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L'AFESH toujours en grève
L’Association facultaire étudiante des sciences humaines (AFESH) est toujours en grève. Dans ces circonstances, nous voulons vous rappeler que les personnes chargées de cours sous contrat doivent se présenter à leurs activités de travail, peu importe le lieu et la nature de cette activité, et être prêtes à donner leurs activités d’enseignement.
Nous tenons à réitérer que les personnes chargées de cours ont le droit de refuser de dispenser leur enseignement lorsque la sécurité des personnes présentes ne peut être assurée (ce qui est prévu dans notre convention collective) ou lorsque les conditions pédagogiques normales ne sont pas réunies. Dans l’hypothèse où vous seriez dans l’impossibilité de donner votre cours, nous vous conseillons de contacter votre département ainsi que le SCCUQ.
Ces derniers jours, lors de la tournée de classe par les officières et officiers du SCCUQ en soutien à nos membres, nous avons encore noté la présence de gardiens de sécurité dans les salles de cours. Nous rappelons que l’article 28.03 de notre convention collective prévoit qu’ : «Une personne chargée de cours a le droit de refuser d’exécuter un travail si elle a des motifs raisonnables de croire que l’exécution de ce travail l’expose à un danger pour sa santé, sa sécurité ou son intégrité physique, ou peut avoir pour effet d’exposer une autre personne à un semblable danger». Par conséquent nous vous conseillons de documenter soigneusement les évènements qui se produisent dans vos cours et qui auraient pour effet de porter atteinte à votre santé mentale ou physique, à votre sécurité ou à votre intégrité physique, ou qui auraient pour effet d’exposer une autre personne à un tel danger.
Le SCCUQ continue de dénoncer vivement cette dérive sécuritaire et nous sommes conscients que la direction place chaque enseignante et enseignant dans une situation intenable.
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Trimestre d'hiver 2015 : un encadrement rémunéré
À la suite de négociations avec la partie patronale, nous tenons à vous informer des faits suivants:
- Le Conseil d’administration n’a pas voté de prolongation de trimestre.
- La résolution du Conseil d’administration affirme plutôt que les activités et modalités d’évaluation peuvent faire l’objet d’un encadrement en ligne ou en présence, de façon individuelle ou collective.
- Vous devez donc contacter la direction de votre département ou de votre faculté pour convenir avec elle des activités d’encadrement mises en place pour terminer le cours.
- Selon la partie patronale, ces activités d’encadrement seront rémunérées au prorata d’une charge de cours, selon l’échelon salarial, pour un maximum de 6 heures, et ceci selon les besoins réels des personnes chargées de cours.
- Dans les cas très exceptionnels où un nombre d’heures d’encadrement supplémentaire à 6 heures serait nécessaire, le nombre d’heures devrait être discuté avec la direction du département ou de la faculté. Ces heures seront considérées comme des heures de disponibilité complémentaire et seront rémunérées à 45$/h.
- Enfin les évaluations de l’enseignement ne devraient pas être prises en compte pour le trimestre d’hiver 2015.
Le SCCUQ vous encourage à contacter les agentes et agents de relation de travail pour tout problème rencontré dans l’application de ces consignes.
Robert Drouin au poste 3536, courriel : drouin.robert@uqam.ca Marielle Lacombe au poste 2789, courriel : lacombe.marielle@uqam.ca Kerwin Myler au poste 4886, courriel : myler.kerwin@uqam.ca
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Demandes d’EQE : Les chargées et chargés de cours se sont mobilisés pour la reconnaissance
Jusqu’à maintenant, les efforts du Syndicat pour faire la promotion de la campagne annuelle de demandes d’EQE a porté ses fruits. Au total, 305 personnes chargées de cours ont demandé des EQE lors de la procédure annuelle, une augmentation de 9,3% par rapport à l’an dernier. En fait, des membres ont demandé des EQE, pour une première fois depuis 2007, dans à peu près toutes les unités où nous sommes à l’œuvre.
Du côté des demandes de révision, les personnes chargées de cours insistent pour exercer leurs droits aussi: des chargées et chargés de cours ont demandé la révision dans 21 unités, soit dans 5 unités de plus qu’en 2014. Qui plus est, en 2015, 46 personnes chargées de cours ont demandé la révision, soit 43% de plus que l’an dernier.
Évidemment, il nous reste à faire l’analyse des motifs de refus, pour ne pas parler des EQE elles-mêmes. Et, surtout, des membres auront bientôt à se battre fort en comité de révision pour faire reconnaître leur expertise et leurs qualifications. À ce sujet, le Syndicat a déjà commencé à lancer un appel afin de trouver des gens pour représenter leurs collègues lors des comités de révision.
Pour toute question par rapport aux comités de révision de demande d’EQE, veuillez contacter Marielle Lacombe, agente de relations de travail, au poste 2789.
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Des chargées et chargés de cours témoignent de leur passion et de leur précarité
Le SCCUQ a interviewé et filmé des chargées et chargés de cours dans leur salle de classe pour recueillir leurs témoignages sur leur passion de l’enseignement et la précarité de leur statut. Une vidéo de 22 minutes sera diffusée devant public ultérieurement. En attendant, vous pouvez visionner des capsules individuelles. Dans un premier temps nous avons mis en ligne les témoignages de Dominique Porte, Cathy Beausoleil et Ricardo Penafiel.
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Un soutien du Syndicat des professeur-e-s du Collège Marie-Victorin
Lors d’une assemblée générale tenue le 6 mai dernier, le Syndicat des professeur-e-s du Collège Marie-Victorin a invité Marie Blais, présidente du SCCUQ, à présenter les évènements récents que vit la communauté uqammienne. Madame Blais a insisté sur l'importance de dénouer la situation des étudiants menacés d'expulsion et a dénoncé la dérive autoritaire adoptée par l'UQAM. Elle a également expliqué que ce conflit a permis à la Direction de l'UQAM de passer outre certaines décisions prises par la Commission des études. En remettant en cause ces décisions, le Conseil d’administration s'attaquait à la gouvernance collégiale de l'UQAM. En assemblée, le Syndicat a adopté à l'unanimité une proposition dénonçant l'attitude autoritaire de l'UQAM.
Pour lire la Proposition adoptée par l'Assemblée générale du Syndicat des professeur-e-s du Collège Marie-Victorin.
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Les membres du SCCUQ élisent leurs officiers syndicaux
Les membres du SCCUQ réunis en assemblée générale statutaire le 30 avril ont élu les officiers du Syndicat, certains pour un mandat de deux ans et d’autres pour un mandat d’un an, le processus électoral étant en période de transition. Voici les résultats des élections :
Présidence : Marie Blais (un an) Vice-présidence à la convention collective : Gaëlle Breton-Le Goff (deux ans) Vice-présidence aux affaires universitaires : Yvette Podkhlebnik (un an) Vice-présidence aux relations intersyndicales : Marie-Pierre Boucher (deux ans) Vice-présidence à l’information : Richard Bousquet (un an) Secrétariat général : Hélène Belley (deux ans) Trésorerie : Marie Bouvier (deux ans) Comité mobilisation-intégration : Nathalie Blanchet (un an), Mariève Ross et Jean Régnier (deux ans) Comité des agentes et agents de relations de travail : Robert Drouin (deux ans), Marielle Lacombe et Kerwin Myler (un an) Comité de surveillance des finances : Raymond Bréard (deux ans), Jacques Gélinas et Hassan Younes (un an) Comité de perfectionnement et de mise à jour des connaissances : Antoine Ouellette (un an) et Jean-Pierre Girard (deux ans) Comité de vérification du double emploi : Sylvain Gaudette (deux ans), Amel Aloui (un an), Jean-Marc Thuotte (substitut deux ans) Comité institutionnel d’application de la politique environnementale : Scott McKay Comité institutionnel de prévention du harcèlement psychologique : Solange Pronovost
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Exposition des finissants du DESS en architecture moderne et patrimoine : Sauvegarde du Square Viger
La chargée de cours de l’École de design Marie-Dina Salvione vous invite au vernissage de l’exposition Sauvegarde du Square Viger, pistes de solutions élaborées par les finissants du DESS en architecture moderne et patrimoine. Le vernissage aura lieu le 8 mai de 17h à 19h, au deuxième étage de l'École de design de l'UQAM. L'exposition sera quant à elle affichée pour plusieurs semaines. Cette initiative a été réalisée notamment grâce à un projet d'intégration des personnes chargées de cours, en partenariat avec l'École de design de l'UQAM et l'Institut du patrimoine de l'UQAM. Dans le contexte présent où le Square Viger est officiellement menacé de démolition, cette exposition présente le «brassage d'idées» qui a caractérisé notre session d'hiver dans le cours Actualité du patrimoine moderne : pratique et théorie.
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Jean Régnier monte sur scène pour D’autres vies que la mienne
Le chargé de cours au département de sociologie, Jean Régnier, vous convie au spectacle littéraire D’autres vies que la mienne auquel il participera le 9 mai. Laissez-passer disponibles dès le 25 avril à la Maison de la culture Rosemont-La Petite-Patrie. Les comédiens Denys Lefebvre, Jean Régnier et Vincent Magnat se retrouvent sur une même scène le temps d’une soirée pour partager leurs coups de cœur littéraires autour du thème du roman d’Emmanuel Carrère: D’autres vies que la mienne. Leur prestation sera précédée de la lecture de courts textes écrits par des artistes de 55 ans et plus, résidant dans l’Arrondissement et membres du regroupement arts et culture Rosemont-Petite-Patrie.
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Polyphonies, une exposition de la chargée de cours et commissaire Véronique Leblanc chez OPTICA
La chargée de cours au Département d’histoire de l’art Véronique Leblanc agit à titre de commissaire pour l’exposition Polyphonies du 18 avril au 13 juin au centre d'art contemporain Optica, 5445 avenue de Gaspé, espace 106, à Montréal. Le vernissage aura lieu le 18 avril à 15h. L’exposition Polyphonies réunit les œuvres de huit artistes, incluant deux duos, qui mettent en scène une pluralité de voix.
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1er Mai : la défense de l’État social québécois dans plus de 35 villes
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Le RREGOP, un régime de retraite en excellente santé financière
En évoquant vouloir assurer la pérennité du Régime de retraite des employés du gouvernement et des organismes publics (le RREGOP), le président du Conseil du trésor, Martin Coiteux, désire imposer des reculs importants à ses propres employés. Or, à la lumière des données publiées lors de la dernière mise à jour actuarielle du régime, rien ne justifie les demandes du Conseil du trésor à la table de négociation. Avec un taux de capitalisation de 98,4%, le RREGOP est pleinement en mesure de répondre à ses engagements actuels et futurs.
Lire la suite de la lettre d’opinion de Daniel Boyer, président de la FTQ, Francine Lévesque, vice-présidente de la CSN, et Lucie Martineau, porte-parole du SISP parue dans La Presse le 6 mai 2015.
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La Coalition pour la pratique sage-femme invite le gouvernement à joindre les actes à la parole
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Système de référence de la main-d'œuvre : la CSN-Construction salue le rapport du comité
La CSN-Construction salue les recommandations rendues publiques à la suite de la divulgation du rapport du comité de vigie chargé de surveiller le bon fonctionnement du Service de référence de main-d'œuvre de l'industrie de la construction (SRIC). «Si les employeurs n'avaient accès qu'à une seule et unique liste envoyée directement par le système de référence, sans aucune divulgation de l'allégeance syndicale des travailleuses et des travailleurs, le placement syndical serait immanquablement contourné. Nous avions clairement formulé cette demande lors des consultations organisées dans la foulée du dépôt de la loi 30, une mesure que même les employeurs avaient appuyée afin de contrecarrer ce problème», de déclarer Pierre Brassard, président de la CSN-Construction.
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Programmes de mobilité étudiante : une solution pour l’avenir des cégeps en région
La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) et la Fédération des enseignantes et enseignants de cégep (FEC-CSQ) appuient le programme de mobilité étudiante présenté mardi par la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ). S'appuyant sur un rapport commandé à l'Institut de recherche en économie contemporaine (IREC), la FECQ demande au gouvernement de soutenir des projets d'ententes intercollégiales afin d'offrir la possibilité à des jeunes de milieux urbains d'étudier une session ou plus en région.
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Projection du film Le Sel de la Terre d’Herbert J. Biberman
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Le comité de la condition féminine du Conseil central du Montréal métropolitain vous invite à assister à la projection du film Le Sel de la Terre qui aura lieu le mercredi 13 mai à 18 h à la salle Michel-Chartrand du CCMM. Bien qu’il date de 1954, Le Sel de la Terre évoque des problématiques très contemporaines, notamment sur l’importance de réussir à relier entre elles des luttes apparemment différentes ou qui semblent parfois incompatibles. Il s’agit au départ d’une grève de mineurs mexicano-américains de l’État du Nouveau-Mexique, aux États-Unis, luttant pour l’amélioration de leurs conditions de vie. Considéré à sa sortie comme subversif et blacklisté par la politique maccarthyste de censure des oeuvres «communistes», le film d’Herbert J. Biberman a été boycotté par presque toutes les salles de cinéma des États-Unis jusqu’en 1965. Les personnes intéressées doivent réserver leur place auprès de Josiane Latour (514 598-2005 ou josiane.latour@csn.qc.ca) avant le 8 mai.
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Kosovo : soutien européen aux efforts de négociation collective réalisés par les syndicats
La région européenne de l’Internationale de l’éducation demande aux autorités publiques une mise en œuvre complète de l’accord collectif signé il y a un an. La lettre du Comité syndical européen de l’éducation note «la tactique dilatoire intolérable du ministère de l’Éducation, des Sciences et Technologies du Kosovo» qui ne respecte pas l’accord signé avec les représentantes et représentants syndicaux, reconnaissant que leur «patience a été mise à rude épreuve».
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Droit de grève étudiant : François Blais veut clore le débat
Le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, François Blais, a cherché le 30 avril à clore le débat sur l’octroi d’un droit de grève aux étudiants. «Nous ne croyons pas à ce droit. Il n’existe nulle part au monde. Nous n’allons pas légiférer en la matière», a-t-il affirmé, sans appel. «[Toute] proposition de légiférer pour reconnaître cette chose étrange qu’une association étudiante pourrait à partir d’un processus juridique reconnu empêcher certains de ses membres d’étudier [se heurtera à son refus]», a insisté M. Blais, plus de trois semaines après avoir vu l’UQAM «assiégée».
Lire la suite du texte du Devoir.
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Le militant étudiant Hamza Babou a été libéré avec conditions vendredi matin
Hamza Babou, le militant étudiant de l'UQAM qui a été détenu pendant deux semaines pour une série d'accusations notamment en lien avec une levée de classe particulièrement mouvementée, a finalement été remis en liberté. Un juge de la Cour municipale a ordonné que le jeune homme de 23 ans soit libéré sur la base des conditions déterminées par un juge de la Cour supérieure le 30 avril.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
Le recteur de l’UQAM refuse de rencontrer Manon Massé.
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L'Université de Sherbrooke devra trouver au moins 11 M$
L'Université de Sherbrooke devra trouver minimalement 11 M $ pour atteindre l'équilibre budgétaire en 2015-2016, selon le budget qu'elle a adopté la semaine dernière. La somme à récupérer pourrait grimper jusqu'à 18 M $, puisque les données dévoilées n'incluent pas les compressions attendues à la suite du dernier budget provincial. Celles-ci pourraient avoir un impact pouvant atteindre 7 M $.
Lire la suite du texte de La Tribune.
Marche funèbre contre les compressions à l'Université Laval.
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Rectrice de l'UQTR : Québec va «agir rapidement» promet Blais
Un recteur de l'Université du Québec peut être révoqué par le conseil des ministres. C'est ce qu'a rappelé le ministre responsable de l'Éducation, François Blais. Le gouvernement compte «agir rapidement» dans l'affaire concernant la rectrice de l'UQTR Nadia Ghazzali dès qu'il aura en main les conclusions de la Vérificatrice générale du Québec a-t-il indiqué à l'Assemblée nationale. Mme Ghazzali s'est fait dire, la semaine dernière, par la présidente du réseau des Universités du Québec, Sylvie Beauchamp, que «le lien de confiance était rompu».
Lire la suite du texte de La Presse.
La rectrice de l'UQTR dit avoir l'appui de son équipe de direction. 12 postes sur 16 à remplacer au CA de l'UQTR.
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UQTR : demande accrue pour l'aide particulière aux étudiants
Le nombre d'étudiants faisant appel aux services de soutien particulier a explosé à l'Université du Québec à Trois-Rivières. Ils étaient 16, il y a sept ans, et ils sont maintenant 400. La moitié d'entre eux ont un trouble du déficit de l'attention, d'autres ont des handicaps physiques. Ces étudiants peuvent demander, entre autres, plus de temps ou un local isolé pour faire un examen ou encore l'aide d'un preneur de notes.
Lire la suite du texte sur radio-canada.ca
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Le recteur de Bishop’s renonce à 50% de son indemnité
Le principal de l’Université Bishop’s, Michael Goldbloom, renoncera à la moitié de son indemnité de départ de plus 620 000 $ sur laquelle il devait mettre la main à la fin de son second mandat à la tête de l’université des Cantons-de-l’Est, en 2018. Même s’il a réitéré mercredi avoir droit à cette indemnité de deux ans en vertu de son contrat d’embauche, il a jugé qu’il lui fallait s’en passer dans le contexte des présentes négociations budgétaires avec le gouvernement Couillard, rapporte Le Devoir. La semaine dernière, le ministre de l’Enseignement supérieur, François Blais, n’avait pas exclu d’intervenir afin d’éliminer cette indemnité, qui correspond à deux années de salaire, allocations et avantages compris.
Indemnité de départ du recteur : Blais exige des comptes à l’Université Bishop’s. Bishop's présentera un budget déficitaire. Les étudiants de Bishop's peuvent payer leurs études avec Aéroplan.
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Accords commerciaux : l’éducation n'est pas une marchandise
Selon certains rapports, l'Australie, la Colombie, la Norvège et la Nouvelle-Zélande souhaiteraient que l'éducation fasse partie du champ d'application de l'Accord sur le commerce des services – une proposition qui suscite de vives inquiétudes. L'Internationale de l'éducation tient à réaffirmer son opposition de longue date aux accords commerciaux qui visent à libéraliser l'éducation, dans le but ultime de commercialiser et de privatiser ce secteur.
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L’UNESCO rappelle que l’éducation est un droit humain et un bien public
Un nouveau rapport de l’UNESCO renforce l’éducation en tant que droit humain et bien public et appelle à une approche humaniste de l’éducation alors que se profile à l’horizon le Forum mondial sur l’éducation, qui se tiendra à Acheon en Corée du Sud. Le rapport de l’UNESCO intitulé Repenser l’éducation: Vers un bien commun mondial? reconnaît qu’il n’a jamais été aussi urgent de repenser la finalité et l’organisation de l’éducation «dans un monde de plus en plus complexe, incertain et contradictoire».
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Un sprint final pour lancer les objectifs de développement durable de l'ONU a débuté à Paris
Tandis que l'Initiative mondiale pour l'éducation avant tout du Secrétaire général de l'ONU arrive presque à la fin de son mandat, le sprint final pour lancer les objectifs post-2015 débute et tous les regards sont tournés vers les prochaines étapes du programme mondial.
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Népal : le secteur de l’éducation durement touché par le séisme
Alors que le bilan de la catastrophe causée par le plus violent séisme qu’a connu le Népal depuis des décennies ne cesse de s’alourdir au fil des jours, le secteur de l’éducation unit ses forces pour compter ses victimes et les écoles détruites.
Lire la suite.
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Salaire minimum : il manque toujours 4 $
Depuis quelques années, le 1er mai est aussi devenu la date où une hausse du salaire minimum entre en vigueur. Cette fois, il est passé de 10,35$ par heure à 10,55$. Parlons-nous pour autant d’une grande avancée pour les travailleuses et les travailleurs pauvres? Pas tout à fait. Bien que cette hausse du taux horaire soit la bienvenue, nous avons constaté dans une recherche récente un manque à gagner de 4$ par heure pour que le niveau du salaire minimum soit viable, pour qu’il ne soit plus synonyme d’exclusion économique et sociale.
Lire la suite sur le blogue de l’IRIS.
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CSST : des modifications qui pourraient acculer des travailleuses et des travailleurs à la faillite
Le comité de direction de la CSST vient d’adopter des modifications importantes à ses politiques et orientations en matière d’indemnisation. Ces changements, qui sont déjà en vigueur, auront plusieurs impacts. Ils inciteront les employeurs à contester davantage, ils auront des conséquences sur la négociation d’accords et ils feront en sorte que la CSST pourra exiger, dans certains cas, le remboursement d’indemnités de remplacement du revenu et de frais d’assistance médicale reçus antérieurement. Les modifications adoptées touchent trois politiques: la politique 7.02 sur Le recours au Bureau d’évaluation médicale, la politique 5.00 sur Le droit à l’assistance médicale et la politique 2.05 sur Le recouvrement des prestations versées en trop.
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17 mai : Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie
La Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie, qui se tient le 17 mai de chaque année, est un événement rassembleur et un moment de convergence des actions de lutte menées contre l’homophobie et la transphobie. La Fondation Émergence fait la promotion de cette journée et invite les organisations et les personnes à souligner cet événement dans leur milieu.
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Trois outils du MÉPACQ sur l'austérité néolibérale
En appui à la construction d'un mouvement de protestation contre les mesures d'austérité jugées inéquitables sur le plan social, économique et politique, le Mouvement d'éducation populaire et d'action communautaire du Québec (MÉPACQ) a lancé une série d'outils traitant de l'austérité néolibérale : • un petit guide explique les grandes mesures néolibérales, incluant les mesures d'austérité, de manière à comprendre les idées sur lesquelles elles se fondent et à qui elles profitent • une brève chronologie de l'histoire du néolibéralisme permet de retracer les principaux faits, événements et acteurs, actrices qui ont contribué à mettre en place le modèle néolibéral ainsi que les mouvements de protestation qui ont émergé • et une série de fiches explicatives pour déconstruire les mythes qui entourent l'austérité et les politiques néolibérales. Sur Facebook, le MÉPACQ diffuse aussi ces fiches en images individuelles.
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Consultation publique sur les enjeux et les impacts du bannissement des sacs d’emplettes à usage unique
La Commission sur l’eau, l’environnement, le développement durable et les grands parcs vous invite à participer à la consultation publique qui portera sur les enjeux et les impacts liés au bannissement des sacs de plastique à usage unique dans les commerces de détail sur le territoire de la Ville de Montréal. La commission souhaite mesurer les impacts environnementaux, sociaux et économiques d’un éventuel bannissement à la lumière des expériences d’autres villes et états qui ont banni ce type de sacs. La commission souhaite également évaluer l’impact de la mise en place d’une réglementation pour les commerçants et les fabricants de sacs et trouver des solutions de rechange aux sacs à usage unique. La consultation publique se déroulera en trois parties. La première partie, une séance d’information le mardi 12 mai à 19h à l’hôtel de ville, salle du conseil, 275, rue Notre-Dame Est/Métro Champ-de-Mars, sera consacrée à la présentation du projet par le Service de l’environnement ainsi qu’aux questions du public; la deuxième, à l’audition des mémoires et opinions et la troisième, à l’adoption des recommandations de la commission.
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Les OSBL ne sont pas des lobbys : action urgente
Moins d’une semaine après le lancement de l’action urgente «Les OSBL ne sont pas des lobbys» #OsblPasLobby plus de 650 personnes ont signé la pétition. Signez-la dès maintenant et faites-la connaitre. Aujourd’hui, Antoine Robitaille (Le Devoir) se demande s’il faut élargir la notion de lobbyisme aux organismes sans but lucratif. Il souligne, à juste titre, que les OSBL «trouvent l’idée absurde». C’est justement ce qu’illustre cette 2e image à partager largement et rapidement (il y en aura 4 différentes).
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Centres de pédiatrie sociale : un choix paradoxal de l’État québécois
Au moment où le gouvernement impose d’importantes restrictions budgétaires aux établissements de santé et de services sociaux et aux organismes communautaires, il octroie un financement considérable de plusieurs millions de dollars aux centres de pédiatrie sociale. Ce qui agace dans cette situation? La pédiatrie sociale se présente comme une approche novatrice, comme si ces centres étaient les premiers à travailler au sein des communautés pour assurer la santé et le bien-être des enfants et pour défendre leurs droits. De plus, l’État louange ces centres et fait le choix de les financer, alors qu’il ne cesse de limiter les ressources et la marge de manoeuvre des intervenantes et des intervenants sociaux dans les établissements et dans les organismes communautaires, les forçant ainsi à s’éloigner des communautés.
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