Protester contre la parole des puissants : «Depuis plusieurs années, on nous vend de la liberté et ce qu’on reçoit en retour, c’est plus de surveillance»


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«Il faut comprendre que certaines demandes jugées radicales découlent de décennies de protestations stériles. Prenons le cas de l’enseignement des œuvres d’écrivaines. Quand ça fait 30 ans que les étudiantes le réclament sans succès, je peux comprendre qu’une révolte se manifeste et que la négociation du corpus à lire se fasse dans la colère.» Entrevue du Devoir avec Valérie Lefebvre-Faucher, éditrice féministe aux éditions du Remue-ménage.