Nouvelles du SPPEUQAM – 4 octobre 2023 ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏
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Plusieurs activités syndicales pour les membres
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Grosse semaine en cours au Syndicat avec trois ateliers sur l’enseignement en ligne (EEL), les 2, 4 et 5 octobre, une formation sur les représentations aux instances et aux comités, le 3 octobre, et une date limite pour répondre aux questions du sondage sur l’EEL, le 5 octobre - justement, à propos de l’EEL, les membres du SPPEUQAM peuvent bénéficier d’une formation rémunérée de 3 heures au tarif de 55$ l’heure.
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Dernier Conseil syndical
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Un Conseil syndical élargi avait lieu le 26 septembre dernier, alors que les membres ont participé avec intérêt à des ateliers formés petits groupes sur l’intelligence artificielle. L’ambiance de la rencontre était sous le signe de l’échange, de la réflexion critique, de l’ouverture et parfois aussi de l’humour; les ateliers avaient lieu après une intéressante présentation sur l’intelligence artificielle de Stéphane Daniau, trésorier, et de Ricardo Peñafiel, vice-président aux relations intersyndicales, tous deux actifs au sein du Comité école et société de la FNEEQ.
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Pour enseigner à l’hiver : séance d’infos sur notre convention collective le 12 octobre
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Destinée aux membres du Syndicat qui désirent en savoir davantage sur divers aspects de notre convention collective afin de pouvoir enseigner au trimestre d’hiver 2024, une séance d’informations offerte par le Comité des agentes et des agents des relations de travail aura lieu le jeudi 12 octobre, dès 12 h 30, en présence.
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Rentrée universitaire : cassons le modèle de l’utilisateur-payeur
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La vice-présidente, responsable du regroupement université, Christine Gauthier, a récemment rédigé un texte sur le clientélisme en études supérieures, un des effets pervers du sous-financement des universités. On retrouve ce texte sur le site Internet de la FNEEQ-CSN, notre fédération nationale, sous le titre « Rentrée universitaire : cassons le modèle de l’utilisateur-payeur ». Trop souvent, les enseignantes et les enseignants font face à des clients de l’université qui en veulent pour leur argent. Mais si l’université était plus accessible pour toutes et tous, gratuite, sans frais de toutes sortes, et que le gouvernement faisait de l’éducation une véritable priorité et non un slogan… N’est-ce pas là un des fondements de la démocratisation de l’enseignement?
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La lutte du secteur public : un combat féministe!
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La Presse a publié, le 21 septembre dernier, un texte de Françoise David intitulé « La lutte du secteur public : un combat féministe! ». Ce texte appelle à soutenir les revendications du Front commun et des femmes qui composent une très grande partie des personnes œuvrant dans le secteur public. On y lit que « Sans les centaines de milliers de femmes œuvrant auprès des malades, des enfants, des personnes aînées, des familles en difficulté et j’en passe, le Québec se porterait très mal. (…) Qu’aurions-nous fait sans les employées du secteur public? » À lire ou à relire, juste ici.
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Monde social et de l'éducation
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5 octobre : Journée mondiale des enseignants
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« L’UNESCO (en français, l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture) a proclamé le 5 octobre 1994 la Journée mondiale des enseignants, célébrant ainsi le grand pas effectué en faveur des enseignants le 5 octobre 1966, lorsqu’une conférence intergouvernementale spéciale organisée par l’UNESCO à Paris en coopération avec l’Organisation mondiale du travail (OIT) a adopté la Recommandation OIT / UNESCO concernant la condition du personnel enseignant. (…) Le 5 octobre célèbre également l’adoption, par la Conférence générale de l’UNESCO en 1997, de la Recommandation de l’UNESCO concernant la condition du personnel enseignant de l’enseignement supérieur. »
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Ouvrir les yeux sur l’esclavagisme moderne d’ici
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Un reportage choc de la journaliste Sophie Langlois, intitulé « À la recherche du rêve canadien », diffusé au Téléjournal de Radio-Canada, le 26 septembre dernier, nous informe, qu’au début du mois, un rapporteur spécial des Nations Unies a dénoncé les conditions de travail et les conditions de vie des travailleurs étrangers temporaires au pays. Le rapporteur spécial a même parlé d’une forme d’esclavage moderne. De son côté, la ministre québécoise de l’Immigration a affirmé vouloir revoir les règles qui encadrent les 300 000 immigrants temporaires au Québec, parmi lesquels ces travailleurs précaires qu’on retrouve dans les fermes, les hôtels, les restaurants, les chantiers de construction et les CHSLD, entre autres. On peut voir et écouter le reportage de Sophie Langlois par ce lien.
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Patricia Gauvin
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Chargée de cours à l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM, Patricia Gauvin a, comme plusieurs de ses collègues, une pratique florissante sur le terrain. Du 1er octobre jusqu’au 11 février 2024, elle présente son exposition « La pensée in vitro de l’imaginaire - Le fourmillement des idées » au Musée Marius Barbeau de St-Joseph-de-Beauce. Madame Gauvin présente ainsi son exposition : « La pensée in vitro de l’imaginaire lance une discussion autour de cette émotion vécue par chaque créateur lorsque l’idée monte à l’esprit dans un moment de clairvoyance. L’émergence d’une idée m’intrigue; ce court moment d’allégresse où tout semble possible. » En attendant d’aller faire un tour à St-Joseph-de-Beauce pour voir cette exposition, on peut aller faire un tour, juste ici, sur le site Internet de notre collègue artiste.
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Laurie Gagnon-Bouchard
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« S’émerveiller, une clé pour l’action climatique », tel est le titre de l’article d’Alexandre Couture, paru dans l’édition du Devoir des 23-24 septembre et qui trace un portrait de Laurie Gagnon-Bouchard, écoféministe et chargée de cours à l’Institut de recherches et d’études féministes de l’UQAM. On peut visiter le site de notre collègue de ce côté afin de prendre contact avec ses réflexions qui constituent la base de ses inspirantes recherches.
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