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C’est votre journée le 22 novembre, la Journée nationale des chargées et chargés de cours. En cette 40e année d’existence du Syndicat, nous la soulignons d’une façon toute spéciale avec un conseil syndical élargi où nous vous invitons à venir entendre des gens du Syndicat des tuteurs et tutrices de la Téluq qui ont besoin de notre soutien et discuter de prévention en matière de harcèlement sexuel. Et par la suite avec un verre de vin en compagnie de 13 chargées et chargés de cours qui présentent leurs œuvres dans le cadre de l’expo 13 LIKES, au lieu social du Syndicat, jusqu’au 11 décembre. Bonne journée nationale! En attendant, n’oubliez pas que vous avez jusqu’à minuit jeudi soir pour répondre à la proposition des cours attribués par Accent.
Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ
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Affichage des charges de cours pour le trimestre d’hiver 2018: réponse à la proposition des cours attribués par ACCENT d’ici minuit
L’affichage principal des charges de cours pour le trimestre d’hiver 2018 est terminé. Les personnes chargées de cours ayant posé leurs candidatures sur une charge ne doivent pas oublier de répondre à la proposition des cours attribués par ACCENT d’ici minuit le 16 novembre.
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Vernissage de l’expo collective 13 LIKES et Journée nationale des chargées et chargés de cours, 5 à 7 le 22 novembre
Un collectif de personnes chargées de cours de l’École des arts visuels et médiatiques et de l’École de design présente une exposition intitulée 13 LIKES, du 15 novembre au 11 décembre, du lundi au jeudi, de 9h à 12h et de 13h à 16h30, au lieu social du SCCUQ (local A-R540). Le SCCUQ a le plaisir de vous convier au vernissage de cette exposition le mercredi 22 novembre à 17h, après le conseil syndical élargi. Nous organisons, à cette occasion, un 5 à 7 pour souligner également la Journée nationale des chargées et chargés de cours. Les artistes Catherine Béliveau, Pascal Caputo, Denis Farley, Patricia Gauvin, Marie-France Giraudon, Manuela Lalic, Nicole Milette, Lise Nantel, Josée Pellerin, Dominique Sarrazin, Véronique Savard, Anne-C. Thibault et Suzan Vachon participent à cette activité organisée dans le cadre du 40e anniversaire du SCCUQ. Bienvenue à toutes et tous.
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Conseil syndical élargi : conflit à la TÉLUQ et prévention en matière de harcèlement sexuel, le 22 novembre
Le SCCUQ tiendra un Conseil syndical élargi le mercredi 22 novembre à 13h au SH-3620 (Pavillon Sherbrooke). Nous recevrons alors des membres du Syndicat des tuteurs et tutrices de la Télé-Université en conflit. Nous disposerons d’une proposition relative à la prévention en matière de harcèlement sexuel. Il y aura des élections à plusieurs comités institutionnels : • Comité des usagers des bibliothèques (mandat de trois ans) • Comité institutionnel de prévention du harcèlement psychologique (mandat de deux ans) • Comité institutionnel de prévention du harcèlement psychologique (mandat de deux ans) • Comité consultatif permanent de la politique linguistique (mandat de trois ans) • Comité des programmes de formation à l’enseignement (CPFE) (mandat de trois ans - la représentante, le représentant à ce Comité doit provenir de la Faculté des arts ou de l’un de ses départements). Vous avez jusqu’au vendredi 17 novembre à 13h pour soumettre votre candidature. Le 22 novembre est également la Journée nationale des chargées et chargés de cours. Nous le soulignerons dans le cadre d’un 5 à 7 au lieu social du Syndicat qui servira également de lancement à l’exposition collective 13 LIKES.
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Assemblées d’unités : Psychologie le 21 novembre et Sexologie le 23 novembre
Les assemblées d’unités départementales se poursuivent au A-R540 ou au A-R505 à 12h30. Les chargées et chargés de cours en Psychologie se rencontrent le mardi 21 novembre et celles et ceux de Sexologie se réunissent le jeudi 23 novembre. Venez en grand nombre pour discuter de vos affaires et élire vos représentantes et représentants.
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Conférence sur la formation à distance au SCCUQ le 29 novembre
Le SCCUQ, et plus spécifiquement la vice-présidente à la convention collective, organise une conférence sur la formation à distance le mercredi 29 novembre, de 16h à 19h, au lieu social du Syndicat (local A-R540). Nous recevrons alors Stéphane Fauteux, chargé de cours à l’Université de Montréal, et Francis Bouffard, président du Syndicat des chargées et chargés de cours de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, pour échanger sur l’avancement du dossier dans nos trois institutions. Cette conférence est organisée dans le cadre des activités entourant la Journée nationale des chargées et chargés de cours et le 40e anniversaire du SCCUQ.
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Fermeture du bureau syndical du 21 décembre 2017 au 8 janvier 2018
Les bureaux du SCCUQ fermeront le 21 décembre 2017 à midi et les officiers syndicaux reprendront du service le lundi 8 janvier 2018. Les membres du Comité exécutif, du Comité des agentes et agents de relations de travail, du Comité mobilisation-intégration et la secrétaire du Syndicat en profitent pour souhaiter de joyeuses fêtes et une bonne et heureuse année 2018 à toutes les chargées et tous les chargés de cours.
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Modification à la convention collective : Vous souhaitez prendre votre retraite ?
Nous poursuivons notre série de capsules d’information sur les nouveaux articles ou les principales modifications apportées à la convention collective des chargées et chargés de cours à la suite de la dernière négociation. L’article 27.01 de la convention collective prévoit que les personnes chargées de cours âgées entre 60 et 69 inclusivement ont la possibilité de toucher une prime de départ à la retraite. Cette prime est versée aux personnes chargées de cours qui répondent aux conditions d’éligibilité suivantes : • avoir été considérée en situation de simple emploi pendant au moins dix ans dont deux ans au cours des quatre dernières années ; • être âgée de 60 à 69 ans inclusivement ; • être à l’emploi de l’UQAM à titre de personne chargée de cours depuis au moins 15 ans ; • avoir accumulé 130 points et plus.
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Appel à témoins concernant les congés de maladie
Quelques personnes chargées de cours se sont récemment fait demander, par le Service de la santé et de la qualité de vie au travail de l'UQAM, des précisions quant au certificat médical fourni. Outre la mention de l’arrêt de travail, on leur a demandé à ce que le certificat spécifie le diagnostic, voire la médication. Le syndicat lance un appel à témoin. Si vous avez été contacté pour un certificat médical dit incomplet, que ce soit récemment ou antérieurement, veuillez nous écrire à l’une des adresses suivantes et nous donner les informations suivantes : • la date de début et de fin de votre congé de maladie • le motif des vérifications faites par l’UQAM.
Robert Drouin, poste téléphonique: 3536, courriel: drouin.robert@uqam.ca
Peggy Roquigny poste téléphonique: 2789, courriel: roquigny.peggy@uqam.ca
Stéphane Daniau poste téléphonique: 4886, courriel: daniau.stephane@uqam.ca
Vous participez à la conception de cours hybrides : faites-nous aussi part de votre expérience.
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Émilie Tremblay-Wragg est lauréate des Rendez-vous Pile 2017 avec Espace Blitz, le projet de l'OBNL Blitz Paradiso
Espace Blitz, le projet de l'OBNL Blitz Paradiso, qui souhaite établir à Montréal un premier espace collectif de rédaction conçu pour les étudiants de 2e et 3e cycles, dans la foulée des succès obtenus par les retraites de rédaction «Thèsez-vous?» est un des lauréats des concours organisés dans le cadre du Rendez-vous Pile 2017. Ils ont été dévoilés le 9 novembre, à l'occasion d'un gala qui avait lieu au MT Lab. Les cofondatrices de cet OBNL sont la chargée de cours en Didactique Émilie Tremblay-Wragg et Sara Mathieu-Chartier. Les autres gagnants sont Arpent, chez les étudiants, et les projets Flash sur mon quartier! et Immuniser la forêt urbaine face aux changements globaux, chez les professeurs, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Catherine Béliveau participe à l’exposition Cyclages du Grupmuv présentée jusqu'au 23 novembre à la Galerie R3 de l'UQTR
Tourner, retourner, détourner, répéter et animer… Alors que le dessin se manifeste dans sa forme traditionnelle par un arrêt dans le temps, l'exposition Cyclages interroge à travers l'installation in situ comment la durée transforme la temporalité du dessin lorsque ce dernier quitte son état de suspension. Elle est l'œuvre du Grupmuv, un laboratoire de recherche et de création rattaché à Hexagram et fondé par les professeurs de l'École des arts visuels et médiatiques, Michel Boulanger, Thomas Corriveau et Ælab (Gisèle Trudel). La chargée de cours et étudiante à la maîtrise Catherine Béliveau et l’étudiant à la maîtrise Jonathan Plante participent également à l'exposition, présentée jusqu'au 23 novembre à la Galerie R3 de l'UQTR. Usant de diverses matières qui permettent l'animation du dessin, Grupmuv met en lumière la fabrication d'un dessin propulsé qui ouvre ses configurations vers de nouvelles formes dont les contours sont constamment remis en cause par le mouvement, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Olivier Barsalou commente l’onde de choc provoquée par la première année de pouvoir de Trump
Un an après l’élection de Donald Trump, l’onde de choc est palpable pour les universitaires américains invités par l’Observatoire des États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques. Les limites au pouvoir du président existent dans la mesure où des gens veulent les faire respecter. Le contre-pouvoir judiciaire est déjà bien actif, remarque le chargé de cours en Sciences juridiques Olivier Barsalou. «Il y a quelques semaines, le procureur général de la Californie a contesté le projet de mur», dit-il. Quant aux nominations judiciaires de Trump, elles auront un effet encore inconnu, mais qui durera des générations, a-t-il expliqué à LaPresse+.
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Julie Bramond présente ses créations au Marché de Noël Evo Montréal
La chargée de cours Julie Bramond présente ses créations, ses nouveaux bijoux, au Marché de Noël Evo Montréal, le samedi 25 novembre, de 11h à 18h, au 777 boulevard Robert Bourassa.
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Repenser l’Université : un constant défi
Repenser l’Université comme institution et histoire, projet et ensemble de pratiques, est une tâche nécessaire et difficile. Nécessaire, car l’épreuve de l’analyse, de la réflexivité est indispensable à la construction du savoir. Difficile par l’ampleur du sujet, la diversité des contextes disciplinaires et institutionnels, la gangue des discours et les conflits structuraux entre conceptions et intérêts divergents. Cette difficulté est sans doute plus vive à l’UQAM du fait que dans les dernières années nous avons été en quelque sorte contraints de penser à l’Université dans des situations de crise.
Lire la suite du texte du SPUQ-Info.
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Projet de loi 151 : une vision collective est nécessaire pour combattre les violences sexuelles
La CSN salue le projet de loi 151 sur les violences à caractère sexuel dans les établissements d’enseignement supérieur, dont les consultations s’amorcent, et estime que ses objectifs s’inscrivent dans une suite d’actions nécessaires pour combattre la culture du viol et ses nombreuses conséquences pour les victimes. «La violence fait partie du quotidien de bien des femmes, déplore la vice-présidente de la CSN, Véronique De Sève. Il faut briser le silence, faire tomber l’impunité dont bénéficient les agresseurs, agir sur les mentalités et présenter une culture d’égalité entre les femmes et les hommes.» Pour la porte-parole syndicale, c’est en construisant une vision collective des interventions que nous réussirons à prévenir et à lutter contre les violences à caractère sexuel.
Lire la suite.
Vidéo : En matière de harcèlement sexuel, c’est tolérance zéro.
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Le Syndicat des chargé-es de cours de l’École de technologie supérieure hausse le ton
Confrontés à l’intransigeance de leur employeur, les membres du Syndicat des chargé-es de cours de l’École de technologie supérieure — Service des enseignements généraux (SCCÉTS-SEG) ont pris la décision en assemblée générale d’exercer des moyens de pression. Après plus de deux ans et trente-deux séances pour s’entendre sur une première convention collective, les négociations stagnent. Pour Laurent Arel, président du Syndicat, l’attitude de la direction de l’établissement à la table de négociation est consternante. «D’un côté, l’École prétend se distinguer favorablement des autres établissements universitaires québécois. De l’autre côté, elle refuse de reconnaître et d’encourager l’excellence des contributions des chargé-es de cours à l’enseignement et à l’encadrement des étudiants.»
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Reconnaissance financière des stages en enseignement : la FSE (CSQ) appuie la demande des étudiants
La Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) appuie la Campagne de revendications et d’actions interuniversitaires pour les étudiantes et les étudiants d’éducation en stage (CRAIES), qui revendique une compensation financière pour le dernier stage en enseignement. «Non seulement c’est une demande légitime, mais c’est une demande nécessaire. Un étudiant universitaire qui gère pleinement une classe pendant plusieurs mois, en situation d’apprentissage particulièrement intense, ne peut raisonnablement occuper un second emploi pour subvenir à ses besoins. Le gouvernement doit enfin donner le signal qu’il reconnaît les importantes contraintes de cette formation en donnant suite aux revendications étudiantes. Ce serait là un geste concret et attendu vers une plus grande valorisation de la profession enseignante», de déclarer Mme Josée Scalabrini, présidente de la FSE-CSQ. La FSE-CSQ donne son appui à cette revendication étudiante depuis plusieurs années, peut-on lire sur le site de CSQ.
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Adoption du projet de loi no 144 : un projet pilote à surveiller sur la formation à distance
La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) prend acte de l’adoption du projet de loi no 144 concernant principalement la gratuité des services éducatifs et l'obligation de fréquentation scolaire. Bien qu’elle ait accueilli positivement plusieurs aspects, notamment les mesures pour les élèves sans-papiers, la CSQ appelle à la prudence sur certains éléments. En effet, la présidente de la CSQ, Louise Chabot, est surprise de constater que le ministre Proulx a introduit dans la loi la notion d’un projet pilote visant à expérimenter ou à innover en matière de formation à distance. « C’est un aspect très important qui n’a jamais été mis au jeu dans les discussions entourant le projet de loi, notamment lors de notre passage en commission parlementaire. On s’interroge donc à savoir pourquoi le ministre Proulx apporte cette nouveauté à la toute fin du processus et avec quelles motivations», questionne Louise Chabot.
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Palmarès des écoles : la CSQ n'y voit rien de positif
La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) dénonce l'exercice malsain et stérile que constitue le palmarès des écoles. «Cette mise en valeur des résultats scolaires est néfaste, dans une optique de comparaison. Nous nous opposons à la mise en concurrence des écoles que ce palmarès encourage parce qu'elle crée de la ségrégation scolaire. Une problématique sérieuse dénoncée par plusieurs acteurs dans le réseau de l'éducation», déplore la présidente de la CSQ, Louise Chabot. Ce palmarès ne nous dit absolument rien sur la réalité de nos établissements scolaires. «Cette façon de classer les écoles démotive inutilement le personnel et risque d’affecter l’estime et la confiance de plusieurs élèves. C’est une opération irresponsable qui fait beaucoup de tort et n’apporte aucun bien», ajoute la présidente. La CSQ réitère à quel point il est nécessaire de prendre en considération que les élèves sont des êtres humains complexes dont la réussite et le développement ne se résument pas à de simples statistiques.
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Projet de loi 143 : les ratios des services de garde familiaux privés doivent être réduits
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Négociations du secteur préhospitalier : le Dr Barrette est le premier responsable du blocage
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Pour le représentant du secteur préhospitalier de la FSSS–CSN, Jean Gagnon, le ministre de la Santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette, est le premier responsable du blocage des négociations du secteur préhospitalier. «Quand il déclare que c’est à cause de nos négociations que le MSSS n’avance pas de solutions sur la couverture ambulancière, c’est tout simplement odieux. Au contraire, les enjeux de charge de travail et des horaires de travail sont au cœur de nos revendications depuis le début et à l’heure où on se parle. Quant à nous, ce sont les seuls enjeux qui demeurent à régler», souligne-t-il. Les propos du ministre Barrette, rapportés par l’Agence QMI, choquent d’autant plus les syndicats que le ministre leur demande lui-même de s’adresser aux différents établissements pour régler ces problèmes, semblant se dégager de sa propre responsabilité à cet égard. Or, personne n’est mieux en mesure que le ministre Barrette de prendre les décisions qui s’imposent afin d’assurer à toute la population des services de qualité.
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CIUSSS de la Capitale-Nationale : La suppression de 100 postes dénoncée.
Chirurgies au CISSS de l'Abitibi-Témiscamingue : Autre rupture de services.
Réduction de lits à l’installation des Escoumins : La CSQ dénonce ce manque de respect à l’égard de la population et du personnel.
Projet de règlement sur les caméras en CHSLD : Un transfert de responsabilités inconcevable.
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Revenu minimum garanti : la CSN déçue par le manque d’audace du comité d’experts
La Confédération des syndicats nationaux ne peut qu’être déçue par le manque d’audace exprimé dans le rapport du Comité d’experts sur le revenu minimum garanti (RMG). «La proposition du comité d’experts sur le RMG visant à plafonner les transferts aux personnes en situation de pauvreté, incluant les prestations d’aide sociale, à 55 % de la mesure du panier de consommation est tout simplement inacceptable. Disposer d’un revenu qui correspond à 55 % du montant qui est nécessaire pour couvrir tous les besoins de base, c’est être condamné à vivre une carence sévère perpétuelle, dénonce Véronique De Sève, vice-présidente de la CSN. Comment peut-on être dans de bonnes dispositions pour rechercher un emploi lorsqu’on patauge dans une misère imposée qui remet même en question le droit à un revenu décent ? C’est, hélas, la réalité brutale de plusieurs personnes vivant de l’aide sociale.» La CSN partage l’idée selon laquelle l’accès à un emploi est un levier pour sortir de la pauvreté, «mais l’incitation au travail doit passer par des emplois de qualité bien rémunérés, d’où l’importance de fixer le salaire horaire minimum à 15$ l’heure, et ce, le plus rapidement possible», conclut Mme De Sève.
Collectif pour un Québec sans pauvreté : Une irresponsable remise en question du minimum à garantir.
Le PQ et QS dénoncent le rapport d’experts.
Un comité d’experts rejette le revenu minimum garanti au Québec.
Lettre ouverte : Mourir de faim n’incite pas à travailler.
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Politique énergétique : un large front commun demande le retrait des projets de règlement sur les hydrocarbures
Agriculteurs, groupes syndicaux, environnementaux, et citoyens s’unissent pour demander au gouvernement du Québec le retrait intégral des quatre projets de règlements de mise en œuvre de la Loi sur les hydrocarbures. Les groupes mobilisés déplorent les impacts inévitables sur l’environnement, le climat planétaire, la biodiversité et la santé humaine qui découleraient de l’application des projets de règlements. Ils ont notamment exprimé leur vive inquiétude face à la possibilité que des puits de pétrole et de gaz puissent être forés et que des activités de stimulation des puits, notamment la fracturation hydraulique, puissent être menées au Québec à proximité et en dessous des zones habitées, des aires protégées et des parcs nationaux, près du fleuve Saint-Laurent et des grandes rivières, dans et sous les terres agricoles et forestières, les milieux naturels que sont généralement les terres publiques et les territoires non organisés, les lacs, les petits cours d’eau et les portions à faible débit des grandes rivières. Ils rappellent également que la Loi sur les hydrocarbures a été adoptée sous le bâillon en décembre dernier en dépit d’une opposition quasi unanime de l’ensemble de la société civile, des partis d’opposition, des Premières Nations et du monde municipal.
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Infographie : COP23 en Allemagne, la lutte pour la justice climatique se poursuit.
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Transport scolaire : vote de grève chez Autobus Gil-Ber
Réunis en assemblée générale le 6 novembre 2017, c’est avec une détermination sans borne que les conducteurs et mécaniciens des autobus Gil-Ber, affectés au transport d’élèves de la commission scolaire des Samares, ont adopté à scrutin secret un mandat de grève incluant la grève générale illimitée à être exercé au moment jugé opportun, et ce, dans une proportion de 100%. Les membres du syndicat ont également adopté à l’unanimité un mandat de moyens de pression à être exercé au moment jugé opportun. La convention collective est échue depuis le 30 juin dernier et les parties s’affairent à négocier. Cependant, les demandes de l’employeur sont élevées et visent à diminuer les conditions de travail de ses conducteurs et mécaniciens d’autobus scolaire.
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Nouvelle convention collective chez Cummins à Pointe-Claire.
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Encadrement du commerce du cannabis : le rôle de l’État reconnu se réjouit la CSN
Pour la Confédération des syndicats nationaux, le gouvernement du Québec fait le bon choix en confiant le monopole de la commercialisation du cannabis récréatif à une société d’État, et ce, en s’appuyant sur l’expertise développée au fil des ans par la SAQ. La CSN estime qu’il s’agit de la meilleure façon d’atteindre les objectifs poursuivis par la légalisation, soit la santé et la sécurité publiques. «Tout au long de ce débat, de même que lors des consultations sur la question, on a vu un consensus très large émerger sur le fait que l’État a un rôle important à jouer, souligne le président de la CSN, Jacques Létourneau. Recourir à l’expertise acquise par la SAQ dans le commerce de l’alcool est la façon la plus efficiente de mettre ce nouveau réseau en marche sur le plan opérationnel.»
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La Coalition pour la culture et les médias presse l’Assemblée nationale d’agir
La Coalition pour la culture et les médias se réjouit de l’attention accordée par les élus québécois à la question de l’équité fiscale entre les entreprises nationales et étrangères qui font des affaires en ligne au Québec. Devant l’unanimité des partis politiques sur un nécessaire rétablissement de l’équité de la taxation du commerce électronique, la Coalition demande aux députés de mettre de côté la partisanerie et de travailler ensemble afin d’instaurer une taxation adaptée à l’ère numérique, garante du maintien de nos acquis sociaux et de notre souveraineté culturelle. Le projet de loi no. 997 déposé par Québec solidaire, la semaine dernière, a le mérite d’avoir relancé le débat sur les pistes de solution à mettre de l’avant pour faire face au problème fondamental du déséquilibre fiscal entre les géants d’Internet qui font du commerce en ligne ici et les entreprises québécoises.
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Travailler dans un centre d'appels au gouvernement : une mission digne des superhéros
Travailler dans un centre d'appels au gouvernement: une mission digne des superhéros! Une capsule vidéo du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec.
Pour visionner la vidéo.
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Projet de loi n˚ 152 : les associations patronales et syndicales demandent d'apporter une modification importante aux dispositions touchant la durée des mandats des administrateurs
Les principales associations patronales et syndicales au Québec s’opposent vigoureusement aux modifications proposées par les articles 24 et 27 du projet de loi n˚ 152 présenté hier par la ministre responsable du Travail. Ces articles limitent le renouvellement des mandats pour les administrateurs du CA de la CNESST (2 renouvellements de mandats de 2 ans pour un maximum de 6 années), incluant les mandats des administrateurs actuellement en place. «La modification législative ne résiste pas à l’analyse objective, affirment les dirigeants d’associations. De plus, une telle proposition attaque l’un des piliers fondateurs du régime de santé et sécurité au travail, à savoir le dialogue social au sein d’une organisation bénéficiant d’une gestion paritaire, impliquant les acteurs les plus représentatifs des milieux du travail au Québec.»
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Conversation publique sur la solidarité et l’équité intergénérationnelles
La Conversation publique sur la solidarité et l’équité intergénérationnelles, organisée par l’Institut du Nouveau Monde, consiste en une consultation publique sur les questions d’ordre intergénérationnel au Québec. Cette démarche, ouverte à l’ensemble des citoyens de toutes les régions, permet d’échanger dans un cadre formel sur leurs préoccupations sur les enjeux d’ordre intergénérationnel. Le vieillissement rapide de la population fait en sorte que le nombre de personnes ayant plus de 65 ans devrait s’accroître de façon importante dans les prochaines décennies. Cette situation pose de nombreux défis à plusieurs niveaux: finances publiques, programmes sociaux, monde du travail, économie, milieux et qualité de vie, environnement, partage du pouvoir, etc.
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Des enseignantes et enseignants bien formés, préalable indispensable à l’élimination du travail des enfants
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La délégation syndicale enseignante à Conférence mondiale sur l’éradication du travail des enfants a réitéré la nécessité d’avoir des enseignantes et enseignants et des systèmes d’enseignement public de qualité pour éradiquer le fléau du travail des enfants. La Conférence, qui se tenait du 14 au 16 novembre, à Buenos Aires, en Argentine, a vivement déploré que 152 millions d'enfants dans le monde soient victimes d’exploitation par le travail. Quarante-quatre ans après l’adoption de la Convention 138 sur l’âge minimum d’admission à l’emploi, le constat demeure: si les lois et déclarations existent, l’engagement à les mettre en œuvre reste insuffisant. Les représentantes et représentants de l’Internationale de l’éducation, de l’Union internationale des travailleurs de l'alimentation, de l'agriculture, de l'hôtellerie-restauration, du tabac et des branches connexes, de la Fédération internationale des ouvriers du transport et de la Confédération syndicale internationale ont rappelé au cours de la Conférence que l’éradication du travail des enfants ne se fera pas sans un investissement massif des gouvernements dans une éducation publique de qualité.
Lire la suite.
COP23 : Les États doivent se montrer plus ambitieux sur l’éducation et la formation au changement climatique.
Belgique : enseigner, un métier de plus en plus pénible.
D’après l’étude ICCS, la citoyenneté se porte bien.
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Pas de relation prof-étudiant, plaident deux regroupements étudiants
À l’instar des syndicats d’enseignement, des groupes étudiants souhaitent que le projet de loi visant à prévenir les violences à caractère sexuel dans les cégeps et universités interdise les liaisons entre professeurs et étudiants. Les auditions publiques concernant le projet de loi 151 doivent s’entamer jeudi à l’Assemblée nationale avec la présentation des arguments de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) et de l’Union étudiante du Québec (UEQ). Les deux organisations sont formelles: les relations entre un enseignant et un étudiant doivent être «proscrites» et non pas être «encadrées», comme le propose la pièce législative déposée au début du mois par la ministre de l’Éducation supérieure, Hélène David. «Il faudrait carrément proscrire les relations directes entre un professeur ou un membre du personnel et un étudiant», tranche Simon Telles, président de l’UEQ, qui regroupe huit associations universitaires étudiantes.
Lire la suite du texte de TVA Nouvelles.
Trois plaintes d’inconduites sexuelles déposées au Collège des médecins.
Nouveau-Brunswick : Un député en faveur d’une politique contre la violence sexuelle dans les collèges et les universités.
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Les tensions prof-étudiant se révèlent à l'Université Laval
Intimidation, vol d’idées, insultes… À l’Université Laval, près des trois quarts des étudiants de deuxième et troisième cycle disent s’être déjà sentis vulnérables ou mal à l’aise vis-à-vis de leur directeur de mémoire ou de thèse. Telles sont les conclusions d’un sondage réalisé par l’Association des étudiants inscrits aux études supérieures de l’Université Laval (AELIES), dont les résultats préliminaires ont été rendus publics le 9 novembre. La consultation révèle que 58% des étudiants disent avoir vécu des situations inconfortables «quelques fois» avec leur directeur (ou directrice), alors que 16% affirment que cela se produit «régulièrement». À titre d’exemple, certains ont évoqué de l’intimidation, des menaces, des vols de données, d’idées ou encore des insultes.
Lire la suite du texte du Devoir.
Vulnérabilité ressentie par des étudiantes et étudiants : la rectrice de l'UL se veut rassurante.
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Le dilemme des chercheurs francophones : publier en anglais ou périr?
De plus en plus de chercheurs francophones publient leurs articles scientifiques en anglais. Au Québec, les avis divergent quant à la pertinence de ce choix et ses impacts sur la recherche et la société locales. «Pour que la recherche joue pleinement son rôle d’amélioration de la société dans laquelle elle est faite, les chercheurs doivent être en mesure de la faire connaître dans la langue locale, soutient Frédéric Bouchard, président de l’Association francophone pour le savoir (Acfas). C’est important pour toute société d’avoir une communauté de recherche capable de s’exprimer dans sa langue.» Pourtant, depuis plus de trente ans, les chercheurs publient de plus en plus en anglais et pas seulement au Québec. «Dans les sciences dites “dures”, comme les sciences de la nature, c’est réglé depuis longtemps, les chercheurs publient en anglais et ce n’est pas dramatique, avance l’historien des sciences de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), Yves Gingras. Après tout, l’électron reste le même partout. La montée de la publication en anglais dans les sciences humaines et sociales me semble moins pertinente et plus inquiétante.»
Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.
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Les ressources humaines en recherche universitaire au Québec, un sujet tabou
Dans le milieu de la recherche universitaire, il est stupéfiant de constater le peu de valeur accordée aux professionnels de la recherche. Chaque fois qu’un sujet de recherche est abordé dans les médias, il n’est question que de professeurs et d’étudiants-chercheurs. Ce phénomène n’est pas unique au Québec. Cette culture de déni des emplois en recherche serait même pire dans le reste du Canada. Tellement que certaines subventions de recherche au pays ne comportent pas de salaire pour ce type de personnel qui représente, selon une dernière estimation, entre 15 000 et 20 000 personnes au pays. Les professionnels de la recherche contribuent de façon déterminante à la recherche et à la formation des étudiants. Malgré leurs fonctions aussi variées que nécessaires, ainsi que de récents progrès dans la reconnaissance de leur rôle au Québec, comme les prix des fonds de recherche du Québec pour des carrières exceptionnelles de professionnels, ils demeurent méconnus et, trop souvent, plus ou moins bien intégrés aux structures institutionnelles de recherche et d’enseignement.
Lire la suite du texte d’opinion publié par Le Devoir.
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Libre opinion : il faut sauver la presse francophone à l’Université McGill
Les universités québécoises, censées être le lieu du savoir et du débat d’idées, manquent à leur devoir de protection de la liberté d’expression. Sans presse libre et indépendante au sein des universités, cette liberté d’expression n’est que de façade. Nous demandons aux dirigeants de l’Université McGill d’abolir la mesure exigeant la tenue d’un référendum quinquennal sur les frais de cotisation de 3$ par session que chaque étudiant est tenu de payer aux journaux étudiants, Le Délit, The McGill Daily et le McGill Tribune. Nous pensons que cette mesure fragilise la liberté d’expression au sein de l’Université tout en marginalisant davantage les voix minoritaires, telles que les voix francophones qui sont représentées par Le Délit, le seul journal francophone de l’Université McGill.
Lire la suite du texte collectif publié par Le Devoir.
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Des scientifiques ont mis en lumière la véritable origine du vin
Les origines de la viticulture remontent à plus de huit mille ans, soit près de dix siècles plus tôt qu'estimé auparavant, ont révélé des résidus retrouvés dans des poteries néolithiques mises au jour en Géorgie, dans le sud du Caucase. Les plus anciens indices chimiques de la production de vin dataient jusqu'alors de 5 400 à 5 000 ans avant l'ère chrétienne dans les montagnes de Zagros en Iran, ont précisé les scientifiques, dont la découverte est publiée lundi dans les Comptes-rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS).
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Violence conjugale : les maisons d'hébergement pour femmes débordent
Confronté aux besoins urgents des organismes qui viennent en aide aux victimes de violences sexuelles, Québec travaille également sur un autre enjeu qui concerne la santé et la sécurité des femmes: le renouvellement du plan d'action gouvernemental en matière de violence conjugale, qui prend fin en 2017. Ces jours-ci, les maisons d'hébergement pour femmes débordent. Dans le Grand Montréal comme dans la capitale nationale, leur taux d'occupation dépasse fréquemment 100%, ce qui les force à refuser certaines personnes. Une situation jugée préoccupante.
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Foyer mère-enfant : Québec suspend temporairement sa fermeture.
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Nouvelle mairesse, nouveaux engagements : quelle lutte à l’itinérance sous Valérie Plante?
La population montréalaise a donné, lors des élections municipales du 5 novembre dernier, un mandat majoritaire à Valérie Plante. Projet Montréal a pris des engagements importants et diversifiés en matière de lutte à l’itinérance: le plan d’intervention proposé devrait comprendre un soutien accru aux ressources du centre-ville et le développement d’interventions par le biais d’unités mobiles, de même que des investissements additionnels dans les centres de jour. Dans le programme du parti, on retrouve aussi la nécessité d’intervenir à l’échelle de toute la ville et de favoriser la solidarité dans chacun des quartiers montréalais, tout comme la volonté de miser sur une approche plus sociale que répressive. À ce titre, notons le développement prévu du 211, une ligne de référence sociale qui offrirait une alternative à l’utilisation du 911 pour faire face aux situations d’itinérance.
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Centres d'injection : moins de visites que prévu, mais des vies sauvées
Selon des données préliminaires dont Radio-Canada a obtenu copie, les centres d'injection supervisée de Montréal ont reçu 4767 visites, de leur ouverture en juin jusqu'au début octobre. Près du tiers des substances injectées par les utilisateurs ont été des médicaments opioïdes. Au total, ce sont 485 personnes qui ont fréquenté les centres en quatre mois. «Je suis allé cinq-six fois à Dopamine et une fois à Cactus, mentionne une femme de 25 ans, qui désire garder l'anonymat. C'est un sentiment très bizarre d'intrusion dans ma vie privée. On réalise que l'injection est un geste très personnel, très intime [...] et finalement, de l'exposer à des personnes qu'on ne connaît pas vraiment, ça peut être quelque chose de difficile, au début.» On estime qu'en moyenne chaque usager, comme elle, est allé près d'une dizaine de fois dans les centres d'injection supervisée entre juin et début octobre.
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Une halte-chaleur ouverte toutes les nuits cet hiver à Montréal.
L’ouverture d’un site d’injection à Montréal inquiète des parents d’écoliers.
Val-d’Or : La Commission Viens veut en apprendre davantage sur la justice d'itinérance à Montréal.
Libre opinion : Valérie Plante fera-t-elle mieux que Denis Coderre pour la salubrité des logements?
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La campagne CA$$$H mettra l’Assemblée nationale sous «haute pression»
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Étouffés par un sous-financement chronique, les organismes communautaires autonomes œuvrant en santé et services sociaux seront présents à l’Assemblée nationale, lors des périodes de questions, du 14 novembre 2017 au 29 mars 2018. Ils en profiteront pour rencontrer les éluEs de leurs circonscriptions et pour transmettre une lettre aux ministres Charlebois et Leitao. Par cette action, les groupes réclament notamment un rehaussement de 355$M pour soutenir leur mission et accompagner adéquatement des centaines de milliers de QuébécoisEs. Menée par la Table des regroupements provinciaux d’organismes communautaires et bénévoles, cette action-marathon se déroule dans le cadre de la campagne CA$$$H (Communautaire autonome en santé et services sociaux – Haussez le financement). CA$$$H vise l’amélioration substantielle du Programme de soutien aux organismes communautaires (PSOC) et de son financement, lequel est sous la responsabilité du ministère de la Santé et des Services sociaux.
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La centralisation menace l’équité du financement des organismes partout au Québec
La Coalition des Tables régionales d’organismes communautaires (CTROC) dénonce les conséquences alarmantes et inéquitables de la vision centralisatrice du gouvernement. RéuniEs en rencontre nationale à Québec, les réprésentantEs de treize régions déplorent que de nombreuses décisions ministérielles en lien avec le financement des organismes soient imposées dans toutes les régions du Québec, faisant fi des pouvoirs accordés aux CISSS et aux CIUSSS et en écorchant au passage le rôle des regroupements régionaux. «Il est évident que le besoin de financement est criant pour tous les organismes, mais la CTROC demande au gouvernement d’être transparent dans sa façon d’attribuer de nouveaux montants et de respecter les cadres régionaux en vigueur», souligne Hugo Valiquette, co-porte-parole de la CTROC.
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Crise interne à la CDPDJ : préserver l’institution au-delà des problèmes ponctuels
Alors qu’il y aurait tant à faire sur le front de la défense des droits et libertés au Québec, la crise interne de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ) ne cesse de rebondir dans l’espace public. La ministre de la Justice compte nommer un expert indépendant pour faire le diagnostic organisationnel de la CDPDJ. Il y a lieu de s’inquiéter d’une telle crise à la CDPDJ. Mais ce qui doit nous alarmer, c’est la fragilité dans laquelle l’institution se retrouve alors que le gouvernement s’apprête à en faire l’examen sur le plan organisationnel. Dans une telle situation de vulnérabilité, comment la CDPDJ pourra-t-elle défendre son indépendance, sa mission, ses mandats et l’ensemble de ses fonctions? Comment dans ce contexte défendre l’institution qu’est la CDPDJ?
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Hydrocarbures dans le golfe du St-Laurent : plus de coûts que d'avantages économiques
On voit fréquemment réapparaître l’idée d’exploiter des hydrocarbures dans le golfe du Saint-Laurent. Or, même si on y trouvait du pétrole, le jeu n’en vaut pas la chandelle du point de vue de l’économie des communautés du golfe du Saint-Laurent et des Madelinots qui repose essentiellement sur les secteurs de la pêche et du tourisme.
Lire la fiche socioéconomique de l’IRIS.
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ATTAC-Québec : rapport d’activités 2016-2017 et plan d’action pour 2017-2018 en ligne
Découvrez les mobilisations, conférences et actions menées au sein d’ATTAC-Québec au cours de la dernière année en parcourant son rapport d’activités 2016-2017 et le document présentant nos orientations et plan d’action pour 2017-2018, maintenant disponibles en ligne. Tout au long de la dernière année, ATTAC-Québec s’est mobilisée contre l’Accord économique et commercial global (AÉCG) entre l’Union européenne et le Canada, notamment, et contre les paradis fiscaux et pour la justice fiscale, en particulier lors d’une Semaine d’action organisée en avril dernier. Le présent rapport présente l’ensemble des activités d’ATTAC-Québec de septembre 2016 à la fin août 2017. L’assemblée générale d’ATTAC-Québec aura lieu le 18 novembre, pour discuter des projets en cours et à venir!
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Le Wapikoni mobile, partenaire officiel de l'UNESCO
L'organisme culturel Wapikoni mobile devient un partenaire de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO). Selon une déclaration transmise par voie de communiqué, le Wapikoni agira à titre consultatif auprès de l'UNESCO «pour faire entendre les voix des jeunes Autochtones sur les questions qui les concernent, notamment en matière de droits autochtones et de patrimoine immatériel». «Le Wapikoni travaille depuis plusieurs années au renforcement de ses liens avec la Commission canadienne de l'UNESCO et l’UNESCO», mentionne pour sa part Manon Barbeau, cofondatrice et directrice générale de l'organisme.
Lire la suite du texte d’Espaces autochtones de Radio-Canada.
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