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Le comité exécutif du SCCUQ félicite Magda Fusaro pour sa nomination éventuelle à titre de rectrice de l’UQAM. Il fait de même avec Corinne Gendron pour la qualité de sa campagne, de son écoute, de ses analyses et de ses engagements envers les chargées et chargés de cours.
Madame Fusaro s’est engagée à prioriser le développement académique, à rendre l’UQAM plus accessible, transparente et collégiale et à opérer un véritable changement par rapport à la direction actuelle. Elle est déjà interpelée, entre autres, sur le dossier des étudiantes et étudiants en situation de handicap. Mais elle n’entrera en fonction qu’en 2018 et nous devrons attendre pour constater l’ampleur des changements.
Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ
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Grève des stagiaires en enseignement, en sciences humaines et en arts : consignes aux personnes chargées de cours
L’Association des étudiantes et étudiants de la Faculté des sciences de l’éducation (ADEESE), l’Association facultaire étudiante des sciences humaines (AFESH) et l’Association facultaire étudiante des arts (AFÉA) ont voté une journée de grève le 10 novembre dans le cadre de la Journée internationale des stagiaires. Il est donc possible qu’il y ait des levées de cours et, plus spécifiquement, que les étudiantes et étudiants ne se présentent pas à leur lieu de stage. Nous voulons vous rappeler un certain nombre d’éléments essentiels dans ces circonstances.
Les personnes chargées de cours sous contrat doivent se présenter à leurs activités de travail, peu importe le lieu et la nature de cette activité et être prêtes à donner leurs activités d’enseignement. Vous devez donner ces activités d’enseignement pourvu que les conditions normales de travail et d’enseignement soient réunies.
Dans le cas où un piquet de grève vous empêcherait de vous rendre à votre travail, vous devriez éviter toute situation potentiellement dangereuse pour votre sécurité personnelle.
D’autre part, le Syndicat ne peut ordonner, encourager, ni appuyer aucun ralentissement des activités normales de l’Université. Ceci n’empêche toutefois pas le Syndicat de se solidariser avec les étudiantes et étudiants stagiaires dans leur revendication d’un salaire pour tous les stages.
Si vous désirez rapporter un incident ou si vous êtes confronté à une situation délicate, vous pourrez appeler le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM au numéro suivant : 514 987-3495.
Nous vous assurons que nous allons suivre tous les développements et nous vous aviserons si nécessaire.
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Conseil syndical élargi : conflit à la TÉLUQ, prévention en matière de harcèlement sexuel et compte rendu des comités de travail, le 22 novembre
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Assemblées d’unités : Marketing le 13 novembre, Éducation et formation spécialisées et Organisation et ressources humaines le 14 et Sociologie le 15 novembre
Les assemblées d’unités départementales se poursuivent au A-R540 ou au A-R505 à 12h30. Les chargées et chargés de cours en Marketing se rencontrent le lundi 13 novembre, celles et ceux d'Éducation et formation spécialisées et Organisation et ressources humaines le mardi 14 novembre. Les personnes chargées de cours en Sociologie se réunissent le mercredi 15 novembre. Venez en grand nombre pour discuter de vos affaires et élire vos représentantes et représentants.
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Formation de comités de travail en vue de la préparation de la prochaine négociation
Le comité exécutif du SCCUQ a mis en place des comités de travail et de réflexion sur des dossiers qui évoluent actuellement ou en vue de la préparation de la prochaine négociation. Toutes les personnes chargées de cours peuvent y participer. Les personnes intéressées doivent entrer en contact avec la personne responsable du comité. • Comité sur la formation à distance (responsable: Gaëlle Breton-Le Goff, poste 2794) • Comité sur la recherche et création (responsable: Olivier Aubry, poste 6741) • Comité sur les EQE (responsable: Marie Bouvier, poste 3050). Le Comité sur les EQE se réunira le lundi 13 novembre.
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Modification à la convention collective : Vous souhaitez prendre votre retraite ?
Nous poursuivons notre série de capsules d’information sur les nouveaux articles ou les principales modifications apportées à la convention collective des chargées et chargés de cours à la suite de la dernière négociation. L’article 27.01 de la convention collective prévoit que les personnes chargées de cours âgées entre 60 et 69 inclusivement ont la possibilité de toucher une prime de départ à la retraite. Cette prime est versée aux personnes chargées de cours qui répondent aux conditions d’éligibilité suivantes : • avoir été considérée en situation de simple emploi pendant au moins dix ans dont deux ans au cours des quatre dernières années ; • être âgée de 60 à 69 ans inclusivement ; • être à l’emploi de l’UQAM à titre de personne chargée de cours depuis au moins 15 ans ; • avoir accumulé 130 points et plus.
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Appel à témoins concernant les congés de maladie
Quelques personnes chargées de cours se sont récemment fait demander, par le Service de la santé et de la qualité de vie au travail de l'UQAM, des précisions quant au certificat médical fourni. Outre la mention de l’arrêt de travail, on leur a demandé à ce que le certificat spécifie le diagnostic, voire la médication. Le syndicat lance un appel à témoin. Si vous avez été contacté pour un certificat médical dit incomplet, que ce soit récemment ou antérieurement, veuillez nous écrire à l’une des adresses suivantes et nous donner les informations suivantes : • la date de début et de fin de votre congé de maladie • le motif des vérifications faites par l’UQAM.
Robert Drouin, poste téléphonique: 3536, courriel: drouin.robert@uqam.ca
Peggy Roquigny poste téléphonique: 2789, courriel: roquigny.peggy@uqam.ca
Stéphane Daniau poste téléphonique: 4886, courriel: daniau.stephane@uqam.ca
Vous participez à la conception de cours hybrides : faites-nous aussi part de votre expérience.
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Yann Breault organise un colloque sur La Grande Révolution d'Octobre les 14 et 15 novembre
Les jeunes cégépiens qui s'inscrivent à l'UQAM n'ont pas connu l'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS), dissoute en 1991. Pour eux, la Russie a toujours été dirigée par Vladimir Poutine. Lénine, Trotski, Staline, Khrouchtchev, Brejnev, Gorbatchev et Eltsine font partie de l'histoire ancienne… mais quelle histoire! «La révolution d'Octobre 1917 fut sans doute l'événement qui a le plus durablement marqué le 20e siècle», affirme Yann Breault, chargé de cours au Département de science politique. Afin de souligner le 100e anniversaire de cette révolution, l'Observatoire de l'Eurasie du Centre d'étude sur l'intégration et la mondialisation (CEIM) organise un colloque interdisciplinaire intitulé «La Grande Révolution d'Octobre, 100 ans plus tard: qu'en reste-t-il en Russie et dans le monde?», qui aura lieu les 14 et 15 novembre au Cœur des sciences, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Julie Bramond présente ses créations au Marché de Noël Evo Montréal
La chargée de cours Julie Bramond présente ses créations, ses nouveaux bijoux, au Marché de Noël Evo Montréal, le samedi 25 novembre, de 11h à 18h, au 777 boulevard Robert Bourassa.
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Michel Adès collabore à La lecture en cadeau du 6 novembre au 8 décembre
Pour la 14e année consécutive, l'UQAM participe, du 6 novembre au 8 décembre, à La lecture en cadeau, une campagne qui vise à recueillir des livres neufs pour les enfants défavorisés de 0 à 12 ans. Créée en 1999 par la Fondation pour l'alphabétisation, l'initiative a pour but d'initier les enfants aux joies de la lecture et de prévenir l'analphabétisme et le décrochage scolaire. L'an dernier, 1274 livres neufs et 763 dollars en dons ont été recueillis à l’UQAM, un record. L'UQAM figure au sommet des institutions qui organisent une collecte pendant la campagne. Pour contribuer à La lecture en cadeau, il suffit d'acheter un livre neuf et de se procurer le sac à l'effigie de la campagne auprès d'un des bénévoles, dont le chargé de cours Michel Adès au PK-5225, ou dans les bibliothèques participantes. On leur remet ensuite le sac ou on le dépose dans la boîte prévue à cet effet dans les bibliothèques ou à la COOP UQAM, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Marie-Ève Maillé publie Acceptabilité sociale: sans oui, c'est non
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L'acceptabilité sociale existait bien avant qu'on en parle, mais elle portait d'autres noms. On parlait alors de conflit, de controverse, d'appui populaire… Depuis une dizaine d'années, cet enjeu est au cœur des débats sociaux et politiques entourant les grands projets de développement, du Plan Nord à Énergie Est, en passant par l'éolien et le gaz de schiste. Mais que recouvre cette notion un peu fourre-tout? L'ouvrage Acceptabilité sociale: sans oui, c'est non, propose des réponses. Ses auteurs, Marie-Ève Maillé, chargée de cours et professeure associée au Centre de recherche interdisciplinaire sur le bien-être, la santé, la société et l'environnement (CINBIOSE), et Pierre Batelier, doctorant en sciences de l'environnement, rappellent que le terme n'est à ce jour inscrit dans aucun texte de loi. Selon eux, son utilisation dans la sphère publique «évacue les nuances et tend à réduire les éléments du débat à des caricatures, minant ainsi la capacité d'agir des citoyens et renforçant le pouvoir des élites économiques et politiques», peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Réjean Myette et Louis Gagnon ont encadré les lauréats uqamiens du magazine Applied Arts
Le numéro de novembre du magazine Applied Arts consacre près de 100 pages aux lauréats 2017 des prix étudiants qu'il organise chaque année, parmi lesquels on retrouve plusieurs Uqamiens. Le magazine canadien Applied Arts est une référence pour les professionnels dans le domaine des communications visuelles et du design. Les chargés de cours Réjean Myette et Louis Gagnon ainsi que les professeurs Sylvain Allard et Ronald Jr. Filion-Mallette de l'École de design ont encadré le travail des étudiants lauréats, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Florent Michelot cerne les enjeux majeurs à venir pour la nouvelle mairesse de la Ville de Montréal
Les grands chantiers à l’œuvre à Montréal ne régleront que momentanément le problème de congestion, estime le chargé de cours en sciences politiques à l’UQAM, Florent Michelot. «Avec l’échangeur Turcot, il y avait moyen d’intégrer plus de transport en commun et d’espaces verts, mais à Montréal, c’est la norme de construire des infrastructures qui ne sont pas pensées pour autre chose que la voiture et le camionnage», déplore-t-il, pour Le Journal de Montréal.
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Brigitte Alepin n’est pas étonnée que les Paradise Papers se rapprochent des dirigeants politiques
Une nouvelle fuite massive de documents lie aux paradis fiscaux d’influents argentiers du Parti libéral du Canada proches de la famille Trudeau, mais aussi les anciens premiers ministres Paul Martin, Jean Chrétien et Brian Mulroney. «Je ne crois pas que ces nouvelles révélations soient tellement une surprise pour les gens», a remarqué en entretien téléphonique au Devoir la chargée de cours et fiscaliste Brigitte Alepin, qui publiait déjà il y a 15 ans un ouvrage intitulé Ces riches qui ne paient pas d’impôt. «On peut quand même s’étonner qu’avec tout ce qui s’est dit sur les paradis fiscaux, nos élus ne soient pas devenus plus prudents dans le choix de leurs relations.»
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Russiagate : Facebook, Google et Twitter doivent prendre une partie du blâme, selon Julien Tourreille
Facebook, Google et Twitter sont jugés en partie responsables de l'interférence du Kremlin durant la campagne électorale présidentielle américaine de 2016. «Ils doivent prendre le blâme, dit le chargé de cours et politologue Julien Tourreille à l’antenne de Radio-Canada, notamment en admettant qu'ils jouent un rôle dans la propagation des fausses nouvelles. Il faudrait aussi baliser leurs pratiques comme on le fait avec les médias traditionnels.»
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Du 9 au 19 novembre : la CSN fière de s'associer aux Rencontres internationales du documentaire de Montréal
La CSN est fière de s’associer encore cette année aux Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM) qui se tiendront du 9 au 19 novembre pour cette 20e édition. «Le documentaire engagé est, plus que jamais, une nécessité, alors que les libertés et les droits de la personne sont fragilisés partout sur la planète, a déclaré le président de la CSN, Jacques Létourneau. La crise qui traverse le monde des médias et la circulation des fausses informations, qui ont le champ libre à travers les médias sociaux, rendent encore plus pertinent ce mode de communication. Le point de vue critique est essentiel à la santé des sociétés démocratiques, et le documentaire engagé permet justement de prendre du recul pour mieux comprendre le monde qui nous entoure.»
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Éducation supérieure : la FNEEQ au front de la lutte contre les violences à caractère sexuel
La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) salue le projet de loi annoncé par la ministre de l’Enseignement supérieur, Hélène David, qui vise à prévenir et à combattre les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur. Bien que la FNEEQ-CSN considère que ce projet de loi contribuera positivement à faire de nos établissements d’enseignement des milieux de vie sains et sécuritaires, elle restera vigilante sur son adoption et, éventuellement, son application.
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50 ans des cégeps : les cégeps indispensables dans le développement du Québec moderne
Dans le cadre du cinquantième anniversaire de la création des cégeps et des préparatifs entourant le centenaire de la CSN, rencontre avec celles et ceux qui ont pensé, développé et été formés par le réseau des cégeps. Voici des témoignages sur l’importance que le réseau a eue dans la création du Québec moderne, tant dans les différentes régions de la province, pour les femmes, que pour celles et ceux qui ont acquis une formation générale obligatoire afin de devenir des citoyennes et citoyens complets. Le réseau des cégeps est une réussite québécoise unique qui fait l’envie ailleurs.
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Le CCMM-CSN demande un moratoire sur le projet du REM
L'adoption de la Loi concernant le Réseau électrique métropolitain (PL 137) le 27 septembre dernier s'est faite sans véritable consultation publique. Le Conseil central du Montréal métropolitain-CSN (CCMM-CSN) dénonce l'adoption de cette loi. D'ailleurs, le 22 mars dernier, le CCMM-CSN avait demandé une commission parlementaire, afin d'y voir plus clair avant d'aller plus loin dans le développement du projet, qui a des incidences importantes sur les plans environnemental, économique et social ainsi que sur le transport collectif public dans la grande région métropolitaine.
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Négociations dans les centres de la petite enfance (CPE) : entente de principe, la grève des 7 et 8 novembre est annulée
Une entente de principe est intervenue lundi soir entre le comité national de négociation des 11 000 travailleuses des CPE, membres de la FSSS-CSN, et le ministère de la Famille et les associations d’employeurs. En conséquence, les deux journées de grève prévues mardi et mercredi ont été annulées, tout comme le rassemblement qui était prévu devant l’Assemblée nationale ce mercredi. Les services éducatifs sont donc maintenus intégralement. L’entente de principe sera présentée à la centaine de déléguées des syndicats des travailleuses en CPE le mardi 14 novembre, lors d’un conseil fédéral de négociation sectorielle de négociation de la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN).
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Baisses de salaire dans le secteur du transport scolaire : les salariés votent la grève à 98 %
Les membres du Syndicat des travailleuses et travailleurs de Transco–CSN (STTT–CSN) ont voté en faveur de la grève à 98%, par voie de scrutin secret, mercredi soir en assemblée générale. Ce mandat, à exercer au moment jugé opportun, pourra être mis en œuvre à partir du 19 janvier prochain. «Pour nous, le vote d’hier marque notre refus catégorique collectif de laisser l’employeur baisser nos salaires simplement pour faire augmenter sa marge de profit. Parce que c’est bien pour répondre à la demande de rentabilité accrue de la compagnie états-unienne First Student, qui possède Transco, que nos patrons veulent baisser nos salaires. Déjà, les taux horaires que nous recevons ne reconnaissent pas nos compétences et les responsabilités que nous assumons tous les jours. Nous voulons un salaire décent et non un salaire qui descend encore plus bas», de dénoncer Carole Laplante, présidente du STTT–CSN.
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Réactions de la CSQ au projet Lab-école : le personnel de l’éducation a des idées plein la tête
Alors que le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, vient de rendre publics les détails de son projet de Lab-école, la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) et ses fédérations du réseau scolaire tiennent à lui rappeler que le personnel de l’éducation détient l’expertise nécessaire pour mettre de l’avant des projets porteurs en éducation sans qu’on ait besoin de se tourner vers des vedettes de l’extérieur pour le faire. «L’annonce d’aujourd’hui est très décevante puisqu’elle confirme qu’entre s’appuyer sur les compétences et les connaissances du personnel de l’éducation ou profiter de la popularité de vedettes pour briller, il a choisi ce dernier scénario», déplore la présidente de la CSQ, Louise Chabot.
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La CSQ plaide pour une plus grande mixité sociale et scolaire
La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) partage les préoccupations des députés Alexandre Cloutier et Gabriel Nadeau-Dubois à l’égard de la ségrégation scolaire et réitère son plaidoyer en faveur d’une plus grande mixité sociale et scolaire dans les classes et les écoles. La présidente de la Centrale des syndicats du Québec, Louise Chabot, soutient que la ségrégation scolaire est un problème réel qu’il faut avoir le courage non seulement d’aborder, mais pour lequel il est grand temps qu’on pose des gestes concrets. «Au moment de la publication, par le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, de sa Politique de la réussite éducative, nous avions d’ailleurs dénoncé le fait que rien n’était proposé à l’égard de cet enjeu important.»
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Fondaction porte à 67 millions de dollars son portefeuille en obligations vertes
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Alors qu'il amorce sa mission au sein de la délégation d'Export Québec à la COP23 sur les changements climatiques, Fondaction annonce qu'il porte à 67 millions de dollars en obligations vertes son portefeuille en obligation verte. Cette proportion vient d'être atteinte à la suite d'investissements récents de plus de 20 millions en obligations vertes au Québec et à travers le monde. L'ensemble des investissements, directs et indirects, ainsi que les placements de Fondaction contribuent au développement durable. «Ce type de placement, dont les rendements sont similaires aux obligations classiques, nous permet de réduire l'empreinte carbone de notre portefeuille. Fondaction fait figure de chef de file en matière de finance responsable et de développement durable, sa décision d'accroître significativement la part des obligations vertes dans son portefeuille de placement en témoigne», affirme Léopold Beaulieu, président-directeur général de Fondaction.
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Cinémathèque québécoise : une convention collective majeure est signée
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Travaux bénévoles de construction : un fantasme patronal qui se concrétise
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Conflit sur le bois d’œuvre : la FIM-CSN exige la fin des tarifs douaniers
La Fédération de l’industrie manufacturière–CSN (FIM–CSN) considère que l’annonce de la baisse des tarifs douaniers imposés par le département américain du Commerce demeure nettement insuffisante. «Alors que certaines entreprises canadiennes voient leurs tarifs douaniers réduits, plusieurs autres font face à une augmentation de ceux-ci. Or, pour nous, peu importe le niveau de ces droits imposés unilatéralement à la frontière, ce sont des travailleurs et des travailleuses qui doivent vivre avec l’insécurité que ce conflit cause dans l’industrie du bois d’œuvre canadien. En ce sens, nous réitérons notre revendication qui vise l’annulation totale de ces droits punitifs», de dénoncer Louis Bégin, vice-président de la santé, de la sécurité et de l’environnement à la FIM–CSN.
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CSD : La négociation sur le bois d’œuvre : une conclusion désolante.
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Négociations dans le secteur sylvicole : santé et sécurité au travail et reconnaissance au menu
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Quelque 350 travailleuses et travailleurs de la sylviculture au Québec entameront prochainement une quatrième ronde de négociations coordonnées. Au nombre de leurs priorités, notons un partage plus juste de la richesse générée par leur travail indispensable et des mesures pour assurer l’application pleine et entière des droits des travailleurs en santé et sécurité au travail. Les conventions collectives viendront à échéance le 31 décembre prochain. Les travailleurs recherchent une entente de trois ans. Ce sont ces travailleuses et ces travailleurs qui voient à entretenir et à régénérer les forêts du Québec afin d’assurer la pérennité de la ressource. Leur travail est essentiel tant sur le plan de la protection de l’environnement que pour assurer à l’industrie forestière un approvisionnement à long terme. Les contrats de reboisement et d’entretien sont financés à plus de 80% par le gouvernement du Québec.
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Une bande de Robin des bois en action dans le quartier Villeray : le Québec a les moyens de viser la justice sociale
Des membres de groupes communautaires et populaires, de syndicats de l’enseignement, de la fonction publique, de la santé et services sociaux, du secteur privé, des groupes de femmes, des familles et d’autres personnes préoccupées par la justice sociale ont marché côte à côte le 28 octobre sous les traits de Robin des bois. À l’appel de la Coalition Main rouge, ils et elles ont revendiqué que le gouvernement québécois réinvestisse massivement dans les services publics, les programmes sociaux et l’action communautaire autonome, menacés par des années de sous-financement et de compressions. Pour bien illustrer les besoins criants et la nécessité d’une meilleure répartition de la richesse, des sacs d’écus ont été déposés devant CLSC, écoles publiques, CPE, coopératives d’habitation et centre communautaire qui se trouvaient sur leur parcours.
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Un projet de loi d’initiative parlementaire présenté pour sauver les pensions des travailleurs
Durant le 150e anniversaire du premier Parlement du Canada, il était plutôt indiqué que le porte-parole des finances du NPD Scott Duvall présente un projet de loi d’initiative parlementaire visant à sauver les pensions des travailleurs. «Ce projet de loi est conçu pour modifier la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies, qui permet le vol légalisé des pensions des travailleurs à l’heure actuelle lorsqu’un employeur déclare faillite», a expliqué M. Duvall à une foule de manifestants présents sur les marches de la Colline du Parlement.
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Le SCFP félicite Valérie Plante la nouvelle et première mairesse de Montréal
Valérie Plante a fait l’histoire dimanche soir en devenant la première mairesse de Montréal. Le SCFP, qui est le plus important syndicat représentant les travailleuses et travailleurs de la Ville de Montréal, salue cette victoire décisive de Valérie Plante et de l’équipe Projet Montréal. Elle devient du coup la 45e personne à occuper la mairie. «Ce vent de changement ne peut qu’être positif pour Montréal. Nous la félicitons elle et l’ensemble de l’équipe de Projet Montréal. Nous avons hâte de nous remettre au travail avec une nouvelle administration, une administration que nous souhaitons être plus à l’écoute et plus respectueuse des employés de la Ville. Nous avons bon espoir!» de déclarer Denis Bolduc, président du SCFP-Québec. Valérie Plante est non seulement la première mairesse de Montréal, elle est aussi la seule femme à la tête d’une grande ville au Canada.
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Les syndicalistes unis pour assurer les droits des LGBTI sur le lieu de travail
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Investir dans les doctorants grâce au renouvellement du corps professoral
Les titulaires de doctorat de la dernière génération sont aux prises avec un ralentissement du marché de l’emploi universitaire au Canada, et bon nombre d’entre eux doivent se contenter de postes d’enseignement qui offrent peu de soutien à la recherche ou de postes hors du milieu universitaire. Le déclin des emplois universitaires est principalement traité comme un problème d’étudiants aux cycles supérieurs: les doctorants doivent être mieux informés et préparés à se tourner vers d’autres options, tandis que les départements doivent réduire l’accès à leurs programmes de doctorat en fonction de la disponibilité des emplois. Le problème est présenté comme étant lié à l’offre plutôt qu’à la demande.
Lire la suite du texte d’opinion publié par Affaires universitaires.
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La loi 62 dénoncée par des étudiants
Après la contestation judiciaire des organismes de défense des droits et libertés, c'est au tour des étudiants de dénoncer la loi sur la neutralité religieuse. Près de 1000 d'entre eux qui fréquentent l'Université Concordia ont signé une lettre envoyée à la ministre de la Justice, Stéphanie Vallée. «La loi 62, c'est une solution imaginaire à un problème qui n'a jamais vraiment existé, déclare Sarah Abou-Bakr, étudiante à Concordia. Il n'y a jamais vraiment eu un problème de sécurité, il n'y a jamais eu un problème d'identification. Il y a toujours eu des moyens d'accommoder les femmes qui portent le niqab.» Plusieurs femmes musulmanes qui portent le voile étudient à Concordia. Le syndicat des étudiants estime à un ou deux le nombre d'entre elles qui portent le niqab.
Lire la suite du texte de TVA Nouvelles.
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Les campus équitables sont pour qui au juste?
Qu’il s’agisse de conversations publiques ou de campagnes promotionnelles visant à attirer de nouveaux étudiants et professeurs, les universités canadiennes se flattent de la façon dont elles privilégient l’inclusion et la diversité. Elles présentent un caractère idéalisé dans l’imaginaire du grand public et sont vues comme des milieux propices aux nouvelles idées et des carrefours de l’innovation. Or, l’enceinte des campus n’est pas aussi impénétrable qu’elle y paraît. Pour le meilleur et pour le pire, elle englobe et reproduit l’agitation qui règne tout autour. «L’université est en fait le miroir de la société et de ce qui s’y produit, explique Frances Henry. Elle n’est pas la tour d’ivoire que l’histoire nous a dépeinte.»
Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.
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La privatisation de l’éducation «fabriquée au Canada»
L’éducation représente un marché de plusieurs billions de dollars. D’après Edudemic, un site Web qui fait la promotion des technologies en éducation, ce marché n’est [traduction libre] «pas seulement énorme; il a récemment connu plus de changements que jamais auparavant. De jeunes entreprises poussent pour combler des lacunes et créer de nouvelles technologies au service de ce secteur de plus en plus lucratif». La porte de la privatisation a été largement ouverte par les adeptes du mouvement mondial de réforme de l’éducation ou GERM (l’acronyme anglais de Global Education Reform Movement), ces charmantes personnes qui font la promotion des écoles à charte, des programmes de bons d’études, de la concurrence accrue entre les écoles, de la responsabilisation par les tests et du resserrement du programme d’études.
Lire la suite du texte de Perspectives.
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Financement de l’éducation des adultes : situation dramatique pour des organisations en éducation des adultes financées par le gouvernement fédéral
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PAS d’RADIS fiscaux : l’ÉTAT d’urgence, du 16 au 18 novembre
L’événement «PAS d’RADIS fiscaux: l’ÉTAT d’urgence», organisé par l’ATSA (Quand l’art passe à l’action), se déroulera les 16 (soirée de lancement) et 18 novembre (en après-midi) à la place Émilie-Gamelin, à Montréal. Une grande mobilisation artistique et citoyenne contre les paradis fiscaux.
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Des ordinateurs à 70$ à la vente d'entrepôt annuelle d'Insertech, le 18 novembre
Un ordinateur à moins de 100$? On peut même s'en procurer un pour la modique somme de 70$! À la grande vente d'entrepôt annuelle d'Insertech, une entreprise d'insertion et organisme à but non lucratif, le 18 novembre, de 9h à 15h. Encore cette année, plus de 1000 ordinateurs seront vendus à des prix vraiment bas pour financer les activités de l'entreprise. Il s'agira d'ailleurs de leur première vente d'entrepôt dans les nouveaux locaux d'Insertech situés au 4820 rue Molson à Montréal. Un rendez-vous annuel qui s'inscrit bien dans la philosophie d'Insertech qui combine insertion sociale et développement durable.
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Le droit collectif de s’associer : un droit à défendre et des luttes solidaires à mener, rencontre le 8 décembre
La Ligue des droits et libertés (LDL), la Table des regroupements provinciaux et organismes communautaires et bénévoles (TRPOCB) et le Service aux collectivités de l’UQAM (SAC UQAM) ont conclu récemment une recherche-action faisant état des sérieuses entraves imposées par l’État au droit collectif d’association des OSBL. Les trois organismes invitent les organisations communautaires et syndicales à une rencontre portant sur les conclusions de cette recherche, intitulée La surveillance et le contrôle technocratique des organismes sans but lucratif (OSBL): un enjeu de droits collectifs. Cette rencontre, le vendredi 8 décembre , de 13h à 16h30, à la salle DR-200, pavillon Athanase-David, à l’UQAM, permettra aux organisations qui y participeront de s’approprier et d’échanger sur l’argumentaire proposé pour soutenir la défense de ce droit essentiel lorsqu’il s’agit de défendre tous les autres droits de la personne. Pour s’inscrire: info@liguedesdroits.ca (événement gratuit). Web diffusion.
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Lutte à la pauvreté et revenu minimum garanti : mise en garde au gouvernement québécois
Le troisième Plan d’action gouvernemental en matière de lutte à la pauvreté et à l’exclusion sociale est attendu cet automne et le gouvernement a laissé entendre qu’un projet de revenu minimum garanti pourrait en faire partie. Aujourd’hui, le Collectif pour un Québec sans pauvreté, accompagné des représentantes et représentants de cinq organisations, a dévoilé une déclaration de principes sur le revenu minimum garanti (RMG) qui se veut une mise en garde au gouvernement. Car malheureusement, rien ne garantit que son éventuel projet de RMG sera un outil de progrès social. Rappelons que les ministres Carlos Leitão et François Blais, à la demande du premier ministre, ont mis sur pied un comité d’experts sur le RMG à l’été 2016. Leurs recommandations ne sont toujours pas connues, mais il est possible qu’une partie d’entre elles fassent partie du prochain plan de lutte à la pauvreté. «Le concept de RMG peut prendre différentes formes et cacher de nombreux pièges», affirme Serge Petitclerc, porte-parole du Collectif pour un Québec sans pauvreté.
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Portrait des centres de jour de Montréal : disponible en ligne
En juin 2016, la Ville de Montréal amorçait, en collaboration avec le RAPSIM et le Service régional du CIUSSS Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, la réalisation d’un portrait des centres de jour destinés aux personnes en situation ou à risque d’itinérance. L’objectif de la démarche? Décrire de façon précise les services offerts par les centres de jour sur le territoire de Montréal, mais aussi explorer leur apport spécifique à la lutte à l’itinérance. Au final, 27 organismes communautaires ont ainsi été mobilisés dans l’élaboration de ce portrait, maintenant disponible en ligne sur le site de la Ville de Montréal. Les centres de jour de Montréal, qui accueillent quotidiennement des centaines de personnes marginalisées, sont essentiels pour prévenir et réduire l’itinérance. Le portrait réalisé par la Ville de Montréal démontre que ces ressources facilitent l’accès à de multiples services: aide alimentaire, douches, information et référencement, activités de loisirs, accompagnement dans des démarches de réinsertion sociale.
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La centralisation menace l’équité du financement des organismes partout au Québec
La Coalition des Tables régionales d’organismes communautaires (CTROC) dénonce les conséquences alarmantes et inéquitables de la vision centralisatrice du gouvernement. RéuniEs en rencontre nationale à Québec, les réprésentantEs de treize régions déplorent que de nombreuses décisions ministérielles en lien avec le financement des organismes soient imposées dans toutes les régions du Québec, faisant fi des pouvoirs accordés aux CISSS et aux CIUSSS et en écorchant au passage le rôle des regroupements régionaux. «Il est évident que le besoin de financement est criant pour tous les organismes, mais la CTROC demande au gouvernement d’être transparent dans sa façon d’attribuer de nouveaux montants et de respecter les cadres régionaux en vigueur», souligne Hugo Valiquette, co-porte-parole de la CTROC. L’attribution de nouvelles sommes dans des programmes par clientèles se fait actuellement au détriment de l’équité dans les régions et du respect des différences entre elles.
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Nouvelle action : carte «Ça suffit l’acharnement, mon OSBL n’est pas un lobby!»
Depuis 2002, les OSBL du Québec ont dû se défendre contre trois tentatives pour les assimiler à des lobbyistes: par les propositions du Commissaire au lobbyisme, en 2008 et 2012, et ensuite par le projet de loi 56, en 2015. Puisque rien n’annonce encore la fin de ces tentatives, les actions de la campagne «Mon OSBL n’est pas un lobby» doivent se poursuivre. Tous les groupes communautaires et tous les OSBL sont invités à transmettre la carte «Ça suffit l’acharnement, mon OSBL n’est pas un lobby!» lors de toute rencontre ou conversation avec des personnes élues, des fonctionnaires ou du personnel politique. Qu’elles soient de l’Assemblée nationale, de municipalités ou d’organisations gouvernementales et paragouvernementales, ces personnes sont des «titulaires de charges publiques», au sens de la Loi sur le lobbyisme, et nous voulons les sensibiliser aux conséquences du projet de loi 56.
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Les municipalités et l’action communautaire autonome : trois fiches d’information
En ce lendemain des élections municipales, des organismes communautaires auront à prendre contact avec vos nouveaux et nouvelles élu-e-s afin de leur faire connaître leurs préoccupations. Avec le nouveau plan de lutte contre la pauvreté qui s’en vient et l’autonomie accrue des municipalités en matière de développement social, les organismes communautaires seront amenés à travailler de plus en plus étroitement avec les municipalités. Pourtant, celles-ci ont souvent de la difficulté à faire la différence entre un OSBL et un organisme d’action communautaire autonome. Cette méconnaissance de notre travail amène parfois des politiques et des ententes qui ne respectent pas notre autonomie ou nos pratiques. Voici donc une série de trois fiches d’information produites par le RQ-ACA afin d’aider les organismes à démystifier, avec leur municipalité, la nature des organismes d’ACA et les avantages de faire pleinement confiance aux gens de la communauté pour trouver des solutions adaptées aux problèmes sociaux présents sur leur territoire.
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Portrait des 103 élues et élus de la Ville de Montréal
Élection Montréal a produit un portrait des 103 personnes élues le 5 novembre 2017. Ce sont donc 53 femmes (51%), dont la moyenne d’âge est de 49 ans, et 50 hommes (49%), dont la moyenne d’âge est de 51 ans, qui ont été élu.es à l’un ou l’autre des 103 postes électifs de la Ville de Montréal. Outre la nouvelle mairesse de la Ville de Montréal, madame Valérie Plante, sept femmes ont été élues à l’une des 18 mairies d’arrondissement (39%); 22, aux 46 postes de conseillères de la Ville (48%) et 23, aux 38 postes de conseillères d’arrondissement (61%).
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Un antidote aux opiacés disponible vendredi
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Transferts aux actionnaires canadiens : conditions réunies pour une nouvelle crise
Entre 2000 et 2015, le montant des revenus de placement dans les entreprises canadiennes a connu une hausse considérable. Cette évolution est marquée de deux périodes de hausse: la première précède la crise financière de 2008, qui fut suivie par une légère diminution après la crise; la deuxième est en cours, avec une remontée graduelle à partir de 2010, puis d’une hausse spectaculaire de 20% en 2015. Pourtant, on constate en même temps que le nombre de déclarants stagne depuis 2010, voire diminue légèrement en fin de période. Cette évolution de l’industrie financière canadienne entraîne donc vraisemblablement un accroissement des inégalités, propice à recréer les conditions d’une crise financière et économique.
Lire la fiche technique de l’IREC.
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