| |
Voici un extrait du communiqué envoyé mercredi à la communauté par le recteur Robert Proulx. «Dans les suites du communiqué diffusé la semaine dernière au sujet du Rapport sur la décentralisation organisationnelle et budgétaire à l’UQAM, nous avons le plaisir de vous informer qu’un site wiki, visant à animer la consultation en lien avec ce rapport, est maintenant en ligne. Lorsque vous soumettez une contribution […] nous vous demandons de bien vouloir indiquer votre nom, votre statut (professeure, professeur, étudiante, étudiant, personnel de soutien, etc.) ainsi que l’unité académique ou administrative à laquelle vous appartenez.»
Etc. veut-il dire enseignant très chargé (de travail), ou enseignant ayant trop de charges (de cours au goût de la direction), ou «je ne sais pas comment écrire chargée et chargé de cours» ou «je m’en fous de l’avis des personnes chargées de cours»? Et ne me dites pas que c’est un oubli ou une erreur, on nous l’a servie trop souvent cette excuse-là. Une erreur à répétition n’est pas une erreur, c’est une intention… comme dans intentionnel. C’est ancré dans les gènes, sinon dans la culture de l’UQAM.
Richard Bousquet Vice-président à l’information du SCCUQ
|
|
|
| |
Rapport de la négo : des reculs confirmés, mais la discussion n’est pas rompue
Lors de la rencontre du 3 octobre, notre Comité de négociation a présenté la réponse des membres aux offres globales (et partielles) : un refus unanime. La partie patronale a confirmé ses reculs sur l’assurance voyage et sur les environnements numériques d’apprentissage (pas question de les conventionner) et sur la période de probation. Elle a aussi confirmé son refus de conventionner l'indemnité de départ à la retraite et le perfectionnement intermédiaire. Elle a présenté sa proposition de lettre d’entente pour un projet pilote sur les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE). Le projet serait facultaire (en Science politique et Droit), tripartite (parité profs et personnes chargées de cours (PCC) et le doyen de la faculté), le comité se pencherait sur le contenu des EQE, mais non sur leur attribution, il serait consultatif auprès de l’Assemblée départementale. Un résultat assez loin de nos demandes. Le comité de négo patronal a toutefois accepté de reprendre la discussion sur l’affichage annuel, malgré qu’il ne figure pas dans ses offres globales (et partielles). Notre comité a demandé d’autres dates de rencontre au-delà du 8 novembre et a l’impression que le processus de négociation a été remis sur les rails. La prochaine rencontre est prévue pour le 17 octobre.
Rapports précédents : • Dépôt des offres patronales globales à venir • Des attentes et encore des attentes • Des gains, des attentes et des différends • Des textes finalisés, des congés en cas de décès familial et retrait d’une demande sur les EQE • Une re-volte-face, un retrait et trois gains • Une reconnaissance et une volte-face
|
|
|
| |
Conseil syndical élargi du SCCUQ le 20 octobre : comparatif avec les conditions dans les autres universités
Le SCCUQ convie les déléguées et délégués à un Conseil syndical élargi, auquel peuvent assister toutes et tous les membres du Syndicat, le jeudi 20 octobre à 13 h 30, au Foyer du Studio-théâtre Alfred-Laliberté (J-M500, Pavillon Judith-Jasmin). Nous recevrons alors des présidentes et présidents d’autres syndicats de personnes chargées de cours pour nous faire part de leur réalité en lien avec nos revendications dans le cadre du renouvellement de la convention collective. Il s’agit de • Francis Bouffard, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, pour le salarial et la formation à distance • Puma Freytag, Université Laval, pour la stabilisation de l’emploi • Frédéric Kantorowski, Université de Montréal, pour le salarial et formation à distance • Richard Perreault, Université du Québec à Chicoutimi, pour les EQE regroupées • Marie-Josée Bourget, Université du Québec en Outaouais, pour le salarial • et Nancy Turgeon, Télé-Université, pour la formation à distance.
|
|
|
| |
Nicole Milette, Mariève Ross et Ève-Marie Lampron élues
L’assemblée générale du SCCUQ du 28 septembre a réélu Nicole Milette à la présidence d’élections pour un mandat de deux ans. Les membres ont également élu Mariève Ross au Comité institutionnel contre le harcèlement sexuel pour deux ans et Ève-Marie Lampron représentera les personnes chargées de cours à la Sous-commission des ressources pour les trois prochaines années.
|
|
|
| |
Sandria P. Bouliane contribue à la journée d'études J'aime les nuits de Montréal
Incontournables dans l'histoire artistique du Québec, les cabarets de Montréal sont à l'honneur dans le cadre d'une journée d'études intitulée J'aime les nuits de Montréal, qui a lieu à la salle des Boiseries le 6 octobre. L'événement est organisé par le Département de musique de l'UQAM et le Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ). La chargée de cours en musique Sandria P. Bouliane fait partie de l’équipe de coordination de l’événement.
Lire la suite.
|
|
|
|
|
Éric Boulanger codirige la Journée du Japon le 7 octobre
Quelle est la place du Japon et quel rôle joue-t-il dans le monde aujourd'hui ? Ces questions seront au centre des discussions lors de la Journée du Japon, qui se tiendra le vendredi 7 octobre à la Salle des boiseries (J-2805). Cet événement est organisé par l'Observatoire de l'Asie de l'Est, dont les codirecteurs sont le professeur Ting-Shen Lin et le chargé de cours Éric Boulanger, du Département de science politique, ainsi que le professeur associé Joseph Chung, du Département des sciences économiques.
Lire la suite.
|
|
|
|
| |
Pierre-Olivier Ouellet et Élisabeth Vallet subventionnés par le Conseil des recherches en sciences humaines du Canada
Un total de 42 enseignantes et enseignants de l’UQAM provenant de divers horizons disciplinaires ont reçu 4 221 305 dollars du Conseil des recherches en sciences humaines (CRSH) du Canada, dans le cadre des programmes de subventions Savoir (2 793 064 dollars) et Développement Savoir (1 418 241 dollars). Parmi eux, le chargé de cours en Histoire de l’art Pierre-Olivier Ouellet pour Les peintures religieuses de François Baillairgé (1759-1830) : le statut du tableau peint et son inscription dans la conception et dans l'aménagement de l'espace cultuel (47 379$) et la chargée de cours en Science politique Élisabeth Vallet pour Frontières et murs frontaliers : les impacts du blindage des frontières (170 598$).
Lire la suite.
|
|
|
| |
Olivier Aubry publie dans Journal of Economic Entomology
Le chargé de cours au Département des sciences biologiques Olivier Aubry vient de publier un article de recherche intitulé Phytophagy by the mullein bug (Hemiptera: Miridae) on apples: feeding behavior and fruit damage dans la revue Journal of Economic Entomology. Daniel Cormier et Gérald Chouinard, chercheurs à l’Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA), ainsi que Eric Lucas (professeur à l’UQAM) sont coauteurs de l’étude.
|
|
|
| |
Les panneaux réclames, éléments historiques du paysage urbain, soutient Marc H. Choko
Si les panneaux réclames peuvent être considérés comme des éléments importuns dans un paysage « naturel », ils sont bel et bien constitutifs du paysage urbain depuis la fin du XIXe siècle, alors que les grandes villes industrielles occidentales se développent et que la consommation de masse de divers nouveaux produits fait appel à la publicité peinte et imprimée de grand format, soutient le chargé de cours de l’École de design Marc H. Choko, dans un texte publié par Le Devoir.
|
|
|
| |
André Lamoureux discute de l’avenir du NPD pour Le Prince Arthur Herald
Le NPD va se choisir un nouveau chef en vue des élections de 2019. Ce dernier aura un travail colossal à effectuer afin de reconstruire le parti partout à travers le Canada. «Le NPD va devoir présenter un programme modéré (centriste) afin de reconquérir les Maritimes, l’Ouest canadien et faire finalement une percée en Ontario. Si le parti décide de se camper trop à gauche, il va faire fuir l’électorat moyen et va demeurer un tiers parti comme c’était le cas avant la vague orange», estime le chargé de cours en Science politique André Lamoureux. Le Prince Arthur Herald s’est entretenu avec lui sur l’avenir du NPD.
|
|
|
|
|
Laurent Pilon et Michel Bricault contribuent au livre Interdire, susciter, combattre
Publié récemment, l'ouvrage Interdire, susciter, combattre présente les travaux, écrits et visuels, de professeurs, de chargés de cours et d'étudiants de l'École des arts visuels et médiatiques, réalisés en 2014 et 2015, autour du thème de la prise de risque en création. Dans la seconde partie de l'ouvrage, le chargé de cours Laurent Pilon, entre autres, s'intéresse au risque créateur en enseignement des arts. Dans la dernière partie, le chargé de cours Michel Bricault s'entretient avec Georges Didi-Huberman, de l'École des Hautes Études en Sciences sociales, à Paris, qui a donné en 2014 un séminaire sur Roland Barthes à l'UQAM.
Lire la suite.
|
|
|
|
| |
Postes à pourvoir aux C. A. de la Coop UQAM
L’assemblée générale annuelle de l’Association coopérative de la collectivité de l’UQAM (Coop UQAM) se tiendra le mardi 18 octobre à 12h30 au local A-M204 de l’UQAM. Lors de cette assemblée, outre la présentation du rapport du vérificateur et du rapport annuel 2015-2016, il y aura élection au conseil d’administration et un des postes à combler pour une durée de 2 ans est réservé aux personnes chargées de cours. La période de mise en candidature se termine le 13 octobre à 12h30. Tout membre qui désire présenter sa candidature doit remplir un formulaire disponible au siège social au PK-M410. Pour tout renseignement supplémentaire : 514 987-3000 poste 2664.
|
|
|
|
|
Journée mondiale des enseignants : Valorisons les enseignants, améliorons leur statut professionnel
Le 5 octobre est la Journée mondiale des enseignants. Cette année, le thème souligne la nécessité de soutenir et de motiver les enseignantes et enseignants en leur donnant des conditions de travail favorisant un enseignement de qualité. Pour la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ–CSN), la situation s’est beaucoup détériorée avec les politiques d’austérité des dernières années. Il est grand temps pour le gouvernement du Québec d’assurer aux enseignantes et enseignants des conditions qui soient à la mesure du rôle qu’ils jouent dans la société.
Lire la suite.
CSQ : La fierté, ça se partage!
|
|
|
|
| |
Mandat du recteur : les enseignants de l’UQAC tiendront un référendum
Le Syndicat des professeurs de l'Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) tiendra un référendum en octobre sur le renouvellement du mandat du recteur, Martin Gauthier. La proposition a été adoptée à l'unanimité en assemblée générale extraordinaire. Quatre autres syndicats, dont celui des chargés de cours, vont également participer à la consultation. En poste depuis avril 2012, le mandat de cinq ans du recteur se termine bientôt. M. Gauthier a demandé qu'il soit renouvelé. Des professeurs s'opposent à ce renouvellement puisqu'ils estiment que le problème de gouvernance de l'UQAC vient du recteur lui-même.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
|
|
|
| |
La FTQ se joint à la campagne électronique contre «McGill anglais en Outaouais»
Le Conseil régional FTQ Outaouais se joint à la campagne d’Impératif français contre «McGill anglais en Outaouais». Nous devons intervenir! Ne laissons pas passer cet affront! Au Québec, la formation en médecine est offerte entièrement en français dans les facultés de médecine desservant les régions du Saguenay-Lac St-Jean, de l’Estrie, de la Mauricie, du grand Montréal et de la grande région de Québec. Au Canada hors Québec, l’Université de Moncton au Nouveau-Brunswick et l’Université d’Ottawa offrent la formation en médecine en français. Mais en Outaouais, où plus de 90% de la population parle français, le gouvernement du Québec, de connivence avec sa bonne amie, l’université anglophone McGill, ouvrira une faculté de médecine satellite où 100% des cours magistraux seront en anglais!
Lire la suite.
|
|
|
|
|
Les Grandes Rencontres : vers un climat scolaire positif et bienveillant
Pour prévenir et traiter la violence, il faut une volonté ferme et une mobilisation constante de tous. Dans le respect des rôles et des responsabilités de chacun, nous devons nous engager à agir concrètement pour assurer un climat scolaire positif, bienveillant et sécuritaire. Le projet des Grandes Rencontres, mis sur pied par la Fondation Jasmin Roy, le Gouvernement du Québec et le Réseau des donateurs pour la paix, rassemble de nombreux partenaires du réseau de l'éducation, dont la CSQ, et des organismes qui s'impliquent de diverses manières dans l'instauration d'un climat scolaire positif et bienveillant.
Lire la suite.
|
|
|
|
|
|
Vaste consultation : les employés des centres jeunesse à bout de souffle
| |
Partout au Québec, les employées et employés des centres jeunesse sont à bout de souffle et plongés dans une détresse importante causée par le travail. C’est notamment ce qui ressort d’une vaste consultation conduite auprès de quelque 2000 répondantes et répondants syndiqués à la CSN à travers le Québec. «Les résultats de cette consultation mettent en lumière les impacts du sous-financement dans le réseau des centres jeunesse. L’an dernier encore, celui-ci a épongé 20 millions en compressions qui ont affecté autant la pratique professionnelle que la qualité des services aux enfants et aux familles», souligne d’entrée de jeu le vice-président de la CSN, Jean Lacharité. L’enquête présente des constats et des chiffres alarmants. Seulement 5% des intervenantes et intervenants estiment être en mesure de répondre adéquatement et en temps utile aux besoins de cette clientèle.
Lire la suite.
Le Devoir : Les centres jeunesse appellent à l’aide.
|
|
|
|
| |
Divulgation d’actes répréhensibles : le projet de loi 87 doit être bonifié
Réagissant à l’étape de l’étude détaillée en commission parlementaire du projet de loi 87 sur la divulgation d’actes répréhensibles, la Confédération des syndicats nationaux (CSN) déplore que le secteur privé et celui des municipalités n’y soient pas assujettis, afin de permettre que tous les lanceurs d’alerte puissent dénoncer des actes répréhensibles sans avoir à subir de représailles. «Le premier ministre Couillard a promis que son gouvernement serait « le gouvernement le plus transparent de l’histoire du Québec, a réagi le secrétaire général de la CSN, Jean Lortie. La moindre des choses serait donc qu’il agisse en conséquence et qu’il élargisse le champ d’application du projet de loi.»
Lire la suite.
|
|
|
| |
Actualisation de la Loi sur les décrets de convention collective: la CSD et la CSN joignent leur voix pour limiter le pouvoir ministériel
De passage jeudi en commission parlementaire sur le projet de loi 53 sur l’actualisation de la Loi sur les décrets de convention collective, la Centrale des syndicats démocratiques (CSD) et la Confédération des syndicats nationaux (CSN) ont présenté près d’une dizaine de recommandations visant à préserver le consensus sur la question, dégagé au sein d’un sous-comité du Comité consultatif du travail et de la main-d’œuvre (CCTM). Les deux centrales syndicales considèrent notamment que le projet de loi confère trop de pouvoir au ministre du Travail qui pourrait passer outre l’obligation de consensus entre les parties.
Lire la suite.
La FTQ réclame le retrait d’articles litigieux.
|
|
|
| |
Entente historique entre le SCFP et la FEESP pour défendre les employés municipaux et du transport terrestre
Alors que vient de s’écouler la première semaine de l’étude sur le projet de loi 110 à Québec, projet de loi qui vise à imposer un nouveau cadre de négociation dans le secteur municipal et le secteur du transport terrestre, le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) et la Fédération des employées et employés des services publics (FEESP–CSN) considèrent que le gouvernement veut créer deux classes de travailleurs, ceux qui peuvent négocier librement leurs conditions de travail et ceux pour qui on veut créer un régime d’exception sans précédent au pays. Devant cette attaque historique, les deux organisations syndicales ont décidé de poser un geste tout aussi historique pour mieux défendre les employés municipaux et du transport terrestre qu’elles représentent. Un protocole de non-maraudage a été signé vendredi midi entre le SCFP et la FEESP–CSN qui à eux seuls représentent la majorité des employés municipaux et du transport terrestre du Québec.
Lire la suite.
|
|
|
|
|
Prendre les choses en main en attendant une nouvelle économie
La fondation du syndicat du Frites Alors! sur la rue Rachel à Montréal suscite à l’occasion de vives réactions. Je trouve la suivante troublante: elles et ils ont juste à se trouver un autre emploi si elles et ils ne sont pas contents. Je réponds habituellement qu’il faut repenser notre économie. Dans une société plutôt riche comme la nôtre, on ne peut se permettre d’être complaisant à l’égard du fait que 733 700 salarié·e·s occupent des emplois à bas salaire qui ne leur permettent pas de subvenir à leurs besoins, ce qu’on appelle des salaires non viables. Si l’État ne s’occupe pas de la question, il est tout à fait légitime que les travailleurs et travailleuses prennent les choses en main.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
|
|
|
|
| |
Les travailleurs de Demix et de la scierie de Rivière-aux-Rats acceptent des ententes de principe
Réunis en assemblée générale dimanche soir, les travailleurs de Demix à Longueuil et Lasalle ont accepté dans une proportion de 77% l’entente de principe intervenue entre l’employeur et le comité de négociation syndical dans la nuit de vendredi à samedi. Cette décision de l’assemblée générale met fin à la menace de grève qui pesait sur les deux installations et qui devait débuter le 3 octobre. La nouvelle convention collective d’une durée de 3 ans prévoit des augmentations salariales annuelles de 2,5%. En plus des augmentations salariales, les salariés obtiennent le régime d’assurance collective en vigueur pour les cadres.
Réunis en assemblée générale à La Tuque, les syndiqué-es CSN de la scierie de Rivière-aux-Rats ont accepté dans une proportion de 92% l’entente de principe conclue mardi entre le comité de négociation et l’employeur.
|
|
|
| |
Rapport de la protectrice du citoyen : l’expertise des services publics au cœur de la solution, juge le SPGQ
|
|
|
| |
Réforme du mode de scrutin : le SCFP préconise le système de proportionnelle mixte
Alors que les travaux du Comité parlementaire sur la réforme électorale s’arrêtaient à Montréal cette semaine, le Secrétaire général du SCFP-Québec, Benoît Bouchard, y a présenté la position du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP). Les travaux de ce comité visent à enrayer les anomalies qui subsistent dans le mode de scrutin actuel; le système uninominal à un tour. La position du SCFP est claire. Le plus grand syndicat au Canada préconise le système de proportionnelle mixte. Le système actuel comporte des lacunes maintes fois décriées par le SCFP.
Lire la suite.
|
|
|
|
|
Cartes sur table, autobiographie de Yvon Charbonneau : un parcours de luttes, de succès et de convictions
C'est en compagnie de sa famille et de plusieurs personnalités des milieux syndical et politique qui ont côtoyé Yvon Charbonneau que la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) et M Éditeur ont souligné le lancement officiel de son autobiographie : Cartes sur table. Avant de nous quitter subitement en avril dernier, Yvon Charbonneau venait tout juste de terminer l'écriture de son livre. D'une grande rigueur intellectuelle, cet homme de convictions relate plusieurs pans connus et méconnus de son parcours dans le monde syndical et politique. Il a contribué à l'histoire et à notre mémoire collective.
Lire la suite.
|
|
|
|
|
|
Code DM – Un signal d’alarme : la détresse morale, un danger à reconnaître
Les professionnelles en soins en ressentent les symptômes, elles vivent le malaise depuis longtemps, mais celui-ci était jusqu’à récemment assez peu connu. Toutefois, on peut maintenant mettre des mots sur le bobo : il s’agit de la détresse morale. Pour la Semaine SST 2016, nous, les membres du comité SST de la FIQ, vous proposons d’explorer ce thème afin de mieux reconnaître ce mal qui affecte nombre de professionnelles en soins.
Lire la suite.
|
|
|
|
| |
Le président et le secrétaire général de la FTQ sollicite un nouveau mandat : entrevue bilan
«Nous proposons de continuer sur notre lancée.» Daniel Boyer et Serge Cadieux ont décidé d’annoncer dès le début de l’automne qu’ils se présenteront en équipe pour renouveler leur mandat à titre de président et de secrétaire général. Et c’était tout naturel pour eux de le faire, en primeur, dans les pages du Monde ouvrier. Entrevue en forme de bilan.
|
|
|
| |
Bonification du Régime de pensions du Canada : la FTQ salue la décision de la Colombie-Britannique
La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) applaudit la décision de la Colombie-Britannique de signer l’entente fédérale-provinciale sur la bonification du Régime de pensions du Canada (RPC), alors que le gouvernement Couillard refuse toujours de bonifier son propre régime. «Le geste de la Colombie-Britannique est historique et cela nous donne l’occasion de rappeler au gouvernement du Québec qu’il ne serait pas acceptable que les Québécois et Québécoises aient moins que les autres citoyens du pays au moment de prendre leur retraite», déclare le secrétaire général de la FTQ, Serge Cadieux.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Allemagne : un syndicat d’enseignants plaide en faveur de l’inclusion dans les politiques et systèmes scolaires
À l’occasion de son congrès national autour du slogan «Un pour tous – Une école inclusive en faveur de la démocratie», le syndicat de l’éducation allemand Gewerkschaft Erziehung und Wissenschaft s’est tout particulièrement penché sur la relation qui unit intégration et démocratie.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Grèce : un syndicat national exerce des pressions afin de garantir l'accès à l'éducation de tous les enfants réfugiés
Confrontée à une augmentation spectaculaire du nombre de réfugiées et réfugiés provenant des pays voisins en conflit, la Greek Federation of Secondary State School Teachers (Fédération grecque des enseignants du secondaire-OLME) fait appel à la solidarité de sorte que tous les enfants aillent à l’école. Elle exerce des pressions sur le Gouvernement grec pour que ce dernier alloue des fonds spéciaux visant à faire face aux coûts associés à la création de centres d'accueil et d'hébergement adéquats pour les personnes réfugiées. L’OLME a également demandé au Gouvernement grec de garantir l'accès à l'éducation à tous les enfants qui resteront en Grèce, ajoutant que pour cela il faudra fournir les infrastructures nécessaires et des conditions adéquates pour permettre une transition en douceur.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Une professeure de l’UQAM obtient 2,5 M$ pour une recherche sur les personnes LGBTQ
Une subvention de 2,5 M$ a été accordée à une professeure de l’UQAM pour une recherche d’envergure mondiale, afin d’améliorer les connaissances sur les problèmes touchant les personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles, transgenres et queers (LGBTQ) du Québec. «C’est la première recherche de cette envergure à l’échelle mondiale, si on tient compte de l’ensemble des méthodologies, du volet d’analyse des politiques publiques et de l’ampleur du projet, comme viser 5000 répondants au Québec», soutient Line Chamberland, professeure au Département de sexologie, qui a reçu l’argent du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada.
Lire la suite du texte du Journal de Montréal.
|
|
|
| |
27 % des diplômés universitaires sont considérés analphabètes fonctionnels
Parmi les Québécois de 16 à 65 ans qui détiennent un diplôme universitaire, 27% ont des difficultés en lecture et peuvent même être considérés comme analphabètes fonctionnels. Cette statistique peut s’expliquer par le fait qu’il est possible de «désapprendre» à bien lire au fil des ans, si on ne pratique pas régulièrement, explique Paul Bélanger, professeur à l’UQAM et ex-président du Conseil international de l’éducation aux adultes. 63% des diplômés de niveau secondaire sont considérés analphabètes fonctionnels comparativement à 40% des diplômés de niveau collégial. Les analphabètes fonctionnels sont capables de lire, mais ils ont de la difficulté à comprendre toutes les informations tirées de textes plus complexes. Ils peuvent lire un article de journal décrivant un fait divers ou un match de hockey, mais ils auront du mal à comprendre toutes les nuances d’un éditorial ou d’une chronique d’opinion, par exemple.
Lire la suite du texte du Journal de Montréal.
|
|
|
| |
Plus de 40 % des bâtiments universitaires en mauvais ou très mauvais état
Après les hôpitaux et les écoles, Québec constate que la vétusté est aussi un problème criant dans le parc immobilier des universités. C'est ce qui ressort de la première analyse panquébécoise menée par le gouvernement et les universités. Plus de 40% des bâtiments du réseau obtiennent la note «D» ou «E». Ce qui, selon le gouvernement, signifie un niveau «élevé» ou «très élevé» de dégradation. La note globale du réseau immobilier universitaire est moins bonne que dans le réseau hospitalier, selon ce qu'a rapporté Radio-Canada au printemps dernier.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Cours en ligne : la TÉLUQ propose aux universités de s'unir
Ex-joueur de football étoile pour le Rouge et Or, Martin Noël croit au travail d'équipe. Devenu directeur général de la TÉLUQ, il propose maintenant à toutes les universités québécoises de s'unir pour offrir, ensemble, de la formation à distance. Fraîchement confirmé dans son poste, M. Noël a déjà déposé un mémoire à la ministre de l'Enseignement supérieur Hélène David pour lui proposer l'idée. «C'était très constructif comme première rencontre», lance-t-il. Selon lui, le Québec devrait s'inspirer de l'Ontario, qui a lancé l'automne dernier le portail Web eCampusOntario.ca, qui offre 13 000 cours à distance. Ce portail est supporté par un consortium d'universités ontariennes, qui ont mis leurs ressources en commun pour développer une panoplie de cours.
Lire la suite du texte du Soleil.
|
|
|
| |
L'Université Laval veut exporter sa formation à distance
Pour le recteur Denis Brière, la formation en ligne, c'est «l'avenir» de l'Université Laval. C'est pourquoi une équipe travaille à traduire la plate-forme de cours à distance en plusieurs langues et à exporter le savoir-faire de l'institution. «Exporter la formation à distance, ça se fait pas tout seul. Il faut former des équipes, envoyer des équipes à l'extérieur. C'est pas dans notre mentalité au Québec encore ça», a exprimé M. Brière en marge de son discours de la rentrée mardi. Il souhaite toutefois que ça le devienne et dit avoir des discussions à ce sujet avec d'autres universités.
Lire la suite du texte du Soleil.
|
|
|
| |
Les gens d'affaires veulent revaloriser la formation universitaire
Le milieu des affaires montréalais veut accroître la proportion de citoyens détenant une formation universitaire et mieux arrimer cette formation aux besoins futurs du marché du travail. La Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) et Montréal International ont dévoilé mercredi une étude qui démontre, d'une part, l'apport économique majeur des universités et, d'autre part, le retard de la région de Montréal en cette matière.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
|
|
|
|
|
Remind : une plateforme de communication gratuite pour les enseignants et les apprenants
Remind est un outil gratuit qui permet aux enseignants de communiquer avec les apprenants par l’utilisation de textos. Sa capacité à être immédiat permet aux enseignants et aux personnes apprenantes de s’envoyer des messages de dernières minutes. Joignez-vous à nous afin d’apprendre comment fonctionne Remind et découvrir des façons de l'utiliser. Renseignements et inscription pour le webinaire du 22 novembre de 11h à 12h.
|
|
|
|
| |
Université de Moncton : grand ménage des programmes en vue
L’Université de Moncton se penche à nouveau sur la pertinence de ses programmes d’études. Vingt et un programmes pourraient passer à la trappe, révèle un document interne obtenu par l’Acadie Nouvelle. Au cours des derniers mois, le vice-recteur à l’enseignement et à la recherche, André Samson, a analysé les quelque 165 programmes offerts sur les trois campus de l’établissement. Il propose entre autres de laisser tomber les huit baccalauréats avec spécialisations offerts à la Faculté des arts et des sciences sociales (FASS). André Samson recommande aussi l’abolition des programmes de majeures en géographie et en philosophie. Ils sont les moins fréquentés de la FASS.
Lire la suite du texte de L’Acadie nouvelle.
|
|
|
| |
Le Manitoba pourrait augmenter les droits de scolarité dans les universités
Le gouvernement conservateur du Manitoba a laissé entendre, mardi, qu'il augmentera les droits de scolarité dans les universités, mais, selon le ministre de l'Éducation, cela pourrait être partiellement compensé par des bourses d'études et aides financières. «En ce moment-ci, nous sommes au troisième rang des provinces les moins chères [quant aux droits de scolarité]. Cela représente un vrai défi pour nos établissements d'enseignement postsecondaires», a souligné Ian Wishart, ministre de l'Éducation et de la Formation.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
|
|
|
|
|
Conférence de José Bové sur l’AÉCG : un recul pour la souveraineté alimentaire, la justice sociale et l’environnement
| |
Soirée publique sur l’Accord de libre-échange Canada-Union européenne (AÉCG) : Un recul pour la souveraineté alimentaire, la justice sociale et l’environnement le mardi 11 octobre, à 19h, au Centre St-Pierre, salle 1205 «Fernand-Daoust», 1212, rue Panet, Montréal (métro Beaudry). Avec José Bové, agriculteur et militant écologiste, député des Verts au Parlement européen, Nathalie Guay, Réseau québécois sur l’Intégration continentale (RQIC), Anne-Céline Guyon, Stop Oléoduc, Jan Slomp, Union nationale des fermiers, et Sujata Dey, Le Conseil des Canadiens. L’Accord économique et commercial global entre le Canada et l’Union européenne (AÉCG) soulève une vive opposition des deux côtés de l’Atlantique. L’accord accorde des pouvoirs exceptionnels aux transnationales et menace les politiques publiques en matière de souveraineté alimentaire et d’agro-écologie, de services publics de qualité, de création d’emplois décents, d’accès aux médicaments, de développement économique local, et d’actions environnementales solides pour faire face au changement climatique.
Lire la suite.
|
|
|
|
|
|
Rencontre d’information et de discussion sur le revenu minimum garanti
La question du revenu minimum garanti (RMG) fait un retour dans l’actualité politique récente. Lors de la nomination de l’actuel ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, François Blais, le premier ministre invitait celui-ci à «se pencher sur l’amélioration de nos outils de soutien du revenu dans la direction de l'instauration d'un revenu minimum garanti». Dans le but d’améliorer notre connaissance sur le sujet, des organismes communautaires pour le développement de la main-d’œuvre organise une rencontre d’information et de discussion ouverte à tous sur le revenu minimum garanti à la Maison du développement durable, 50 rue Sainte-Catherine, à Montréal le mardi 18 octobre de 13h30 à 16h30, en compagnie de Sylvie Morel, économiste et professeure au Département des relations industrielles de l’Université Laval, Josée Lamoureux, économiste à la CSN, et Alexandre Chabot-Bertrand, chercheur et conférencier.
|
|
|
|
|
|
Forum citoyen de Montréal : Commission sur l'éducation à la petite enfance
L’Institut du Nouveau Monde organise un Forum citoyen de Montréal - Commission sur l'éducation à la petite enfance le jeudi 17 novembre de 18h30 à 21h30. Le lieu est à confirmer. La politique familiale du Québec, nommée Les enfants au cœur de nos choix, aura 20 ans en 2017. Dans la foulée de cet anniversaire, il est temps de dresser un bilan sur l’éducation à la petite enfance au Québec et d’établir une vision collective pour son avenir. Le Forum citoyen est une activité de discussion qui s’adresse à tous les citoyens intéressés à contribuer au débat. Animé sous la forme de conversations de café, ce forum est une occasion d’échanges et de dialogue entre les participants, dans une ambiance conviviale et sur la base de questions de consultation.
|
|
|
|
|
|
Protectrice du citoyen : les plus vulnérables ont payé le prix de l’austérité
La bureaucratie a moins souffert que les personnes vulnérables des compressions dans les services publics, a soutenu la protectrice du citoyen, Raymonde Saint-Germain, qui publiait le 29 septembre un volumineux et dernier rapport annuel après dix ans à la tête de l’institution. Un bilan dont les conclusions ont été balayées du revers de la main par le premier ministre Philippe Couillard. Il s’est dit en « désaccord » avec les constats de la protectrice. «Les discours sur les personnes vulnérables, les discours sur la solidarité, avec des finances publiques déséquilibrées et un endettement chronique, ce n’est que du vent, ça ne veut rien dire pour la population», a déclaré le premier ministre. Ce sont les plus vulnérables qui sont privés de services et qui en souffrent, constate l’ombudsman. «La performance de gestion a de plus en plus préséance sur la performance de service», constate la protectrice. Cela se traduit par de «longs délais et de nombreux reports qui dans plusieurs cas constituent un déni de service».
Lire la suite du texte du Devoir.
Au lieu de parler du vent : retour sur les impacts des coupes sur les plus vulnérables. Alain Dubuc : Non, ce n'est pas du vent.
|
|
|
|
| |
L'enfer des paradis fiscaux
Après le scandale des Panama Papers, voilà qu'on met en lumière, ces jours-ci, celui des Bahamas! Il faudrait être aveugle ou sourd pour ne pas constater que le recours au paradis fiscal par les entreprises est pratiquement viral. Il est abusif que des entreprises puissent, par des tours de passe-passe rendus «légaux» par les gouvernements, se soustraire à l'obligation de payer leur juste part des services publics et des programmes sociaux, dont elles profitent par ailleurs. C'est en milliards de dollars que se chiffrent les pertes fiscales au pays. Depuis 1990, les actifs transférés dans les paradis fiscaux ont augmenté de 1 800%! C'est ainsi que le Réseau de justice sociale, accompagné du collectif Échec aux paradis fiscaux, a exprimé aux parlementaires l'urgence d'agir lors de la Commission des finances publiques, dans le cadre du Mandat d'initiative sur le phénomène du recours aux paradis fiscaux en septembre.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Investissements publics : où s'en va le Québec?
Alors que le gouvernement fédéral déclare vouloir adopter une politique ambitieuse misant sur la croissance des investissements publics dans les infrastructures, favorable à l'emploi et à un développement soutenable, le gouvernement du Québec ne montre aucun signe qu'il pourrait aller dans le même sens pour stimuler l'économie. Malgré le remplacement d'une partie importante de l'équipe économique qui a imposé la politique d'austérité des premières années du gouvernement Couillard et un changement dans le discours en prévision des prochaines élections, il apparaît pertinent de se demander où s'en va ce gouvernement dans le contexte d'une économie qui peine à sortir de sa léthargie.
Lire la suite de la fiche de l’IREC.
|
|
|
| |
Entente pour éviter l’adoption du projet de loi 70 sous le bâillon : le ministre Blais aurait tort de pavoiser
Malgré l’entente récente entre le gouvernement du Québec et les partis d’opposition autour du projet de loi 70, le Collectif pour un Québec sans pauvreté refuse de baisser les bras. Il dénonce la lâcheté du gouvernement et son mépris pour la démocratie. Et il continuera de dénoncer le projet de loi tant que son aspect le plus odieux ne sera pas abandonné : les sanctions financières qui condamneront des centaines, voire des milliers de personnes à vivre avec une prestation mensuelle d’aide sociale d’à peine 399$ par mois.
Lire la suite.
|
|
|
| |
Dernier rempart contre l’itinérance : maisons de chambres en péril dans le centre-ville de Montréal
Les maisons de chambres, dernier rempart contre l’itinérance pour plusieurs personnes vulnérables, continuent de tomber comme des mouches dans l’arrondissement Ville-Marie, a dénoncé mardi le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM). Depuis quelques années, ces logements abordables du centre-ville sont menacés d’être transformés en condos ou en hôtel, comme c’est le cas actuellement de deux adresses situées sur la rue Sainte-Catherine Est.
Lire la suite du texte du journal Métro.
Sommet à Toronto : les maires donnent leurs idées pour une politique nationale du logement.
|
|
|
|
|
Médecins du Monde : un baume sur les plaies des plus vulnérables
En parcourant les rues de Montréal depuis deux ans, la clinique mobile de Médecins du Monde a prodigué plus de 6255 soins et rencontré près de 3000 personnes marginalisées inquiètes pour leur santé. Métro a accompagné la clinique sur le terrain. Par un mercredi après-midi chaud et ensoleillé, Laurence Ethier stationne le camion de Médecins du Monde, bien identifié par son gros logo bleu, devant le square Phillips, au centre-ville. La jeune infirmière y rencontre une bénévole et un travailleur social employé par un organisme local, avec qui elle coordonne l’action de la journée.
Lire la suite du reportage du journal Métro.
|
|
|
|
|
|
Débordé, le Bureau des enquêtes indépendantes se tourne vers la police
Complètement dépassé par un nombre sans précédent d’enquêtes portant sur le travail de policiers, le Bureau des enquêtes indépendantes (BEI) se tourne vers… le Service de police de la Ville de Montréal. Une apparence de conflit d’intérêts que cherchait justement à enrayer Québec en créant l’organisme. Depuis le 27 juin, jour du début des activités du BEI, la police n’enquête plus sur la police. Du moins pas jusqu’à mardi, jour où la directrice générale du Bureau, Madeleine Giauque, s’est vue forcée d’appeler le SPVM en renfort. En l’espace de 24 heures, son équipe de 22 enquêteurs venait d’être chargée de trois dossiers, à Rouyn-Noranda, Chisasibi et L’Île-Perrot, où des opérations policières ont mené à la mort de deux individus, en plus d’en blesser un troisième.
Lire la suite du texte du Devoir.
Reportage sur le projet-pilote de patrouilleurs équipés de caméras.
|
|
|
|
| |
Les produits de santé naturels ne sont pas des médicaments!
En septembre 2016 la Direction des produits de santé naturels et sans ordonnance (DPSNSO) a publié l’annonce d’une nouvelle consultation sur l’encadrement des produits d’autosoins (cosmétiques naturels et industriels, produits de santé naturels, médicaments sans ordonnance). Le projet présenté recommande une réforme importante de la classification des produits de santé naturels (PSN), une véritable révolution puisqu’il s’agit de traiter ces produits comme les médicaments. On parle ici d’un réel recul, voire même d’un retour à la case départ, au lieu d’améliorer une structure efficace déjà mise en place et à laquelle plusieurs entreprises de produits naturels canadiennes se sont conformées.
Lire la suite.
|
|
|
|