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L’infolettre du SCCUQ est publiée tous les jeudis. Vous y retrouvez des nouvelles du Syndicat, de ses membres ainsi que des milieux syndical, social et de l’éducation.
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Nous vous souhaitons de Joyeuses Pâques. Profitez-en bien entre amis ou avec la parenté pour vous reposer avant le dernier droit de la session.
Richard Bousquet
Vice-président à l’information du SCCUQ
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Assemblée générale statutaire : élections et trésorerie, le 24 avril
Toutes les personnes chargées de cours sont invitées à l’Assemblée générale statutaire du printemps du SCCUQ le mardi 24 avril, à 13h, au local R-M120 (pavillon des Sciences de gestion). La moitié des postes d’officiers syndicaux et des représentations à divers comités institutionnels seront alors à combler et la trésorière présentera les états financiers pour l’année 2017. Postes en élection pour des mandats de deux ans: • Présidence • Vice-présidence aux affaires universitaires • Vice-présidence à l’information • Une conseillère ou un conseiller au Comité mobilisation-intégration • Deux agentes ou agents au Comité des agentes et agents de relations de travail • Deux membres du Comité de surveillance des finances • Officière ou officier d’élections substitut • Une représentante, un représentant et une, un substitut au Comité de perfectionnement et de mise à jour des connaissances • Une représentante, un représentant au Comité de vérification du double emploi • Une représentante, un représentant au Comité des relations interethniques • Une, un substitut au Comité institutionnel de prévention du harcèlement psychologique • Une représentante, un représentant au Comité institutionnel contre le harcèlement sexuel • et des mandats de trois ans pour Une, un substitut au Comité institutionnel sur les infractions de nature académique et Une représentante, un représentant qui doit provenir de la Faculté des arts ou de l’un de ses départements au Comité des programmes de formation à l’enseignement (CPFE). Le point Trésorerie se subdivisera ainsi: • Rapport de l’auditeur indépendant et états financiers 2017 • Résultats réels 2017 comparés au budget 2017 • Proposition d’affectation • Rapport du Comité de surveillance des finances. Il y aura également à l’ordre du jour des points Solidarité et Intersyndical. Après la réunion, vous êtes conviés à un «5 à 7» au lieu social du Syndicat au A-R542.
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Assemblée générale du 16 mars : des décisions sur la stabilisation et le changement de nom
L’Assemblée générale du SCCUQ du 16 mars a adopté une proposition relative à la stabilisation de l’emploi de l’ensemble des membres correspondant au nombre moyen de cours obtenus durant les cinq dernières années, et ce en vue d’alimenter le prochain Comité de préparation de la convention collective.
Une deuxième proposition visait à former un comité de cinq ou sept membres du Syndicat, ayant des aptitudes reconnues dans le domaine des communications, afin d’élaborer une campagne de dénonciation des iniquités qui affectent notre groupe professionnel particulier, jumelée à une campagne de promotion efficace de notre corps enseignant. Plusieurs membres étant mal à l’aise avec les attendus de la proposition et ne voyant pas l’urgence de la campagne, la proposition a été battue. Les personnes intéressées à poursuivre la discussion sur une éventuelle campagne de communication peuvent toutefois faire connaître leur intérêt auprès du vice-président à l’information du SCCUQ.
Il était aussi proposé que l’Assemblée générale du SCCUQ exige le recours immédiat à l’article 39 (du Code du travail) pour changer le nom du Syndicat et le renommer: Syndicat des professeures, professeurs contractuels de l’Université du Québec à Montréal (SPPCUQ). Cependant, la proposition initiale n'était pas recevable en vertu de nos Statuts et règlements. En conséquence, une nouvelle proposition a été formulée et adoptée, soit que l’Assemblée générale donne le mandat au Comité exécutif du SCCUQ d’engager le processus légal en vue d’un changement de nom, au plus tard à l’assemblée statutaire de l’automne 2018. Pour ce faire, la discussion sur le nom aura lieu lors d’une assemblée ce printemps.
La proposition initiale sur le changement de nom avait reçu l’appui de 90 membres non présents à l’assemblée et ne pouvant donc participer au débat. La proposition et le calendrier adoptés ont finalement rallié plusieurs partisans de la première proposition présents à l’assemblée.
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Dates et procédures pour une demande de perfectionnement long ou court
L'article 16 de la convention collective SCCUQ-UQAM prévoit que 54 charges de cours, à raison de 3 charges par session pour un maximum de 6 charges sont attribuées comme bourses de perfectionnement de longue durée dans le cadre de projets institutionnels et/ou fin de scolarité en 2018-2019. Si vous désirez vous prévaloir de ce programme pour l'année 2018-2019 et pour de plus amples informations, veuillez consulter le document explicatif intitulé : Perfectionnement de longue durée et/ou appeler une agente ou un agent du CAART. Votre demande, en version papier, doit parvenir au plus tard le 4 mai au Service du personnel enseignant à l'attention de l'assistante de direction, madame Brigitte Perron.
La date limite pour déposer une demande de perfectionnement court est le 8 juin 2018. Le perfectionnement court comprend 2 volets, le volet A (perfectionnement court) et le volet B (Recherche et création). Vous devez remplir le formulaire à cet effet qui se trouve sur ACCENT et joindre les pièces justificatives nécessaires. Votre demande doit être adressée au Service des ressources humaines (SPE). Pour toute demande d’information complémentaire, veuillez prendre contact avec une agente ou un agent du CAART.
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À l’agenda des membres du SCCUQ
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Exposition de Josée Pellerin : Marcher dans les ombres de Sebald, du 6 avril au 6 mai
La chargée de cours Josée Pellerin expose, du 6 avril au 6 mai, à la Maison de la culture du Platgeau Mont-royal, Marcher dans les ombres de Sebald. Lors du vernissage, le 6 avril à 17h15, l’artiste interdisciplinaire et chargée de cours Sophie Castonguay, revisitant les textes de Sebald, offrira une lecture performée qui sera exécutée dans l’espace de l’exposition. «Winfried Georg Maximilian Sebald, écrivain et essayiste allemand (1944-2001), constitue la prémisse de ce projet. Figure du marcheur mélancolique, hanté par l’idée de destruction, de déracinement, d’expatriation, ses récits sont tous des objets singuliers au sein du paysage littéraire germanique. Dans son œuvre, le montage de textes et d’images, le télescopage d’époques et de lieux avivent inéluctablement la mémoire historique dans un long parcours traversant l’épaisseur du temps. Conséquemment, cette circulation d’univers pénétrant le mien s’est révélée être une matière fertile qui me permet de créer un relais dans mon travail principalement axé sur les modes narratifs en photographie», explique Josée Pellerin.
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Caroline Émond publie La dysfonction banale d'un système de santé malade
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La chargée de cours Caroline Émond vient de publier l’ouvrage La dysfonction banale d'un système de santé malade aux éditions Alias. De sa naissance à sa première année, Samuel est un garçon modèle. Jusqu'au jour où il commence à faire des crises. Aussi soudaines qu'imprévisibles, ces crises sont d'une intensité et d'une violence - physique et verbale - si démesurées que tout s'écroule autour de lui. Entre le début de ses crises et son diagnostic de syndrome de Gilles de la Tourette, il s'écoulera près de vingt-quatre mois où il entraînera à sa suite, bien malgré lui, sa famille jusqu'au fond du baril. Entre une école qui ne veut plus de lui, une équipe d'intervenants en pédopsychiatrie qui n'est pas en mesure de l'évaluer et la menace du Centre jeunesse, seul l'amour d'une famille unie parviendra à ramener tout le monde à la surface. Ce récit est l'histoire de parents qui ont refusé de baisser les bras. C'est aussi l'histoire de professionnels de l'éducation et de la santé qui, à force d'évoluer dans un système sclérosé, dopé aux protocoles de toutes sortes, deviennent les artisans d'un lamentable désastre.
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Les allégations de Stormy Daniels auront peu d’effets pour Trump, selon Donald Cuccioletta
L'actrice pornographique Stormy Daniels, alias Stephanie Clifford, allègue avoir reçu 130 000 $ pour taire une relation sexuelle avec Donald Trump, en plus d'avoir été menacée par un proche du président américain. Malgré tout, Donald Cuccioletta, chargé de cours et chercheur associé à la Chaire Raoul-Dandurand de UQAM, croit que cette affaire aura peu de répercussions sur Donald Trump, peut-on lire dans un texte et une entrevue à Radio-Canada.
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Société connectée, dépendance programmée, commente Nadia Seraiocco
Le Pew Research Center a dévoilé la semaine dernière des statistiques montrant que 26 % des adultes américains disaient être en ligne «presque constamment». Une hausse de 5 points de pourcentage par rapport à 2015. Et cette proportion passe à un astronomique 39 % pour les 18-29 ans et à 36 % pour les 30-49 ans. Plus globalement, le coup de sonde effectué début janvier révèle que 77 % des Américains vont en ligne au moins une fois par jour. Au Québec, les plus récents chiffres de l’organisme de recherche et d’innovation CEFRIO montrent qu’en 2016, 67 % des Québécois dotés d’un téléphone intelligent l’utilisaient «au moins une fois par jour» pour accéder à Internet. Pour la chargée de cours Nadia Seraiocco, il ne faut pas oublier le fait qu’aux États-Unis, «les plans de données [des entreprises de télécommunications] sont très avantageux. Ce qui fait que les gens sont toujours en contact avec un ailleurs quand ils sont quelque part !»
Lire la suite du texte du Devoir.
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Anne-Sophie Letellier et Nadia Seraiocco coordonnent l'exposition Chambre de verre – examiner les traces de sa vie numérique
Facebook est sous le feu des critiques depuis quelques jours. L'implication du réseau dans l'utilisation de données personnelles de millions d'Américains lors de la dernière campagne présidentielle remet à l'avant-plan l'enjeu de la protection et de la confidentialité des données. Dans ce contexte, l'initiative du Groupe de recherche sur l'information et la surveillance au quotidien (GRISQ), qui présente, du 24 mars au 8 avril, au pavillon Président-Kennedy, l'exposition Chambre de verre – examiner les traces de sa vie numérique, ne pouvait pas mieux tomber. Les chargées de cours de l'École des médias Anne-Sophie Letellier et Nadia Seraiocco sont coordonnatrices de l'exposition, organisée en collaboration avec Crypto.Québec et l'ESN514 - École de sécurité numérique, peut-on lire sur Actualités UQAM.
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À l’agenda syndical et social
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Fête internationale des travailleuses et des travailleurs : manifestation nationale le 28 avril à Montréal
Pour souligner la Fête internationale des travailleuses et des travailleurs, une manifestation nationale aura lieu le 28 avril 2018 à Montréal. Rendez-vous au Parc olympique (Pierre-De Coubertin et Pie IX), pour un départ à 13h. En cette année électorale, la Fête internationale des travailleuses et des travailleurs revêt une signification particulière, il nous revient de rappeler nos revendications aux différents partis politiques: • Salaire minimum à 15$ l’heure • Réinvestissement dans les services publics et les programmes sociaux et mise en place de mesures concrètes pour mettre fin aux surcharges de travail • Conciliation travail-famille-études • Lutte contre les paradis fiscaux • Transition juste.
Lire la suite.
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Le vrai visage de la Coop-UQAM : refus de négocier
Depuis le 31 janvier 2018 les salarié-es de la Coop-UQAM sont sans convention collective. L’employeur refuse de débuter les négociations ou reporte sans cesse les rencontres. Voici quelques faits sur votre Coop: • Les hausses du salaire minimum ont rattrapé les salaires des travailleuses et des travailleurs de la Coop-UQAM à deux reprises en l’espace de quatre ans. • Les travailleuses et les travailleurs de la Coop-UQAM sont les plus mal rémunérés de l’UQAM. • Il est difficile pour les travailleurs et travailleuses de la Coop-UQAM d’obtenir une conciliation travail-famille? • Il est difficile pour les travailleuses et travailleurs de la Coop-UQAM d’obtenir un semblant de communication entre salariés et employeur. Le Syndicat, affilié à la CSN, entame des moyens de pression. Vous pouvez suivre la lutte des travailleuses et des travailleuses de la Coop-UQAM sur leur page Facebook.
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L'Université d'Ottawa doit verser aux travailleurs un contrat d'intégration pour leur formation obligatoire en santé et sécurité
La loi exige que toutes les employées et tous les employés en Ontario soient rémunérés pour suivre les formations obligatoires sur certains sujets : accessibilité et accommodement, dangers au travail et matières dangereuses, violence et harcèlement, etc. Pourtant, l'Université d'Ottawa possède des taux d’achèvement des formations inférieurs à 40 % pour la main-d'œuvre la plus nombreuse sur le campus : personnel académique à temps partiel (assistantes et assistants d’enseignement et de recherche et professeures et professeurs à temps partiel, représentés respectivement par le SCFP 2626 et l'APTPUO). Il en coûterait à l'Université d'Ottawa 240 $ par travailleuse et travailleur après six heures de formation obligatoire en santé et sécurité. Le SCFP 2626 exige que ce montant soit ajouté à leur contrat régulier.
Lire la suite et signer la pétition.
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Le SCFP dépose trois plaintes pour pratiques déloyales de travail contre l'Université York
Le syndicat représentant les grévistes de l’Université York a déposé une plainte contre son employeur pour pratiques déloyales de travail auprès de la Commission des relations de travail de l’Ontario. La plainte, déposée par la section locale 3903 du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP 3903), allègue que l’Université York a violé les articles 17, 70 et 73 de la Loi ontarienne sur les relations de travail en déformant ses positions de négociation et celles du syndicat dans ses communications aux membres du SCFP 3903 et à la population.
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Grugée jusqu'au cœur : lancement du mouvement Agissons pour les profs du Québec!
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Transport scolaire : en route vers une grève nationale
Lors d’une réunion du Secteur transport scolaire (STS) de la Fédération des employées et employés de services publics (FEESP–CSN) tenue à Drummondville, les délégué-es ont adopté une proposition de consultation de leurs assemblées générales respectives visant à déclencher une grève nationale dès ce printemps. La proposition fut adoptée à 93%, par voie de scrutin secret. «S’il y a un message que le gouvernement doit retenir en lien avec ce vote, c’est que les conductrices et les conducteurs membres du STS sont exaspérés de leurs mauvaises conditions de travail. Voilà pourquoi d’ici le 27 avril prochain, nous allons consulter tous les syndicats de notre secteur afin de déclencher une grève à la grandeur de la province, au moment jugé opportun», de préciser Stephen P. Gauley, président du Secteur transport scolaire (STS) de la Fédération des employées et employés de services publics (FEESP–CSN).
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Les chauffeurs d’autobus d’Autocars Skyport signent leur première convention collective.
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Budget provincial 2018 : le mirage des libéraux
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Projet de loi sur le RQAP : un accueil favorable, mais un plan global de conciliation famille-travail-études s'impose
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Lancement de la 22e campagne de financement du Camp Vol d’été Leucan
À l’occasion de son conseil confédéral qui se tenait jusqu’au 22 mars au Palais des congrès de Montréal, la Confédération des syndicats nationaux a lancé sa vingt-deuxième campagne de financement du Camp Vol d’été Leucan CSN sous le thème Jeux vidéos. Jusqu’à maintenant, 3 643 000$ ont été amassés par des bénévoles afin d’offrir gratuitement à des milliers d’enfants atteints de cancer et à leur famille une semaine de purs loisirs et de bonheur dans un camp d’été adapté à leurs besoins. Cette année, la campagne Camp Vol d’été Leucan-CSN innove avec une nouvelle approche qui consiste à solliciter par l’entremise des syndicats nos 300 000 syndiqué-es membres de la CSN pour qu’ils contribuent à verser la modique somme de 1$ par année.
Lire la suite et visionner la vidéo.
Mot du président de la CSN, lors du conseil confédéral des 21 et 22 mars.
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Surcharge et épuisement : le personnel du CHU Sainte-Justine n’en peut plus
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Les 1600 infirmières, infirmières auxiliaires, inhalothérapeutes et perfusionnistes du CHU Sainte-Justine réclament des solutions immédiates pour leur permettre de renouer avec une certaine qualité de vie au travail et pour pouvoir accomplir pleinement leur mission au sein de cet établissement unique au Québec. Depuis quelques jours, elles posent des actions de visibilité et elles entendent augmenter la pression jusqu’à ce que la direction du CHU accepte d’étudier sérieusement les pistes de solution qu’elles mettent de l’avant. Depuis quelques heures, elles recueillent d’ailleurs des témoignages vidéo de salariées qui décrivent la situation et réclament des solutions. Ceux-ci peuvent être vus en ligne, notamment sur Facebook et se propagent très rapidement. Ces professionnel-les en soins dénoncent non seulement les coupes budgétaires imposées au réseau depuis quelques années, mais également de nouvelles pratiques de gestion des effectifs qui font en sorte qu’elles se sentent de moins en moins valorisées et écoutées.
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Vidéo : Unies pour la santé.
Certification des résidences privées pour aînés : Pour la FSSS-CSN, ce règlement soulève bien des questions sur la sécurité des aîné-es.
Des professionnelles et professionnels déclenchent une grève de trois jours.
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Trou noir de l'assurance-emploi : Le Canada, cancre de la classe
Des militantes et militants des régions de la Côte-Nord et de Québec–Chaudière-Appalaches ont occupé jeudi matin les bureaux du G7 à La Malbaie afin de réclamer à nouveau un ajustement d’urgence à l’assurance-emploi pour les travailleurs saisonniers. Des actions se tiennent aussi en parallèle au Nouveau-Brunswick et nous avons l’appui des régions du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie qui vivent la même situation. «Pour nous, les locaux devant lesquels on manifeste n’ont pas été choisis par hasard. Cet été, des travailleurs de la région accueilleront ici les décideurs des plus grands pays du monde, mais en attendant, le Canada ne daigne même pas les aider à subvenir à leurs besoins de base. On voulait souligner l’absurdité de la situation», a critiqué Guillaume Tremblay, président du Conseil central Côte-Nord–CSN. Le Canada fait piètre figure lorsque vient le temps de faire une comparaison avec les autres pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
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Protection des sources journalistiques : la Fédération nationale des communications est inquiète
La Fédération nationale des communications (FNC–CSN) reçoit avec inquiétude la décision rendue hier par la Cour supérieure selon laquelle le témoignage de la journaliste Marie-Maude Denis est nécessaire dans le cadre de la requête de Marc-Yvan Côté sur les fuites médiatiques. «La protection des sources journalistiques a un impact déterminant sur le rôle fondamental des journalistes et des médias dans la libre circulation de l’information, souligne Pierre Roger, secrétaire général de la FNC–CSN, et cette protection est primordiale dans le maintien d’une saine démocratie.»
Lire la suite.
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Non-respect de la convention collective : première manifestation syndicale contre la mairesse de Montréal
Des centaines de cols blancs de la Ville de Montréal (SCFP 429) ont manifesté lundi soir lors du conseil municipal pour dénoncer le manque de respect de l’administration de la mairesse, Valérie Plante, envers ses salariés. Malgré les promesses électorales, la nouvelle administration ne respecte pas les conditions de travail garanties par la convention collective, notamment en ce qui a trait aux horaires flexibles. «Pourtant, la mairesse nous avait dit qu’elle gouvernerait différemment de son prédécesseur. Nous exigeons le respect de notre convention collective, le respect des promesses électorales et, surtout, le respect des cols blancs. En tentant de rayer les horaires flexibles pour les cols blancs, la Ville fait reculer de près de 40 ans les conditions de travail de milliers de personnes, des femmes en majorité», dénonce Francine Bouliane, présidente du plus grand syndicat à la Ville de Montréal, soit celui des cols blancs.
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Aluminerie de Bécancour : appui financier de sept syndicats affiliés à la CSN aux 1030 lock-outés
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Le mouvement syndical doit reformer l’identité de classe
De tous les mouvements sociaux des temps modernes, le syndicalisme est celui qui a favorisé l’organisation du plus grand nombre de personnes et qui a entraîné les plus grands gains sociaux. On doit néanmoins reconnaître que le syndicalisme est aujourd’hui sur la défensive et en panne d’un projet politique. Cette absence d’un horizon de transformation sociale porté par le mouvement syndical contribue à son affaiblissement. Les organisations ont tendance à opter pour des perspectives stratégiques plus modestes. L’idée même que les secteurs salariés et populaires puissent prendre le pouvoir un jour tend à disparaître du programme syndical, dans une période où, par ailleurs, le capitalisme apparaît indélogeable.
Lire la suite du texte d’opinion publié par Le Devoir.
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France : les syndicats de l’enseignement très inquiets pour la qualité du service public de l’éducation
Alors que le pays connaît une importante grève en défense des services publics, les syndicats français membres de l’Internationale de l’éducation rappellent leurs inquiétudes pour le statut des enseignantes et enseignants fonctionnaires, la qualité de l’éducation et le dialogue social. Une grande partie des fédérations syndicales françaises dans la fonction publique, avaient appelé à la grève le 22 mars contre des mesures gouvernementales perçues comme «une vaste entreprise de démolition des services publics, de paupérisation des fonctionnaires et de dénaturation de leurs missions». Dans l’éducation, les syndicats ont attiré l’attention sur le fait que «les logiques trop connues continuent de s’y appliquer», avec baisse des moyens, renoncement aux objectifs de démocratisation, autonomie renforcée des établissements, bac local, et mise à mal de la qualification disciplinaire des enseignantes et enseignants.
Lire la suite.
La responsabilité des pouvoirs publics francophones pour garantir une éducation publique de qualité pour tou(te)s est réaffirmée.
Tunisie : nouvelle loi contre la violence faite aux femmes soutenue par les enseignantes et enseignants.
Kenya : Le secteur de l’enseignement supérieur maintient la pression sur les employeurs en vue d’établir un dialogue social.
Lancement de l’Initiative pour le personnel de l’éducation.
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Stage final payé pour les futurs enseignants
Les étudiants en enseignement crient victoire. Le gouvernement accepte de les payer lorsqu’ils réalisent leur stage final et prennent en charge une salle de classe. Le ministre de l’Éducation Sébastien Proulx indique qu’il s’agit d’un «pas en avant» pour valoriser cette profession. Après avoir été «fou de ses enfants», le ministre Proulx souhaite que le Québec devienne aussi «fou de ses enseignants». Selon lui, la rémunération des stages était une «revendication légitime». Son gouvernement accepte de réserver 15 millions $ par année pour payer les stages de trois mois d’environ 3900 étudiants chaque année. C’est un peu moins que les 20 millions $ annuels réclamés par les étudiants, mais pour eux, il s’agit tout de même «d’une belle surprise», après 10 ans d’efforts.
Lire la suite du texte du Soleil.
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Rémunération des stages : le CA de l’UQAM porte la cause au Bureau de coopération interuniversitaire
À la suite d’une rencontre qui s’est tenue le 20 mars, le conseil d’administration de l’UQAM demandera au Bureau de coopération interuniversitaire (BCI) de mettre en place une table de réflexion sur la rémunération des stages. Une troisième journée de grève avait lieu pour manifester contre les stages non rémunérés dans le milieu de l’enseignement. En fin d’après-midi, la responsable à la vie étudiante de l’Association des étudiantes et étudiants de la Faculté des sciences de l’éducation (ADEESE), Emmanuelle Boisvert, a réalisé une présentation devant les membres du conseil d’administration pour exposer les enjeux auxquels font face les étudiants du milieu de l’enseignement. Le document «mettait en contexte la réalité que vivent les étudiants en stage, de prendre la charge d’un professionnel à 100% sans être rémunéré en plus d’avoir des tâches scolaires à faire», décrit-elle. La présentation a été bien accueillie par les membres du conseil. «De façon générale, tout le monde s’exprimait en faveur de la rémunération des stages», affirme le co-représentant étudiant au conseil d’administration Samuel Cossette.
Lire la suite du texte du Montréal Campus.
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Rapport 2016-2017 de l'ombudsman de l’UQAM : baisse du nombre de plaintes
Dans son rapport 2016-2017, présenté au Conseil d'administration le 20 mars, l'ombudsman de l'UQAM Muriel Binette fait état d'une baisse du nombre de plaintes et de demandes de consultation reçues à son Bureau au cours de l'exercice par rapport à l'année précédente. L'ombudsman a reçu 496 demandes de consultation contre 601 en 2015-2016 et 393 plaintes contre 444 l'année précédente. «Nous sommes revenus à une situation que je qualifierais de normale, dit l'ombudsman. Ce qui l'était moins, c'était la hausse importante, par rapport aux années précédentes, du nombre de demandes en 2015-2016. On note, toutefois, une légère hausse du nombre de plaintes aux cycles supérieurs en 2016-2017, en particulier au second cycle. Cela indique qu'il faut accorder davantage d'attention à l'amélioration de l'encadrement des étudiants de cycles supérieurs.»
Lire la suite sur AMEQ en ligne.
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L’innovation dans la mire de l’UQAM : entrevue avec la rectrice Magda Fusaro
La nouvelle rectrice de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), Magda Fusaro, a marqué le début de son mandat de 5 ans par le lancement d’un programme ambitieux qu’elle nomme « Une communauté, 10 actions, 100 jours ». Celle qui succède à Robert Proulx depuis janvier 2018 se donne le défi de mettre sur pied 10 actions prioritaires au cours des prochains mois, passant du développement de l’éducation inclusive à l’élaboration d’une stratégie concertée pour favoriser la contribution de l’UQAM à l'innovation. Entretien avec la femme derrière la vision.
Lire la suite sur Quartier de l’innovation.
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Feu vert de principe à la nouvelle charte de l’UdeM
Il a fallu plus d’un an de débats enflammés. Mais l’adoption de la nouvelle charte de l’Université de Montréal (UdeM), qui dépoussière la gouvernance de l’établissement pour la première fois depuis 50 ans, n’est plus qu’une formalité. Une commission parlementaire a recommandé jeudi l’adoption du projet de loi 234, qui revoit notamment le régime disciplinaire de l’UdeM et fait davantage de place aux diplômés, aux étudiants et aux chargés de cours dans la gouvernance de l’établissement. La loi retire aussi à l’archevêque de Montréal le privilège de nommer deux administrateurs de l’Université — relique de la dernière version de la charte, qui date des années 1960. La ministre de l’Enseignement supérieur, Hélène David a lancé un appel à l’unité de la communauté universitaire, un message destiné au Syndicat général des professeurs et professeures de l’Université de Montréal (SGPUM), qui a mené une longue bataille contre le projet de réforme de la charte.
Lire la suite du texte du Devoir.
Les syndicats des professeurs de l'UQ dénoncent le «coup de force» du recteur Guy Breton.
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L'Université McGill fait face à une poursuite et une démission dans le cadre d'allégations de harcèlement
L'Université McGill fait face à au moins une poursuite pour diffamation, dans le cadre d'allégations de harcèlement psychologique et sexuel à la Faculté de dentisterie. Selon nos informations, le vice-doyen de cette faculté a remis sa démission. La Faculté de dentisterie est sous les projecteurs depuis le mois de décembre, lorsque CBC Montréal a diffusé un reportage décrivant le mauvais traitement des plaintes d'agression sexuelle et de harcèlement psychologique. Un rapport interne, dont le HuffPost Québec a obtenu copie, décrit une situation où les étudiants craignent de témoigner contre les dirigeants, de peur que cela se fasse «au détriment de leur réussite académique et de leurs futures carrières».
Lire la suite.
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L’eau en bouteille sera bannie des campus de McGill
L’Université McGill a décidé de bannir les bouteilles d’eau de plastique de ses deux campus, soit celui du centre-ville de Montréal et celui de Sainte-Anne-de-Bellevue, à compter de l’an prochain. «Dès le 1er mai 2019, l’eau embouteillée non gazeuse ne sera plus vendue dans les sites de restauration et les machines distributrices», a annoncé l’établissement universitaire au cours des derniers jours, soulignant notamment qu’elle n’est déjà plus vendue dans les aires de restauration des résidences depuis 2010. McGill justifie sa décision en expliquant que «les bouteilles d’eau créent une quantité énorme de déchets, dont la plupart ne sont pas recyclés», que «chaque litre d’eau en bouteille nécessite trois litres d’eau pour le produire», que «la fabrication et le transport d’eau embouteillée émettent des gaz à effet de serre» et que «l’eau potable, propre et gratuite, est un droit humain fondamental [qui] ne devrait pas être acheté ou vendu comme une marchandise».
Lire la suite du texte de l’Agence QMI.
Royal Victoria : McGill veut un pavillon pour le développement durable.
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Malaise et mutisme à l'Université Laval dans l'affaire Mulroney
Le dossier du Centre de recherche Brian Mulroney continue de créer le malaise à la Faculté de droit de l’Université Laval. Le mutisme est même imposé aux professeurs du département, selon le Syndicat des employé(e)s de l’institution. Des professeurs joints par Le Soleil ont aussi indiqué ne pas pouvoir se prononcer sur la question, redirigeant toutes les questions vers l’administration D’Amours, qui a refusé d’accorder une entrevue. Réunis en assemblée départementale, les professeurs en droit de l’Université Laval se sont opposés, le 23 février dernier, à la création d’un Centre de recherche en droit international et transnational de recherche, qui porterait le nom de l’ancien premier ministre du Canada, Brian Mulroney.
Lire la suite du texte du Soleil.
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Québec doit en faire plus pour reconnaître les diplômes étrangers, selon l'IDQ
Face au déficit démographique qui le guette, le Québec «n'a plus le choix» d'agir pour que les diplômes des immigrants soient davantage reconnus dans la province, où la multiplication des ordres professionnels semble affecter le processus, selon des chercheurs de l'Institut du Québec (IDQ). «Étant donné les pénuries observées dans certains secteurs, il devient impératif d'intégrer tous les talents disponibles», constate-t-on dans le nouveau rapport de l'IDQ publié lundi. Bien qu'il n'existe pas de statistique pour offrir un portrait précis de la reconnaissance des diplômes au Québec, l'IDQ constate que les immigrants affrontent plus de défis lorsqu'ils tentent de faire évaluer leurs compétences, ce qui s'explique notamment par les pratiques des ordres professionnels.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
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Perturbations sur le marché du travail : les jeunes ne sont pas bien préparés, selon une étude
Les jeunes qui sont en train de quitter les bancs d’école pour travailler ne sont pas bien préparés aux grandes perturbations observées dans les milieux de travail, indique une étude de la Banque Royale du Canada (RBC) dévoilée lundi. Les auteurs du rapport estiment que la technologie, qui se traduit notamment par davantage d’automatisation, commence à avoir une incidence sur la plupart des emplois au pays. Et, pour faire face à ces changements, les aptitudes humaines sont centrales, selon l’étude. Le recours à des aptitudes humaines, comme l'esprit critique, la coordination, la perspicacité sociale, l'écoute active et la résolution de problèmes complexes, augmentera dans tous les secteurs d'emploi, selon RBC, qui ajoute que «la compréhension des outils numériques et d'internet sera nécessaire pour occuper tous les nouveaux emplois».
Lire la suite du texte de l’Agence QMI.
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Quelle direction l’enseignement supérieur doit-il prendre?
On m’a récemment demandé de songer aux tendances, aux occasions et aux défis actuels liés à l’apprentissage et à l’enseignement dans les universités canadiennes. À la même période, je partais en voyage pour participer à une conférence nationale, à une série de consultations sur les campus, à une séance d’écriture et à un exposé public. J’ai ainsi pu consulter des recteurs, des administrateurs, des professeurs, des spécialistes en développement de contenu pédagogique, des membres du personnel et des étudiants. Le Conte de la bourgeoise de Bath de Geoffrey Chaucer, avec son modèle de gouvernance inspiré de la table ronde, nous donne un fascinant aperçu de la façon d’aborder la question.
Lire la suite du texte d’Affaires universitaires.
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La ministre Hélène David annonce 202 M $ pour le collégial
La ministre de l'Enseignement supérieur et de la Condition féminine, Hélène David, annonce lundi un investissement gouvernemental de 202 M $ pour revitaliser les établissements d'enseignement collégial au Québec. Ce soutien financier prévoit, entre autres, de stimuler le développement informatique des cégeps. Du montant total, près de 185 M $ s'inscrivent dans le Plan québécois des infrastructures 2017-2017, dévoilé il y a quelques mois.
Lire la suite du texte du Soleil.
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Qu’entendons-nous par Taxe Robot?
La taxe robot est une idée dans l’air du temps. C’est a priori fort simple : un robot qui causerait une perte d’emplois devrait être sujet à une taxe. Elle est soutenue par des personnalités aussi diverses que Bill Gates, fondateur de Microsoft, et Benoît Hamon, candidat socialiste aux élections présidentielles françaises de 2017. Toutefois, les arguments mis de l’avant par ces derniers sont radicalement opposés. Pour Gates [i], la taxe robot aurait l’avantage de légèrement ralentir l’automatisation du marché du travail. Les revenus apportés aux États par celle-ci pourraient, ensuite, être réinvestis dans l’éducation, afin que la population ait accès à des formations lui permettant aussi de tirer son épingle du jeu de la robotisation. Pour Hamon, elle servirait plutôt à compenser les pertes de revenus et les dépenses supplémentaires que les mises à pied causées par l’automatisation amènent aux États. La taxe robot devrait donc être implantée en corollaire à d’autres mesures, telles que le revenu de base universel et la diminution du temps de travail.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Le gouvernement fédéral dévoile son plan en matière de droit au logement
Le gouvernement fédéral a donné les premiers indices concernant la démarche qu’il entend adopter pour créer un droit au logement, soulevant davantage de questions sur ses intentions dans ce dossier. L’idée derrière la création d’un droit au logement était d’offrir un recours, à travers les tribunaux, aux personnes à qui on aurait refusé un appartement ou une maison. Toutefois, en public comme en privé, le gouvernement libéral de Justin Trudeau a minimisé sa promesse, disant préférer voir les gens dans des logements avec des propriétaires plutôt que dans des salles d’audience avec des avocats. Le fédéral n’a pas non plus manifesté d’intérêt pour le difficile processus dans lequel il devrait s’embarquer pour modifier la Charte des droits et libertés.
Lire la suite du texte de La Presse canadienne.
Crise des opioïdes : Le fédéral veut faciliter l’accès à la méthadone.
Hébergement d’urgence: deux poids, deux mesures?
Une nouvelle patrouille de rue pour les Autochtones de Montréal.
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Fonds des générations : le revirement de Carlos Leitão
Le Fonds des générations défraie les manchettes depuis une semaine étant donné la nouvelle stratégie du gouvernement à l’égard du remboursement de la dette. On savait déjà que les sommes versées au Fonds permettent au gouvernement de « cacher » des surplus. Au 850 M$ du surplus qu’on prévoit pour 2017-2018, il faut donc ajouter les 2,3 G$ qui ont été versés au Fonds. Ainsi, même si les dépenses sont bien en deçà des revenus à tous les ans jusqu’à la fin des prévisions budgétaires des prochaines années, le gouvernement devra piger dans sa réserve de stabilisation lors de chacun des trois prochains exercices budgétaires afin d’éviter les déficits causés par les versements au Fonds des générations. Le gouvernement cherche pourtant à nous rassurer : si une crise devait survenir, il restera encore 2 G$ dans le fonds de stabilisation. C’est vraisemblablement bien moins que ce dont on aura besoin pour équilibrer le budget en temps de croissance. Mais bon. On ne sera alors plus en période pré-électorale et le gouvernement pourra ressortir sa tronçonneuse.
Lire la suite du billet sur le blogue de l’IRIS.
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Des politiciennes et des hommes
Des visions différentes du rôle historique tenu par les hommes dans la lutte pour l'égalité entre les femmes et les hommes au Québec ont donné dernièrement lieu à des échanges de "lettres ouvertes" dans les médias entre certaines actuelles ou anciennes politiciennes. Toutes font état des avancées considérables réalisées ces dernières années en matière de condition féminine, mais elles n'en attribuent pas le bénéfice aux mêmes individu.e.s: aux seules féministes ou aux partis politiques et à leurs chefs? Laissons-les à leurs différentes argumentations, mais rappelons-nous une évidence: sans un mouvement féministe fort et si seule la volonté politique en avait été l'initiatrice, ces avancées auraient été incontestablement bien moindres, voire inexistantes.
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