Des migrantes à statut précaire enceintes et abandonnées


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

Au moment où Montréal vient d’adopter une motion pour se déclarer ville refuge, la seule clinique qui s’adresse aux migrants à statut précaire – qui n’ont pas la carte d’assurance maladie – est en péril, faute de financement de l’État. Dans l’immédiat, ce sont des femmes enceintes qui paieront la note: à Médecins du monde (MDM), qui gère cette clinique, on est contraint de supprimer les postes de l’infirmière et de la travailleuse sociale qui ont assuré le suivi régulier, depuis un an, de 45 femmes enceintes. «Il y a beaucoup de compassion pour les migrants dans les îles grecques. La photo du petit garçon mort a ému tout le monde.

Fiers de soigner les sans-papiers : Médecins du Monde a ouvert en 2011 au Québec une clinique médicale destinée aux migrants


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

La presse internationale nous transmet quotidiennement des informations sur les victimes civiles des conflits armés, des catastrophes naturelles ou des inégalités économiques. Nous sommes touchés, parfois indignés, par la mort de 5000 migrants en Méditerranée l’an dernier ou le sort des 5 millions de réfugiés syriens. Nous sommes fiers, quoiqu’un peu inquiets, de l’accueil des 25 000 réfugiés syriens par le Canada – qui représentent à peine 0,07% de notre population. La tuerie récente au Centre culturel islamique de Québec a contribué à raviver la solidarité envers les immigrants venus mener leur vie loin de leur pays d’origine.

Lire la suite de la lettre de Médecins du monde.

Médecins du Monde : un baume sur les plaies des plus vulnérables


Classé dans : Monde social et de l’éducation | 0

En parcourant les rues de Montréal depuis deux ans, la clinique mobile de Médecins du Monde a prodigué plus de 6255 soins et rencontré près de 3000 personnes marginalisées inquiètes pour leur santé. Métro a accompagné la clinique sur le terrain. Par un mercredi après-midi chaud et ensoleillé, Laurence Ethier stationne le camion de Médecins du Monde, bien identifié par son gros logo bleu, devant le square Phillips, au centre-ville. La jeune infirmière y rencontre une bénévole et un travailleur social employé par un organisme local, avec qui elle coordonne l’action de la journée.

Lire la suite du reportage du journal Métro.