Nouvelles du SPPEUQAM – 9 janvier 2025 ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏
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Entre vous et moi
Vous ne trouverez pas de nouveau rapport de la négo dans cette infolettre parce qu’il n’y a rien eu de nouveau depuis la rencontre du 19 décembre lors de laquelle il n’y avait rien eu de nouveau, mais ce rien de nouveau nous a amenés à annoncer le déclenchement de la grève pour le lundi 3 février. Sachez que nous ne ferons pas la grève pour le plaisir, mais parce que nous arrivons à la conclusion que c’est la seule façon de ramener l’UQAM à la raison. J’ai visionné avec plaisir les vœux de notre recteur pour une magnifique année 2025 sous le signe de la santé, de la joie de vivre et de la paix. Il ajoute : « Soyons fiers d’appartenir à cette communauté toujours à l’avant-garde. » Joie de vivre, paix et communauté à l’avant-garde : ça donne l’impression qu’il mandate ses négociateurs pour vraiment trouver un règlement au conflit. Puis il invite la communauté à travailler ensemble pour accomplir le nouveau plan stratégique de l’UQAM. Nos revendications sont au cœur de deux des axes de ce plan (enrichir l’expérience étudiante et faire du Quartier Latin un quartier apprenant) : des groupes-cours qui demeurent à taille humaine et le développement de cours en ligne qui ne se fasse pas au détriment des cours en présence. Il faudrait bien que les bottines suivent les babines, quoiqu’un autre axe dit de valoriser la langue française partout et à chaque instant, alors que l’UQAM permet que certains EQE nécessitent la maitrise de l’anglais pour enseigner en français. On n’en est pas à une contradiction près. Je garde toutefois espoir qu’il s’adressait aussi aux personnes chargées de cours quand je l’entends terminer son laïus par ces mots : « Excellente année à toutes et tous et que vos rêves se réalisent. » Sinon, faute d’être à l’avant-garde et de reconnaitre notre surcharge, la joie de vivre et la paix ne seront pas pour toutes et tous. Bonne lecture, Richard Bousquet Vice-président à l’info du SPPEUQAM
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Grève enseignante à l’UQAM à compter du 3 février
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Devant l’immobilisme de la partie patronale à la table de négociation, les membres du Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’Université du Québec à Montréal (SPPEUQAM–CSN) déclencheront la grève le 3 février prochain. Ils mettent ainsi en application le mandat obtenu à 86 % lors de leur assemblée générale du 2 décembre dernier. Les 2100 chargé-es de cours qui donnent plus de 60 % des cours au premier cycle constatent, après un an de négociations, que la direction de l’UQAM ne veut toujours pas reconnaitre la surcharge de travail occasionnée par la préparation et l’encadrement des cours en ligne. L’UQAM refuse d’établir des balises pour le développement de ces cours afin qu’ils ne se fassent pas au détriment des cours en présence et refuse également d’assurer que les groupes-cours demeurent à taille humaine. La direction souhaite plutôt créer deux classes d’enseignants et d’enseignantes à l’UQAM, en différenciant les conditions de travail des permanentes et permanents, ainsi que des contractuel-les, et pérenniser les pouvoirs qu’elle s’est arrogés durant la pandémie alors que les chargé-es de cours étaient contraints d’enseigner en visioconférence. Maintenant que près de 25 % des cours de l’institution et plus de 60 % des cours de certains départements sont rendus en ligne, l’UQAM refuse toujours d’en négocier les conditions de travail. « Nous annonçons la date de déclenchement de la grève plus de trois semaines à l’avance pour que tout le monde puisse s’y préparer, mais aussi pour donner la chance à la direction de revenir à la table avec des offres sérieuses qui répondent aux demandes réalistes du syndicat sur le plan pédagogique », affirme Olivier Aubry, président du SPPEUQAM–CSN. Des appuis importants du mouvement CSN.
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Nouvelle convention collective pour l'employée du SPPEUQAM
Le Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l'UQAM et son employée, Violaine Gasse, ont ratifié le 18 décembre 2024 la nouvelle convention collective qui sera en vigueur jusqu'au 31 décembre 2030. Violaine porte maintenant le titre d'adjointe administrative et un nouveau titre d'emploi de commis a été créé pour les autres employées occasionnelles.
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Une menace de grève enseignante plane sur l'UQAM pour février 2025
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Grève enseignante à l’UQAM : l'appui du mouvement CSN
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Le syndicat des professeurs de l’UQAM s’oppose au projet d’Hydro-Québec dans le Quartier latin
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Le syndicat des professeurs de l’UQAM (SPUQ) s’oppose au projet d’Hydro-Québec de planter à proximité de la Grande Bibliothèque un mégaposte de transformation électrique de 315 000 volts. Une résolution à cet effet a été adoptée à l’unanimité. « Les professeurs se sentent tout naturellement concernés », explique au Devoir Catherine Gosselin, secrétaire générale du syndicat. « Nous pensons que dès que les étudiants seront mieux informés de cette situation, ils vont se mobiliser eux aussi. » Pour le syndicat, ce projet, tel qu’il est mené, va contre les intérêts du quartier et de la communauté universitaire qui est en son cœur. Pour le syndicat des professeurs, l’implication et la participation de l’UQAM dans un projet de relance et de revitalisation du Quartier latin doivent se fonder sur les liens entre les arts, la société et l’éducation, auxquels le quartier doit son identité. Or, ce rapport à l’espace du quartier est contrecarré par le projet d’Hydro-Québec, estime le SPUQ, qui regroupe près de 1200 professeurs répartis dans 40 départements et écoles.
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Restreindre le droit de grève : le ministre Boulet doit y réfléchir à deux fois
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« Nous invitons le ministre Boulet à y réfléchir à deux fois ; l’utilisation de l’article 107 par le ministre fédéral du Travail est actuellement contestée devant les tribunaux et pourrait bien être jugée non constitutionnelle, réagit la présidente de la CSN, Caroline Senneville, aux propos de Jean Boulet, concernant le droit de grève et la possible révision du Code du travail. À la CSN, on travaille toujours fort à la négociation, personne ne vote la grève par plaisir. Pour qu’il y ait moins de conflits, il faut se doter de mécanismes efficaces et accessibles de médiation et de conciliation et non pas travailler pour déséquilibrer le rapport de force en faveur des employeurs. Rappelons que des conflits de travail ne sont pas tous déclenchés par des grèves. Certains le sont par les employeurs eux-mêmes, alors qu’ils placent leurs travailleuses et leurs travailleurs en lock-out. On constate d’ailleurs une hausse de l’utilisation de cette tactique patronale au cours de la dernière année. Les employeurs ont aussi souvent recours à des briseurs de grève alors que le Code du travail l’interdit. Le ministre devrait se pencher là-dessus, car les conséquences pour les employeurs sont minces et tout cela prolonge inutilement les conflits. » • SCFP : Le ministre Boulet, le grincheux qui tente de voler le droit de grève. • CSQ : Services essentiels en éducation : Boulet perdrait son image de «ministre équilibré».
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«Ce qu’on voit présentement, c’est le début de l’austérité», prévient la CSQ
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Le changement en éducation passe par une grande réflexion collective
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Les Québécoises et les Québécois veulent du changement en éducation et près de 70 % estiment qu’une grande réflexion collective pour développer une vision claire et un plan à long terme pour le réseau s’impose. C’est ce que révèlent les résultats d’un sondage Léger mené pour le compte de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). « Le constat qui se dégage de ce sondage, c’est que le portrait du réseau d’éducation, dans l’esprit des Québécoises et des Québécois, n’est pas reluisant. Cela étant dit, ils estiment très majoritairement que l’éducation doit être une priorité. Et quand on leur donne l’occasion de rêver, leurs aspirations concordent avec celles du personnel du réseau. Ce n’est pas sorcier : il y a des problèmes de fond en éducation et il faut prendre le temps de s’y pencher, en incluant tous les partenaires du réseau. Il nous faut une vision à long terme et un plan structurant », a fait valoir le président de la CSQ, Éric Gingras, en conférence de presse le 6 janvier. « Le sondage confirme la perception négative qu’ont les Québécoises et les Québécois du réseau d’éducation. D’ailleurs, la gestion en fonction de la prochaine rentrée scolaire, c’est aussi un élément qui se dégage de ce coup de sonde. Il faut rebâtir la confiance. La bonne nouvelle, c’est que c’est possible. Il ne manque que la volonté politique. »
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Le journal l’Unité du CCMM-CSN du mois de décembre
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GMF : le gouvernement facilite l’exode du personnel vers le secteur privé
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Amazon met à pied une trentaine d’employé-es à l’entrepôt DXT4
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Après une période des Fêtes des plus achalandées, c’est une trentaine d’employé-es qui ont été froidement remerciés par Amazon à son centre de distribution DXT4 à Laval. La CSN dénonce vivement ces congédiements déguisés, la deuxième vague de ce genre à l’entrepôt DXT4 depuis la syndicalisation de ses 300 employé-es en mai dernier. Plutôt que de mettre à pied les personnes les plus récemment embauchées, comme il est d’usage, Amazon s’en prend cette fois à des employé-es engagés il y a plus de six mois. « Amazon traite ses employé-es comme de la main-d’œuvre jetable. Comme des commodités dont on dispose après usage, plutôt que des êtres humains qui ont des familles à leur charge. Amazon les renvoie sans aucune justification et sans qu’ils puissent avoir droit à un rappel au travail au cours des prochaines semaines », déplore la présidente de la CSN, Caroline Senneville. En procédant ainsi, Amazon met en lumière les raisons pour lesquelles les employé-es ont fait le choix de se syndiquer, estime le président du Syndicat des travailleuses et des travailleurs d’Amazon Laval–CSN. Le syndicat de l'entrepôt DXT4 d'Amazon a déployé une bannière au-dessus de l’autoroute 15 mardi. Autres nouvelles syndicales : • Les employé-es d’Amazon DXT4 se mobilisent avant de recevoir les offres salariales. • Grève imminente chez Autobus La Montréalaise. • Le personnel de la Commission scolaire Kativik en grève. • Chauffeurs d'autobus : Les trois syndicats CSN adoptent l’entente de principe. • Entente de princupe pour les cols blancs de Trois-Rivières. • Une hausse salariale de 6% pour les travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec. • Les agents correctionnels du Canada concluent des ententes de principe. • Postes Canada : Des audiences sur les conditions de travail dès janvier. • Négos dans les CPE : ententes de principe à la CSQ et à la FTQ, pas encore à la CSN. • Les employés du CN ratifient leur nouvelle convention collective.
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Grève de soirs et de fins de semaine pour le personnel professionnel de Revenu Québec
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À l’approche de la saison des impôts, les quelque 5 850 professionnelles et professionnels de Revenu Québec seront en grève de soirs et de fins de semaine à compter du 18 janvier. Le Syndicat des professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ) a décidé de déclencher la grève devant les pratiques répétées d’entrave et de négociation de mauvaise foi de l’employeur. « Malheureusement l’employeur a démontré à maintes reprises lors de la négociation de la convention collective qu’il était de mauvaise foi et il a dépassé les bornes. D’ailleurs, une 3e plainte a été déposée au Tribunal administratif du travail avant les Fêtes, du jamais vu pour le SPGQ au cours d’une même négociation », déplore le président du SPGQ, Guillaume Bouvrette. Les heures de travail pendant la grève seront du lundi au vendredi de 8 h 15 à 16 h 45. Les opérations critiques pour maintenir l’efficacité et la continuité des systèmes administratifs, qui se déroulent habituellement en dehors des heures ouvrables, seront perturbées.
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Monde social et de l'Éducation
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Ces réformes scolaires qui n’améliorent pas la réussite
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Il est temps de mettre de l’avant des réformes fondées sur des données probantes, notamment l’enseignement explicite, proposent les cosignataires d'un texte publié dans La Presse. Dans son ouvrage Left Back (2001), Diane Ravitch analyse les différentes réformes scolaires menées aux États-Unis au cours du XXe siècle. Son constat est troublant : aucune de ces réformes n’améliore la réussite des élèves. Pourquoi ? Parce qu’elles sont fondées sur des théories non prouvées et inapplicables. Du côté francophone, les réformes effectuées en Suisse, dans le canton de Genève, et en Belgique montrent également des effets plutôt négatifs sur les résultats des élèves. Le même phénomène est observé au Québec. Les résultats présentés par la Table de pilotage du ministère de l’Éducation en 2006 et 2007 indiquent que les performances des élèves de 6e année n’ayant pas vécu la réforme sont supérieures à celles des élèves ayant vécu la réforme. Comme les piètres résultats démontrés par la Table de pilotage au primaire n’entament nullement l’enthousiasme du ministère de l’Éducation, la réforme est prolongée et maintenue au secondaire, où elle obtient également des résultats médiocres (Larose, 2015).
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Retour sur l’année 2024 : Une année éprouvante pour les enfants du Québec
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L’année 2024 a été particulièrement difficile pour les jeunes du Québec, victimes de la grève des enseignants et des écrans, des dérapages religieux et des abus sexuels à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ), rapporte La Presse. En janvier, près d’un demi-million d’élèves ont retrouvé le chemin de l’école après avoir manqué cinq semaines de classe en raison des grèves du Front commun et de la Fédération autonome de l’enseignement. L’écart a pu se creuser entre les élèves du public et ceux du privé, et entre les élèves forts et les élèves faibles, qui se relevaient à peine de la pandémie de COVID-19, selon le spécialiste de la réussite scolaire Égide Royer. Par ailleurs, un enfant sur cinq souffre d’insécurité alimentaire au Québec, a martelé cet automne le chef parlementaire de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois. La dernière année aura été marquée aussi par le recrutement d’adolescents par des gangs criminels. Plusieurs évènements violents survenus cet automne impliquent des mineurs. Autres textes sur 2024 : • 2024 : Une année de serpents (et de quelques échelles) à l'international. • Plus de 5600 personnes tuées par la violence des gangs en Haïti en 2024.
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L’IA au service de la pub
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Les Jésuites ferment définitivement la revue «Relations» et le Centre justice et foi
Le nouveau Provincial des Jésuites du Canada, le père Jeffrey S. Burwell, a décidé de fermer définitivement le Centre justice et foi (CJF), créé en 1983 pour diffuser la pensée sociale de l’Église. Dans la foulée, la revue Relations, l’aînée des revues culturelles du Québec, en veille depuis mars 2024, ferme également, comme l’ont annoncé par communiqué les Jésuites jeudi matin. Rappelons qu’en mars 2024, le conseil d’administration du CJF avait mis à pied, avec un délai de 48 heures, 10 de ses 12 employés — les deux employés restant étaient alors en congé de maladie. D’après des témoignages recueillis par Le Devoir auprès de différents acteurs passés et présents du CJF, ce désengagement des Jésuites suivrait une dévalorisation et un abandon des œuvres francophones de l’ordre, des œuvres qui se caractérisaient par un esprit critique et une liberté plus vive que dans leurs pendants anglophones.
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Immigration : Les nouveaux arrivants restent de plus en plus au Québec
Les nouveaux arrivants choisissent de plus en plus de rester au Québec, selon de nouvelles données de Statistique Canada. Pendant ce temps, la croissance démographique du Canada connaît son rythme le plus bas en deux ans. Le Québec affiche l’un des taux de rétention des nouveaux arrivants les plus élevés au pays, rapporte La Presse. En 2022, 93,4 % des immigrants admis y résidaient toujours un an après leur arrivée, contre 84,6 % en 2019. Cette progression réduit presque entièrement l’écart avec l’Ontario, qui affiche un taux de rétention de 94,6 %. L’amélioration est particulièrement marquée parmi les immigrants de la catégorie économique. À l’inverse, des provinces comme Terre-Neuve-et-Labrador et la Nouvelle-Écosse voient leurs taux de rétention chuter.
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Les itinérants de plus en plus nombreux à se réfugier à l’urgence
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Les 100 p.-d.g. les mieux payés au Canada ont déjà gagné plus que le salaire annuel moyen
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Le 2 janvier, à 10 h 54, les 100 p.-d.g. les mieux payés au Canada ont déjà gagné 62 661 $, soit la rémunération annuelle moyenne des travailleurs, révèle le Centre canadien de politiques alternatives (CCPA) dans une étude parue la semaine dernière. L’organisme calcule que les dirigeants les mieux payés ont empoché 13,2 millions de dollars en moyenne en 2023, soit 210 fois plus que le travailleur lambda. En 1998, les dirigeants les mieux payés gagnaient 104 fois plus que le travailleur moyen. Il n’aura donc fallu à ces patrons qu’un jour férié et quelques heures de travail en 2025 pour toucher plus quela moyenne des ours. La rémunération annuelle moyenne des p.-d.g. comprend le salaire, les primes, la valeur de la pension et toutes autres formes de rétribution. Elle s’élevait à 14,9 millions en 2022 et à 14,3 millions en 2021. Autres nouvelles économiques : • Les Québécois s’enrichissent, malgré l’inflation. • Pour en finir avec le retard économique sur l’Ontario. • Plus cher ou moins cher qu’en 2000 ?
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2025 : Cinq tendances sociales à suivre en culture Web
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Depuis l'an 2000 : Comment les GAFAM sont-ils devenus si gros?
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Déjà 25 ans depuis l’an 2000. Le Devoir replonge dans un quart de siècle jalonné par des événements marquants et de nouvelles tendances qui façonnent encore notre société. Dans cet article : la naissance et la suprématie des Google, Amazon, Facebook (Meta), Apple et Microsoft de ce monde. Leur valorisation boursière se chiffre désormais en milliers de milliards de dollars américains, mais il y a un quart de siècle, la plupart de ces jeunes entreprises n’avaient aucun modèle d’affaires. Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft se sont hissés au sommet en éliminant la concurrence grâce au soutien de leurs investisseurs et à des stratégies « oligopolistiques », selon des experts consultés par Le Devoir. Autres textes du Devoir sur Déjà 25 ans depuis l'an 2000 : • Des mégaentreprises qui perturbent le pouvoir des États. • 25 ans de promesses tenues et non tenues par nos politiciens. • L’État-providence, de mal en pis? • De rares, les logements sont devenus inabordables au Québec. • Un métro encore loin d’être efficace. • Qu’est devenue la consommation type d’un Québécois en 25 ans? • L’argent comptant, une espèce en voie de disparition. • Des Québécois en meilleure santé et plus heureux? • Le grand bond en avant de la conciliation famille-travail. • Tourner le dos aux projets d’énergies fossiles a-t-il rendu le Québec plus «vert»? • L’entrée périlleuse des États-Unis dans le nouveau millénaire. • Comment les théories du complot ont-elles influencé les 25 dernières années? • De la mondialisation triomphante à la fragmentation. Ou pas. • Le quart de siècle d’agonie du clivage souverainiste-fédéraliste. • Le livre papier est-il le nouveau vinyle? • Absences et présences autochtones dans la littérature québécoise. • Tinder, ce «point de bascule» des rencontres amoureuses. • Des réalisatrices et des plafonds de verre. • Parler «à» notre téléphone. • Une vie dans un téléphone. • Le véritable casse-tête des mots de passe.
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Le Québec est-il devenu exemplaire sur le plan climatique?
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Le premier ministre du Québec, François Legault, a vanté à plusieurs reprises le bilan de gaz à effet de serre (GES) de la province en soulignant que les émissions par habitant sont plus faibles que celles de la moyenne canadienne. Pris individuellement, les Québécois émettent toutefois beaucoup trop de ces gaz polluants pour être cohérents avec l’objectif de limiter les dérèglements du climat. Selon le plus récent bilan des émissions de GES du Québec disponible, soit celui de 2022, les émissions moyennes s’élevaient à 9,1 tonnes par habitant. À titre de comparaison, la moyenne canadienne dépasse les 18 tonnes, tout comme celle des Américains, soit deux fois la moyenne québécoise. « De 1990 à 2022, les émissions par habitant ont diminué de 25,1 % », précise aussi le plus récent bilan québécois. Selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), les émissions moyennes par habitant, à l’échelle planétaire, devraient cependant être réduites à 2 tonnes pour espérer parvenir à respecter l’objectif le plus ambitieux de l’Accord de Paris, soit limiter le réchauffement à + 1,5 °C, par rapport à l’ère préindustrielle. À 9,1 tonnes, les émissions par habitant du Québec sont 4,5 fois trop élevées pour respecter les objectifs climatiques mondiaux, rapporte Le Devoir. Autres textes reliés à l'environnement : • Le BAPE rejette le projet de mine urbaine près du centre de Rouyn-Noranda. • Le climat canadien de plus en plus propice aux incendies de forêt graves. • Changements climatiques : Poursuivre les sociétés pétrolières pour payer les dégâts. • Le «respect des budgets» force le ministère de l’Environnement à réduire ses services. • États-Unis : Les émissions de gaz à effet de serre n'ont baissé que de 0,2 % en 2024. • Le quart des animaux d’eau douce seraient menacés d’extinction. • L’héritage climatique du gouvernement de Justin Trudeau. • Après des fontes records, la banquise de l’Antarctique retrouve de la vigueur. • L’actualité verte de la semaine. • L’énergie solaire en plein boom.
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Conférence de Gaëlle Breton-Le Goff sur les droits et les conflits internationaux
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Objectif Jeux du commerce pour David Moscovitz et Cathy Beausoleil
Il est 8 h 30 et la ont revêtu leurs plus beaux vestons. En ce 21 novembre a lieu la première répétition générale en vue . La délégation de l’ESG UQAM, composée d'une vingtaine d’étudiantes et étudiants du cours Jeux du commerce: volet académique, participera aux épreuves des Jeux du commerce 2025 du 10 au 13 janvier, à l’Université Laval. Le cours vise à préparer l’équipe au volet académique des Jeux du commerce, qui comptent également un volet sportif et un volet social. La professeure du Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale Alexie Labouze-Nasica donne le cours à titre de coach de la délégation en compagnie de sa collègue du Département des sciences comptables Paulina Arroyo Pardo et des personnes chargées de cours du Département de marketing David Moscovitz et Cathy Beausoleil, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Daniel Crespo Villarreal commente la problématique financière du logement au Québec
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Francine Vanlaethem commente l'incendie de la demeure du sculpteur Charles Daudelin
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Conseils de Valérie Major pour discuter de la sexualité, du respect et de l’intimité aux Fêtes
La période des Fêtes est l’occasion pour de nombreuses personnes de passer du temps avec la famille plus ou moins éloignée et les proches. Parfois, les réunions de famille peuvent engendrer des malaises, notamment avec des baisers non consentis, des ruptures amoureuses, des célibataires que l’on questionne sur leur statut matrimonial ou des personnes qui n’ont pas encore dévoilé leur orientation sexuelle. Les sexologues Valérie Major et Sara Mathieu-Chartier offrent divers conseils sur les manières d’aborder ces sujets à l'émission de Pénélope, à l'antenne de Radio-Canada. Il arrive parfois qu’un membre de la famille mette des proches mal à l’aise en les embrassant sur la bouche ou qu’on force un enfant à faire un câlin ou une bise alors qu’un simple remerciement suffirait. Les gens ont des limites très différentes et le consentement est aussi valide pendant le temps des Fêtes que le reste de l’année, souligne la chargée de cours Valérie Major.
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Meta : «Je n'en reviens pas encore!», s'étonne Laurence Grondin Robillard
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Tinder ne dénature pas notre relation à l'amour, selon Maude Lecompte
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Jérémie Bisaillon a étudié la croissance de l’hostilité envers les journalistes dans le monde
Le choc avait été total. En l’espace de quelques minutes, huit membres de la rédaction de Charlie Hebdo avaient été assassinés. L’attentat, le plus sanglant jamais perpétré dans l’histoire moderne contre des journalistes en Occident, avait aussi fait quatre autres victimes. Dix ans plus tard, force est de constater que l’hostilité envers les journalistes — même si elle n’est en rien comparable avec la violence totale de ces meurtres — n’a cessé de croître. Cette animosité grandissante se manifeste avant tout sur Internet. Selon une étude dévoilée en 2022, plus de la moitié des journalistes, chroniqueurs et animateurs de médias québécois ont été victimes de cyberharcèlement dans les dernières années. Le sondage, mené par le chargé de cour et chercheur Jérémie Bisaillon et son collègue Stéphane Villeneuve, a aussi révélé que 17 % des répondants ont reçu des menaces visant leur intégrité physique et 7 %, des menaces de mort, rapporte Le Devoir.
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Grand angle sur l'actualité : Le regard d'Hélène Buzzetti et Pierre Duchesne
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Justin Trudeau : que pourrait-il faire après la politique, selon André Lamoureux
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Julien Tourreille commente le monde selon Trump
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Christophe Cloutier-Roy : À quoi s’attendre de l’an un du retour de Donald Trump?
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Rafael Jacob répond à la question : US qu'on s'en va?
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