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Le Comité de négo du SCCUQ a fait des contre-propositions le 8 novembre sur la grande majorité des points en litige afin de faire progresser les négociations. L’employeur les a rejetées du revers de la main et a déposé une offre finale très similaire à son offre globale de septembre. Les chargées et chargés de cours de l’UQAM ont rejeté à 96,5% l’offre finale de l’employeur, en assemblée générale, et 86% des membres présents ont voté en faveur d’une banque de cinq jours de grève à utiliser au moment jugé opportun. La conciliatrice rencontrera les deux parties jeudi prochain, nous verrons alors qui est prêt à bouger. On s’en reparle.
Richard Bousquet Vice-président à l’info du SCCUQ
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Rapport de la négo : un long fleuve tranquille
La conciliatrice au dossier, Louise Létourneau, a rencontré, le lundi 9 janvier, les membres des comités de négo syndical et patronal afin de leur expliquer comment elle comptait travailler avec eux, puis elle s’est entretenu une demi-heure avec les porte-paroles des deux comités pour faire le point. Tout le monde s’est entendu sur un agenda de trois rencontres de conciliation les 8 février, 8 et 27 mars, avec possibilité d’ajouter des rencontres le samedi. La rencontre s’est terminée un peu passé 14 h parce qu’un membre du comité de négo patronal devait quitter, malgré que la rencontre était prévue de longue date. La conciliatrice ne voulait pas continuer sans lui.
Rapports précédents : • L’employeur se braque, le SCCUQ demande la nomination d’un médiateur-conciliateur • Offre finale de l’employeur • En attente de réponses à nos contre-propositions • Nouveau déblocage de la partie patronale, quelques petits gains et plusieurs avancées • Un accord et encore des attentes • Des reculs confirmés, mais la discussion n’est pas rompue • Dépôt des offres patronales globales à venir
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Les chargées et chargés de cours de l'UQAM rejettent l'offre finale : une banque de cinq jours de grève!
Les chargées et chargés de cours de l’UQAM ont rejeté à 96,5% l’offre finale de l’employeur, vendredi en assemblée générale, et 86% des membres présents ont voté en faveur d’une banque de cinq jours de grève à utiliser au moment jugé opportun par le Comité exécutif et le Comité de négociation. Cette offre finale contenait des augmentations salariales en-deçà de celles offertes aux professeurs et aux employés de soutien – se limitant aux paramètres salariaux gouvernementaux, soit 6,75% sur cinq ans – alors que nous sommes les personnes chargées de cours à peu près les moins bien payées de l’ensemble des universités francophones québécoises. Et des offres normatives qui répondent par la négative à nos principales revendications sur les exigences de qualification pour l’enseignement (EQE), la clause réserve permettant aux étudiants à la maîtrise ou au doctorat d’enseigner sans répondre aux mêmes exigences, la stabilisation de l’emploi et les environnements numériques d’apprentissage.
Lire la suite.
La couverture médiatique : Le journal Métro, Radio-Canada, Le Journal de Montréal
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Neuf chargées et chargés de cours parrainent neuf artistes émergents à l’Écomusée du fier monde
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Neuf artistes, chargées et chargés de cours de l’École des arts visuels et médiatiques, parrainent neuf artistes émergents, étudiants de l’UQAM. Par leurs créations pluridisciplinaires, ils vous proposent une vision artistique du mandat de l’Écomusée du fier monde, musée d’histoire et musée citoyen. L’exposition Prendre lieux est à l’affiche du 16 au 26 février 2017, à l’Écomusée du fier monde, 2050, rue Amherst. Chacune des neuf dyades d’artistes, composée d’un chargé de cours et d’un étudiant, s’est vue confier un espace leur permettant de Prendre lieux, comme nous dirions prendre place ou embrasser l’espace de l’Écomusée. Les neuf chargées et chargés de cours sont Dominique Sarrazin, Josée Pellerin, Jean Marois, Suzan Vachon, Patricia Gauvin, Marie-France Giraudon, Katherine Rochon, Anne C. Thibault et Denis Farley. Les heures d’ouverture sont le mercredi de 11h à 20h, les jeudi et vendredi de 9h30 à 16h et les samedi et dimanche de 10h30 à 17h.
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Violences sexuelles à l'université : des témoignages qui corroborent les faits
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«Un professeur, seul avec moi pendant qu'il utilisait des équipements dans mon milieu de travail, m'a fait des attouchements et à mon refus, m'a menacée de me faire perdre mon emploi.» En fait, ce témoignage n'est qu'un de ceux qui émaillent le rapport de l'enquête ESSIMU (Enquête Sexualité, sécurité et interactions en milieu universitaire) dont la chargée de cours Sandrine Ricci est une des auteures, qui conclut qu'un peu plus d'une personne sur trois travaillant ou étudiant dans l'une des six universités québécoises étudiées affirme avoir déjà subi une forme de violence sexuelle. On retrouve dans le document plusieurs extraits des témoignages des 9284 répondants ayant accepté de remplir le questionnaire en ligne qui a permis aux chercheuses d’arriver à leurs conclusions. Quelques-uns de ces témoignages concernent des situations de harcèlement instiguées par des personnes en situation d’autorité. Cependant, la plupart des témoignages que l'on retrouve dans le rapport ont pour objet des comportements déplacés entre étudiants, puisque, selon l’étude, dans 70,2% des cas, l’agresseur est un étudiant, et que dans 78% des cas, il a un statut équivalent à la victime.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
Ce que révèle l’enquête ESSIMU : constats et recommandations.
La Presse : Violences sexuelles à l'université: un fléau bien réel.
Violence sexuelle dans les campus et collèges: une loi-cadre en 2017.
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Parcours inspirants : la Faculté des arts présente une série d'entrevues vidéo avec cinq de ses diplômées
Parcours de diplômés est le titre d'une série d'entrevues vidéo produite par le Conseil de diplômés de la Faculté des arts qui présente la carrière de cinq diplômées de la faculté dans les domaines du théâtre, des arts visuels, de la danse, de la musique et du design de l’environnement. Dans ces entrevues diffusées en ligne sur uqam.tv, Isabelle Brouillette, Marthe Carrier, Annik Hamel, Mélissa Lavergne et la chargée de cours à l’École de design Judith Portier échangent avec cinq finissants ou jeunes diplômés sur leur parcours dans le domaine des arts.
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Martine Pagé commente les relations intimes entre humains et robots
Les relations intimes entre humains et robots font de plus en plus l'objet de réflexions dans la culture populaire, que ce soit dans les films Her et Ex-Machina ou encore dans la série télévisée Westworld. Pour en discuter, à l’antenne de Radio-Canada, Matthieu Dugal reçoit Martine Pagé, scénariste et chargée de cours en littérature numérique, ainsi que l'étudiante en sexologie Myriam Daguzan. «Il y a une difficulté fondamentale dans la sexualité humaine. Il y a une difficulté à communiquer avec l'autre. C'est sûr que c'est séducteur, cette idée où l'on n'a pas besoin de se soumettre à ça», relève Martine Pagé. Elle ajoute que, d'un autre côté, on pourrait peut-être apprendre à mieux connaître sa propre sexualité sans avoir à gérer la pression exercée par un autre humain, avec la distance émotive qu'offre un objet.
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Robert Pouliot commente les nouvelles règles encadrant les frais de placements
Les Canadiens paient des frais parmi les plus élevés dans le monde pour leurs placements, selon une étude publiée en 2015 par la firme Morningstar. Pourtant, plusieurs épargnants ne savent même pas qu'ils déboursent ces frais, prélevés à même leurs revenus d'investissements, ce qui a un impact sur leurs rendements et, au bout du compte, sur leurs revenus de retraite. Les nouvelles règles vont les aider à décider si leur conseiller leur en donne pour leur argent : les services reçus valent-ils les frais payés ? «En cas de perte, les investisseurs se rendront peut-être compte que ce n'est pas la faute du rendement sur leurs placements, mais à cause des frais élevés», commente le chargé de cours au Département de finance Robert Pouliot, pour La Presse.
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Guy Lévesque a contribué à la création de l'igloo Play Snow
L'entrepreneur Éric Villiard s'apprête à commercialiser l'igloo Play Snow – une structure en plastique solide – afin que tous les enfants puissent jouer dans la neige en toute sécurité. Chargé de cours à l'École de design, Guy Lévesque était ravi de conseiller Éric Villiard. «Nous avons discuté de son projet et il est vite apparu qu'il fallait un concept simple qui se monte et se démonte facilement, se rappelle Guy Lévesque. Nous avons également abordé d'autres aspects du produit, tels que la solidité, la sécurité, le marché potentiel, le prix envisagé et le réseau de distribution. C'était le début de son aventure et j'étais heureux de l'aider.»
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Nadia Seracco explique pourquoi Wikileaks s’intéresse aux utilisateurs de Twitter
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Donald Cuccioletta commente le changement de président des États-Unis
Donald J. Trump entre en fonction le 20 janvier. Cette semaine, il a tenu sa première conférence de presse depuis qu'il a été élu. Il y a attaqué, notamment, ses propres services de renseignement. Il a réitéré son intention de construire rapidement un mur entre les États-Unis et le Mexique, et a promis de remplacer l'Obamacare. De son côté, Barack Obama, dans un discours à Chicago, a dressé le bilan des huit années de son administration. La différence de ton et de contenu était frappante. Comment se présente le gouvernement Trump? Michel Lacombe fait le point à l’antenne de Radio-Canada avec ses invités, dont le chargé de cours et chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand de l'UQAM Donald Cuccioletta.
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Elisabeth Vallet commente le départ du 44e président et les défis du 45e
«Hello Chicago! C’est bon d’être à la maison», ont ainsi été les mots qui ont lancé le discours d’adieu du 44e président des États-Unis, accueilli chaleureusement par des partisans qui avaient parfois donné 5000$ à des revendeurs afin de mettre la main sur des billets — initialement gratuits. Le choix de la ville n’était pas anodin. Barack Obama a été le premier président à livrer un discours d’adieu hors de Washington, a remarqué Elisabeth Vallet, de la Chaire Raoul-Dandurand pour Le Devoir. Et dans un texte de La Presse, elle explique les défis et les pièges auxquels le nouveau président devra faire face.
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Après Volks, Fiat Chrysler : la confiance et la valeur qu’on accorde à la marque vont être affectées avance Patrick Gauthier
Le gouvernement américain a accusé Fiat Chrysler d’avoir dissimulé un logiciel dans ses camions et VUS diesel pour déjouer les règlements antipollution. «Une nouvelle comme ça va affecter la perception, la confiance et la valeur qu’on accorde à la marque. Ça va remettre en question la loyauté que les gens ont envers la marque, avance Patrick Gauthier, un spécialiste de l’image de marque et chargé de cours à l’ESG UQAM, en entrevue à La Presse+. L’impact peut être temporaire seulement si l’entreprise fautive reconnaît rapidement sa faute.»
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Manifestation des femmes à Montréal : la CSN en appelle à l’union des forces pour les droits de toutes les femmes
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Dans le cadre de la Manifestation des femmes de Montréal en solidarité avec la Marche des femmes à Washington, la vice-présidente de la CSN, Véronique De Sève, s’adressera au public pour exprimer la solidarité de la CSN avec les Américaines, le samedi 21 janvier à 11h, sur l’esplanade de la Place des Arts. «À la veille de l’investiture de Donald Trump, le monde entier retient son souffle. Les propos hostiles, racistes et machistes tenus par le nouveau président des États-Unis durant la campagne électorale ont de quoi inquiéter. Les femmes américaines ont été particulièrement visées et craignent maintenant des offensives contre leurs droits. Nous ne pouvions demeurer les bras croisés devant cette situation et nous leur exprimerons notre soutien inconditionnel», souligne-t-elle d’entrée de jeu.
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Blogue de Véronique De Sève : En 2017, les femmes poursuivent l’offensive.
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Grève pour des stages rémunérés en éducation à l'UQAM
Les étudiants en sciences de l'éducation de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) veulent être rémunérés lorsqu'ils effectuent les stages obligatoires dans le cadre de leur formation. Réunis en assemblée générale vendredi dernier, les membres de l'Association des étudiants de la Faculté des sciences de l'éducation (ADEESE) de l'UQAM ont adopté un mandat de grève pour le jeudi 16 février. «Il faut reconnaître la valeur du travail étudiant», croit Félix Germain, responsable de la coordination au sein de l'ADEESE. À la date prévue pour la grève débutera le Rendez-vous national sur la main-d'oeuvre où sont attendus 300 représentants de groupes socio-économiques, du monde de l'éducation ainsi que du milieu municipal. L'événement, qui vise notamment à trouver des mesures pour assurer une meilleure adéquation entre la formation et le marché du travail, sera présidé par le premier ministre Philippe Couillard.
Lire la suite du texte de La Presse.
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Hausse du salaire minimum : une attitude indécente du gouvernement Couillard
La ministre responsable du Travail, Dominique Vien, a choisi son camp avec la hausse du salaire minimum de 50¢ prévue pour le 1er mai prochain. Un pan important de la société civile estime pourtant qu’une hausse substantielle du salaire minimum est nécessaire afin de sortir les personnes à bas salaire de la pauvreté. S’ajoute à l’indécence l’annonce faite le 20 décembre par la ministre de diminuer la cotisation des employeurs pour financer l’application de la Loi sur les normes du travail (LNT) de 0,08% à 0,07% ! Serait-ce pour subventionner cette hausse du salaire minimum?, se sont indignés les porte-parole de la campagne 5-10-15.
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L’ampleur du mouvement force le gouvernement à bouger… trop peu!
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Le Tribunal du travail blâme l’U. de Montréal pour avoir causé un «préjudice sérieux» au syndicat qui représente ses 1300 professeurs
Dans une décision lapidaire, le Tribunal du travail vient de blâmer l’Université de Montréal pour avoir «court-circuité» les négociations en cours avec un groupe de 56 enseignants cliniciens qui cherchent depuis deux ans à signer une première convention collective. L’Université a causé un «préjudice sérieux» au syndicat qui représente ses 1300 professeurs en diffusant publiquement une «offre globale et finale» transmise en privé au syndicat juste avant le temps des Fêtes. Ce geste s’inscrit dans une stratégie qui vise à miner la crédibilité du syndicat, a tranché la juge administrative Marie-Claude Grignon dans une décision rendue il y a trois jours, le vendredi 13 janvier.
Lire la suite du texte du Devoir.
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Université de Montréal : les étudiants toucheront au minimum 15 $ l'heure
Quelque 4000 étudiants salariés de l'Université de Montréal obtiendront bientôt le fameux salaire minimum de 15$ l'heure pour lequel se battent plusieurs organisations et syndicats au Québec. La convention collective du Syndicat des étudiants salariés de l'Université de Montréal a été signée au cours des derniers jours. À compter du 1er mai prochain, ces salariés toucheront 15$ l'heure s'ils sont étudiants au premier cycle, et ce, sans compter les indemnités pour les jours fériés, les vacances et autres, a précisé au cours d'une entrevue mardi Brigitte Racine, responsable des relations de travail au syndicat. Au total, donc, le taux incluant les indemnités atteindra 17,19$ pour le premier cycle en 2017, 21,89$ pour le deuxième cycle et 24,12$ pour le troisième cycle.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
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Lutte contre la maltraitance envers les aîné-es et les personnes vulnérables : il faut aussi s’attaquer aux causes systémiques
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La FTQ n’acceptera pas que les retraités du Québec aient moins que ceux du reste du pays
La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) rejette la vision du gouvernement Couillard dans le dossier de la consolidation du Régime de rentes du Québec (RRQ), qui refuse de signer l’entente intervenue entre Ottawa et les autres provinces. Dans ce dossier, Québec fait bande à part et son scénario de hausse du RRQ fera en sorte que les retraités du Québec auront moins que ceux du reste du Canada, ce qui est inadmissible. «Le document de consultation déposé par Québec est reçu comme une douche froide par la FTQ. C’est décevant et loin de répondre aux besoins des Québécois et Québécoises. Dans les faits, nos retraités vont hériter du pire régime de retraite public au Canada», a déclaré le président de la FTQ, Daniel Boyer.
Lire la suite.
Un régime à rabais selon la CSQ.
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Le monde syndical rend hommage à Françoise David
La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) tient à rendre hommage à la députée et co-porte-parole de Québec solidaire, Françoise David, qui annonce son retrait de la vie politique. «Femme de cœur et de conviction, madame David aura marqué le monde féministe, social et politique par son sens du bien commun, sa détermination et son courage. Salut, Françoise, et merci pour ton importante contribution!» déclare le président de la FTQ, Daniel Boyer. La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) tient aussi à saluer chaleureusement Françoise David, qui a annoncé jeudi matin son départ de la vie politique. «Depuis le début de son parcours, Françoise David a toujours eu à cœur de lutter contre les inégalités. Que ce soit dans son implication communautaire ou dans son travail politique, elle a toujours lutté sans relâche pour un Québec plus égalitaire», soutient Louise Chabot, présidente de la CSQ.
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Les avocats et notaires de l'État déposeront une demande d'injonction
Les avocats et notaires à l'emploi du gouvernement du Québec ont déposé une demande d'injonction devant la Cour supérieure lundi. Ils réclament que trois heures de salaire soient payées aux employés qui doivent se déplacer pour assurer le maintien des services essentiels pendant la grève. Ils dénoncent qu'en vertu d'une directive lancée par le Conseil du Trésor, le gouvernement refuse de les payer. Cette mesure les force à investir du temps dans des demandes de remise de cause et enfreint la loi sur les normes du travail, avance le président de l'Association des avocats et notaires de l'État québécois, Me Jean Denis.
Lire la suite du texte de Radio-Canada.
La grève des juristes de l'État paralyse la justice administrative.
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Lock-out à l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis : les travailleuses et les travailleurs manifestent à Trois-Rivières
Les membres du Syndicat des travailleuses et des travailleurs Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis (CSN) (STTHGPD) ont manifesté, jeudi après-midi, en face de l’hôtel Gouverneur Trois-Rivières qui appartient au même groupe que leur établissement. «Alors que les travailleuses et les travailleurs de l’Hôtel des Gouverneurs Place Dupuis tentaient simplement d’obtenir le renouvellement de leur contrat de travail, l’employeur a décrété un lock-out sauvage le 14 décembre dernier, juste avant la période des fêtes, de souligner Michel Valiquette, trésorier de la FC–CSN et porte-parole de la négociation coordonnée de l’hôtellerie. Celui-ci s’entête à ne pas accorder les mêmes conditions de travail qui ont été obtenues aux autres tables de négociation, par les autres syndicats participant à la négociation coordonnée de l’hôtellerie.»
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Secteur transport scolaire : le gouvernement doit donner suite aux travaux de la table d’évaluation de l’emploi
Jeudi midi, les délégué-es du Secteur transport scolaire (STS) de la Fédération des employées et employés de services publics–CSN (FEESP) ont manifesté dans les rues de Québec, jusqu’à l’édifice Marie-Guyart. Leur action visait à revendiquer un décret de leurs conditions de travail, incluant un salaire de référence, dans le domaine du transport scolaire. «Lors du processus rigoureux d’évaluation de nos emplois de conducteur et de conductrice de véhicule scolaire, auquel le gouvernement et les associations des transporteurs ont participé, les conclusions du comité de travail fixaient notre taux horaire minimal à 19,14 $ l’heure en janvier 2015, ce qui représente actuellement un taux indexé de 19,74 $, de souligner Stephen P. Gauley, président du STS. Or, en ce moment même, certains conducteurs ne sont payés guère plus que le salaire minimum à 10,75 $ l’heure, d’où toute l’importance de notre revendication.»
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Licenciement collectif à la SAQ : une centaine de techniciens et professionnels dans l’insécurité
Le Syndicat du personnel technique et professionnel de la SAQ (SPTP–CSN) accueille comme une douche froide l’annonce de la suppression d’une centaine de postes de techniciennes, techniciens et professionnel-les à la SAQ, soit près de 15% de cet effectif à la société d’État. «Nous étions plus de 700 il y a deux ans à peine, et nous ne serons plus que 500 à l’issue de ce nouveau licenciement collectif, déplore la présidente du SPTP–CSN, Sandrine Thériault. Les impacts des dernières coupes de postes, en avril, se font déjà sentir lourdement. À la SAQ, on coupe des postes d’abord, et on se demande ensuite comment on doit réorganiser le travail. La conséquence, c’est que nos membres sont de plus en plus surchargés : il y a une augmentation des heures supplémentaires non rémunérées et le climat de travail se détériore grandement.»
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Des compressions sur fond de menace de privatisation.
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Salaire de 12,07$ l'heure après 15 ans de service : d'autres journées de grève au Manoir Sully
Du 13 au 15 janvier, les travailleuses et les travailleurs du Manoir Sully ont tenu de nouvelles journées de grève pour dénoncer l’attitude de fermeture de l’employeur à la table de négociation. Celles-ci s’ajoutent à une série de grèves perlées qui se sont tenues le 25 novembre ainsi que les 8 et 9 décembre. «Trouvez-vous ça raisonnable vous autres que des serveuses, des préposé-es au ménage, des aides-cuisiniers soient payés 12,07 $ l’heure après 15 ans de service ? C’est le cas au Manoir Sully, et non, ce n’est pas normal», dénonce le vice-président régional de la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS–CSN), Denis Bertrand. Les plus bas salarié-es du Manoir Sully ne demandent que 13,20$ l’heure d’ici 2018.
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Le SCFP-Québec et le Syndicat des débardeurs du Port de Montréal participent à la journée d’action avec la Coalition maritime canadienne
Une manifestation en appui à l’industrie maritime canadienne s’est tenue à Montréal le 12 janvier pour dénoncer les mauvais accords de libre-échange et les changements aux réglementations qui régissent cette industrie névralgique. «Il y a une menace certaine pour cette importante industrie qui emploie directement et indirectement 250 000 personnes au pays. Il est important de sensibiliser le public aux récents accords de libre-échange comme l’AECG (accord économique avec l’Europe) et la TISA (accord sur le commerce des services) et leurs conséquences négatives», a expliqué Denis Bolduc, président du SCFP-Québec.
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Allemagne : les syndicats de l’éducation repensent l’éducation
Le syndicat allemand GEW est en train de préparer une nouvelle campagne visant à augmenter le financement que les autorités locales et nationales consacrent à l’éducation. Après la marche pour l’amélioration des conditions d’enseignement et d’apprentissage dans les écoles primaires, lancée l’an dernier en Allemagne par le GEW, un affilié de l’Internationale de l’éducation, les efforts de cette année se concentreront sur les conditions de travail et le statut professionnel dans le secteur de l'éducation. «Le travail décent requiert un environnement d’apprentissage de qualité et des enseignantes et enseignants de qualité, affirme une déclaration du GEW publiée sur son site web. Pour motiver leurs élèves et leur dispenser une éducation de qualité, les enseignants et les travailleurs de l’éducation ont besoin de sécurité et de conditions de travail décentes.»
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Tunisie : les enseignants unis pour demander une indispensable réforme éducative
Avec le soutien total de leurs syndicats, les enseignantes et enseignants du primaire et du secondaire de tout le pays se sont rassemblés pour demander au gouvernement de garantir une éducation de qualité pour toutes les étudiantes et tous les étudiants de Tunisie. Le 12 janvier, des enseignantes et enseignants du primaire et du secondaire tunisiens se sont réunis devant le ministère de l’Éducation pour demander la démission du ministre de l’Éducation et une réforme éducative réussie. Cette mobilisation faisait suite à leur grève générale du 5 janvier, qui a elle-même clôturé une série d’actions syndicales visant à assurer une éducation de qualité pour toutes et tous.
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Longueur des mémoires et des thèses publiés au Québec : les Uqamiens sont les plus prolifiques
Combien de pages? Voilà une question que se posent plusieurs candidats à la maîtrise ou au doctorat quand vient le temps de rédiger leur mémoire ou leur thèse. «Les universités québécoises offrent peu de réponses aux étudiants», a constaté Jean-Hugues Roy au cours de la rédaction de son propre mémoire, déposé en septembre dernier à l'Université Laval. Pour le plaisir, le professeur de l'École des médias s'est penché sur la longueur moyenne des mémoires et des thèses produits par les universitaires québécois depuis 1990. Selon ses compilations, le mémoire de maîtrise rédigé au Québec au cours des 25 dernières années fait en moyenne 133,3 pages, tandis que la thèse de doctorat compte en moyenne 251,3 pages. Parmi les 13 institutions de son échantillon, l'UQAM est celle où les thèses sont les plus longues et elle se classe au troisième rang pour la longueur des mémoires.
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McGill seule université canadienne à Davos : la rectrice propose une plus grande symbiose avec le marché du travail
McGill est la seule université canadienne invitée au prestigieux forum économique de Davos, où sa rectrice proposera cette semaine un modèle de stages en entreprises pour tous les étudiants postsecondaires. «Il faut continuer d’inclure dans notre milieu d’apprentissage des connaissances profondes, la créativité, la capacité d’analyse, tout en offrant plus tôt que maintenant la possibilité de mettre en pratique ce qu’on apprend dans les universités», dit Suzanne Fortier en entrevue avec Le Journal de Montréal.
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Moins d’un quart des étudiantes et étudiants de l’enseignement secondaire en situation d’urgence ont accès à l’éducation
Le nouveau Rapport mondial de Human Rights Watch, qui se penche sur l’enseignement secondaire des enfants en situation d’urgence, appelle les organisations humanitaires et les bailleurs de fonds à garantir l’accès à l’éducation des adolescent(e)s réfugié(e)s, quel que soit l’endroit où ils et elles se trouvent. Publié la semaine dernière par Human Rights Watch (HRW), ce Rapport mondial révèle que chaque jour en 2015, près de 17 000 enfants ont dû fuir leur maison en raison des persécutions et des conflits. Si l’accès à l’éducation joue un rôle capital dans le bien-être physique et émotionnel des enfants, il s’apparente à une chimère pour ceux qui vivent en situation d’urgence.
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L'allocation des ressources pour la santé et les services sociaux au Québec : État de la situation et propositions alternatives
Les modes d’allocation des ressources financières sont déterminants en matière de santé et services sociaux. Au Québec, les dépenses publiques liées aux établissements sociosanitaires et celles liées aux médecins sont gérées séparément. La répartition aux premiers se fait principalement en fonction d’un financement historique alors que les seconds sont majoritairement rémunérés à l’acte. Depuis quelques années, l’ensemble de ce fonctionnement est remis en question. Le gouvernement voudrait d’une part soumettre les établissements à une forme de concurrence et de nombreux observateurs souhaitent modifier la façon de rémunérer les médecins. Cette étude de l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS) dresse un portrait de la situation actuelle dans ces deux champs de dépenses, explore les différentes avenues en termes de réforme et formule des propositions afin d’améliorer l’ensemble du système sociosanitaire québécois.
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Lancement de la session d'hiver 2017 de l'UPop Montréal et table ronde sur les Cinq chantiers pour changer le Québec, le 1er février
L’intrigante, sérieuse, dérangeante, engageante session d'hiver 2017 de l'UPop Montréal arrive. Venez découvrir les cours proposés pour passer à travers la froideur de l'hiver et le manque de lumière de ces temps décidément troubles, sinon troublants le mercredi 1er février à 19h (ouverture des portes à 18h30) à la Sala Rossa (4848 boul. St-Laurent, Montréal). Au programme, musique, cinéma, informatique, féminisme, science cognitive, et autres surprises. Suivra une table ronde autour du livre Cinq chantiers pour changer le Québec, de l'IRIS publié aux Éditions Écosociété.
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Les congés parentaux : dix ans plus tard, des résultats éloquents
Dix années se sont écoulées depuis la création du Régime québécois d’assurance parentale (RQAP). Son implantation a été précédée par près de 20 ans de mobilisation populaire. Aujourd’hui, il est temps de revenir sur les résultats pour juger de la pertinence du programme. Dans trois documents publiés cette semaine (celui-ci, celui-ci et celui-ci), le RQAP a rendu publique une série de données qui permettent de faire un tel bilan. Rappelons d’abord les objectifs du programme pour mieux en juger l’efficacité ensuite. Il visait à réduire la précarité d’accès aux congés parentaux qui, avant 2006, étaient liés au programme fédéral d’assurance-emploi. Une réforme s’imposait en raison des restrictions à ce programme imposées par Ottawa, notamment les limites de couverture pour les travailleurs et travailleuses autonomes et les salarié·e·s à temps partiel. Le RQAP devait également diminuer l’appauvrissement des nouveaux parents, principalement les nouvelles mères, et assurer une meilleure reconnaissance de leur travail social. Après dix ans, les résultats sont plutôt éloquents. Pour en prendre la mesure, voici ce qui distingue le régime québécois de la situation qui prévaut toujours dans le reste du Canada.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Rencontre de mobilisation d’ATTAC contre les paradis fiscaux le 7 février
Tous les membres et sympathisantEs d’ATTAC-Québec intéresséEs à se mobiliser contre les paradis fiscaux sont invités à une rencontre le mardi 7 février, de 18h à 20h, au 3720, avenue du Parc (2e étage). Nous nous mobilisons pour la 1e Journée internationale contre les paradis fiscaux, prévue le 3 avril (et qui débordera vers quelques jours d’actions). Des projets originaux sont en préparation et on a besoin de vous pour les réaliser! Deux rencontres ont déjà eu lieu. Les personnes désirant plus d’information peuvent contacter Baptiste Godrie par courriel.
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Résolution 2017 : combler le vrai déficit
À quelques heures de l’inauguration du nouveau président des États-Unis, après l’étrange élection de laquelle Donald Trump est sorti vainqueur, l’heure est au bilan pour bien des États-unien·ne·s. En ce début d’année 2017, l’heure est aussi au bilan pour de nombreux autres citoyen·ne·s à travers le monde. Ce n’est pas surprenant, considérant le rôle géopolitique de cet imposant voisin. N’oublions toutefois pas qu’entre janvier et décembre 2016, les électeurs d’une vingtaine d’autres pays ont également eu à élire des personnes pour les représenter à la tête de leur État respectif. Examinons ces données électorales dans leur contexte socioéconomique: certains constats qui vont à l’encontre des idées reçues s’imposent.
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Suicides chez les autochtones : «Qu'est-ce que ça prendra?»
«Qu'est-ce que ça prendra?», demande le grand chef Alvin Fiddler, de la nation Nishnawbe Aski. «C'est le moment pour le Canada de se réveiller», renchérit Joshua Frogg, un leader autochtone dont la nièce de 12 ans s'est enlevé la vie au début janvier. Le député néo-démocrate Charlie Augus est encore plus direct. «Combien d'enfants est-ce correct de laisser mourir?», s'interroge-t-il. Après deux autres suicides d'enfants autochtones - deux filles de 12 ans, Chantel Fox et Jolynn Winter - au début janvier dans la communauté autochtone ontarienne de Wapekaka, plusieurs leaders autochtones de partout au pays pressent le gouvernement Trudeau d'agir immédiatement. La semaine dernière, un rapport du Bureau du coroner du Québec exhortait aussi les gouvernements à agir, dénonçant le «régime d'apartheid dans lequel les autochtones sont plongés depuis 150 ans sinon plus». Le coroner enquêtait sur le suicide de cinq membres des communautés autochtones de la Côte-Nord entre février et octobre 2015.
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Nouveau numéro de la revue de la Ligue des droits et libertés sur le racisme
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Des manifestations particulièrement virulentes de racisme sont présentement à la hausse dans plusieurs pays. Nous assistons à la recrudescence de groupes d’extrême-droite et à la montée de xénophobie, mais aussi à la violence du racisme quotidien qui prend plusieurs formes: brutalité médiatique, discrimination systémique, profilage racial par les forces policières, colonialisme dans nos relations avec les Peuples autochtones, etc. De plus en plus de voix s’élèvent au Québec pour exiger que nous nous attaquions collectivement au racisme en tant que problème systémique, comme en témoigne la demande d’une commission de consultation sur le racisme systémique. C’est dans ce contexte que la LDL a décidé de consacrer ce numéro de Droits et libertés à la question du racisme. Par cette revue, elle souhaite contribuer au développement d’une meilleure compréhension des fondements du racisme et de ses manifestations, tout en suscitant une réflexion sur les perspectives de luttes contre le racisme et la responsabilité des personnes non-racisées.
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Ralliement de la rentrée en itinérance : le RAPSIM se réjouit de l’action du fédéral et dénonce celle du provincial
Le RAPSIM a tenu ce lundi 16 janvier un Ralliement de la rentrée en itinérance qui a réuni une centaine de personnes en provenance de ses membres, partenaires et alliéEs. Interpellant tant la Ville que les deux gouvernements, le RAPSIM s’est particulièrement réjoui des progrès liés à l’action du fédéral. Témoignant de cette embellie, le ministre Jean-Yves Duclos, responsable du dossier et ministre de la Famille, de l’Enfance et du Développement social, est intervenu lors de l’assemblée du RAPSIM. Le RAPSIM a profité du ralliement pour interpeller le gouvernement du Québec afin qu’il cesse les compressions en logement social et à l’aide sociale. Au contraire, il est crucial d’investir dans ces programmes sociaux, ainsi qu’en santé et en éducation, afin de permettre la réalisation des mesures prévues par la Politique nationale de lutte à l’itinérance. Depuis son adoption, le gouvernement n’a cessé de multiplier les actions contraires à l’esprit de la Politique.
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La Presse canadienne : Québec se fait dire de s'inspirer d'Ottawa.
Les services d'injection supervisée verront le jour au printemps.
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Le FRAPRU bloque le ministère des Finances à Québec
Une centaine de membres du Front d'action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) de différentes régions ont bloqué jeudi le ministère des Finances, situé au 12, rue Saint-Louis, à Québec. À quelques semaines du budget, le regroupement national de défense du droit au logement demande au ministre des Finances, Carlos Leitão, d'augmenter substantiellement les investissements dans de nouveaux logements sociaux, mettant ainsi fin aux coupes qu'il a effectuées dans le programme AccèsLogis, depuis deux ans.
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Intelligence artificielle : Microsoft et ABB se renforcent à Montréal
Le secteur québécois de la recherche et de l'innovation a été appuyé par les multinationales Microsoft et ABB au Forum économique mondial, à Davos, même si dans les faits, la création d'emploi est relativement modeste. Une semaine après avoir acheté l'entreprise de démarrage Maluuba, le géant de l'informatique a fait part de son intention de doubler la taille du bureau montréalais de l'entreprise.
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