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L’infolettre du SCCUQ est publiée tous les jeudis. Vous y retrouvez des nouvelles du Syndicat, de ses membres ainsi que des milieux syndical, social et de l’éducation.
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Je vous invite à aller prendre l’air samedi. Si vous cherchez un prétexte, une marche est organisée pour sauver l’école de musique Villa Maria. Elle partira du métro Villa Maria à 10h. C’est une initiative de parents, de professeurs et d’anciens élèves qui se sont réunis à la suite de la fermeture annoncée de la célèbre école de musique Villa Maria. Puis une action citoyenne symbolique contre les paradis fiscaux partira du Square Philips à 15 heures. Elle est organisée par le Collectif Échec aux paradis fiscaux dans le cadre de la semaine d’action contre les paradis fiscaux. Richard Bousquet Vice-président à l’information du SCCUQ
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Comité de révision de la Politique no 10 : réponse favorable de la direction à une demande du SCCUQ
Le Comité exécutif du SCCUQ a envoyé une lettre, le 26 mars 2018, à la vice-rectrice à la recherche et à la création, ainsi qu’à la rectrice de l’UQAM, afin de demander l’ajout sur le Comité de révision de la Politique no 10 d’une personne chargée de cours qui reflète les nouvelles réalités et qu’elle soit choisie par le Syndicat. La vice-rectrice ainsi que la rectrice nous ont répondu immédiatement de manière favorable. Une personne chargée de cours nommée par le Syndicat va donc se joindre au Comité.
Nous avions été surpris d’apprendre que, lors de la réunion de la Commission des études du 6 mars, un dossier d’information concernant le processus de révision de la Politique no 10 de la recherche et de la création avait été présenté et que la composition du Comité de révision incluait un chargé de cours ayant le statut de professeur associé et n’ayant pas été choisi par le Syndicat. Nous déplorions cette situation, d’autant plus qu’un étudiant nommé par les associations étudiantes fait partie du Comité.
Pour un certain nombre de personnes chargées de cours, l’accès à la recherche est important, que ce soit pour conserver leurs compétences à jour, pour obtenir de nouvelles exigences de qualification pour l‘enseignement (EQE) ou pour continuer de participer à des projets de recherche. Le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UQAM (SCCUQ) a d’ailleurs mis en place parmi ses membres un comité de réflexion sur la recherche et la création.
Depuis la dernière mise à jour de la Politique no 10, le milieu de la recherche universitaire a évolué. Parmi les nouvelles personnes chargées de cours, un certain nombre ont un doctorat et aimeraient poursuivre des activités de recherche, mais la plupart n’ont pas le statut de professeur associé. Il nous semble donc important qu’une personne chargée de cours dans cette situation puisse participer à la réflexion entourant le statut de chercheur associé, ainsi qu’à la réflexion concernant l’actualisation des principes, des règles et des procédures relatives au développement de la recherche et de la création au sein de notre institution.
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Assemblée générale statutaire : élections et trésorerie, le 24 avril
Toutes les personnes chargées de cours sont invitées à l’Assemblée générale statutaire du printemps du SCCUQ le mardi 24 avril, à 13h, au local R-M120 (pavillon des Sciences de gestion). La moitié des postes d’officiers syndicaux et des représentations à divers comités institutionnels seront alors à combler et la trésorière présentera les états financiers pour l’année 2017. Postes en élection pour des mandats de deux ans: • Présidence • Vice-présidence aux affaires universitaires • Vice-présidence à l’information • Une conseillère ou un conseiller au Comité mobilisation-intégration • Deux agentes ou agents au Comité des agentes et agents de relations de travail • Deux membres du Comité de surveillance des finances • Officière ou officier d’élections substitut • Une représentante, un représentant et une, un substitut au Comité de perfectionnement et de mise à jour des connaissances • Une représentante, un représentant au Comité de vérification du double emploi • Une représentante, un représentant au Comité des relations interethniques • Une, un substitut au Comité institutionnel de prévention du harcèlement psychologique • Une représentante, un représentant au Comité institutionnel contre le harcèlement sexuel • et des mandats de trois ans pour Une, un substitut au Comité institutionnel sur les infractions de nature académique et Une représentante, un représentant qui doit provenir de la Faculté des arts ou de l’un de ses départements au Comité des programmes de formation à l’enseignement (CPFE). Le point Trésorerie se subdivisera ainsi: • Rapport de l’auditeur indépendant et états financiers 2017 • Résultats réels 2017 comparés au budget 2017 • Proposition d’affectation • Rapport du Comité de surveillance des finances. Il y aura également à l’ordre du jour des points Solidarité et Intersyndical. Après la réunion, vous êtes conviés à un «5 à 7» au lieu social du Syndicat au A-R542.
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Dates et procédures pour une demande de perfectionnement long ou court
L'article 16 de la convention collective SCCUQ-UQAM prévoit que 54 charges de cours, à raison de 3 charges par session pour un maximum de 6 charges sont attribuées comme bourses de perfectionnement de longue durée dans le cadre de projets institutionnels et/ou fin de scolarité en 2018-2019. Si vous désirez vous prévaloir de ce programme pour l'année 2018-2019 et pour de plus amples informations, veuillez consulter le document explicatif intitulé : Perfectionnement de longue durée et/ou appeler une agente ou un agent du CAART. Votre demande, en version papier, doit parvenir au plus tard le 4 mai au Service du personnel enseignant à l'attention de l'assistante de direction, madame Brigitte Perron. La date limite pour déposer une demande de perfectionnement court est le 8 juin 2018. Le perfectionnement court comprend 2 volets, le volet A (perfectionnement court) et le volet B (Recherche et création). Vous devez remplir le formulaire à cet effet qui se trouve sur ACCENT et joindre les pièces justificatives nécessaires. Votre demande doit être adressée au Service des ressources humaines (SPE). Pour toute demande d’information complémentaire, veuillez prendre contact avec une agente ou un agent du CAART.
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À l’agenda des membres du SCCUQ
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Prix d'excellence en enseignement de la Faculté des sciences décernés à Suzanne Forget et Michel Adès
Le Conseil académique de la Faculté des sciences a décerné la semaine dernière des Prix d'excellence en enseignement de la Faculté des sciences pour l’année universitaire 2017-2018 à Suzanne Forget, chargée de cours au Département des sciences biologiques, et Michel Adès, chargé de cours et professeur associé au Département de mathématiques.
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La Presse+ publie un portrait de Lida Sara Nouraie, avocate engagée
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Toute jeune, Lida Sara Nouraie rêvait de devenir avocate. Elle voulait changer le monde. Mais en grandissant, un doute s’est installé. Est-il vraiment possible de pratiquer le droit en ayant l’impact social auquel elle aspire? Heureusement, grâce aux conseils de son entourage, elle est parvenue à réconcilier son rêve d’enfance et ses valeurs de solidarité. Récipiendaire de multiples honneurs récompensant son engagement professionnel et social, et agissant comme avocate de la défense dans des dossiers complexes, notamment à la Cour suprême du Canada à plusieurs reprises, Lida Sara Nouraie tient par ailleurs à diversifier ses occupations. Dès le début de sa pratique, elle a visé à concilier famille, travail, bénévolat et loisirs. Avec son conjoint, elle a fondé un cabinet d’avocats, le Groupe Nouraie. Ce dernier lui donne la possibilité de s’impliquer dans d’autres projets, par exemple la Société Elizabeth Fry, dont la mission est de favoriser l’intégration sociale des femmes judiciarisées. Elle y agit comme avocate conseillère. Chargée de cours à l’UQAM, elle a également guidé l’équipe de l’Université, l’an dernier, vers une première place à la Coupe Gale, un concours de plaidoirie pancanadien, peut-on lire dans le texte de La Presse+.
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Simulation des Nations Unies : Marc-André Dubuc, Lukas Di Blasio-Brochard et Guillaume Cliche-Rivard mènent leurs étudiants à la victoire
Les délégations étudiantes de la Faculté de science politique et de droit et de l’École des sciences de la gestion (ESG UQAM) ont obtenu la plus haute distinction (prix Outstanding Delegation) dans le cadre de la Simulation des Nations Unies, qui avait lieu au siège de l’ONU à New York, du 18 au 22 mars (conférence A) et du 25 au 29 mars (conférence B). Cette simulation, la plus importante du genre au monde, réunit annuellement plus de 5000 étudiantes et étudiants en provenance des six continents, chacune des délégations représentant un pays membre de l’ONU. Les étudiantes et étudiants de l’ESG étaient encadrés, entre autres, par le chargé de cours Marc-André Dubuc. Celles et ceux de science politique et de droit étaient principalement encadrés par les chargés de cours Lukas Di Blasio-Brochard et Guillaume Cliche-Rivard, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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Perception de la TVQ : une partie du plan de Québec suscite des questionnements chez Brigitte Alepin
Le plan de nouveau décrit par Québec afin de mieux taxer les biens corporels provenant de l’étranger soulève des questions chez les spécialistes, qui s’interrogent sur l’efficacité de manipuler des colis afin de récupérer les revenus qui glissent entre les doigts du fisc. «Si on veut aller chercher les taxes sur les biens tangibles, il y a une difficulté, a dit Brigitte Alepin, chargée de cours au Département des sciences comptables de l’UQAM. Quel sera le résultat? Je ne peux pas le dire. […] On est coincé avec un système archaïque et on essaie d’adapter ça à la réalité d’aujourd’hui.» Mais pour le gouvernement québécois, les moyens concrets d’agir demeurent relativement limités, a soutenu Mme Alepin, dans un texte du Devoir.
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À l’agenda syndical et social
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Conférence Le syndicalisme confronté aux changements climatiques, le 18 avril
La crise climatique engendre une multitude de paradoxes pour le mouvement syndical. Comment concilier emploi et respect de l’environnement? Il est maintenant clair que l’activité humaine, et plus spécifiquement nos modes de production et de consommation, cause des dérèglements climatiques. Or, ces modes de vie procurent des millions d’emplois. Comment lutter contre les changements climatiques en évitant des mises à pied massives et du même fait un accroissement des inégalités sociales? Qu’en sera-t-il plus précisément de la grande région de Montréal? Les organisations syndicales savent qu’elles ont un rôle à jouer, mais lequel? Le Comité intersyndical du Montréal métropolitain vous invite, le mercredi 18 avril à 19h, au Monument national, 1182 boulevard Saint-Laurent, à entendre Coralie Deny expliquer les impacts des changements climatiques sur l’île de Montréal, et Patrick Bonin exprimer le point de vue d’une organisation environnementale au sujet de la transition juste.
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Journée de réflexion sur l’islamophobie le 27 avril
Le Conseil central du Montréal métropolitain organise une Journée de réflexion sur l’islamophobie le vendredi 27 avril, de 9h30 à 16h30, au 1601 avenue de Lorimier, pour mieux comprendre les diverses formes d’islamophobie afin de relever le défi de l’intégration des minorités racisées dans nos milieux de travail et de renforcer la cohésion syndicale. Venez échanger avec nos panels d’experts et de militantes et militants du mouvement: • Perspectives sur l’islamophobie et le chemin vers une société laïque, pluraliste et équitable • Les programmes d’accès à l’égalité des personnes immigrantes et racisées en milieu de travail, dans les secteurs public et privé • Perspectives syndicales à la CSN sur les réalités en milieu de travail. Afin de prévoir le dîner qui sera servi sur place, veuillez vous inscrire par courriel avant le 20 avril auprès de Roxane Dufour Duclos.
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Fête internationale des travailleuses et des travailleurs : manifestation nationale le 28 avril à Montréal
Pour souligner la Fête internationale des travailleuses et des travailleurs, une manifestation nationale aura lieu le 28 avril 2018 à Montréal. Rendez-vous au Parc olympique (Pierre-De Coubertin et Pie IX), pour un départ à 13h. En cette année électorale, la Fête internationale des travailleuses et des travailleurs revêt une signification particulière, il nous revient de rappeler nos revendications aux différents partis politiques: • Salaire minimum à 15$ l’heure • Réinvestissement dans les services publics et les programmes sociaux et mise en place de mesures concrètes pour mettre fin aux surcharges de travail • Conciliation travail-famille-études • Lutte contre les paradis fiscaux • Transition juste. Lire la suite.
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Une grande marche pour l’avenir du CHU Sainte-Justine le 6 mai
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École de technologie supérieure : offre patronale rejetée à 80% par les chargées et chargés de cours
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Charte de l’Université de Montréal : malgré des reculs, le droit d’association des professeures et professeurs est préservé
La Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université (FQPPU) s’est mobilisée fortement contre le projet de loi loi modifiant la Charte de l’Université de Montréal au cours de la dernière année, parce que celui-ci contient des dispositions portant atteinte à la participation des membres du corps professoral aux décisions qui président à l’orientation et au développement de l’Université de Montréal, en plus de consacrer une gestion hiérarchique de l’institution en faisant en sorte que les doyennes et doyens soient assujettis au recteur plutôt que de relever de leurs assemblées délibérantes. La FQPPU estimait aussi que le projet de loi avait pour effet de neutraliser une clause de la convention collective des professeures et professeurs portant sur la discipline, sans que cela ait été négocié au préalable avec le Syndicat général des professeurs et professeures de l’Université de Montréal (SGPUM), bafouant ainsi leur droit d’association. Or, c’est avec soulagement que nous avons constaté qu’un amendement adopté à la toute dernière minute a pour effet de préserver intact l’application de la convention collective. Lire la suite. L'Assemblée nationale adopte la loi modifiant la Charte de l'UdeM.
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Programme de Sciences de la nature des collèges : moratoire demandé
Réunis lundi en réponse à l’invitation de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN), les représentant.tes des syndicats de professeur-es et des comités de programme de Sciences de la nature des collèges de toutes les régions du Québec réclament un moratoire sur le processus de révision du programme. En parvenant à une déclaration commune, les représentantes et les représentants ont souhaité transmettre un message fort et sans équivoque. L’échéance de la consultation fixée au 27 avril prochain ne permet pas aux personnes et aux collectifs concernés de faire état des nombreux écueils et problèmes qu’entraînera la révision du programme de Sciences de la nature. Lire la suite. Une réforme en sciences de la nature qui mène à un chaos.
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La CSQ lance la deuxième édition du Référentiel pour les élèves en difficulté
La Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE) a dévoilé la semaine dernière la deuxième édition du très estimé et très populaire Référentiel : les élèves à risque et HDAA (handicapés ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage). Cet outil, enrichi et bonifié, fournit des informations essentielles sur les handicaps et les difficultés rencontrées chez les élèves. Il propose une multitude de pistes d’action à travers lesquelles l’enseignante ou l’enseignant exerce son jugement professionnel et fait les choix qui lui apparaissent pertinents eu égard à l’élève qui se retrouve devant lui, dans le but de répondre du mieux possible à ses besoins. Lire la suite.
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Budget 2018-2019 : manque d'ambition pour lutter contre les paradis fiscaux
Le Collectif Échec aux paradis fiscaux, dont est membre la CSN, dresse un bilan mitigé du budget du Québec 2018-2019, rendu public mardi dernier. En effet, à la suite du dévoilement du plan d’action gouvernemental contre les paradis fiscaux en novembre dernier, on se serait attendu à de nouvelles politiques plus ciblées pour garantir l’équité fiscale. Le budget propose malheureusement peu d’avancées dans la lutte contre les paradis fiscaux et cible des résultats en deçà des attentes de la population. Lire la suite.
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La FNC et le SCRC saluent la nomination de Catherine Tait
D’une seule voix, les présidences de la Fédération nationale des communications–CSN (FNC–CSN) et du Syndicat des communications de Radio-Canada désirent saluer la nomination de Catherine Tait qui deviendra, en juillet prochain, la première femme de l’histoire à occuper le poste de présidente-directrice générale de la Société Radio-Canada–CBC. «Nous accueillons favorablement la nomination de madame Tait qui devra, dès le début de son mandat, défendre et consolider la mission du producteur et du diffuseur public dans le cadre de la révision de la Loi sur la radiodiffusion, puis, lors des auditions qui mèneront au renouvellement des licences de CBC–Radio-Canada», de déclarer Pascale St-Onge, présidente de la FNC–CSN. Lire la suite. Le principal de Bishop’s devient président du c.a. de Radio-Canada.
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Centre de communication d’Urgences-santé : nouvelle grève de deux jours des 210 répartiteurs, répartitrices et employé-es de bureau en colère
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Les employés en lock-out de Viterra disent non à l’offre finale de l’employeur
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Royaume-Uni : les syndicalistes de l'éducation témoignent de leur solidarité envers leurs collègues iranien et argentin
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Financement des stages : l’ADEESE est loin de crier victoire
Un montant de 15 millions de dollars a été accordé pour la compensation financière du stage 4 en enseignement, lors du dernier budget du gouvernement provincial. Il s’agit d’un bon avancement pour prévenir la précarité financière des étudiantes et étudiants. Cependant, il faut rester vigilant à l’annonce de ce budget. Tout d’abord, ce montant de 15M$ sert à la mise en place de ladite compensation, ce qui veut dire qu’un montant sera attribué pour la restructuration de l’aide financière aux études (AFE). De plus, de ce 15M$, 5M$ seront pris dans le fonds de suppléance, ce qui laisse entendre que les stagiaires agiront à titre de suppléantes et suppléants. C’est donc beaucoup trop tôt pour crier victoire puisque nous n’avons aucune indication sur les modalités de cette compensation qui se retrouve dans un budget électoraliste qui se solderait par la reconduction du Parti libéral au pouvoir, ce même parti qui a coupé 4G$ dans les services publics. Lire la suite du texte de l’ADEESE.
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Les futurs enseignants se font rares
Le nombre de futurs enseignants dans les universités du Québec est à son plus bas depuis cinq ans, une tendance «dramatique» qui fait craindre le pire pour l’avenir des écoles, qui sont déjà en pénurie de personnel. «C’est sûr que quand tout ce qu’on entend c’est à quel point les enseignants ne sont pas bons et les écoles pas bonnes, ça n’aide pas», dit Roxanne Gaudreault, de l’Association des étudiants en éducation de l’Université de Sherbrooke. Le Journal de Montréal a tenté d’obtenir le nombre d’étudiants inscrits ces dernières années dans les 12 facultés d’éducation au Québec, que ce soit en ville ou en région. Sur les 10 universités qui ont répondu, huit connaissent une baisse du nombre d’étudiants dans ce domaine, tous programmes confondus. Lire la suite.
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Inconduites sexuelles : au tour des étudiants de McGill de dénoncer
Des étudiants de McGill dénoncent «l’inaction» de leur direction face à des cas d’inconduites sexuelles de professeurs de leur université. «Cela fait des années et des années que ça dure», a dit Connor Spencer, de l’Association étudiante de l’Université McGill. Les étudiants diffuseront jeudi une lettre et une pétition de plus de 400 signatures, dont Le Journal de Montréal a obtenu copie, pour demander une enquête indépendante sur les inconduites sexuelles de professeurs de la faculté des arts. Cette sortie survient un mois après celle d’étudiants de Concordia en réaction à des allégations du même genre dans le programme de création littéraire. À McGill, cinq départements sont visés, soit histoire, philosophie, sciences politiques, psychologie et études moyen-orientales. Dans certains cas, il s’agit de professeurs qui font sentir à leurs étudiantes qu’elles sont obligées de passer du temps et même avoir des rapports sexuels avec eux si elles veulent réussir, illustre Connor Spencer. Lire la suite du texte de l’Agence QMI. Climat toxique : Ces directeurs qui rendent leurs étudiants fous.
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Les universitaires doivent se prononcer sur le mouvement #MoiAussi
Les cas de harcèlement sexuel au travail révélés depuis six mois grâce au mot-clic #MoiAussi ont de quoi nous faire crier au scandale. Comment aborder un problème d’une telle ampleur? En tant que recteur, cet enjeu est plus qu’une préoccupation passagère pour moi. Je suis responsable de l’environnement de travail de plus de 1 000 personnes, qui ont à leur tour une influence sur la vie des quelque 10 000 étudiants qui suivent chaque année des cours à l’Université Royal Roads. À mesure que le mouvement #MoiAussi prend de l’ampleur, il devient manifeste que le secteur de l’éducation postsecondaire n’en a pas fait assez pour promouvoir le respect, la dignité et l’équité dans ses programmes. Nous ne devons pas nous contenter de parler de lieux de travail respectueux: il faut adopter des politiques et des pratiques qui modifieront la culture de nos établissements. Lire la suite du texte d’opinion sur Affaires universitaires.
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Violences sexuelles banalisées à l’école secondaire
Des élèves d’écoles secondaires de Montréal et des intervenantes communautaires lancent un cri du coeur: des violences sexuelles surviennent dans les écoles, mais ne sont pas prises au sérieux. Selon ce que Le Devoir a appris, sept élèves, accompagnées de deux intervenantes, sont venues livrer des témoignages troublants en pleine séance du conseil des commissaires de la Commission scolaire de Montréal (CSDM), le 28 mars. Elles ont raconté des histoires qui ont bouleversé les commissaires. Les filles ont parlé de fellations faites sous la menace, d’attouchements et d’autres formes d’agressions sexuelles commises par des élèves entre les murs des écoles. Ces étudiantes proviennent de trois écoles secondaires publiques de la CSDM, d’une école secondaire privée et d’une autre école pour des élèves ayant des besoins particuliers. «Les violences sexuelles dans les écoles sont tellement courantes qu’elles deviennent banalisées», dit Émilie Martinak, une des intervenantes qui ont accompagné les sept élèves lors de leur témoignage devant le conseil de la CSDM, mercredi. Mme Martinak et son équipe ont décidé d’alerter les commissaires pour secouer l’apathie du milieu scolaire — directions d’école, enseignants et autres membres du personnel. Les plaintes d’élèves restent généralement sans suite, selon elle. Lire la suite du texte du Devoir.
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Comment résoudre le problème de la malhonnêteté universitaire?
Les étudiants peuvent acheter des travaux plus facilement que jamais. En attendant que les universités puissent éradiquer ce type de tricherie, les professeurs font de la prévention. Comment composer avec une tricherie sans savoir si elle s’est vraiment produite? Il s’agit d’une question importante pour les universités du pays, car il est de plus en plus facile pour les étudiants d’acheter des dissertations entières et rédigées sur demande par l’intermédiaire de services en ligne ou de babillards, et de les soumettre en leur propre nom. Les professeurs ont beaucoup de mal à démasquer ces supercheries, et personne ne connaît vraiment l’ampleur du problème. Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.
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L’Université populaire de Sherbrooke : comme à l’école bière à la main
Aller à l’école… sur les bancs d’un bar ou d’un café, sans devoirs ni travaux. Juste pour le plaisir d’apprendre. L’image a tout pour plaire. C’est ce que propose l’Université populaire de Sherbrooke (UPOPS), tout le mois de mai à Sherbrooke. Quand Sondès Allal, agente de revitalisation socio-économique à la Corporation de développement économique communautaire de Sherbrooke (CDEC), est tombée un peu par hasard sur un cours qui se donnait dans les bars de Montréal, elle a adoré l’idée. Lire la suite du texte de La Tribune.
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La bibliothèque Webster de l'Université Concordia rénovée et agrandie
Un bac à sable technologique, un studio de visualisation, des murs végétaux, des salles zéro bruit, des activités de zoothérapie, 3200 places assises, 21 km de rayons de livres... Rarement une bibliothèque a-t-elle aussi bien illustré la notion de «lieu de vie» que la bibliothèque Webster de l'Université Concordia, qui vient d'être magnifiquement rénovée et agrandie. Lire la suite du texte de La Presse.
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Front commun réclamé devant la hausse des frais d’abonnement aux revues savantes
L’Association des bibliothèques de recherche du Canada (ABRC) souhaite que les universités renégocient les ententes non viables avec les éditeurs et fassent la transition vers le libre accès. Depuis des années, les bibliothèques universitaires font des pieds et des mains pour absorber la hausse des frais d’abonnement aux revues savantes fixés par une poignée de grands éditeurs internationaux. La situation est devenue insoutenable, selon l’ABRC, qui vient de publier un mémoire en collaboration avec le Réseau canadien de documentation pour la recherche (RCDR) pour renseigner les administrateurs universitaires et proposer des solutions. Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.
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Université d'Ottawa : diminution des droits de scolarité pour les doctorants internationaux
L'Université d'Ottawa diminuera les droits de scolarité des doctorants internationaux afin d'attirer les meilleurs candidats à l'échelle mondiale. À compter du 1er septembre 2018, les doctorants internationaux inscrits à l'Université d'Ottawa paieront des droits de scolarité à un taux équivalent à celui payé par les doctorants canadiens. L'Université souhaite s'assurer que tous les doctorants internationaux soient en mesure d'étudier à moindre coût tout en tirant parti de ses installations et de son excellence en recherche et en enseignement. Lire la suite.
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Huit tonnes de déchets revalorisés en projets artistiques à l'université Concordia
Depuis sa création il y a un an, un organisme de l’université Concordia a détourné plus de huit tonnes de matières destinées à être jetées pour les mettre au service de l’art. Le Centre de réutilisation créative de l’université Concordia (CRCUC) opère depuis mars 2017 un entrepôt dans le sous-sol de l’établissement où vont et viennent quotidiennement des artistes adeptes du «upcyclage», terme qui désigne l’action de revaloriser des déchets. Plus de 1200 membres ont jusqu’à maintenant adhéré au CRCUC et peuvent y faire le plein d’objets et matériaux insolites gratuitement pour leurs projets artistiques. Lire la suite du texte du Journal de Montréal.
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Recherche ou enseignement : faut-il choisir ?
Toutes les universités, tous les universitaires s’engagent-ils simultanément sur la qualité de la recherche et de l’enseignement? Ce dossier examine les tensions propres à ce couplage fondateur à la lumière de quelques travaux de recherche récents, français et européens. Une première partie s’intéresse à l’évolution des missions dévolues aux universités et aux processus de différenciation qui revisitent le modèle humboldtien du XIXe siècle. Une deuxième partie analyse la diversification des modes d’entrée dans la carrière académique et la structure française des emplois scientifiques et pédagogiques. La troisième partie porte sur le travail académique et les asymétries fonctionnelles liées aux tâches de recherche et d’enseignement, et examine les facteurs influençant l’orientation différenciée des activités. Lire la suite du dossier sur Édupass.
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Financement de projets de recherche : Coca-Cola ne dit pas tout
En 2015, un scandale éclate dans la communauté scientifique internationale: on découvre que Coca-Cola finance généreusement, à l'insu de tous, un centre de recherche en santé publique. Le fabricant de boissons gazeuses fait alors voeu de transparence et promet de dévoiler les noms des projets qu'il finance. La liste dévoilée par le fabricant est très incomplète, conclut une étude qui s'intéresse au lien entre la science et Coca-Cola et qui désigne l'Université d'Ottawa et deux de ses chercheurs parmi ceux ayant profité des largesses de la multinationale. Trois chercheurs européens ont décidé de se pencher sur la liste dévoilée par Coca-Cola des études et projets qu'elle a financés. Ils l'ont comparée à la liste qu'ils avaient eux-mêmes établie, en fouillant les sources de financement des recherches. Selon cette analyse, dirigée par Paulo M. Serôdio de l'Université d'Oxford, 389 études diffusées dans 169 publications spécialisées et signées par un total de 907 chercheurs mentionnent avoir été financées par Coca-Cola entre 2008 et 2016. C'est beaucoup plus que ce qu'a révélé la multinationale, qui n'avait nommé que 42 de ces auteurs et chercheurs. Lire la suite du texte de La Presse.
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Bien que Facebook soit la créature de Zuckerberg, elle a acquis une autonomie qui empêche le jeune milliardaire de pouvoir la contrôler totalement. Une telle remarque vise à mettre en évidence le pouvoir qu’ont acquis les grandes entreprises sur nos sociétés - une puissance qui n’a d’égal que notre refus de les encadrer. Dans l’essai intitulé Le totalitarisme pervers, qui condense les thèses exposées dans De quoi Total est-elle la somme?, le philosophe Alain Deneault montre, avec l’exemple de la multinationale Total, l’ampleur de ce pouvoir et la manière dont les corporations l’utilisent pour soumettre les sociétés à leurs besoins de croissance et leurs objectifs de rendement. La recherche de profit peut justifier les comportements les plus abjects, comme le montre Deneault à partir de l’exemple des pratiques néocoloniales de Total en Afrique et de la relative impunité dont jouit la multinationale. Par ailleurs, c’est aussi au nom du profit que, encore et toujours, les entreprises comme Amazon cherchent à réduire par tous les moyens le poids de leur masse salariale ou, pour reprendre un vocabulaire en apparence technique et moins controversé à assurer leur optimisation. Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Pas si payant, le retour des Expos
Il y a de cela quelques jours, la fièvre du baseball a enflammé la ville, alors que les Blue Jays affrontaient les Cardinals au Stade olympique. Avec un auditoire d’environ 25 000 spectateurs par partie, il est normal que la question du retour des Expos ait été abordée par plusieurs personnalités du monde politique et des affaires. Cela a évidemment mené au sempiternel débat du financement public d’un nouveau stade. D’emblée, selon Stephen Bronfman, qui est à la tête d’un groupe d’investisseurs, la Ligue majeure de baseball (MLB) considère que le Stade olympique ne pourrait pas être utilisé. Ainsi, selon lui, la construction d’un nouveau stade serait la meilleure solution pour permettre la venue des Expos 2.0. En supposant que cela soit vrai, la plus récente étude financée par la Chambre de commerce du Montréal Métropolitain sur le sujet estime à plus de 1,02 G$ (p.28) les investissements nécessaires pour la construction d’un nouveau stade et l’achat d’une équipe de baseball. L’État serait sollicité pour un montant de l’ordre de 335 M$. Sans chercher à déterminer si le retour du baseball est souhaitable ou non à Montréal, tentons de voir s’il est intéressant pour les contribuables d’investir dans un nouveau stade. Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Stratégie des partenariats de lutte contre l'Itinérance : plus de 100 millions $ en jeu pour Montréal
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Le REÉR : les limites d'une formule qui individualise les risques
Les campagnes promotionnelles menées par les institutions financières pour vendre des produits financiers comme les Régimes enregistrés d’épargne-retraite (REÉR) ont, avec le temps, ancré des habitudes face à ces produits. Avec le recul, il apparaît qu’elles ont surtout contribué à rendre acceptable l’individualisation progressive des risques financiers associés à la retraite, une tendance lourde que l’on constate dans les politiques publiques concernant la sécurité financière des personnes vieillissantes. Au-delà des lieux communs concernant la flexibilité de la formule des REÉR, il convient de prendre une distance et de s’interroger sur les limites de ces produits. Cela permettra d’imaginer des scénarios d’amélioration des régimes d’épargne-retraite individuelle axés plutôt sur les besoins des personnes que sur la rentabilité du secteur financier. C’est donc à l’analyse des limites de la formule actuelle des REÉR que le présent Bulletin de l’IREC se consacre.
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