la privatisation, plus particulièrement dans les universités, a pris un visage plus discret et plus pernicieux. On pourrait résumer la situation en un transfert de la gestion du monde académique vers le technocratique ou managérial. En d’autres mots, au cours des dernières décennies, la traditionnelle cogestion collégiale exercée par la communauté universitaire est passée entre les mains des nouveaux «marchands du Temple».
Lire la suite du texte de la FNEEQ.
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Un DEC, c’est un DEC, partout au Québec!
La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec-CSN (FNEEQ-CSN) a remis jeudi à la ministre responsable de l’Enseignement supérieur, Madame Hélène David, une pétition qui a récolté en moins de deux semaines près de 5000 signatures d’enseignantes et d’enseignants, d’étudiantes et d’étudiants, de citoyennes et citoyens inquiets que le gouvernement puisse aller jusqu’à accorder aux collèges le droit de définir des compétences locales qui rendraient les diplômes inégaux d’une institution à l’autre. Rappelons que Madame David envisage de modifier le Règlement sur le régime des études collégiales afin de donner plus de «flexibilité» et d’«autonomie» aux cégeps sur la formation et la diplomation.
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Stratégie d’action jeunesse 2016-2021 : Le plan du gouvernement Couillard déçoit le milieu syndical
Bien que le gouvernement annonce un investissement de 200 millions de dollars sur cinq ans dans sa stratégie d’action jeunesse, la Confédération des syndicats nationaux (CSN) et la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) se disent déçues de constater que l’une des problématiques majeures affectant les jeunes, soit les disparités de traitement, a simplement été repoussée dans le temps sans échéancier précis. En outre, la CSN et la FTQ jugent que le gouvernement aurait dû s’attaquer non seulement aux régimes de retraite, mais aussi aux régimes d’assurance collective et aux clauses orphelins qui se développent illégalement dans plusieurs milieux de travail.
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La Stratégie d'action jeunesse accueillie tièdement par la CSQ. Le personnel de soutien pourrait y contribuer davantage.
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Équité salariale : le gouvernement Couillard choisit l’affrontement en Cour suprême
Le SCFP se dit amèrement déçu de la décision du gouvernement Couillard de s’adresser à la Cour suprême pour contester un jugement en matière d’équité salariale favorable aux travailleuses du Québec. «Honteux! Nous sommes outrés de voir que le gouvernement choisit de poursuivre l’affrontement devant les tribunaux plutôt que de s’asseoir avec nous pour réparer les erreurs de 2009. L’équité salariale est un droit fondamental et le SCFP a eu gain de cause à toutes les étapes. Pourquoi faire perdurer la discrimination salariale en contestant encore les droits des femmes?» a déclaré Denis Bolduc, président du SCFP-Québec.
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Négociations du préhospitalier : La CSN demande au ministre Barrette de prendre ses responsabilités
Alors que les conventions collectives sont échues depuis le 31 mars 2015 dans le secteur préhospitalier, les négociations piétinent car les employeurs sont incapables de répondre aux principales préoccupations du personnel. À l’occasion d’une manifestation tenue jeudi midi devant l’Assemblée nationale, les paramédics, répartitrices, répartiteurs et employé-es de soutien du préhospitalier ont reçu l’appui des délégué-es de tous les syndicats CSN réunis actuellement à Québec à l’occasion du Conseil confédéral de l’organisation. «Votre travail est primordial. Vous sauvez des vies chaque jour et cela mérite une pleine reconnaissance, lance le président de la CSN, Jacques Létourneau. L’attitude du ministre de la Santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette, qui refuse de négocier avec vous, est inacceptable car c’est lui seul qui dispose de la clé permettant de dénouer l’impasse.»
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Assurance-emploi et Tribunal de la sécurité sociale : De graves atteintes aux droits et à l’accès à la justice dénoncées
Le Mouvement autonome et solidaire des sans-emploi (MASSE), la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) et la Confédération des syndicats nationaux (CSN) dénoncent les graves atteintes aux droits et à l’accès à la justice du nouveau mode de contestation des décisions à l’assurance-emploi et annoncent le lancement d’une déclaration exigeant du gouvernement Trudeau le retour à un processus tripartite, rapide, efficace, juste et respectueux des droits des personnes sans-emploi pour régler les litiges en matière d’assurance-emploi. En 2012, le gouvernement fédéral avait procédé à une réforme majeure du régime d’assurance-emploi que l’on a qualifié de saccage. Cette réforme a notamment remplacé les conseils arbitraux qui étaient composés de trois personnes (président, représentant des employés et représentant des employeurs) par le Tribunal de la sécurité sociale (TSS), dans lequel une seule personne entend les causes des travailleurs et travailleuses, qui, rappelons-le, se représentent généralement eux-mêmes.
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L’assurance-emploi c’est pour tout le monde!
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Le gouvernement Trudeau délaisse les médias traditionnels au profit des géants américains du Web
La Fédération nationale des communications (FNC-CSN) dénonce la décision du gouvernement Trudeau de diriger une plus grande part de ses dépenses publicitaires vers les géants du Web américains Google et Facebook, plutôt qu’à nos médias traditionnels canadiens. «Nous trouvons déplacé que le gouvernement fédéral envoie plus d’argent des taxes et impôts des contribuables canadiens vers des géants du Web américains qui ne contribuent à peu près pas à la fiscalité canadienne ou à la création d’emplois au pays. Pendant ce temps, nos entreprises médiatiques locales et nationales, qui elles, participent depuis des dizaines, voire des centaines d’années à la santé démocratique de notre pays peinent à survivre dans un univers numérique dans lequel elles sont systématiquement désavantagées», s’insurge Pascale St-Onge, présidente de la FNC-CSN.
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Un laboratoire neuf déménagé après 5 ans d'utilisation à l'Université Laval
Un laboratoire de biologie à la fine pointe de la technologie et construit au coût de 750 000$ il y a cinq ans va changer de vocation à l'Université Laval. D'ici le printemps 2018, tous les laboratoires d'enseignement seront déménagés dans une nouvelle aile du pavillon Vachon. Le Syndicat des employés de soutien de l'université dénonce une fois de plus une mauvaise gestion des fonds publics.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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La FIQ accuse le Centre universitaire de santé McGill d’imposer l’omerta
La Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) exhorte la direction du Centre universitaire de santé McGill (CUSM) à divulguer comment elle compte réaliser les compressions budgétaires de l’ordre de 28 millions $ récemment annoncées. La présidente de la FIQ, Régine Laurent, fait état d’un manque de transparence alors que la direction s’apprêterait à couper dans les mesures encadrant la prestation sécuritaire des soins. Mme Laurent accuse par ailleurs le gouvernement provincial de cautionner l’omerta qui règne à ses yeux dans l’établissement.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
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Négociation coordonnée : Lock-out à l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis
La direction de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis a décrété un lock-out tôt mercredi matin. «Nous négocions depuis le mois de mai dernier et rapidement, nous avons dû demander la conciliation. Depuis tout ce temps, les pourparlers piétinent et nous sentons que la partie patronale ne dispose pas des mandats qu’il lui faudrait pour régler cette négociation, de dénoncer Yvon Therrien, président du Syndicat des travailleuses et des travailleurs Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis (CSN) (STTHGPD). Nous sommes toutefois déterminés à obtenir le respect auquel nous avons droit, à l’instar des treize autres hôtels qui ont obtenu des ententes de principe et les éléments de la plateforme de la négociation coordonnée.» «Décréter un lock-out à la veille du congé des fêtes, ça démontre une attitude vraiment cavalière de la part de cet employeur. Nous allons tout mettre en œuvre pour que ces femmes et ces hommes obtiennent leur juste part des profits que les propriétaires de cet hôtel encaissent tous les jours», de déclarer Serge Fournier, président de la Fédération du commerce–CSN.
Lire la suite.
Fin du lock-out à l’Hôtel Pur Québec : les membres acceptent l’entente de principe à 98 %. Hôtel le Concorde Québec : l’entente de principe adoptée à l’unanimité.
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Les cols blancs et cols bleus de Sainte-Thérèse signent une nouvelle convention
Le syndicat des quelque 200 cols blancs et cols bleus de la Ville de Sainte-Thérèse, affilié à la CSN, a finalement renouvelé sa convention collective après cinq ans de négociation. La mairesse de Sainte-Thérèse, les quatre membres du comité de négociation syndicale et le représentant de la partie patronale ont procédé à la signature officielle de la nouvelle convention le 5 décembre. D’une durée de dix ans, elle s’échelonne du 1er janvier 2012 au 31 décembre 2021. Elle comprend des augmentations salariales de 2,5% pour les années 2012 à 2014, de 2% pour l’année 2015, de 1% pour l’année 2016 et de 2% pour les années 2017 à 2021. Cette nouvelle convention collective est accompagnée d’une restructuration du régime de retraite des cols blancs et bleus de la Ville de Sainte-Thérèse.
Lire la suite.
Mandat de grève à la Ville de Val-d’Or, une première en 30 ans.
Sainte-Lucie-des-Laurentides : quand la libre négociation fonctionne dans des municipalités!
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Il faut confier la distribution du cannabis à la SAQ
À la suite du cannabis médical, le cannabis récréatif sera légalisé au Canada dans un avenir rapproché. Le cadre précis de cette légalisation n’est pas encore connu, mais il semble admis que chaque province pourra définir son propre cadre réglementaire pour la distribution et la commercialisation de ce produit. Dans cette étude, l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques a voulu analyser les retombées pour le Québec d’une prise en charge de la vente du cannabis récréatif par le secteur privé ou par la SAQ. Notre analyse démontre que la SAQ offrirait de meilleures perspectives de retombées économiques que le marché privé. Une commercialisation par le biais de la SAQ aurait un effet plus stimulant sur le PIB. Ensuite, il apparaît assez clairement que l’État sortirait gagnant en confiant à la SAQ la responsabilité de vendre du cannabis. Les profits importants réalisés iraient directement dans les coffres de l’État pour financer les services publics. Finalement, la SAQ semble offrir un contexte de vente plus sécuritaire que les commerces privés.
Commercialisation du cannabis : La SAQ est toute désignée, selon la CSN.
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Décès sur un chantier de la Romaine : la FTQ demande la tenue d’une commission d’enquête publique
Inquiète des dangers en matière de santé et sécurité du travail sur le chantier d’Hydro-Québec, la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) joint sa voix à celle de son syndicat affilié, la FTQ-Construction, et demande au gouvernement de créer une commission d’enquête publique pour examiner la situation. «Nous tenons d’abord à exprimer nos condoléances aux proches et aux familles des travailleurs décédés. Il existe présentement un réel problème de confiance sur le chantier de la Romaine. Les travailleurs sont inquiets, les familles endeuillées veulent des réponses et la mise sur pied d’un comité spécial pour examiner les méthodes de travail ne sera pas suffisante pour régler la situation», affirme le secrétaire général de la FTQ, Serge Cadieux.
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La campagne En avion, en sécurité du SCFP a convaincu le Comité des Transports d’étudier la sécurité aérienne
Le mois dernier, des membres de la Division du transport aérien du SCFP ont rencontré des députés fédéraux membres du Comité des Transports, de l’infrastructure et des collectivités pour leur expliquer que la sécurité des passagers et la qualité de l’air à bord des avions doivent être améliorées. Et le message des 10 000 agents de bord du SCFP a été entendu. Le premier décembre, le comité a en effet décidé de réaliser «une étude sur la sécurité aérienne en 2017». Transports Canada doit à son tour agir et mieux protéger les passagers.
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Au revoir et merci Georgette Lachaîne
Nous apprenions récemment le décès, dans la nuit du 7 décembre, de Georgette Lachaîne, âgée de 95 ans, qui fut l’une des premières femmes vice-présidente de la CSN. Georgette Lachaîne s’est illustrée dans son syndicat local, chez Dupuis et frères à compter de 1951, et a été une militante importante lors de la fameuse grève de 1952. C’est en 1962 qu’elle se fait élire au poste de vice-présidente de la CSN. Georgette Lachaîne a été une syndicaliste inspirante et fait partie de ces pionnières qui ont permis d’ouvrir la voie à de nouvelles générations de femmes syndicalistes.
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Les syndicats du Canada célèbrent l’interdiction fédérale de l’amiante
Le Congrès du travail du Canada célèbre l’annonce de l’interdiction par le gouvernement fédéral de la transformation, de l’importation, de l’exportation et de l’utilisation de l’amiante. «Nous pouvons tous respirer mieux, déclare Hassan Yussuff, président du CTC. C’est une bonne politique sur la santé publique qui sauvera indéniablement des vies dans les générations à venir. Les syndicats du Canada travaillent dur depuis des décennies, avec les survivants et les défenseurs de la santé, pour obtenir cette interdiction. Nous savons qu’elle renforcera les protections de la santé et de la sécurité au travail et rendra les lieux de travail et les lieux publics plus sécuritaires pour tous», affirme M. Yussuff.
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Les adieux du Syndicat national de l’amiante d’Asbestos
Début novembre, profondément secoué par le refus du ministre François Blais d’indemniser les pertes de revenus importantes subies par les anciens travailleurs de Mine Jeffrey, le président du Syndicat national de l’amiante depuis cinq ans, Marcel Bachand, déclarait au journal La Tribune: « Ce gouvernement, à l’exemple du Parti Québécois qui a laissé tomber l’amiante et la capacité d’un renouveau économique à Asbestos avec le retrait de son prêt de 58 M$ pour la relance de la mine, a accepté de compenser la compagnie minière dans une entente secrète, mais laisse tomber les anciens travailleurs dont plusieurs vivent avec le contrecoup financier de cette décision du précédent gouvernement. Nous ne pouvons cacher notre très grande déception ». C’était le dernier dossier d’importance de ce syndicat, qui a entamé sa procédure en dissolution, laquelle devrait être effective courant 2017.
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La ministre David annonce 12 millions de plus pour les cégeps et universités
La ministre de l'Enseignement supérieur, Hélène David, a annoncé l'octroi d'une somme supplémentaire de 12 millions $ pour l'ensemble des cégeps et des universités. Elle en a fait son annonce lundi au Collègue Ahuntsic à Montréal. La somme de 12 millions $ devra être dépensée d'ici la fin de l'exercice budgétaire, soit d'ici le 31 mars 2017, et elle est disponible immédiatement. De ces 12 millions $ supplémentaires, 3,7 millions $ serviront à encadrer et retenir les étudiants étrangers, surtout en région. Une autre partie de la somme, soit 3,2 millions $, permettra d'accroître l'offre de programmes de formation continue.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
Investissement insuffisant : la CSQ réclame une révision du financement des cégeps.
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Des millions pour les cégeps et les universités
Ottawa et Québec sont sur le point d'annoncer l'octroi de plusieurs millions de dollars pour des projets d'infrastructures en éducation supérieure. Le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, et celui du Québec, Philippe Couillard, en feront l'annonce vendredi à Montréal. Les fonds injectés serviront notamment à l'entretien et à la rénovation des cégeps et des universités du Québec. Selon un document de la Fédération des cégeps du Québec du mois de mai dernier, le ministère de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur entendait soumettre à Ottawa 134 projets pour les réseaux collégial et universitaire totalisant 1,2 milliard de dollars.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Violence sexuelle : une consultation publique en toute intimité à l’Université Laval
Deux mois après les agressions aux résidences, à peine une quinzaine de personnes ont participé lundi à la consultation publique sur la violence sexuelle à l’Université Laval. Que reste-t-il de la mobilisation de cet automne? Les campus sont-ils prêts à changer? Sur la quinzaine de personnes qui ont pris part à la consultation lundi midi, on comptait surtout des représentants d’associations étudiantes et des chercheurs intéressés. Le calendrier des rencontres (en pleine période d’examens) avait été prédéterminé par le ministère de l’Enseignement supérieur.
Lire la suite du texte du Devoir.
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La relève en soins infirmiers grandit et privilégie les études universitaires
La relève en soins infirmiers est en croissance importante et comble les départs à la retraite, et de plus en plus d’élèves décident de poursuivre leurs études au baccalauréat, a indiqué, mardi, l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ). En fait, 51 pour cent de la relève 2015-2016 titulaire d’un diplôme d’études collégiales (DEC) s’est inscrite au baccalauréat en sciences infirmières au cours de l’année. Il s’agit du taux le plus élevé enregistré à ce jour, a souligné l’OIIQ. Toutefois, malgré cette percée, le Québec continue de prendre du retard par rapport au reste du Canada: l’effectif infirmier du Québec compte 40 pour cent d’infirmières et d’infirmiers bacheliers, contre 54 pour cent à 64 pour cent dans les autres provinces canadiennes, selon les données de l’Institut canadien d’information sur la santé, publiées en 2016.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
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Iniquité du processus d’admission en école de médecine : les étudiants nantis favorisés
En tant qu’universitaire dont un fils fréquente une école canadienne de médecine, j’ai récemment constaté certaines dérives du processus d’admission à ce type d’établissement. Les étudiants que côtoie mon fils ont dû faire preuve de beaucoup d’ingéniosité et d’initiative pour être admis à l’école de médecine: mettre sur pied des organismes d’aide internationale, pratiquer le sport à l’échelle nationale, remporter des prix universitaires prestigieux, publier abondamment, etc. Le simple fait qu’ils aient dû déployer tant d’efforts illustre une réalité dérangeante: le processus d’admission en médecine favorise les étudiants nantis. Pour les candidats qui doivent travailler chez McDonald’s afin de joindre les deux bouts, être astreints à des quarts de travail n’est pas l’idéal pour obtenir des résultats scolaires exceptionnels.
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Définir le contexte de l’éducation et de la formation des adultes : des constats inquiétants
L'ICÉA propose quatre indicateurs du contexte de l’éducation des adultes. Ces indicateurs ne sont pas alimentés par des données inédites: ils puisent plutôt dans les données produites annuellement par le ministère de l’Éducation. Cependant, ils mettent en valeur des données qui ont été sélectionnées et agencées afin de dresser un portrait de la diplomation des adultes, d’une part, et de leur situation à l’égard de la formation ou de l’emploi, d’autre part. À ce titre, l'ICÉA constate que: • le quart des jeunes adultes n’obtiennent pas de diplôme avant l’âge de 20 ans • un jeune de moins de 20 ans sur cinq passe du secteur des jeunes à celui des adultes sans avoir obtenu de diplôme • 20% des adultes de 25 ans et plus inscrits à la FGA n’ont pas de diplôme • et au moins 13% des jeunes adultes de 15 à 29 ans ne sont ni en emploi ni aux études.
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Planifier le contenu des cours en ligne
Créer son propre contenu ou se tourner vers des vidéos et des balados professionnels? Au cours des deux dernières années, le département d’études en enseignement de l’Université polytechnique Kwantlen s’est efforcé de repousser les limites de ce qu’un petit département peut faire pour créer des cours en ligne et des ressources numériques attrayantes.
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Une nouvelle publication de l’UNESCO et d’ONU Femmes vise à éradiquer la violence basée sur le genre en milieu scolaire
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Profitez du temps des fêtes pour sensibiliser vos proches et la classe politique aux enjeux de la pauvreté
Le Collectif pour un Québec sans pauvreté profite encore une fois de l’approche du temps des fêtes pour lancer une campagne de sensibilisation aux enjeux de la pauvreté. Les souhaits habituels (de bonheur, de santé, de prospérité, etc.) ont été remplacés par des citations, des messages de sensibilisation, de l’information et des revendications, toujours en lien avec la lutte contre la pauvreté, les inégalités et les préjugés. Le verso des cartes permet d’écrire des souhaits personnalisés et de les envoyer à vos proches et aux politiciens et politiciennes! Le Collectif enverra d’ailleurs sa série de cartes postales à tous les députés et à toutes les députées de l’Assemblée nationale.
Télécharger les cartes.
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Protéger la liberté d’expression : les Canadiens et les organismes de bienfaisance demandent une modification de la loi fédérales sur les organismes de bienfaisance
Les consultations publiques de dix semaines lancées par le gouvernement fédéral en vue de préciser les règles régissant la participation des organismes de bienfaisance à des activités politiques ont pris fin mercredi. Plus de 24 000 Canadiennes et Canadiens ont envoyé des lettres exhortant le gouvernement fédéral à réformer la loi sur les organismes de bienfaisance pour mettre fin aux restrictions imposées à la liberté d’expression des organismes de bienfaisance. De plus, des centaines d’organismes de bienfaisance et d’organismes à but non lucratif provenant de divers secteurs, y compris de la santé, du travail, de l’environnement, du développement international, communautaires et d’autres, ont soumis des présentations officielles et ont participé à des consultations en personne. «Le message des Canadien-ne-s et des organismes qu’ils appuient est clair : le Canada a besoin d’une nouvelle loi pour protéger la liberté d’expression des organismes de bienfaisance», déclare Sidney Ribaux, directeur général d’Équiterre.
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Mémoire du Réseau québécois de l’action communautaire autonome (RQ-ACA).
Mémoire de la Table des regroupements provinciaux d’organismes communautaires et bénévoles.
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Salaire minimum en région : l’IEDM et la politique de la peur
Le débat sur le salaire minimum n’est pas près de ralentir. Nous saurons bientôt ce que le gouvernement décidera de faire cette année: allons-nous encore imposer une hausse insuffisante ou, au contraire, Québec mettra-t-il de l’avant une augmentation conséquente afin de lutter contre le phénomène des travailleurs et travailleuses pauvres? Nous serons fixés bientôt. En attendant, les avis et analyses de se multiplient. Encore cette semaine, l’Institut économique de Montréal (IEDM) publiait une note économique qui, je cite, veut illustrer «comment une hausse substantielle du salaire minimum aurait un impact négatif démesuré en région». Le postulat des auteurs va à peu près comme suit: certaines régions ont des salaires beaucoup plus bas que le reste du Québec et conséquemment, leur marché du travail serait plus durement touché par une augmentation du salaire minimum. Puisque le salaire minimum est décidé au niveau national, l’IEDM a voulu préciser certains enjeux en régionalisant son analyse. Bien entendu, il s’agit d’une louable intention. Or, les résultats surprennent un peu.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Déclaration sur l'itinérance des femmes
Pour faire suite à l’événement L’itinérance des femmes : construire une voix pour contrer l’invisibilité, la Table des groupes de femmes de Montréal et ses partenaires ont élaboré une déclaration sur l’itinérance des femmes. Un processus de consultation a été effectué auprès de plusieurs groupes afin de la bonifier. Les organismes de Montréal, Laval et de la Montérégie sont particulièrement invités à la signer ici.
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Le FRAPRU demande au gouvernement Couillard de respecter le large consensus sur l’avenir du logement social
Le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) a profité de la dernière de 18 rencontres gouvernementales de consultation sur une nouvelle approche d’intervention en habitation pour demander au gouvernement Couillard de respecter le très large consensus qui s’est dégagé, durant cette tournée, en faveur de la préservation, de l’amélioration et de la bonification du seul programme de financement de nouveaux logements sociaux au Québec, AccèsLogis. Le FRAPRU a fait cette demande lors d’un rassemblement organisé lundi, avant la rencontre de consultation, par ses groupes membres de la Capitale nationale. Il l’a répété lors de la rencontre elle-même.
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François Saillant fait le bilan de 38 ans au FRAPRU
François Saillant, qui a été, pendant près de 38 ans, coordonnateur du Front d’action populaire en réaménagement urbain, prendra sa retraite du FRAPRU, le 22 décembre. « Je quitte un emploi et des responsabilités, mais assurément pas la cause du droit au logement pour laquelle je continuerai à me battre. Je n’abandonne pas davantage le militantisme qui continuera, sous des formes différentes, à faire partie de ma vie », a-t-il commenté. Le FRAPRU a annoncé que Marie-José Corriveau et Véronique Laflamme, qui étaient déjà à son emploi, occuperont respectivement les postes de coordonnatrice et de principale porte-parole de l’organisme.
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Lire l’entrevue donnée à La Presse.
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Ottawa facilite les sites d’injection supervisée
Ottawa annonce qu’il facilitera la mise sur pied de centres d’injection supervisée à travers le pays, tout en s’attaquant à la production et l’importation des opioïdes. Le gouvernement Trudeau veut ainsi changer l’approche conservatrice en matière de lutte contre les drogues en en faisant un enjeu de santé publique plutôt que de criminalité. La ministre de la Santé, Jane Philpott, a annoncé lundi une nouvelle «Stratégie canadienne sur les drogues et autres substances», remplaçant la stratégie «antidrogue» du gouvernement précédent. Le maire de Montréal, Denis Coderre, s’est réjoui de l’annonce d’Ottawa, soulignant que l’implantation de trois sites d’injection supervisée figure dans le Plan d’action montréalais en itinérance depuis plus de deux ans.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
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Un citoyen dévoué aux personnes itinérantes
Tous les mercredis, Jean-René Bernier enfourche son vélo et va distribuer des sandwichs, du café et des paroles amicales aux personnes itinérantes du quartier Villeray. Jean-René a trouvé sa mission il y a environ un an et demi au parc Jarry, à 4h du matin. Désespéré de ne pas pouvoir travailler, il pensait au suicide. Soudainement, un homme est sorti d’un grand coffre à rangement installé par la Ville, où il dormait. «Ça m’a frappé, c’était irréel. Je lui ai dit: “Toi, tu viens de changer ma vie”» a raconté celui qui consacre maintenant son temps à apaiser les souffrances des personnes seules et itinérantes.
Lire la suite du texte du journal Métro.
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Racistes ou démunis, les policiers de Val-d’Or? 85% des contraventions signifiées pour désordre public le sont à des autochtones
Les autochtones sont — et de loin — les personnes qui reçoivent le plus de constats d’infraction dans la ville de Val-d’Or. Dans la ville où l’offre en santé et services sociaux pour les personnes vulnérables «paraît peu consolidée», les policiers se retrouvent bien seuls pour gérer des situations pour lesquelles ils ne sont pas formés, conclut une recherche qui a été dévoilée vendredi. L’étude, menée par Céline Bellot de l’Université de Montréal et Marie-Ève Sylvestre de l’Université d’Ottawa, révèle que la quasi-totalité des constats (85%) remis par les policiers de la Sûreté du Québec (SQ) à Val-d’Or le sont en vertu du Règlement sur les nuisances, la paix, le bon ordre et les endroits publics, ou règlement 2003-40. Elle révèle aussi que plus des trois quarts de ces constats (76,2%) sont remis à des personnes autochtones.
Lire la suite du texte du Devoir.
Constats d’infraction délivrés aux sans-abri : des pistes pour briser le cercle vicieux.
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Les écologistes font du Québec un leader en environnement : lancement d’une campagne de reconnaissance et de financement
Le Réseau québécois des groupes écologistes (RQGE) appelle la population à signer une pétition demandant au premier ministre de soutenir les groupes écologistes. Acteurs incontournables d’un Québec qui vise à être un leader en environnement, les groupes communautaires en environnement sont plus vulnérables que jamais. À bout de souffle dû à l’absence de financement à la mission, ces groupes peinent à accomplir leur mandat. Alors que le budget du ministère du Développement durable de l’environnement et de la lutte contre les changements climatiques (MDDELCC) ne représente que 0,2% du budget de la province, les groupes communautaires en environnement sonnent l’alarme. Les groupes environnementaux revendiquent un financement adéquat permettant la pérennisation de leur mission, entre autres, par le rétablissement et la bonification du soutien à la mission des groupes nationaux, insuffisant depuis des années et désormais non reconduit, ainsi qu’un financement à la mission pour les organismes locaux et régionaux.
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Changements climatiques, transition et droits humains : quelques questions et pistes de réflexion
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Les changements climatiques constituent, pour les droits de la personne, une des plus grandes menaces auxquelles l’humanité fait face. Or, s’il est nécessaire et urgent de lutter contre les changements climatiques et d’adopter rapidement des mesures de transition et d’adaptation, les différentes avenues proposées pour y arriver ne s’équivalent pas en termes de respect des droits de la personne. Comme la lutte aux changements climatiques exige une remise en cause des fondements de l’ordre économique, politique et social, et qu’elle comprend une dimension d’urgence, elle crée une occasion unique de nous mobiliser collectivement pour effectuer un virage vers une société plus juste et respectueuse des droits. Mais elle comporte aussi de nombreux pièges et risques de dérives. Pour éviter ces pièges et pour que la lutte aux changements climatiques ouvre des voies vers cette société pour laquelle nous militons, il nous faut y réfléchir collectivement tout en soutenant la mobilisation. Par ce document, la LDL souhaite participer à la réflexion collective par des questions sur lesquelles il lui apparait incontournable et urgent de se pencher du point de vue des droits de la personne.
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Une vague de compteurs d’eau résidentiels s’annonce-t-elle au Québec?
La Stratégie québécoise d’économie de l’eau potable arrive à échéance au 31 décembre 2016. Les objectifs de cette Stratégie sont de : • Réduire d’au moins 20% la quantité d’eau distribuée en moyenne par personne pour l’ensemble du Québec par rapport à l’année 2001 • Réduire le taux de fuites pour l’ensemble des réseaux d’aqueduc à un maximum de 20% du volume d’eau distribué et à un maximum de 15 mètres cubes par jour par kilomètre de conduite. La Stratégie, lancée en 2011, prévoyait plusieurs étapes à mi-parcours pour évaluer la progression et l’atteinte des résultats. Une évaluation en 2014 devait statuer sur le besoin d’installer des compteurs d’eau dans le secteur des Industries, commerces et institutions (ICI). À l’approche du terme de la Stratégie, plusieurs municipalités annoncent l’installation de compteurs d’eau dans les ICI, mais en profitent également pour étendre la mesure au secteur résidentiel. C’est le cas de la Ville de Saguenay, qui a annoncé cette mesure à la mi-novembre. La Ville de Farnham emboîte le pas en installant des compteurs pour chaque résidence d’un nouveau quartier en construction, aux frais des acheteurs.
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Analyse d’un investissement de la Caisse de dépôt et placement du Québec dans le réseau de transport en commun de Vancouver
Cette note de l’Institut de recherche en économie contemporaine analyse les données du Partenariat public-privé Canada Line. Les pouvoirs publics ont fourni 65% des fonds utilisés pour la construction de Canada Line, la contribution du consortium s’étant établie à 35%. L’examen des conditions de partage des risques entre les partenaires laisse poser la question de la pertinence dans ce cas du recours à la formule PPP. Ces résultats fournissent un éclairage qui pourra être utile à la compréhension des enjeux du projet REM.
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Bien communiquer avec son médecin est bon pour la santé
Bon nombre de gens considèrent les médecins comme des experts de la médecine en tant que «science». En trente ans de métier comme omnipraticienne, j’ai appris que maîtriser l’«art» de la médecine est tout aussi important. Et que la relation thérapeutique empreinte de sollicitude que nous entretenons avec nos patients en constitue le fondement. J’accompagne mes patients dans les épisodes marquants d’une vie – la naissance, la maladie et la mort – ainsi que dans des moments plus banals, lorsqu’ils se font du souci à propos de quelque chose, par exemple, ou veulent des conseils sur les mesures à prendre pour conserver une bonne santé. Avec les années, j’ai compris que le resserrement du lien avec les patients passe par une bonne conversation.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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