Création d’un programme public de psychothérapie : une bonne idée qui cache un autre cadeau aux cliniques privées


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Le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) réserve un accueil mitigé au programme public de psychothérapie annoncé par le gouvernement Couillard. D’une part, le SCFP salue l’idée elle-même, qui permettra à des personnes en détresse de recevoir des services de psychothérapie remboursés par la RAMQ. D’autre part, il déplore que le programme s’applique seulement aux cliniques privées et non aux CLSC, et qu’une référence d’un médecin soit nécessaire pour y accéder.

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Les promesses trompeuses de l’accès à la psychothérapie. La CSQ demande également plus de psychologues dans les cégeps.

Projet de loi no 92 sur la RAMQ : un trop petit pansement pour stopper l’hémorragie


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La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) accueille positivement le projet de loi qui accorde des pouvoirs supplémentaires à la Régie de l’assurance maladie du Québec. Toutefois, elle juge qu’il ne s’agit encore que d’un trop petit pansement pour stopper l’hémorragie budgétaire que représente la rémunération hors de contrôle des médecins et les frais accessoires abusifs et illégaux. C’est ce qui ressort de l’avis présenté par la Centrale aux membres de la Commission de la santé et des services sociaux dans le cadre des consultations sur le projet de loi no 92.

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La dissidence plutôt que la soumission


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Médecin en CLSC à Montréal, chef de son département, membre de l’équipe itinérance du centre-ville, assumant des gardes en soins palliatifs : le Dr Vincent Demers est un exemple d’engagement envers le système public de santé et les clientèles vulnérables. Mais il y a quelques jours, il a remis sa démission et a décidé de se désengager de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ). « C’est un geste engagé que je pose en me désengageant. Je le sens comme un devoir. Je n’accepte pas de travailler dans un système où règne le mépris », déclare-t-il dans une entrevue exclusive accordée au Devoir, mardi.