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Je désire souhaiter, au nom de toute l’équipe syndicale, une bonne fête à toutes les chargées de cours ainsi qu’à toutes les autres femmes fréquentant ou travaillant à l’UQAM. Je vous souhaite pour la prochaine année un milieu exempt de tout harcèlement ou agression à caractère psychologique ou sexuel, un milieu égalitaire où il fait bon vivre et travailler. J’en profite pour faire un tour de nos instances institutionnelles et syndicales pour voir où en est la parité. Le Conseil d’administration de l’UQAM est composé de 10 hommes et 6 femmes et la Commission des études de 10 hommes et 12 femmes. Au plan syndical, la composition des comités exécutifs reflète soit la parité comme au SPUQ (3-3) ou au SEUQAM (6-6) ou les femmes sont majoritaires au SÉTUE (4-3) et au SCCUQ (5-2).
Richard Bousquet Vice-président à l’information du SCCUQ
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Le 13 mars : conférence sur les finances de l’UQAM et conseil syndical élargi sur la décentralisation
Le Syndicat des chargées et chargés de cours invite ses membres le lundi 13 mars au local A-M050 (Pavillon Hubert-Aquin) à une conférence de M. Yvan Duceppe, de MCE Conseils, qui présentera une analyse des états financiers de l’UQAM, dédramatisant la situation. Cette conférence débutera à 12h30 et sera suivie d’un conseil syndical élargi sur le thème de la décentralisation de l’UQAM. Il sera également question du Programme de perfectionnement et du Réseau électrique métropolitain (REM). Un lunch sera servi. Nous vous attendons, déléguées, délégués et les membres, en grand nombre.
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Séance d'information pour les nouvelles personnes chargées de cours le 21 mars
Une séance d'information s'adressant particulièrement aux nouvelles personnes chargées de cours se donnera le 21 mars, à 12 h 30, au lieu social du Syndicat, local A-R542 (pavillon Hubert-Aquin). La formation comprend un survol des thématiques suivantes : • le Syndicat des chargées et chargés de cours • les projets d’intégration • la convention collective • les programmes de perfectionnement • les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE) • le régime de retraite. Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence avant le 16 mars à blanchet.nathalie@uqam.ca
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Assemblée générale du 29 mars : deux invités de marque et présentation du budget
Le Syndicat des chargées et chargés de cours recevra deux invités de marque à l’occasion d’une assemblée générale le mercredi 29 mars à 13 h au N-M510 (Pavillon Paul-G-Lajoie). M. Yvon Therrien, président du Syndicat des travailleuses et travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs de la Place Dupuis, nous expliquera comment et pourquoi cet hôtel est en lock-out depuis la veille des fêtes de fin d’année. M. Jacques Létourneau, président de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), dont fait partie le SCCUQ, viendra nous entretenir de la tournée de la CSN, en marche vers le congrès 2017, vaste consultation auprès des membres. La trésorière du Syndicat, Marie Bouvier, présentera également les prévisions budgétaires du SCCUQ aux chargées et chargés de cours que nous espérons nombreux.
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Formation pour les membres des comités de liaison locaux, le 4 ou le 7 avril
Une formation s’adressant aux représentants des chargées et chargés de cours siégeant aux comités de liaison locaux sera donnée le 4 et le 7 avril, au choix des participants, à 12 h 30, au lieu social du Syndicat, local A-R542 (Pavillon Hubert-Aquin). Cette formation a pour but de vous outiller sur votre rôle de représentation au CLL de votre unité. Un lunch sera servi, vous devez confirmer votre présence en indiquant la date choisie avant le 31 mars à Ross.marie-eve@uqam.ca
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Élections et états financiers : le SCCUQ tiendra son assemblée générale statutaire le 24 avril
L’assemblée générale statutaire du SCCUQ, servant principalement à l’élection des officiers syndicaux et à la présentation des états financiers, aura lieu le lundi 24 avril à 12h30 au R-M110 (Pavillon des Sciences de la gestion). Les postes en élection pour un mandat de deux ans sont la vice-présidence à la convention collective, la vice-présidence aux relations intersyndicales, le secrétariat général, la trésorerie, deux conseillères, conseillers au Comité mobilisation-intégration (CMI), une agente ou un agent au Comité des agentes et agents de relations de travail (CAART), ainsi qu’une ou un membre aux comités suivants : Comité de surveillance des finances, Comité de perfectionnement et de mise à jour des connaissances, Comité de vérification du double emploi (et une ou un substitut), Comité conseil pour le développement international, Comité institutionnel d’application de la politique internationale, Comité institutionnel de prévention du harcèlement psychologique et Comité permanent de révision du Règlement no 18 sur les infractions de nature académique (ce dernier poste est pour un mandat de trois ans). Au point trésorerie vous recevrez le rapport de l’auditeur indépendant et les états financiers 2016, les résultats réels comparés au budget 2016, le rapport du Comité de surveillance des finances et une proposition d’affectation au Fonds de défense professionnelle. Les personnes élues au CMI ou au CAART obtiendront 6 libérations (charges de cours) par année, à la V.-P. aux relations intersyndicales, au secrétariat général et à la trésorerie, 5 libérations par année et à la V.-P. à la convention collective, 7 libérations par année. Toutes les personnes chargées de cours sont les bienvenues.
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L’égalité entre les femmes et les hommes, bien sûr; mais l’égalité entre les femmes «encore plus», commente Stéphanie Mayer
L’égalité est toujours au cœur des revendications féministes en cette Journée internationale des femmes. L’égalité entre les femmes et les hommes, bien sûr; mais l’égalité entre les femmes «encore plus», dit Mélanie Sarazin, présidente de la Fédération des femmes du Québec (FFQ). Bien que les luttes féministes soient diverses depuis longtemps, de plus en plus de voix s’élèvent actuellement. Les possibilités offertes par l’internet et les blogues ont offert un moyen rapide et efficace pour la mobilisation, soutient Stéphanie Mayer, chargée de cours à l’UQAM, sur les questions de femmes et de politique, dans une entrevue au journal Métro. Ces voix variées exposent les conséquences des inégalités pour différents groupes et rendent compte d’expériences vécues par une grande diversité de femmes.
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Sandrine Ricci a invité les femmes à écrire de nouvelles notices pour rééquilibrer le portrait social relayé par Wikipédia
Le Réseau québécois en études féministes (RéQEF), en collaboration avec la bibliothèque de l’UQAM, a invité les femmes, le 8 mars, à écrire de nouvelles notices pour rééquilibrer le portrait social relayé par Wikipédia. Il suggère à cette fin une liste d’environ 300 noms de femmes québécoises issues du monde des arts sur laquelle il conviendrait de se pencher. Sandrine Ricci, chargée de cours et coordonnatrice du RéQEF, observe, chiffres à l’appui, que les contributions sur Wikipédia sont dans l’immense majorité le fait d’hommes. Ce qui n’est pas sans expliquer, dit-elle, que les actrices pornographiques sont méticuleusement référencées par plus de 1000 contributeurs. Leurs notices ont été bonifiées plus de 2500 fois. En revanche, rien de comparable pour les poétesses. Ce n’est pourtant pas la matière qui manque. Pourquoi les femmes contribuent-elles si peu à modifier l’image que des sites offrent d’elles? Selon Sandrine Ricci, «les femmes ont de la difficulté à s’identifier comme des expertes».
Lire la suite du texte du Devoir.
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Catherine Béliveau participe à l'exposition Cyclages, présentée au Musée d’art contemporain des Laurentides
La chargée de cours à l’École des arts visuels et médiatiques Catherine Béliveau participe à l'exposition Cyclages, présentée au Musée d’art contemporain des Laurentides (MACL). Cyclages expose le travail de cinq membres du laboratoire Grupmuv, dont les trois membres fondateurs, la professeure Gisèle Trudel et les professeurs Thomas Corriveau et Michel Boulanger. Le quintette est complété par le candidat à la maîtrise en arts visuels et médiatiques Jonathan Plante. Alors que le dessin se manifeste dans sa forme traditionnelle par un arrêt dans le temps, Cyclages propose une interrogation sur diverses stratégies telles que l'installation in situ, la boucle, l'optique et la mise en mouvement de l'image par le déplacement du regardeur. Usant de diverses matérialités et technologies, le Grupmuv met en lumière un dessin propulsé vers de nouveaux agencements, dont les contours sont constamment activés par le mouvement, peut-on lire sur ActualitésUQAM. L'exposition est accompagnée d'une publication résultant des deux dernières années de recherche du groupe et d'une table ronde qui aura lieu le samedi 25 mars au Musée. L’exposition se termine le 16 avril.
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Nadia Seraiocco explique ce qu'est Snapchat et sa popularité auprès des jeunes à RDI économie
Snapchat a fait une entrée spectaculaire en bourse, un réseau social principalement utilisé par les jeunes. Nadia Seraiocco, chargée de cours à l’École des médias et spécialiste des nouveaux médias, a expliqué ce qu'est Snapchat et sa popularité auprès des jeunes à RDI économie.
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Des séquences de mouvements simples peuvent améliorer la concentration, affirme Danielle Larocque
Vous relisez le même paragraphe depuis 20 minutes? «Prenez une pause et bougez!», lance la chargée de cours au Département des sciences de l’activité physique Danielle Larocque. Grâce à une bourse de perfectionnement court destinée aux chargés de cours, l'enseignante et kinésiologue a mis au point une série de séquences de mouvements simples et efficaces pour aider les étudiants à mieux apprendre et à mieux se concentrer durant leurs périodes d'études ou même lorsqu'ils sont en classe. L'idée est d'intégrer un travail corporel – sous forme de pauses régulières actives – à une stratégie d'étude pour en optimiser les résultats. «C'est l'aspect innovateur de la démarche: on travaille en complémentarité corps-esprit en passant d'abord par le corps», explique Danielle Larocque.
Lire la suite du texte d’actualités UQAM.
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La campagne institutionnelle La lecture en cadeau, à laquelle a contribué Michel Adès, bat de nouveaux records
La 13e collecte de l'UQAM au profit de la Lecture en cadeau a permis de récolter 1274 livres neufs et 763 dollars en dons, soit près de 300 livres de plus que l'an dernier. La campagne uqamienne, qui s'est déroulée en novembre et décembre derniers, demeure encore une fois la plus importante collecte institutionnelle. Michel Adès, chargé de cours au Département de mathématiques, en est un des principaux collaborateurs. Les collaborateurs ont travaillé très fort et sont toujours aussi formidables. Je suis fière d'eux!», s'exclame Maude Béland, conseillère en relations de presse à la Division des relations avec la presse et événements spéciaux du Service des communications et directrice de la campagne pour une troisième année consécutive.
Lire la suite du texte d’Actualités UQAM.
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André Lamoureux et Michel Sarra-Bournet commentent l’histoire du terrain que trois sénateurs se sont vendu pour satisfaire à une loi vieille de 150 ans
Trois sénateurs québécois se sont mutuellement vendu un terrain qu’ils n’ont jamais utilisé et pratiquement jamais vu, afin de satisfaire à une loi vieille de 150 ans qui les oblige à être propriétaires pour accéder à leurs fonctions, selon les recherches effectuées par le Bureau d’enquête du Journal de Montréal. «L’obligation de propriété dans la division sénatoriale est une règle vétuste qui devrait être changée. Néanmoins, cela m’apparaît discutable que l’on se passe le terrain d’un sénateur à l’autre juste pour se conformer au règlement», analyse André Lamoureux, chargé de cours au Département de science politique de l’UQAM. «C’est inscrit dans la Constitution. On pourrait retirer cette règle. Mais toucher à la Constitution, c’est ouvrir une véritable boîte de Pandore», souligne Michel Sarra-Bournet, chargé de cours en histoire et en science politique.
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REM : gare aux hausses de tarif, affirme Jean-François Lefebvre
L'arrivée du train électrique de la Caisse de dépôt pourrait entraîner une hausse des tarifs du transport en commun et ainsi rajouter 150 000 voitures sur la route, croient des opposants au projet. C'est du moins ce qu'affirment Jean-François Lefebvre, économiste et chargé de cours à l'UQAM, et Luc Gagnon, chargé de cours en développement durable à l'ETS, dans une analyse publiée mercredi pour le compte de la Coalition Trainsparence, et reprise par Le Journal de Montréal.
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Les étudiantes de Lida Sara Nouraie ont remporté la Coupe Gale de plaidoirie pancanadien en droit criminel et constitutionnel
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L’équipe de l’UQAM a remporté pour la première fois la Coupe Gale lors du 44e concours de plaidoirie pancanadien en droit criminel et constitutionnel, qui s'est tenu les 17 et 18 février. Créée en 1974, la Coupe Gale est le plus éminent concours de plaidoirie bilingue du Canada. Composée des étudiantes Daphnée Drouin (Médaille Dickson, remise au meilleur plaideur), Valérie Kelly et Marie-Ève Tremblay, l'équipe de l'UQAM était supervisée par Me Lida Sara Nouraie, chargée de cours au Département des sciences juridiques, et Me Nicholas St-Jacques. Les tandems appelant et intimé de l'UQAM ont tous deux atteint la finale du concours, à laquelle participaient les quatre meilleurs tandems parmi les 38 participants. Il s’agissait de la première fois dans l’histoire du concours que deux tandems d’une même université participaient à la finale. L’UQAM a terminé en première et en troisième place. L'Université de Toronto et l’Université de Windsor se sont classées deuxième et quatrième, peut-on lire sur ActualitésUQAM.
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Julien Tourreille estime que le président Trump tente d’esquiver le scandale russe
Donald Trump tente de détourner l’attention du public sur les liens entre son équipe et la Russie en prétendant avoir été mis sur écoute par Barack Obama, croient des experts interrogés par Le Journal de Montréal. «On est dans la logique de la diversion. On voit une tendance de ce président à adhérer à des théories conspirationnistes», note Julien Tourreille, chargé de cours et chercheur en résidence à l'Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand de l’UQAM. Est-ce que le futur président français devra siéger en prison? Plusieurs candidats sont dans l'embarras! Julien Toureille commente la situation pour le FM93.
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Capsules vidéo du SPUQ : pourquoi choisir l’UQAM
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Les professeurs de l'Université de Sherbrooke entérinent l'entente à 82 %
Les professeures et professeurs de l'Université de Sherbrooke ont accepté à 82% l'entente de principe qui leur a été présentée, mardi en fin de journée. La convention collective de trois ans prévoit un plan de développement du corps professoral, de même qu'une augmentation salariale de 6,25% sur trois ans, en plus d'un montant forfaitaire de 1%. L'entente du Syndicat des professeures et professeurs de l'UdeS (SPPUS) prévoit 30 nouveaux postes d'ici trois ans, en plus de postes qui pourraient se libérer et qui seraient remplacés.
Lire la suite du texte de La Tribune.
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La grève à l'Université Laval se poursuit jusqu'au 10 mars
La cloche de la relâche a sonné pour les étudiants, mais les employés de soutien de l'Université Laval poursuivront leur grève et leurs manifestations au moins jusqu'au 10 mars, afin de conserver leur rapport de force sur l'administration. Dans un message envoyé à ses membres vendredi matin, le Syndicat des employées et employés de l'Université Laval (SEUL) a justifié sa décision en raison du «silence radio de l'employeur».
Lire la suite du texte du Soleil.
Pas d'entrevues pour les futurs médecins à l'U. Laval.
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Le Collectif 8 mars exige des engagements concrets de la part du premier ministre
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Alors qu’elles représentent plus de 700 000 femmes au Québec, le premier ministre a encore refusé de rencontrer les membres du Collectif 8 mars à l’occasion de la Journée internationale des femmes. Mercredi matin, elles sont allées porter elles-mêmes leurs revendications devant le bureau de M. Philippe Couillard à Montréal. «C’est le gouvernement dans son ensemble qui doit agir pour l’égalité entre les femmes et les hommes et à cet effet, nous voulons cette année que le premier ministre se joigne à la ministre, ce qu’il refuse. Alors que le premier ministre affirme haut et fort que l’égalité entre femmes et hommes est un principe, les politiques d’austérité sexistes et les coupes dans les services publics ont des impacts dramatiques sur les conditions de vie et de travail de toutes les femmes du Québec. Nous le répétons chaque année, il est temps que le gouvernement nous entende», a déclaré la porte-parole du Collectif 8 mars et présidente de la Fédération des femmes du Québec (FFQ), Mélanie Sarazin, lors du point de presse. Les représentantes du Collectif 8 mars ont une nouvelle fois sonné l’alarme: les organismes qui composent le mouvement des femmes sont à bout de souffle. Alors qu’ils sont asphyxiés financièrement, les groupes de femmes sont de plus en plus sollicités et font face à une demande de services accrue en raison même de l’augmentation des inégalités.
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Stop à la pauvreté des femmes!
Le SÉTUE se positionne en solidarité avec les femmes et groupes de femmes.
Publication d’un recueil de lectures féministes pour la ministre Thériault.
Équité salariale : le gouvernement Couillard s’en prend encore une fois aux femmes.
La «place de la femme» est... dans son syndicat pour œuvrer en faveur de la justice et de l’autonomisation économiques!
FAE : Éducation à la sexualité : primordiale plus que jamais!
Le SPGQ dénonce l’appauvrissement des femmes.
Égalité entre les femmes et les hommes : testez vos connaissances!
Redonner à la suivante.
L'itinérance au féminin, un problème en croissance en Estrie.
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Le Groupe MAMAN reçoit la première subvention de son histoire
À l’occasion de la Journée internationale des femmes, le Groupe MAMAN (GM), qui est membre de la Coalition pour la pratique sage-femme au même titre que la CSN et d’autres groupes citoyens, est très fier d’annoncer le premier financement de son histoire. Celui-ci lui permettra d’assurer une présence forte au sein du mouvement de mobilisation pour l’humanisation de la naissance. En effet, la Fondation Béati a décidé d’octroyer 27 000$ à la réalisation du projet: Renforcer la voix citoyenne pour une maternité respectée. L’équipe du GM se réjouit de cette nouvelle qui lui permettra d’intensifier son action et son soutien auprès des groupes citoyens qui revendiquent l’accès aux maisons de naissance et aux services des sages-femmes aux quatre coins du Québec.
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Grève possible dans le transport scolaire : rencontre de négociation de la dernière chance
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Lock-out à l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis : le syndicat dénonce à nouveau l’attitude de l’employeur
Les membres du Syndicat des travailleuses et des travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis (CSN) (STTHGPD) ont manifesté jeudi midi devant l’Hôtel Chantecler à Sainte-Adèle, propriété du groupe Hôtels Gouverneur, afin de dénoncer à nouveau l’attitude de leur employeur. «Depuis le mois de mai dernier, qui a marqué le début de notre négociation, nous avons tenu 16 rencontres et nous sommes encore loin d’un règlement. Nous avons fait appel à la conciliation parce que l’employeur n’affichait aucune ouverture, ce qui nous a indiqué rapidement qu’un conflit se préparait. Les pourparlers n’aboutissent pas et la partie patronale ne dispose pas des mandats nécessaires pour régler cette négociation. Nous avions même réglé certaines clauses sur lesquelles l’employeur a retiré son engagement par la suite», de dénoncer Yvon Therrien, président du STTHGPD.
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Projet Optilab sur la Côte-Nord : le pdg du CISSS doit intervenir auprès du ministre Barrette
La CSN, la FTQ, les élus municipaux de la Côte-Nord et les comités de Vigilance en santé et services sociaux pressent le CISSS de la Côte-Nord à sortir de sa torpeur et à agir sans plus attendre avant que le ministre Barrette ne procède aux transferts imminents de 70 postes vers le CISSS du Saguenay. «On n’a pas encore entendu le CISSS se prononcer sur la question des transferts dans le cadre du projet Optilab alors que ceux-ci sont annoncés pour le 1er avril prochain. Nous interpelons aujourd’hui le président directeur général, Marc Fortin, afin qu’il intervienne immédiatement auprès de Gaétan Barrette en faveur de la population de la région desservie par son établissement et pour qu’il somme le ministre de renoncer aux transferts des postes», a d’abord souligné le président du Conseil central Côte-Nord – CSN, Guillaume Tremblay.
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Brasseur de la Belle Gueule, la Tremblay et la Cheval Blanc : la direction de Brasseurs RJ brandit la menace du lock-out
Les 60 travailleuses et travailleurs de Brasseurs RJ ont manifesté le 2 mars à l’extérieur de leur usine afin de démontrer leur insatisfaction à l’égard du rythme des négociations en cours pour le renouvellement de leur convention collective. Ces artisans fabriquent notamment la Belle Gueule, la Tremblay et la Cheval Blanc. «Le propriétaire de l’entreprise s’obstine à utiliser une stratégie qui consiste à faire une offre globale afin de ne pas négocier la proposition de convention collective adoptée par les syndiqué-es en assemblée générale, le printemps dernier. À l’évidence, ce sont des agissements que l’on peut qualifier de négociation de mauvaise foi», de déclarer le vice-président de la Fédération du commerce–CSN, David Bergeron-Cyr. Affiliés depuis février 2016 à la CSN, les syndiqué-es désirent des conditions de travail qui reflètent davantage celles en vigueur chez les concurrents directs de Brasseurs RJ. Cela particulièrement au plan salarial où l’écart est considérable par rapport aux autres microbrasseries.
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Un an plus tard : Berta vit, la lutte du COPINH se poursuit
Le 2 mars 2016, Berta Cáceres a été assassinée dans le but de la faire taire, d’en finir avec son leadership dans la mobilisation communautaire et d’ainsi anéantir le projet politique et la lutte d’un peuple pour la défense de son territoire; ses assassins ne visaient pas seulement à éliminer Berta, mais aussi l’organisation avec laquelle elle militait depuis plus de 20 ans, le COPINH (Conseil civique d’organisations autochtones et populaires du Honduras). Cependant, ce crime n’est pas parvenu à mettre un terme au mouvement de lutte. Berta Cáceres et l’héritage de son engagement, de sa résistance et de la clarté de sa vision demeurent bien vivants chez les peuples à travers la planète qui font face aux menaces du capitalisme sauvage, du patriarcat et de ce système de pillage, raciste et colonial.
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Ottawa doit s’attaquer aux inégalités sociales et réformer le régime d’assurance-emploi, déclare la FTQ
La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) demande au gouvernement fédéral dans son prochain budget qui sera déposé le 22 mars de se mettre en mode écoute de sa population. «La lutte contre les inégalités sociales doit devenir l’une des priorités de ce gouvernement. Pour ce faire, Ottawa doit aller chercher des revenus supplémentaires, entre autres, en imposant davantage les entreprises, qui bénéficient d’un taux d’imposition parmi les plus bas en Amérique du Nord, le 1% de la population le plus riche, ainsi que le gain en capital. Ottawa doit également accentuer la lutte contre les paradis fiscaux et mettre fin à son intransigeance dans le dossier des transferts fédéraux en santé», déclare le secrétaire général de la FTQ, Serge Cadieux. Autre priorité pour la FTQ: la réforme du régime d’assurance-emploi. Seulement 40% des chômeurs et chômeuses ont accès à des prestations. «Le gouvernement fédéral peut améliorer le régime en adoptant plusieurs mesures dont l’abolition de la semaine de carence, ramener la période de prestation à une durée maximale de 50 semaines, réformer le tribunal du travail et rouvrir les bureaux régionaux fermés par les conservateurs», ajoute le secrétaire général.
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Grève de Murdochville : la FTQ souligne le 60e anniversaire du déclenchement
La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) tient à souligner, le 10 mars, le 60e anniversaire du déclenchement de la grève historique des travailleurs de la mine de la Gaspé Copper Mines, filiale de la compagnie Noranda. À cette époque, Noranda conteste la syndicalisation des travailleurs qui ont choisi d’être représentés par le syndicat des Métallos. Pendant la procédure d’accréditation, Noranda refuse de reconnaître le syndicat et de négocier. Elle suspend ou rétrograde les travailleurs ou abaisse leur salaire et congédie le président du syndicat, Théo Gagné. Outrés, le 10 mars 1957, les 1000 travailleurs de la mine déclenchent alors ce qui sera l’un des plus durs conflits qu’aura connus le monde syndical québécois.
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Un appui psychosocial post-ouragan aide des enseignants haïtiens traumatisés à se reconstruire
Pour beaucoup d’enseignantes et d’enseignants haïtiens, les cicatrices émotionnelles de l’ouragan Mathieu doivent encore se refermer, et c’est pourquoi un programme de solidarité internationale a aidé à soutenir leurs collègues en ayant le plus besoin.
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Turquie : les enseignants licenciés reçoivent un soutien international
Une délégation syndicale internationale a apporté son soutien aux milliers d’enseignantes et enseignants licenciés par le gouvernement et à l’affilié turc de l’Internationale de l’éducation, qui fait l’objet d’une répression sévère depuis le début de la vague de répression politique.
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La gouvernance en péril : le personnel académique a-t-il son mot à dire dans la gouvernance des établissements postsecondaires?
«Les universités deviennent si grandes, si complexes et si dépendantes des fonds publics que les savants ne peuvent plus déterminer ni influencer leurs propres politiques, qu’une nouvelle catégorie montante d’administrateurs est en voie d’assumer le contrôle et que le gouffre d’incompréhension et de mépris s’élargit de plus en plus entre le personnel universitaire et le personnel administratif et porte gravement atteinte au fonctionnement de ces deux entités.» Cette conclusion est tirée du rapport de la Commission Duff-Berdahl publié en 1966. Et malgré les cinquante années qui se sont écoulées depuis, elle est toujours d’actualité, car les enjeux liés à l’influence des universitaires dans la gouvernance des institutions postsecondaires — que ce soit au sein des sénats ou aux conseils d’administration — sont toujours d’actualité.
Lire la suite du texte de l’Association des professeures et professeurs d’université.
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Le financement du réseau collégial québécois : quelques pistes de solution
Les paramètres de la formule de financement des cégeps ne permettent plus aux établissements collégiaux de s’adapter aux changements sociodémographiques que vit le Québec, ni même d’atteindre les objectifs déclarés du gouvernement. Les compressions récentes mettent au jour les iniquités structurelles de cette formule de répartition. Pour la seule dernière année (2014-2015 à 2015-2016), quatre des cinq volets de financement ont subi des compressions moyennes de 11,2%, soit une ponction totale de 75 M$ dans leur allocation initiale. Aux fins de cette analyse de l’Institut de recherche en économie contemporaine (IREC), les 48 cégeps sont d’abord classifiés selon leur taille, puis répartis également en trois catégories: petits, moyens et grands. Cette classification illustre que les cégeps de petite taille, souvent défavorisés par la formule de financement, se situent en majorité à l’extérieur des grands centres. La variation régionale du taux de scolarisation et le déclin démographique envisagé défavorisent les petits cégeps, qui comptent souvent une population régionale moins scolarisée.
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Des élues questionnent l'entente entre la Ville et la campagne majeure de l'Université de Sherbrooke
Le conseil municipal de Sherbrooke a donné son aval à la signature du protocole d'entente avec l'Université de Sherbrooke pour la campagne de financement d'Avenirs et de passions. Cette campagne vise à financer des projets de différentes facultés. La conseillère Hélène Dauphinais a enregistré sa dissidence en raison des montants variant entre 350 000 et 600 000 dollars qui seront octroyés chaque année pendant 10 ans. La conseillère Annie Godbout réclame un plan cohérent entre les différents organismes de développement entrepreneurial. Elle a lancé une pointe à l'égard du maire Bernard Sévigny en lui reprochant d'avoir été arrogant envers elle. Le président du comité exécutif, Serge Paquin a quant à lui rappelé que le parc immobilier de l'Université de Sherbrooke rapporte des revenus de taxes à la Ville.
En audio au FM 93, le reportage de Marie-France Martel.
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Négociations en cours sur le financement des universités au Nouveau-Brunswick
Les étudiants néo-brunswickois pourraient-ils être fixés à l'avance sur les droits de scolarité qu'ils paieront pendant la durée de leurs études? Ce pourrait être le résultat des négociations sur les ententes de financement entre le gouvernement du Nouveau-Brunswick et les universités. Le gouvernement promet d'investir 45 millions de dollars dans les quatre universités de la province au cours des quatre prochaines années. La province tente d'inclure les droits de scolarité dans ces ententes de principe. Les universités souhaitent augmenter les droits de scolarité pour aider à financer leurs opérations. Si ces droits augmentent, les universités devront annoncer dès cette année leurs intentions pour les quatre prochaines années.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Royaume-Uni : l’augmentation de la pression professionnelle affecte largement l’état psychologique et le bien-être des enseignants
Près de la moitié des répondants à un sondage mené en Écosse sur le bien-être des enseignantes et enseignants ont déclaré être psychologiquement fragilisés, ce qui alimente les craintes de voir un nombre croissant d’enseignantes et enseignants en difficulté face à l'évolution des exigences de leur profession. Le sondage, réalisé en février 2017 par Jenny Harvey, éducatrice spécialisée de Fife, une région située à l’est de l'Écosse, a obtenu un nombre considérable de réponses: 778 au dernier comptage.
Lire la suite.
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Des scientifiques à la recherche de fonds fédéraux
Bien des chercheurs en santé attendent le prochain budget fédéral avec un mélange d'appréhension et d'espoir. L'élection de Justin Trudeau était perçue comme une bouffée d'air frais. Or, un an et demi plus tard, de nombreux scientifiques sont à bout de souffle en raison du manque de financement fédéral. Jean-Claude Labbé est chercheur à l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie (IRIC), où l’on tente de mieux comprendre le cancer, la plus importante cause de décès du pays. En fait, la moitié de son temps est littéralement consacrée à chercher du financement. «Le travail devient presque un travail de collecte de fonds», dit-il. Il est inquiet et il n’est pas le seul à l’IRIC, qui compte 29 laboratoires. «La majorité d’entre nous ont vu leurs programmes de recherches fondre. C’est aussi simple que ça», affirme le directeur scientifique de l’établissement, Marc Therrien.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
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Panel portant sur le Droit et la culture du viol le 14 mars
Parce que la culture du viol est confortablement enracinée dans le système de justice. Parce que cette culture du silence et de l'aveuglement volontaire rend complètement inefficace le système de justice à l'égard des victimes de violences sexuelles. Parce qu'encore à ce jour, le droit est un outil de contrôle social patriarcal. Les Malbaisé.es - Le Comité Féministe de Sexologie de l'UQÀM - et La Collective - Le Collectif Féminismes et Droit de l'UQAM -, vous invitent à un panel portant sur le droit et la culture du viol le mardi 14 mars à 12h30 au DS-R515. Événement mixte. Bienvenue à toutes et à tous!
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Conférence sur l’implantation et l’évaluation des programmes de prévention de la violence sexuelle
Une conférence offerte par Charlene Senn, professeure au département de psychologie de l’Université de Windsor et organisée par la Chaire de recherche du Canada sur les traumas interpersonnels et la résilience, se tiendra le vendredi 7 avril de 9h à 12h (accueil à 8h30) au JE-1000. Le titre de la présentation est The Enhanced Assess, Acknowledge, Act (EAAA) Sexual Assault Resistance Program for Women Students: Foundation, evidence, and implementation et sera offerte en anglais (la période de questions se déroulera dans les deux langues). La conférence sera précédée par une présentation des résultats de l’Enquête ESSIMU sous l’angle du rôle des témoins dans le soutien aux victimes. L’entrée est gratuite, mais les places sont limitées. Il est important de s’inscrire avant le 24 mars à boivin.janele@uqam.ca.
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Les 20 ans de la politique familiale : de gardienne d’enfant à éducatrice en garderie
En 1997, le gouvernement péquiste a mis en place une politique familiale comprenant plusieurs volets. Deux d’entre eux ont été particulièrement marquants. D’une part, on a établi le Régime québécois d’assurance parentale, permettant tant aux pères qu’aux mères de passer du temps avec leur nouveau-né tout en gardant leur lien d’emploi et une partie de leur salaire. D’autre part, le gouvernement s’est engagé à établir un réseau de garderies publiques à frais modiques, promettant des places pour les enfants de tous les parents qui en feraient la demande. Cette politique familiale de même que les luttes syndicales et communautaires qui ont suivi ont permis non seulement de créer un réseau de qualité pour les enfants et leurs parents, mais également de professionnaliser les femmes qui y travaillent en améliorant leurs conditions de travail. Ceci n’est pas anodin quand on considère tout ce qui reste à faire pour reconnaître le travail invisible qui permet à notre société d’exister.
Lire la fiche socioéconomique de l’IRIS.
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Contrer le sexisme ordinaire : plusieurs domaines restent encore majoritairement masculins
Si les femmes subissent violence et sexisme dans la sphère virtuelle, comme nous l’avons vu dans les dénonciations des derniers jours, plusieurs autres domaines de travail sont difficiles pour les femmes. Malgré tout, certaines s’organisent pour essayer de changer la donne, même si lutter contre le sexisme systémique reste un combat de tous les instants.
Lire la suite du texte de Ricochet.
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Le Front commun comique contre les paradis fiscaux en spectacle au Lion d’Or le 4 avril
Le Front commun comique se mobilise à l’occasion de la 1re Semaine mondiale d’actions contre les paradis fiscaux (1-7 avril 2017) et sera en spectacle le mardi 4 avril au Cabaret Lion d’Or à 20h (ouverture des portes : 19h). Rassemblant des humoristes qui ont à coeur le bien commun, la justice sociale et les idées progressistes, le Front commun comique utilise l’humour comme un outil de révolution sociale. Ses spectacles allient des numéros d’humour et des prises de parole d’intervenants (professeurs, militants, acteurs communautaires, etc.) qui stimulent le débat public et l’action politique et sociale. Pour rire des dangereux bouffons qui nous gouvernent avec Colin Boudrias-Fournier, Fred Dubé, Sexe Illégal, Maude Landry et Christian Vanasse. Et vous familiariser avec les pistes d’action pour enrayer les paradis fiscaux avec : Alain Deneault, Maude Boulanger (Oxfam-Québec) et Claude Vaillancourt (ATTAC-Québec). Prix d’entrée : entre 12$ et 22$ incluant frais de service. Billets en vente au www.cabaretliondor.com ou au 1-855-550-SHOW (7469). Soirée réalisée au profit d’ATTAC-Québec.
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Colloque Lutter pour le droit à la ville : gentrifications et résistances à Montréal
Le colloque Lutter pour le droit à la ville: gentrifications et résistances à Montréal, organisé par la Chaire de recherche du Canada en Sociologie des conflits sociaux de l’UQAM, se déroulera le vendredi 17 mars, de 10h à 17h30, à la salle R-M160. Construction massive de condominiums, raréfaction de logements abordables, multiplication des expulsions, déplacements de population. Entre les campagnes des groupes de défense du droit au logement et les actions directes contre de nouvelles boutiques à St-Henri ou à Hochelaga-Maisonneuve, le débat sur la gentrification prend une place croissante dans l’espace public. Il apparaît de plus en plus que la gentrification n’est pas une simple affaire de revitalisation urbaine, mais incarne aussi la traduction de la lutte des classes dans l’espace urbain. Pour mieux saisir ces enjeux, ce colloque vise à revenir sur la dynamique et les conséquences de la gentrification à Montréal ainsi que sur les inquiétudes et les résistances qu’elle suscite. Il réunit des chercheur.e.s en sciences humaines et des militant.e.s du droit au logement afin de poser la question du droit à la ville au temps des condominiums. Entrée gratuite.
Lire la programme.
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Vers un troisième plan de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale : le Québec mérite mieux que la politique du moins pire
La semaine dernière, le ministre François Blais reconnaissait à juste titre l’échec des deux premiers plans de lutte à la pauvreté. Ceux-ci n’ont pas permis au Québec d’atteindre l’objectif de la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale, qui est de faire du Québec l’une des nations industrialisées comptant le moins de personnes en situation de pauvreté. «Après cela, le ministre Blais a beau jeu de promettre que le prochain plan de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale sera meilleur que les précédents», lance le porte-parole du Collectif pour un Québec sans pauvreté, M. Serge Petitclerc. «Il n’a pas placé la barre bien haut. En fait, nous avons peur que le gouvernement soit déjà en train de renoncer une fois de plus à sa responsabilité de viser un objectif beaucoup plus ambitieux, soit de faire tendre le Québec vers une société sans pauvreté.»
Lire la suite.
TNCDC : Le plan de lutte à la pauvreté : une responsabilité gouvernementale. Blais promet un «meilleur» plan de lutte à la pauvreté.
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Politique nationale de lutte à l’itinérance du Québec : trois ans, mais pas toutes ses dents
Il y a trois ans, le gouvernement du Québec s’est doté d’un instrument majeur pour guider son action avec l’adoption de la Politique nationale de lutte à l’itinérance. Trois ans plus tard, celle-ci a permis certains progrès, mais les moyens investis pour son déploiement font grandement défaut. Il manque de mordant à son action. Cela n’est pas sans conséquence… À l’hiver 2016, le nombre de nuitées dans les refuges pour hommes avait augmenté de 10%. Cet hiver, le taux de fréquentation semble se stabiliser, mais différentes décisions du gouvernement font craindre un accroissement de l’itinérance. L’itinérance des femmes demeure sous-estimée, et le 16 janvier dernier la compilation faite par la Ville de Montréal indiquait un taux d’occupation des ressources d’hébergement d’urgence leur étant destinées de 101%.
Lire la suite du texte du coordonnateur du RAPSIM publié dans La Presse+.
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