Paralysie cérébrale : «J’ai un BAC et je veux gagner ma vie dignement»


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À 33 ans, Isabelle Anne Desgroseilliers aimerait participer activement à la société, mais elle n’y parvient pas. Atteinte de paralysie cérébrale depuis sa naissance, la jeune femme souhaite entrer sur le marché du travail, malgré ses limitations. «Je n’ai pas fait autant d’études universitaires pour être sur l’aide sociale», raconte Mme Desgroseilliers, rencontrée par TVANouvelles.ca mardi, alors qu’elle faisait entendre sa cause devant nos bureaux pour sensibiliser un maximum de gens à sa situation.

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Les jeunes sont mal préparés pour le marché de l’emploi, plaide le PDG de la Banque RBC


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Les jeunes Canadiens sont mal préparés pour composer avec les perturbations technologiques qui vont secouer le marché du travail. Les entreprises et les gouvernements doivent se mobiliser pour aider les membres de la nouvelle génération à développer leur potentiel, a plaidé David McKay, PDG de la Banque RBC, lors d’une allocution devant le Cercle canadien de Montréal. «Les jeunes Canadiens ont l’ambition et le talent qu’il faut pour nous donner un avantage concurrentiel dans l’économie de l’avenir fondée sur les aptitudes, a dit le banquier. Mais en ce moment, nous ne les préparons pas bien à la réussite.» Dans dix ans, «au moins» 50% des emplois exigeront des aptitudes différentes d’aujourd’hui, poursuit M.

L’avenir des postdoctorants est-il à l’étranger?


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Être titulaire d’un doctorat n’est pas à la portée de tout le monde. Pourtant, après des années consacrées à étudier, à faire des recherches et à obtenir le diplôme le plus élevé du cursus scolaire, ces doctorants sont aux prises avec de nombreuses difficultés lorsque vient le temps d’entrer sur le marché du travail canadien. Leur avenir, pour au moins 30% d’entre eux, se trouverait à l’étranger. Un sondage réalisé en 2016 par l’Association canadienne des stagiaires postdoctoraux dresse un portait bien sombre de la situation des doctorants dans notre pays. En effet, malgré le fait que le salaire des «post-docs» ait augmenté au fil des ans, il reste moins élevé ici qu’ailleurs dans le monde.

Les effets de la tendance à l’automatisation des emplois étudiés par le fédéral


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Des responsables du gouvernement fédéral ont été mis au parfum, au cours de l’été, du problème représenté par l’automatisation d’emplois sur le marché du travail canadien dans les prochaines années, un enjeu qui nécessitera de revoir la façon dont l’État vient en aide aux chômeurs. Les documents préparés à l’attention de hauts responsables du ministère de l’Emploi, du Développement de la main-d’oeuvre et du Travail ne fournissent toutefois pas d’indication sur les moyens qui devraient être envisagés pour procéder à un tel changement de politiques. L’économie canadienne pourrait perdre entre 1,5 et 7,5 millions d’emplois dans les prochaines années en raison de l’automatisation, les estimations variant en fonction de la méthodologie employée.

Une autre étude confirme que les immigrants sont plus diplômés mais chôment plus


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Une autre étude confirme la difficulté d’intégration au marché du travail des immigrants à Montréal. Cette fois, c’est l’Institut du Québec, avec la Chambre de commerce du Montréal métropolitain et Montréal international, qui dévoilent cette étude intitulée Plus diplômés mais sans emplois — Comparer Montréal: le paradoxe de l’immigration montréalaise. Les immigrants montréalais sont parmi les plus scolarisés en Amérique du Nord, indique-t-on dans l’étude. Le taux de diplomation universitaire des immigrants montréalais est plus élevé que celui des «natifs», soit 33 pour cent comparativement à 24 pour cent. Dans la plupart des autres villes étudiées, c’est la situation inverse qui a été remarquée.

Pour en finir avec l’âge d’or du marché de l’emploi


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Tout le monde sait qu’on change plus souvent d’emploi qu’avant. Mieux, à l’époque de l’âge d’or du marché du travail, il y avait bien plus d’emplois à vie que maintenant. Mais, si vous demandez à quelqu’un qui fait cette affirmation quand a bien pu avoir lieu cette époque bénie pour les travailleurs (on ne sait pas trop si c’était la même chose pour les travailleuses) et s’il a l’ombre d’une preuve pour appuyer sa déclaration, vous aurez droit soit un silence gêné, soit à un éloquent « Ben voyons donc! »…

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