Nouvelles du SPPEUQAM – 9 janvier 2025 ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­ ͏ ‌     ­
Nouvelles du SPPEUQAM – 9 janvier 2025
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Entre vous et moi

Vous ne trouverez pas de nouveau rapport de la négo dans cette infolettre parce qu’il n’y a rien eu de nouveau depuis la rencontre du 19 décembre lors de laquelle il n’y avait rien eu de nouveau, mais ce rien de nouveau nous a amenés à annoncer le déclenchement de la grève pour le lundi 3 février. Sachez que nous ne ferons pas la grève pour le plaisir, mais parce que nous arrivons à la conclusion que c’est la seule façon de ramener l’UQAM à la raison.

J’ai visionné avec plaisir les vœux de notre recteur pour une magnifique année 2025 sous le signe de la santé, de la joie de vivre et de la paix. Il ajoute : « Soyons fiers d’appartenir à cette communauté toujours à l’avant-garde. » Joie de vivre, paix et communauté à l’avant-garde : ça donne l’impression qu’il mandate ses négociateurs pour vraiment trouver un règlement au conflit.

Puis il invite la communauté à travailler ensemble pour accomplir le nouveau plan stratégique de l’UQAM. Nos revendications sont au cœur de deux des axes de ce plan (enrichir l’expérience étudiante et faire du Quartier Latin un quartier apprenant) : des groupes-cours qui demeurent à taille humaine et le développement de cours en ligne qui ne se fasse pas au détriment des cours en présence. Il faudrait bien que les bottines suivent les babines, quoiqu’un autre axe dit de valoriser la langue française partout et à chaque instant, alors que l’UQAM permet que certains EQE nécessitent la maitrise de l’anglais pour enseigner en français. On n’en est pas à une contradiction près.

Je garde toutefois espoir qu’il s’adressait aussi aux personnes chargées de cours quand je l’entends terminer son laïus par ces mots : « Excellente année à toutes et tous et que vos rêves se réalisent. » Sinon, faute d’être à l’avant-garde et de reconnaitre notre surcharge, la joie de vivre et la paix ne seront pas pour toutes et tous.

Bonne lecture,

Richard Bousquet
Vice-président à l’info du SPPEUQAM

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À l'agenda

Jusqu'au 31 janvier : Demandes de reconnaissance des EQE pour les cas de diplôme supplémentaire, nouveaux enseignants et nouveaux cours
10 janvier : Date limite pour déposer une demande de Perfectionnement de courte durée
17 janvier : Date limite pour remettre un projet d'intégration à votre CLL
12 au 21 février : Affichage principal – Trimestre Été 2025
Jusqu'au 13 février : Exposition Un jardin la nuit de Caroline Hayeur à la Cinémathèque québécoise
8 au 13 mars : Période de demande annuelle d'EQE

Agenda militant avec la collaboration du CCMM-CSN :
16 et 17 janvier 2025 : Colloque pour bâtir des ponts pour l’inclusion

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SPPEUQAM

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Grève enseignante à l’UQAM à compter du 3 février

Grève enseignante à l’UQAM à compter du 3 février

Devant l’immobilisme de la partie patronale à la table de négociation, les membres du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’Université du Québec à Montréal (SPPEUQAM–CSN) déclencheront la grève le 3 février prochain. Ils mettent ainsi en application le mandat obtenu à 86 % lors de leur assemblée générale du 2 décembre dernier.

Les 2100 chargé-es de cours qui donnent plus de 60 % des cours au premier cycle constatent, après un an de négociations, que la direction de l’UQAM ne veut toujours pas reconnaitre la surcharge de travail occasionnée par la préparation et l’encadrement des cours en ligne. L’UQAM refuse d’établir des balises pour le développement de ces cours afin qu’ils ne se fassent pas au détriment des cours en présence et refuse également d’assurer que les groupes-cours demeurent à taille humaine. La direction souhaite plutôt créer deux classes d’enseignants et d’enseignantes à l’UQAM, en différenciant les conditions de travail des permanentes et permanents, ainsi que des contractuel-les, et pérenniser les pouvoirs qu’elle s’est arrogés durant la pandémie alors que les chargé-es de cours étaient contraints d’enseigner en visioconférence. Maintenant que près de 25 % des cours de l’institution et plus de 60 % des cours de certains départements sont rendus en ligne, l’UQAM refuse toujours d’en négocier les conditions de travail.

« Nous annonçons la date de déclenchement de la grève plus de trois semaines à l’avance pour que tout le monde puisse s’y préparer, mais aussi pour donner la chance à la direction de revenir à la table avec des offres sérieuses qui répondent aux demandes réalistes du syndicat sur le plan pédagogique », affirme Olivier Aubry, président du SPPEUQAM–CSN.

Des appuis importants du mouvement CSN.

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Nouvelle convention collective pour l'employée du SPPEUQAM

Nouvelle convention collective pour l'employée du SPPEUQAM

Le Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l'UQAM et son employée, Violaine Gasse, ont ratifié le 18 décembre 2024 la nouvelle convention collective qui sera en vigueur jusqu'au 31 décembre 2030. Violaine porte maintenant le titre d'adjointe administrative et un nouveau titre d'emploi de commis a été créé pour les autres employées occasionnelles.

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Monde syndical

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Une menace de grève enseignante plane sur l'UQAM pour février 2025

Une menace de grève enseignante plane sur l'UQAM pour février 2025

Si rien ne bouge à la table de négociation, une grève enseignante sera déclenchée à l'Université du Québec à Montréal (UQAM) le 3 février prochain. On ignore combien de temps elle durera. «[...] Le retour sera prévu lorsque l’UQAM nous proposera des conditions acceptables, ce qu’elle n’a pas fait depuis un an», a précisé le syndicat à Noovo Info jeudi dans un échange de courriels. Les membres du SPPEUQAM-CSN prévoient tenir des lignes de piquetage aux entrées de l'UQAM pendant la grève. La grève des chargés de cours de l'UQAM aura évidemment un impact direct sur les étudiants. «Nous donnons près de 60 % des cours au premier cycle. Ces cours ne se donneront pas, mais il se pourrait que les cours donnés par les profs permanents ne se donnent pas non plus si les profs ou les étudiants ne franchissent pas nos lignes de piquetage», a précisé à Noovo Info Richard Bousquet vice-président du SPPEUQAM-CSN.

• Journal de Montréal : Les enseignants de l’UQAM annoncent une grève pour le 3 février.

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Grève enseignante à l’UQAM : l'appui du mouvement CSN

Grève enseignante à l’UQAM : l'appui du mouvement CSN

« Les professeures et professeurs enseignants de l’UQAM peuvent compter sur leurs collègues de tous les collèges, cégeps et universités du Québec, soutient Benoit Lacoursière, président de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ–CSN). Cette négociation pourrait avoir des répercussions sur l’ensemble des chargé-es de cours des autres universités québécoises. » « Leurs revendications sont déterminantes pour l’avenir. Nous sommes solidaires de leur lutte à 100 % », ajoute Dominique Daigneault, présidente du Conseil central du Montréal métropolitain–CSN. « Le SPPEUQAM–CSN négocie sur un enjeu unique qui touche l’ensemble de la profession d’enseignantes, d’enseignants et de professeur-es. Les demandes du syndicat sont justes et raisonnables. Ce n’est pas parce qu’une activité se déroule en mode virtuel que les règles normales et les conditions de travail adéquates doivent cesser de s’appliquer », estime Caroline Senneville, présidente de la CSN.

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Le syndicat des professeurs de l’UQAM s’oppose au projet d’Hydro-Québec dans le Quartier latin

Le syndicat des professeurs de l’UQAM s’oppose au projet d’Hydro-Québec dans le Quartier latin

Le syndicat des professeurs de l’UQAM (SPUQ) s’oppose au projet d’Hydro-Québec de planter à proximité de la Grande Bibliothèque un mégaposte de transformation électrique de 315 000 volts. Une résolution à cet effet a été adoptée à l’unanimité. « Les professeurs se sentent tout naturellement concernés », explique au Devoir Catherine Gosselin, secrétaire générale du syndicat. « Nous pensons que dès que les étudiants seront mieux informés de cette situation, ils vont se mobiliser eux aussi. » Pour le syndicat, ce projet, tel qu’il est mené, va contre les intérêts du quartier et de la communauté universitaire qui est en son cœur. Pour le syndicat des professeurs, l’implication et la participation de l’UQAM dans un projet de relance et de revitalisation du Quartier latin doivent se fonder sur les liens entre les arts, la société et l’éducation, auxquels le quartier doit son identité. Or, ce rapport à l’espace du quartier est contrecarré par le projet d’Hydro-Québec, estime le SPUQ, qui regroupe près de 1200 professeurs répartis dans 40 départements et écoles.

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Restreindre le droit de grève : le ministre Boulet doit y réfléchir à deux fois

Restreindre le droit de grève : le ministre Boulet doit y réfléchir à deux fois

« Nous invitons le ministre Boulet à y réfléchir à deux fois ; l’utilisation de l’article 107 par le ministre fédéral du Travail est actuellement contestée devant les tribunaux et pourrait bien être jugée non constitutionnelle, réagit la présidente de la CSN, Caroline Senneville, aux propos de Jean Boulet, concernant le droit de grève et la possible révision du Code du travail. À la CSN, on travaille toujours fort à la négociation, personne ne vote la grève par plaisir. Pour qu’il y ait moins de conflits, il faut se doter de mécanismes efficaces et accessibles de médiation et de conciliation et non pas travailler pour déséquilibrer le rapport de force en faveur des employeurs. Rappelons que des conflits de travail ne sont pas tous déclenchés par des grèves. Certains le sont par les employeurs eux-mêmes, alors qu’ils placent leurs travailleuses et leurs travailleurs en lock-out. On constate d’ailleurs une hausse de l’utilisation de cette tactique patronale au cours de la dernière année. Les employeurs ont aussi souvent recours à des briseurs de grève alors que le Code du travail l’interdit. Le ministre devrait se pencher là-dessus, car les conséquences pour les employeurs sont minces et tout cela prolonge inutilement les conflits. »

• SCFP : Le ministre Boulet, le grincheux qui tente de voler le droit de grève.
• CSQ : Services essentiels en éducation : Boulet perdrait son image de «ministre équilibré».

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«Ce qu’on voit présentement, c’est le début de l’austérité», prévient la CSQ

«Ce qu’on voit présentement, c’est le début de l’austérité», prévient la CSQ

Les restrictions imposées l’an dernier au réseau de l’éducation ne représentent que le « début » de « coupures » qui pourraient prendre de l’ampleur en marge du prochain budget du gouvernement Legault, en mars prochain, appréhende le président de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), Éric Gingras, en entrevue avec Le Devoir. « Ce qu’on voit présentement, c’est le début de l’austérité », a prévenu lundi M. Gingras, pendant la période des questions qui a suivi une conférence de presse tenue à Montréal pour présenter les priorités de la CSQ en éducation en 2025. L’an dernier, plusieurs mesures ont été prises par le gouvernement au nom de la saine gestion des finances publiques. La mise en place d’un gel du recrutement externe dans la fonction publique québécoise a notamment fait mal aux cégeps, qui peinent d’autre part à rénover et à agrandir des établissements surpeuplés et en piètre état. Les écoles publiques ont aussi écopé de restrictions budgétaires limitant leur capacité à bien entretenir leurs immeubles vieillissants.

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Le changement en éducation passe par une grande réflexion collective

Le changement en éducation passe par une grande réflexion collective

Les Québécoises et les Québécois veulent du changement en éducation et près de 70 % estiment qu’une grande réflexion collective pour développer une vision claire et un plan à long terme pour le réseau s’impose. C’est ce que révèlent les résultats d’un sondage Léger mené pour le compte de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). « Le constat qui se dégage de ce sondage, c’est que le portrait du réseau d’éducation, dans l’esprit des Québécoises et des Québécois, n’est pas reluisant. Cela étant dit, ils estiment très majoritairement que l’éducation doit être une priorité. Et quand on leur donne l’occasion de rêver, leurs aspirations concordent avec celles du personnel du réseau. Ce n’est pas sorcier : il y a des problèmes de fond en éducation et il faut prendre le temps de s’y pencher, en incluant tous les partenaires du réseau. Il nous faut une vision à long terme et un plan structurant », a fait valoir le président de la CSQ, Éric Gingras, en conférence de presse le 6 janvier. « Le sondage confirme la perception négative qu’ont les Québécoises et les Québécois du réseau d’éducation. D’ailleurs, la gestion en fonction de la prochaine rentrée scolaire, c’est aussi un élément qui se dégage de ce coup de sonde. Il faut rebâtir la confiance. La bonne nouvelle, c’est que c’est possible. Il ne manque que la volonté politique. »

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Le journal l’Unité du CCMM-CSN du mois de décembre

Le journal l’Unité du CCMM-CSN du mois de décembre 

Le Conseil central du Montréal métropolitain (CCMM-CSN) vient de publier son journal l’Unité du mois de décembre. Au sommaire : • Éditorial : Une année dont on se souviendra longtemps • Petite rétrospective en images de 2024 !

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GMF : le gouvernement facilite l’exode du personnel vers le secteur privé

GMF : le gouvernement facilite l’exode du personnel vers le secteur privé

La CSN dénonce la décision du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) de permettre aux groupes de médecine familiale (GMF) d’embaucher leurs propres ressources humaines plutôt que de devoir recourir au personnel des CISSS et des CIUSSS. « Alors qu’on a déjà de la difficulté à recruter et à garder le personnel dans le réseau, le gouvernement vient encore faciliter l’exode de précieuses ressources du public vers le secteur privé », déplore la présidente de la CSN, Caroline Senneville. Jusqu’à présent, le personnel infirmier et les professionnel-les étaient des salarié-es du réseaupublic de santé que les CISSS et les CIUSSS attribuaient aux GMF. À la suite de cette décision – annoncée en catimini le 18 décembre dans le bas d’un communiqué du MSSS – les infirmières et les professionnel-les des GMF pourront sortir complètement du réseau public.

Autres textes reliés à la santé :
• Cliniques ELNA : la CSN demande le rapatriement au public.
• 1,7 million en consultants externes : Les dépenses de Santé Québec ne passent pas.
• Compressions : Une psychologue perd son emploi, des dizaines de patients touchés.
• Une étude ravive le débat houleux sur l’ajout de fluor dans l’eau courante.
• Dans la crise de la santé mentale, des villes veulent retirer la police de l’équation.
• Discours de la présidente de la CSN : Pas de profit sur la maladie.
• Entrevue de la présidente de la CSN à Zone Économie sur le privé en santé.

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Amazon met à pied une trentaine d’employé-es à l’entrepôt DXT4

Amazon met à pied une trentaine d’employé-es à l’entrepôt DXT4

Après une période des Fêtes des plus achalandées, c’est une trentaine d’employé-es qui ont été froidement remerciés par Amazon à son centre de distribution DXT4 à Laval. La CSN dénonce vivement ces congédiements déguisés, la deuxième vague de ce genre à l’entrepôt DXT4 depuis la syndicalisation de ses 300 employé-es en mai dernier. Plutôt que de mettre à pied les personnes les plus récemment embauchées, comme il est d’usage, Amazon s’en prend cette fois à des employé-es engagés il y a plus de six mois. « Amazon traite ses employé-es comme de la main-d’œuvre jetable. Comme des commodités dont on dispose après usage, plutôt que des êtres humains qui ont des familles à leur charge. Amazon les renvoie sans aucune justification et sans qu’ils puissent avoir droit à un rappel au travail au cours des prochaines semaines », déplore la présidente de la CSN, Caroline Senneville. En procédant ainsi, Amazon met en lumière les raisons pour lesquelles les employé-es ont fait le choix de se syndiquer, estime le président du Syndicat des travailleuses et des travailleurs d’Amazon Laval–CSN. Le syndicat de l'entrepôt DXT4 d'Amazon a déployé une bannière au-dessus de l’autoroute 15 mardi.

Autres nouvelles syndicales :

• Les employé-es d’Amazon DXT4 se mobilisent avant de recevoir les offres salariales.
• Grève imminente chez Autobus La Montréalaise.
• Le personnel de la Commission scolaire Kativik en grève.
• Chauffeurs d'autobus : Les trois syndicats CSN adoptent l’entente de principe.
• Entente de princupe pour les cols blancs de Trois-Rivières.
• Une hausse salariale de 6% pour les travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec.
• Les agents correctionnels du Canada concluent des ententes de principe.
• Postes Canada : Des audiences sur les conditions de travail dès janvier.
• Négos dans les CPE : ententes de principe à la CSQ et à la FTQ, pas encore à la CSN.
• Les employés du CN ratifient leur nouvelle convention collective.

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Grève de soirs et de fins de semaine pour le personnel professionnel de Revenu Québec

Grève de soirs et de fins de semaine pour le personnel professionnel de Revenu Québec

À l’approche de la saison des impôts, les quelque 5 850 professionnelles et professionnels de Revenu Québec seront en grève de soirs et de fins de semaine à compter du 18 janvier. Le Syndicat des professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) a décidé de déclencher la grève devant les pratiques répétées d’entrave et de négociation de mauvaise foi de l’employeur. « Malheureusement l’employeur a démontré à maintes reprises lors de la négociation de la convention collective qu’il était de mauvaise foi et il a dépassé les bornes. D’ailleurs, une 3e plainte a été déposée au Tribunal administratif du travail avant les Fêtes, du jamais vu pour le SPGQ au cours d’une même négociation », déplore le président du SPGQ, Guillaume Bouvrette. Les heures de travail pendant la grève seront du lundi au vendredi de 8 h 15 à 16 h 45. Les opérations critiques pour maintenir l’efficacité et la continuité des systèmes administratifs, qui se déroulent habituellement en dehors des heures ouvrables, seront perturbées.

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Monde social et de l'Éducation

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Ces réformes scolaires qui n’améliorent pas la réussite

Ces réformes scolaires qui n’améliorent pas la réussite

Il est temps de mettre de l’avant des réformes fondées sur des données probantes, notamment l’enseignement explicite, proposent les cosignataires d'un texte publié dans La Presse. Dans son ouvrage Left Back (2001), Diane Ravitch analyse les différentes réformes scolaires menées aux États-Unis au cours du XXe siècle. Son constat est troublant : aucune de ces réformes n’améliore la réussite des élèves. Pourquoi ? Parce qu’elles sont fondées sur des théories non prouvées et inapplicables. Du côté francophone, les réformes effectuées en Suisse, dans le canton de Genève, et en Belgique montrent également des effets plutôt négatifs sur les résultats des élèves. Le même phénomène est observé au Québec. Les résultats présentés par la Table de pilotage du ministère de l’Éducation en 2006 et 2007 indiquent que les performances des élèves de 6e année n’ayant pas vécu la réforme sont supérieures à celles des élèves ayant vécu la réforme. Comme les piètres résultats démontrés par la Table de pilotage au primaire n’entament nullement l’enthousiasme du ministère de l’Éducation, la réforme est prolongée et maintenue au secondaire, où elle obtient également des résultats médiocres (Larose, 2015).

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Retour sur l’année 2024 : Une année éprouvante pour les enfants du Québec

Retour sur l’année 2024 : Une année éprouvante pour les enfants du Québec

L’année 2024 a été particulièrement difficile pour les jeunes du Québec, victimes de la grève des enseignants et des écrans, des dérapages religieux et des abus sexuels à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ), rapporte La Presse. En janvier, près d’un demi-million d’élèves ont retrouvé le chemin de l’école après avoir manqué cinq semaines de classe en raison des grèves du Front commun et de la Fédération autonome de l’enseignement. L’écart a pu se creuser entre les élèves du public et ceux du privé, et entre les élèves forts et les élèves faibles, qui se relevaient à peine de la pandémie de COVID-19, selon le spécialiste de la réussite scolaire Égide Royer. Par ailleurs, un enfant sur cinq souffre d’insécurité alimentaire au Québec, a martelé cet automne le chef parlementaire de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois. La dernière année aura été marquée aussi par le recrutement d’adolescents par des gangs criminels. Plusieurs évènements violents survenus cet automne impliquent des mineurs.

Autres textes sur 2024 :
• 2024 : Une année de serpents (et de quelques échelles) à l'international.
• Plus de 5600 personnes tuées par la violence des gangs en Haïti en 2024.


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L’IA au service de la pub

L’IA au service de la pub

L’intelligence artificielle se développe à un rythme fulgurant et les agences de publicité n’échappent pas à son attrait. Recherche d’idées, création d’éléments audios et visuels, tâches administratives : le milieu québécois de la publicité est en pleine exploration de cet outil à tout faire qui suscite autant de craintes qu’il ouvre de possibilités. Un dossier de Lylou Nicastro dans La Presse. Bien que nous soyons loin des publicités 100 % générées par l’intelligence artificielle, celle-ci fait son chemin depuis quelques années dans le milieu publicitaire québécois. Mais Coca-Cola a sauté à pieds joints dans l’arène. Se voulant nostalgique, elle a revisité une de ses publicités phares du temps des Fêtes, cette fois générée par l’IA, et a causé bien des remous.

Autres textes sur l'IA :
• IA, lunettes connectées et robotaxis pour 2025.
• Une IA plus modeste, mais omniprésente.
• Le Québec au CES, comme faire « trois fois le tour du monde ».
• Microsoft va dépenser 80 milliards dans les infrastructures.

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Les Jésuites ferment définitivement la revue «Relations» et le Centre justice et foi

Les Jésuites ferment définitivement la revue «Relations» et le Centre justice et foi 

Le nouveau Provincial des Jésuites du Canada, le père Jeffrey S. Burwell, a décidé de fermer définitivement le Centre justice et foi (CJF), créé en 1983 pour diffuser la pensée sociale de l’Église. Dans la foulée, la revue Relations, l’aînée des revues culturelles du Québec, en veille depuis mars 2024, ferme également, comme l’ont annoncé par communiqué les Jésuites jeudi matin. Rappelons qu’en mars 2024, le conseil d’administration du CJF avait mis à pied, avec un délai de 48 heures, 10 de ses 12 employés — les deux employés restant étaient alors en congé de maladie. D’après des témoignages recueillis par Le Devoir auprès de différents acteurs passés et présents du CJF, ce désengagement des Jésuites suivrait une dévalorisation et un abandon des œuvres francophones de l’ordre, des œuvres qui se caractérisaient par un esprit critique et une liberté plus vive que dans leurs pendants anglophones.

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Immigration : Les nouveaux arrivants restent de plus en plus au Québec

Immigration : Les nouveaux arrivants restent de plus en plus au Québec

Les nouveaux arrivants choisissent de plus en plus de rester au Québec, selon de nouvelles données de Statistique Canada. Pendant ce temps, la croissance démographique du Canada connaît son rythme le plus bas en deux ans. Le Québec affiche l’un des taux de rétention des nouveaux arrivants les plus élevés au pays, rapporte La Presse. En 2022, 93,4 % des immigrants admis y résidaient toujours un an après leur arrivée, contre 84,6 % en 2019. Cette progression réduit presque entièrement l’écart avec l’Ontario, qui affiche un taux de rétention de 94,6 %. L’amélioration est particulièrement marquée parmi les immigrants de la catégorie économique. À l’inverse, des provinces comme Terre-Neuve-et-Labrador et la Nouvelle-Écosse voient leurs taux de rétention chuter.

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Les itinérants de plus en plus nombreux à se réfugier à l’urgence

Les itinérants de plus en plus nombreux à se réfugier à l’urgence

De plus en plus de personnes en situation d'itinérance ont recours aux salles d'urgence dans les centres hospitaliers en guise de refuge, notamment lors des périodes de grand froid, rapporte Radio-Canada. Le constat est flagrant dans certains hôpitaux de Montréal, où des médecins demandent aux autorités d’en faire davantage pour fournir les ressources nécessaires à cette population vulnérable. À l'hôpital Notre-Dame, au centre-ville de Montréal, il arrive par temps froid qu’une dizaine de personnes en situation d’itinérance se présentent aux urgences, sous des prétextes médicaux, pour y passer la nuit. Un phénomène qui pourrait continuer de s’intensifier, compte tenu des circonstances.

Autres textes en lien avec l'itinérance et le logement :
• La demande explose dans les banques alimentaires.
• La demande d’aide alimentaire ne fera qu’augmenter.
• Des milliers de ménages retirés de la liste d’attente pour un logement social à Montréal.
• Des locataires évincés pour permettre la démolition de leurs logements à Laval.
• Le «squat de luxe» en sursis.
• Logement : Six choses qui vont (un peu) mieux.

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Les 100 p.-d.g. les mieux payés au Canada ont déjà gagné plus que le salaire annuel moyen

Les 100 p.-d.g. les mieux payés au Canada ont déjà gagné plus que le salaire annuel moyen

Le 2 janvier, à 10 h 54, les 100 p.-d.g. les mieux payés au Canada ont déjà gagné 62 661 $, soit la rémunération annuelle moyenne des travailleurs, révèle le Centre canadien de politiques alternatives (CCPA) dans une étude parue la semaine dernière. L’organisme calcule que les dirigeants les mieux payés ont empoché 13,2 millions de dollars en moyenne en 2023, soit 210 fois plus que le travailleur lambda. En 1998, les dirigeants les mieux payés gagnaient 104 fois plus que le travailleur moyen. Il n’aura donc fallu à ces patrons qu’un jour férié et quelques heures de travail en 2025 pour toucher plus quela moyenne des ours. La rémunération annuelle moyenne des p.-d.g. comprend le salaire, les primes, la valeur de la pension et toutes autres formes de rétribution. Elle s’élevait à 14,9 millions en 2022 et à 14,3 millions en 2021.

Autres nouvelles économiques :
• Les Québécois s’enrichissent, malgré l’inflation.
• Pour en finir avec le retard économique sur l’Ontario.
• Plus cher ou moins cher qu’en 2000 ?

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2025 : Cinq tendances sociales à suivre en culture Web

2025 : Cinq tendances sociales à suivre en culture Web

Le numérique n’est pas virtuel, mais réel : il a des conséquences concrètes sur nos vies, peut-on lire dans la chronique de Daphné B. dans La Presse. À l’aube de la nouvelle année, voici quelques tendances déjà bien engagées qui risquent de s’accentuer, pour le meilleur ou pour le pire : • Parlez-vous le « brain rot » ? • L’impact des réseaux sociaux sur nos enfants • Place aux e-déologies • La vision spéculative • L’instavidéaste ordinaire.

Autres textes sur les perspectives en 2025 :
• Projet 2025 : Guide pour un grand virage à droite (5 textes).
• Prédictions 2025 : de quoi aura l’air le monde du travail.
• 2025 sera-t-elle l’année des grandes ruptures en culture?
• Les enjeux environnementaux à surveiller en 2025.
• Des souhaits sous le sapin pour le climat.

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Depuis l'an 2000 : Comment les GAFAM sont-ils devenus si gros?

Depuis l'an 2000 : Comment les GAFAM sont-ils devenus si gros?

Déjà 25 ans depuis l’an 2000. Le Devoir replonge dans un quart de siècle jalonné par des événements marquants et de nouvelles tendances qui façonnent encore notre société. Dans cet article : la naissance et la suprématie des Google, Amazon, Facebook (Meta), Apple et Microsoft de ce monde. Leur valorisation boursière se chiffre désormais en milliers de milliards de dollars américains, mais il y a un quart de siècle, la plupart de ces jeunes entreprises n’avaient aucun modèle d’affaires. Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft se sont hissés au sommet en éliminant la concurrence grâce au soutien de leurs investisseurs et à des stratégies « oligopolistiques », selon des experts consultés par Le Devoir.

Autres textes du Devoir sur Déjà 25 ans depuis l'an 2000 :
• Des mégaentreprises qui perturbent le pouvoir des États.
• 25 ans de promesses tenues et non tenues par nos politiciens.
• L’État-providence, de mal en pis?
• De rares, les logements sont devenus inabordables au Québec.
• Un métro encore loin d’être efficace.
• Qu’est devenue la consommation type d’un Québécois en 25 ans?
• L’argent comptant, une espèce en voie de disparition.
• Des Québécois en meilleure santé et plus heureux?
• Le grand bond en avant de la conciliation famille-travail.
• Tourner le dos aux projets d’énergies fossiles a-t-il rendu le Québec plus «vert»?
• L’entrée périlleuse des États-Unis dans le nouveau millénaire.
• Comment les théories du complot ont-elles influencé les 25 dernières années?
• De la mondialisation triomphante à la fragmentation. Ou pas.
• Le quart de siècle d’agonie du clivage souverainiste-fédéraliste.
• Le livre papier est-il le nouveau vinyle?
• Absences et présences autochtones dans la littérature québécoise.
• Tinder, ce «point de bascule» des rencontres amoureuses.
• Des réalisatrices et des plafonds de verre.
• Parler «à» notre téléphone.
• Une vie dans un téléphone.
• Le véritable casse-tête des mots de passe.

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Le Québec est-il devenu exemplaire sur le plan climatique?

Le Québec est-il devenu exemplaire sur le plan climatique?

Le premier ministre du Québec, François Legault, a vanté à plusieurs reprises le bilan de gaz à effet de serre (GES) de la province en soulignant que les émissions par habitant sont plus faibles que celles de la moyenne canadienne. Pris individuellement, les Québécois émettent toutefois beaucoup trop de ces gaz polluants pour être cohérents avec l’objectif de limiter les dérèglements du climat. Selon le plus récent bilan des émissions de GES du Québec disponible, soit celui de 2022, les émissions moyennes s’élevaient à 9,1 tonnes par habitant. À titre de comparaison, la moyenne canadienne dépasse les 18 tonnes, tout comme celle des Américains, soit deux fois la moyenne québécoise. « De 1990 à 2022, les émissions par habitant ont diminué de 25,1 % », précise aussi le plus récent bilan québécois. Selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), les émissions moyennes par habitant, à l’échelle planétaire, devraient cependant être réduites à 2 tonnes pour espérer parvenir à respecter l’objectif le plus ambitieux de l’Accord de Paris, soit limiter le réchauffement à + 1,5 °C, par rapport à l’ère préindustrielle. À 9,1 tonnes, les émissions par habitant du Québec sont 4,5 fois trop élevées pour respecter les objectifs climatiques mondiaux, rapporte Le Devoir.

Autres textes reliés à l'environnement :
• Le BAPE rejette le projet de mine urbaine près du centre de Rouyn-Noranda.
• Le climat canadien de plus en plus propice aux incendies de forêt graves.
• Changements climatiques : Poursuivre les sociétés pétrolières pour payer les dégâts.
• Le «respect des budgets» force le ministère de l’Environnement à réduire ses services.
• États-Unis : Les émissions de gaz à effet de serre n'ont baissé que de 0,2 % en 2024.
• Le quart des animaux d’eau douce seraient menacés d’extinction.
• L’héritage climatique du gouvernement de Justin Trudeau.
• Après des fontes records, la banquise de l’Antarctique retrouve de la vigueur.
• L’actualité verte de la semaine.
• L’énergie solaire en plein boom.

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Membres en action

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Conférence de Gaëlle Breton-Le Goff sur les droits et les conflits internationaux

Conférence de Gaëlle Breton-Le Goff sur les droits et les conflits internationaux

La chargée de cours Gaëlle Breton-Le Goff sera l’invitée d’honneur dans le cadre de la conférence d’accueil de l’Association des étudiant(e)s de l’antenne universitaire du troisième âge Joliette de Lanaudière (AGÉAUTAJL). À travers la conférence Pourquoi le droit international échoue-t-il à mettre fin aux conflits internationaux ?, elle abordera un thème qui est bien ancré au cœur de l’actualité. Ouverte à toute la population, cette conférence se tiendra à compter de 13 h 30, le 12 janvier, au Centre communautaire Jeannette-Laviolette de Saint-Paul (20 boul. Brassard). Les personnes intéressées doivent s’inscrire à l’adresse ageautajl@gmail.com au plus tard le 9 janvier.

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Objectif Jeux du commerce pour David Moscovitz et Cathy Beausoleil

Objectif Jeux du commerce pour David Moscovitz et Cathy Beausoleil

Il est 8 h 30 et la  ont revêtu leurs plus beaux vestons. En ce 21 novembre a lieu la première répétition générale en vue . La délégation de l’ESG UQAM, composée d'une vingtaine d’étudiantes et étudiants du cours Jeux du commerce: volet académique, participera aux épreuves des Jeux du commerce 2025 du 10 au 13 janvier, à l’Université Laval. Le cours vise à préparer l’équipe au volet académique des Jeux du commerce, qui comptent également un volet sportif et un volet social. La professeure du Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale Alexie Labouze-Nasica donne le cours à titre de coach de la délégation en compagnie de sa collègue du Département des sciences comptables Paulina Arroyo Pardo et des personnes chargées de cours du Département de marketing David Moscovitz et Cathy Beausoleil, peut-on lire sur Actualités UQAM.

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Daniel Crespo Villarreal commente la problématique financière du logement au Québec

Daniel Crespo Villarreal commente la problématique financière du logement au Québec

Déjà 25 ans depuis l’an 2000. Le Devoir replonge dans un quart de siècle jalonné par des événements marquants et de nouvelles tendances qui façonnent encore notre société. Aujourd’hui, on fait le point sur un marché locatif québécois saturé et devenu inabordable pour bien des ménages. Comment en sommes-nous arrivés là ? Et qu’est-ce qui attend la province, si elle ne trouve pas des solutions structurelles à cette crise ? Cinq experts font le point, dont l’avocat et chargé de cours en droit du logement Daniel Crespo Villarreal. « Je crois que l’accès au logement demeure quelque chose jusqu’à un certain point abordable dans les grandes villes québécoises. Mais on se dirige de plus en plus vers les phénomènes qu’on voit à Toronto, à Vancouver », prévient-il.

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Francine Vanlaethem commente l'incendie de la demeure du sculpteur Charles Daudelin

Francine Vanlaethem commente l'incendie de la demeure du sculpteur Charles Daudelin

A Kirkland residence that was the home of renowned sculptor Charles Daudelin has been destroyed by a fire that broke out late Sunday night. The unique residence built for the artist was declared a protected heritage site by the Quebec government in March 2023 after its current owners sought permission to demolish it. Francine Vanlaethem, the president of Docomomo Québec, which works to protect modern architecture in Quebec, said the home was notable both because of the artist who lived there and its design, peut-on lire en anglais sur The Gazette.

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Conseils de Valérie Major pour discuter de la sexualité, du respect et de l’intimité aux Fêtes

Conseils de Valérie Major pour discuter de la sexualité, du respect et de l’intimité aux Fêtes

La période des Fêtes est l’occasion pour de nombreuses personnes de passer du temps avec la famille plus ou moins éloignée et les proches. Parfois, les réunions de famille peuvent engendrer des malaises, notamment avec des baisers non consentis, des ruptures amoureuses, des célibataires que l’on questionne sur leur statut matrimonial ou des personnes qui n’ont pas encore dévoilé leur orientation sexuelle. Les sexologues Valérie Major et Sara Mathieu-Chartier offrent divers conseils sur les manières d’aborder ces sujets à l'émission de Pénélope, à l'antenne de Radio-Canada. Il arrive parfois qu’un membre de la famille mette des proches mal à l’aise en les embrassant sur la bouche ou qu’on force un enfant à faire un câlin ou une bise alors qu’un simple remerciement suffirait. Les gens ont des limites très différentes et le consentement est aussi valide pendant le temps des Fêtes que le reste de l’année, souligne la chargée de cours Valérie Major.

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Meta : «Je n'en reviens pas encore!», s'étonne Laurence Grondin Robillard

Meta : «Je n'en reviens pas encore!», s'étonne Laurence Grondin Robillard

Meta met fin à la vérification des faits : Une menace pour l'information du Canada ? Entrevue à l'émission d'isabelle Maréchal à l'antenne de qub radio avec Laurence Grondin Robillard, chargée de cours et professeur associée à l'École des médias. spécialiste en médias socio-numériques et de la haine en ligne.

• Sommes-nous inondés de bilans de fin d'année? Entrevue avec Laurence Grondin-Robillard.

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Tinder ne dénature pas notre relation à l'amour, selon Maude Lecompte

Tinder ne dénature pas notre relation à l'amour, selon Maude Lecompte

Les applications de rencontre ont fait du chemin dans notre quotidien depuis plus d’une dizaine d’années et leur croissance attire la crainte qu’elles ne nuisent à notre relation à l’amour. Pourtant, cela semblerait être tout le contraire. Parmi les applications de rencontre les plus connues se hisse facilement l’application Tinder. Cette dernière, Maude Lecompte la connaît bien. Cette chargée de cours au département de sexologie y a même dédié sa thèse postdoctorale.

Autres interventions médiatiques de Maude Lecompte :
• Les gens aiment utiliser Tinder comme un jeu.
• Fatigue Tinder : quand les applications de rencontre épuisent.
• Tinder peut-il être synonyme de romantisme?

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Jérémie Bisaillon a étudié la croissance de l’hostilité envers les journalistes dans le monde

Jérémie Bisaillon a étudié la croissance de l’hostilité envers les journalistes dans le monde

Le choc avait été total. En l’espace de quelques minutes, huit membres de la rédaction de Charlie Hebdo avaient été assassinés. L’attentat, le plus sanglant jamais perpétré dans l’histoire moderne contre des journalistes en Occident, avait aussi fait quatre autres victimes. Dix ans plus tard, force est de constater que l’hostilité envers les journalistes — même si elle n’est en rien comparable avec la violence totale de ces meurtres — n’a cessé de croître.
Cette animosité grandissante se manifeste avant tout sur Internet. Selon une étude dévoilée en 2022, plus de la moitié des journalistes, chroniqueurs et animateurs de médias québécois ont été victimes de cyberharcèlement dans les dernières années. Le sondage, mené par le chargé de cour et chercheur Jérémie Bisaillon et son collègue Stéphane Villeneuve, a aussi révélé que 17 % des répondants ont reçu des menaces visant leur intégrité physique et 7 %, des menaces de mort, rapporte Le Devoir.

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Grand angle sur l'actualité : Le regard d'Hélène Buzzetti et Pierre Duchesne

Grand angle sur l'actualité : Le regard d'Hélène Buzzetti et Pierre Duchesne

Le chargé de cours Pierre Duchesne commente l'actualité à l'émission Midi info, à l'antenne de Radio-Canada, dont la réaction de la classe politique canadienne aux frasques verbales de Donald Trump.

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Justin Trudeau : que pourrait-il faire après la politique, selon André Lamoureux

Justin Trudeau : que pourrait-il faire après la politique, selon André Lamoureux

En quittant la politique active à 53 ans avec une pension de 193 000$, Justin Trudeau pourrait occuper un poste diplomatique au Canada ou à l’international, mais il laissera sans doute retomber la poussière avant de revenir au-devant de la scène. «Je crois qu’il a beaucoup aimé son travail sur la scène internationale et que les liens qu’il a tissés durant ses années au pouvoir lui serviront pour se trouver un poste dans une organisation internationale», explique le chargé de cours et politologue André Lamoureux au Journal de Montréal.

Autres interventions médiatiques d'André Lamoureux :
• Le député libéral Marco Mendicino ne se présentera pas aux prochaines élections.
• Caucus national et motion de censure: une semaine déterminante attend Justin Trudeau.
• Une crise importante au sein du Parti libéral du Canada.
• Comprendre : Justin Trudeau, cinq angles pour une chute.
• La démission de Justin Trudeau sur France 24.
• La démission de Justin Trudeau sur le site de La Croix.
• La démission de Justin Trudeau sur le site du 24 Heures.
• La démission de Justin Trudeau vue à travers l'histoire politique canadienne.

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Julien Tourreille commente le monde selon Trump

Julien Tourreille commente le monde selon Trump

Renommer le golfe du Mexique, annexer le Groenland, le canal de Panamá, le Canada… Donald Trump a exposé mardi ses ambitions sans frontières lors d’une conférence de presse à Mar-a-Lago, sa résidence en Floride. Une menace à prendre au sérieux ? Chargé de cours et chercheur de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques, Julien Tourreille en doute. « S’il le pense vraiment, on serait dans la même logique que Vladimir Poutine qui estime qu’envahir l’Ukraine est légitime. Ce serait quand même une sacrée rupture par rapport à l’ordre international que les Américains ont bâti », soutient-il.

Autres interventions médiatiques de Julien Tourreille :
• Entrevue avec Julien Tourreille : Effets de l'attaque à La Nouvelle-Orléans.
• Au Radiojournal du 3 janvier.
• Le Canada ne deviendra «jamais» un État américain, réplique Trudeau à Trump.

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Christophe Cloutier-Roy : À quoi s’attendre de l’an un du retour de Donald Trump?

Christophe Cloutier-Roy : À quoi s’attendre de l’an un du retour de Donald Trump?

Le président désigné Donald Trump sera de retour le 20 janvier à la Maison-Blanche pour offrir son deuxième acte. La Presse Canadienne s’est entretenue en fin d’année avec des spécialistes de la politique américaine pour entrevoir ce qui devrait nous attendre pour la première année de ce mandat de quatre ans. Christophe Cloutier-Roy, chargé de cours et directeur adjoint de l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand à l’UQAM, souligne que Donald Trump risque cette fois-ci de s’entourer de davantage d’employés loyaux, plutôt que des personnes d’expérience comme il l’avait fait lors de son premier mandat — cela avait d’ailleurs mené à un haut roulement de personnel dans l’administration.

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Rafael Jacob répond à la question : US qu'on s'en va?

Rafael Jacob répond à la question : US qu'on s'en va?

Le chargé de cours Rafael Jacob commente l'actualité américaine récente et les sorties médiatiques du Donald Trump à l'émission de Pénélope, à l'antenne de Radio-Canada.

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